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[RP]Monarchie Romaine en Question/Roman Monarchy in Question

 
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Auteur Message
Alfred_de_Liestz



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Messages: 57

MessagePosté le: Sam Mai 12, 2012 2:00 am    Sujet du message: [RP]Monarchie Romaine en Question/Roman Monarchy in Question Répondre en citant

Rome - 11 Mai 1460

le Pape est le seul garant, de par l’évidente supériorité de sa fonction et sa dimension d’infaillibilité, d’un possible retour sur le continent de l’unité politique et spirituelle.


C'était bien la première fois qu'Alfred disait merde et il savait que sans pape, l’église ne serait pas aussi puissante qu'elle en a l'air et que si le pouvoir tombait sur des mains des malveillants, cette même église pourrait connaître la décadence et prendre une évolution non destinée ou qu'elle ne devrait...

Le théoricien Alfred savait bien que la politique avait une vision religieuse comme la religion une vision politique dans le but d'une entente et du mieux vivre de tous. C'est alors qu'Alfred venait poser quelques soucis pour préserver un avenir, celui de demain afin de se préserver d'une révolution.


Ceci n'est pas une prophétie, du moins je ne suis pas un prophète, mais j'use de la réflexion pour dire ce que je sais. J'ai toujours voulu être Cardinal, mais l'occasion ne s'est jamais présenter et je salue d'ailleurs tous les Cardinaux que mon discours n'est pas contre eux, plutôt un apport qui se veut novateur et générateur d'une nouvelle église ou celle des jours prochains.

Je ne sais pas si vous mesurez un instant que notre vie peut dépendre d'un fol argumentaire, stupéfiant à bien des égards, peut vous faire soutenir des positions sédévacantistes !

Comment ? Rome aurait changé la nature même de l’Eglise faisant que le rôle de la papauté, du point de vue de sa prééminence spirituelle et temporelle, soit désormais achevé. Mais c’est là une proposition proprement inacceptable, qui est d’ailleurs contredite par plusieurs faits positifs essentiels :

- Rome n’a pas détruit la papauté,
- Rome confirme que le pape reste bien le chef de l’Eglise.
- Rome s’il a touché à la pastorale n’a pas attenté au dogme de l’infaillibilité.
- Rome n’a pas modifié une ligne des prérogatives papales
- Rome n’a pas un mode de désignation du pape,nous savons tous que le Gouvernement de l’église est une monarchie élective.

De ce fait « tout désespoir en politique est une sottise absolue », ce même désespoir en religion est un péché mortel extrêmement grave ! Douter de l’Eglise, douter de ce que Rome puisse revenir un jour à la sainte Tradition, est un oubli que Christos assistera toujours son épouse même si elle traverse des périodes difficiles, et il y en eut d’autres dans l’Histoire,parfois pires, c’est une abominable aberration indigne d’un Aristotélicien, qui vous a d’ailleurs fait écrire des lignes effarantes : «Peut-être espérez-vous naïvement restaurer l'Aristotélicianisme avec Innocent ou avec le successeur, probablement pire, qui nous attend » (sic !) .

Mais évidemment qu’il faut espérer cette restauration ! Que voulez-vous espérer d’autre ? Vous croyez peut-être qu’un hypothétique monarque de n'importe quel royaume, dont il y a fort à craindre que nous ne soyons pas à la veille de le voir surgir, soit en mesure de relever l’Europe sans s’appuyer sur l’Eglise ? Un peu de sérieux voyons. Qui d’autre que l’Eglise et le pape peuvent aujourd’hui, dans l’état actuel des choses, réédifier l'Aristotienté ? Ainsi donc le livre des Vertus est un pure classique, qu'il n'aurait aucunement "jeté après avoir vu Rome (sic !) bien au contraire, est qu'il faut un traité de politique religieuse d'avec tous les royaumes, qui conserve plus que jamais toute sa pertinence et sa pleine validité stratégique car seule une solution surnaturelle de nature religieuse est capable de modifier cette démentielle course en avant vers la catastrophe dans laquelle se précipite toutes les nations européennes vers l'avenir, c'est à prévoir !

J'écris un traité sur la Souveraineté du Pape- véritable exposé de la conception politique qu'un royaume puisse avoir qui, cela-dit entre parenthèses, peut être volontairement mis de côté par des générations qui vont l'ignorer totalement parce qu’il est pure - Que l’ensemble des possibilités de reconstruction, à un niveau purement politique et national, sont réduites à néant - Mais ou est le Pape, est-ce de la compétence? Ou la très notre Sainteté que notre Pape n'a jamais eu de voix, vous ne trouvez pas ça curieux, vous? Demandez à un Cardinal romain, il sera effaré par mon regard, j'ai quasiment la conviction qu'il n'a rien compris. Conclusion : Je ne connais pas !

