L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Sophie_Ancee]

C'était ce qu'on appelle communément, du côté des ottomans, un véritable souk.
C'est attirée par le bruit qui l'empêchait de travailler à l'OER (lire le serbe demandait de la concentration) que Sophie se rendit sur la Place d'Aristote.
A peine engagée dans l'escalier du palais romain, elle fut abordée par un pigeon ... qui portait un parchemin aux couleurs cisterciennes. Elle le lut rapidement tout en continuant de descendre l'escalier fraichement lavé, manquant de glisser et rater une marche.

Un fois sur la place, la première chose qui attira son attention fut un éclat de lumière dentaire ... la magie du blanc.
Et derrière cet éclat de lumière dentaire, son cher recteur qui arborait une mine déconfite.

Sophie se rendit à ses côtés et, pendant le trajet, eu le temps de surprendre les conversations. Elle salua alors Frere Roger et lui dit doucement :

Mon père, puisque nous devons nous rendre à Noirlac pour chapitriser, sur le trajet, je vous propose de nous arrêter pour manger un bout...

Frere Enosch m'a récemment parlé d'une soupe de poissons du Sud de la France dans la composition de laquelle entre un poisson aux propriétés peu communes : la girelle...

Je vous raconterai tout ca en chemin.

Tendant son bras à son recteur, elle l'accompagna à la recherche d'une voiture du STR (Service de Transport Romain).
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[Un moine en colère]

[MODO]Retrait du HRP[/MODO]

[Ingeburge]

[MODO]Hop, vous avez gagné le gros lot.

J'ouvrirai quand ce sera nettoyé car pas de HRP dans le RP, non mais des fois.

Je mettrai le HRP au concile... HRP, vous pourrez ainsi débattre de l'étymologie et du sens des verbes... en toute courtoisie bien sûr.


Merci de votre compréhension.


LJD Ingeburge.

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EDIT : Voilà, c'est ouvert mais je veille.

Pour le HRP, c'est ici http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=15450


Bon jeu à tous. [/MODO]

[horvy]

Moine en colère au visage caché.


Je suis clerc certe:
mais je décide de soutenir le seul parti politique désirant négocier un concordat,
le seul parti politique dont l'ensemble de ses listiers sont baptisé aristotélicien,
le seul parti qui propose un pélerinage,
le seul parti qui propose la canonisation d'un grand religieux Bérrichon,
le seul parti qui comtpe dans ses rangs une bonne poignet de religieux,
le seul parti dont le tête de liste est un médaillé d'Aristote....

Alors je vous le demande, en quoi suis-je en faute lorsque j'influence le peuple a voter pour un parti qui prône tout ce que je viens de vous citer ?

en quoi suis-je en faute dans mon idée politique ?

en quoi suis-je en faute lorsque je veut que ce soit ce parti la qui soit élu dans mon duché ?

en quoi suis-je en faute lorsque je défend un prti politique qui défend l'église ?

alors oui, le Duc georgepoilu n'est peut-être pas dans votre coeur mais il a le mérite d'avoir toujours défendu la religion en berry...j'admire sa foy, ses idées et sa volonté de faire du Berry un Duché ou l'Aristotélicisme est actif.

[Un moine en colère]

L'encupachoné se retourna et dit à mis voix :

-Je ne parle pas du fond chaque opinion est sacrée meme si je la partage pas, la voix d'un homme est sa liberté...

-Je parle de la forme, celle qui se rit des us de la corection et de votre sacrosainte amitié aristotélicienne... Un homme qui reproche à un autre l'hatitude fantasque de ses parents est en mon sens méprisable, l'homme qui ouvre la boite de pendore en priant dans une église avec un coeur partisant ouvre le droit à la réponce, voulez-vous donc que dans toutes les église du royaume l'on se met à prier ainsi ??? en utilisant votre méthode ?

[Makcimus.]

La situation se dégradait, il n'avait pas tout entendu, mais suffisamment pour se rendre compte Son Éminence Clodeweck souhaitait maintenant pouvoir tranquillement continuer son chemin. Une lame avait même été sortie... Fronçant les sourcils, la grande carcasse s'était immédiatement rapprochée du Cardinal connétable de Rome.

L'arrivée de son frère le Ritter et Chevalier Legat Izidore, fit du bien à tout ce beau monde et le regard que celui-ci adressa à Makcimus confirma son ressenti.

La Garde Pontificale avait en charge la sûreté urbaine de Rome et se devait d'assurer la tranquillité publique et nul doute qu'elle allait le faire.
D'un mouvement sec, le manche de la hallebarde vint percuter le sol avec force... La voix rocailleuse s'éleva....Pax Vobiscum!!!

Conformément au pouvoir de police de la Garde Pontificale Romaine !! Je vais vous demander de continuer cette discussion passionnée en un lieu privé afin de ne troubler la tranquillité publique ! Aussi je vais vous demander de laisser les clercs de notre Tres Sainte Eglise se déplacer librement!! En inclinant la tête en un sourire, d'un geste amble, il indiqua à Son Éminence Clodeweck que celui-ci pouvait maintenant poursuivre son chemin à sa guise.

Volte-face... En espérant, ne pas avoir à intervenir une seconde fois et cette fois-ci, pour trouble à l'ordre public et certainement avec beaucoup moins de diplomatie.

Toujours très attentif, il se rapprocha de son frère afin de le saluer comme il se devait. Ses frères de l'Ordre Teutonique lui manquaient, échanger quelques mots avec Isidore lui ferait le plus grand bien.
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[horvy]

Horvy récupéra son parchemin et continua sa route en compagnie du Duc.

[Clodeweck]

Le père Clodeweck remercia d'un geste de la tête Makcimus, non pas qu'il ait eu peur du Danger, il avait subit tellement de guerre, mais la conscience avec laquelle ces hommes s'acquittaient de leur tache était exemplaire.
Effectivement, il avait bien d'autres choses à faire que de s'occuper d'un Oblat qui semblait n'avoir rien entendu ni à la religion ni à la politique.

- Merci mon fils. Continue de servir l'Eglise comme tu le fais, ce sont des gens come toi qui nous font penser que nous sommes sur les chemins de la vérité.

Là dessus le Cardinal fini de traverser la place. Il avait entre aperçu le frère Roger. Il le verrait surement à Bruz ou Noirlac.
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Clodeweck de Montfort, pèlerin, prêcheur, homme de foy contre l'adversité.
Quand on a plus rien à prouver, rien à perdre, rien à gagner on peut parler vrai. (Cloclo 1°)