A ce titre, vous allez être choqué par l’affirmation d’une destitution de sa fonction sacrée un jour, aboutissant au constat non de ce qu’elle ne puisse plus jamais redevenir une monarchie, mais qu’elle soit tout simplement totalement libre de toutes contraintes religieuses, si contrainte, Pour l’instant de le redevenir. Or, cette destitution, en forme de terrible châtiment, est bien sera bel et bien réelle ou sera un mythe anti-Eglise et créera une peur au Saint de l'Eglise. Pour quelles raisons ? Car un jour dans un royaume, dont certains légitimistes, tel que je suis - imaginent qu’elle conserve sub specie aeternitatis son élection et sa sacralité alors que l’une et l’autre dépendaient de sa capacité à maintenir intacte sa fidélité. Ce jour repandra de par le monde le poison de la Révolution, et ne se repentira d'aucune manière de ses fautes, conceptions et convictions, et reste donc, plus que jamais, attachée à ses péchés, à ses erreurs, à son crime, à son anticléricalisme . Que ce Royaume ait un rôle à jouer, lorsque les temps viendront, dans la restauration de l'Aristotienté, nul ne le nie, mais il est clair, en raison des attitudes fautives à bien des égards de par les positions scandaleuses prises par les monarques orgueilleux, positions poursuivies et amplifiées par les révolutionnaires, qu’elle n’est plus capable par ses seules forces d’effectuer ni son redressement ni de participer à l’élan contre-révolutionnaire que seule l’Eglise, ultime vaisseau surnaturel fondé par Christos, peut engager sur le continent.

Car il s’agit bien de cela dans la pensée qui peut bien naître, qui ne perd une virgule de sa validité dans ses jugements et analyses visionnaires, soit de mettre tous ses efforts, là où l’on se trouve, dans une politique essentiellement religieuse, car c’est la religion qui doit et peut refaire l’Ordre ancien brisé et détruit. .

Le génie du Pouvoir fera ainsi de comprendre très vite que la Révolution ne peut être authentiquement combattue, non par l'application d'une logique politique mais par la mise en œuvre d’un principe inverse de nature religieuse, principe qui soit une négation radicale des bases doctrinales du ferment corrupteur révolutionnaire. Si la Révolution est de nature du Sans nom, « elle ne peut être véritablement finie, tuée, que par le principe contraire, qu’il faut simplement délier c’est tout ce que l’homme peut faire ; ensuite il agira tout seul. Au fond la méthode du redressement salvateur est simple, il s’agit en effet de « délier le principe contraire » de nature religieuse, et de le libérer, de lui rendre sa capacité d’action et d’intervention au sein de la réalité collective, de l’autoriser à pénétrer de nouveau spirituellement et organiquement toutes les différentes couches du corps social qu'il a vocation à transformer par une Aristotélisation fervente et intense. C’est cela la théologie politique, c’est cela le principe véritablement salvateur fondé sur une stratégie étroitement religieuse.


Quel sera le résultat de ce redressement « contre-révolutionnaire » ? j'expose sans détour avec une surprenante clarté : « Cette immense et terrible Révolution peut commencer, avec fureur qui n’a pas d’exemple contre l'Aristotélicisme et pour la Monarchie élective ! Le résultat sera pour l'Aristotélicisme et contre la Monarchie élective en son sein et en dehors. »

Il faut donc croire et attendre, grâce aux efforts de ceux qui auront mis leur espérance en Christos. Et être certain, que s'il ya « l’incendie révolutionnaire aura nettoyé la place pour le véritable architecte », que le l'Aristotélicisme, par l’action métaphysique qu’organisera une nouvelle prêche organisée par des ordres religieux missionnaires au service d'une Eglise de Tradition dirigée par un pape conscient de sa fonction théocratique, transformera de nouveau la face du monde, et qu’il surgira alors une « nouvelle effusion de l’Esprit-Saint. »



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This is not a prophecy, at least I am not a prophet, but I use reflection to say what I know. I always wanted to be Cardinal, but the opportunity never presented and I also welcome all the Cardinals that my speech is not against them, rather a contribution that is innovative and a new generator church or the next few days.

I do not know if you measure a moment that our lives may depend on a wild pitch, amazing in many ways, you actually support positions sedevacantists!

How? Rome would have changed the very nature of the Church by the role of the papacy, in terms of its spiritual and temporal rule, is now completed. But this is an unacceptable proposal itself, which is also contradicted by several key positive developments:

- Rome did not destroy the papacy,
- Rome confirms that the Pope is still the head of the Church.
- Rome if he touched the pastoral has not attempted the dogma of infallibility.
- Rome did not change a line of papal prerogatives
- Rome was not a method of appointment of the Pope, we all know that the Government of the church is an elective monarchy.

Therefore "all despair in politics is an absolute nonsense", the same despair in religion is an extremely serious mortal sin! Doubt the Church doubt that Rome may one day return to Holy Tradition, is an oversight that Christos always attend his wife even if she goes through difficult times, and there were others in history sometimes worse, this is an abominable aberration unworthy of an Aristotelian, which you also write lines is staggering: "Perhaps you hope to restore Aristotélicianisme naively or with Innocent's successor, probably worse, ahead "(sic!).

But obviously it is hoped this restoration! What do you expect more? You may think that a hypothetical monarch of any kingdom, which it is feared that we are not about to see it arise, is able to meet Europe without relying on Church? See some serious. Who else but the Church and the Pope can now, in the current situation, rebuild the Aristotienté? Thus the Book of Virtues is a pure classic, he would have no "cast after seeing Rome (sic!) on the contrary, it takes a political treatise of religious with all the kingdoms, which retains more than ever, its relevance and its full strategic solution because only a supernatural religious in nature is able to change this insane headlong rush to catastrophe in which all European nations rushed to the future, it is anticipated !

I write a treatise on the sovereignty of the Pope-true statement of the political conception can have a kingdom which, it says, in brackets, may be voluntarily set aside by generations who will ignore it completely because it is pure - That all the possibilities for reconstruction, on a purely political and national, are reduced to nothing - But where is the Pope, is the jurisdiction? Or our very holiness that our Pope has never had a voice, you can not find it strange, you? Ask a Roman Cardinal, he will be startled by my look, I'm almost convinced that he has understood nothing. Conclusion: I do not know!

As such, you will be shocked by the assertion of an impeachment of his sacred office one day, resulting in non realization of what she can never again become a monarchy, but it is just totally free all religious constraints, if forced, the moment to be again. However, this dismissal, shaped terrible punishment, is will indeed be real or a myth anti-Church and create a fear of the Holy Church. Why? For one day in a kingdom, some legitimist, as I am - think sub specie aeternitatis it retains its sacredness and its election while the other one and depended on its ability to maintain intact his loyalty. This day will shower the world the poison of the Revolution, and repent of his sins in any way, conceptions and beliefs, and remains, more than ever attached to his sins, his errors, his crime, his anticlericalism. That this kingdom has a role to play when the time will come, in restoring the Aristotienté, no one denies it, but it is clear, because of faulty attitudes in many respects because of the outrageous positions taken by monarchs proud, positions continued and amplified by the revolutionaries, it is no longer able by his own efforts to make its recovery or not to participate in the momentum against revolutionary-that only the Church, founded by the supernatural ultimate vessel Christos , may engage in the continent.

For this is indeed what the thought may well be born, who loses a point of its validity in his judgments and analyzes visionaries, is putting all its efforts where it is located in an essentially political religious, because it is religion that must and can repeat the Ancient Order broken and destroyed. .

Power engineering and will understand very quickly that the Revolution can not be genuinely tackled, not by applying a political logic but by implementing a reverse principle of religious nature, a principle which is a radical negation the doctrinal foundations of revolutionary ferment corrupter. If the Revolution is likely the Unnamed, "it can not be truly over, killed by the opposite principle, it takes just untie that's all that man can do, then it will act alone. Basically the method of recovery saving is simple, it is indeed to "untie the opposite principle" of a religious nature, and to release, to report its capacity for action and intervention within the collective reality , to allow him to enter again spiritually and organically all the different layers of society that aims to transform a Aristotélisation fervent and intense. That's political theology, this is truly the savior principle based on a strategy closely religious.


What will the result of the recovery "against-revolutionary"? I set out bluntly with surprising clarity: "This great and terrible revolution can begin with fury that has no example against Aristotélicisme and elective monarchy! The result will Aristotélicisme for and against the monarchy elective within it and outside. "

We must therefore believe and expect, through the efforts of those who put their hope in Christos. And be certain, that if "the revolutionary fire has cleaned the place to the real architect", as the Aristotélicisme, by doing metaphysics be organized by organized by preaching a new religious orders in the service of missionaries a Church of tradition led by a pope aware of his theocratic function, transform again before the world, and then he will emerge a "new outpouring of the Holy Spirit. "

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L'écossais.
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El_Von_Cobourg



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MessagePosté le: Mer Mai 16, 2012 4:18 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je reste circonspect face à vos affirmations. La restauration religieuse de l'ancien ordre social, le mythe de la contre-révolution paraît plus éloignée que jamais. La lutte entre l'église et la révolution peut prendre de jour en jour son cours. L'église est de plus en plus refoulée dans l'ordre temporel qu'il fait de nombreux frappés d"anathème, et l'ordre temporel s'inspire au contraire de plus en plus de la révolution, c'est-à-dire de l'esprit philosophique ; enfin sans pouvoir déterminer encore avec précision le but et les résultats suprêmes de la révolution, il semble bien que ce but consiste plutôt dans une extension des principes.
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Celui qui croit que la mort n'est que le début de l’éternité...
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