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De l'Amitié aristotélicienne

 
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Lorgol
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MessagePosté le: Ven Nov 09, 2007 11:45 pm    Sujet du message: De l'Amitié aristotélicienne Répondre en citant

Zabouvski a écrit:
DE L'AMITIE ARISTOTELICIENNE

Chapitre Premier


    1) L'Amitié Aristotélicienne, selon les principes d’Aristote établis au cours du repas avec Polyphilos, ne peut être véritable que si les membres de cette amitié sont égaux l’un envers l’autre. L’Amitié aristotélicienne est la communauté des baptisés de l’Église. L’on pourrait la représenter par un cercle, symbole même de la perfection divine. L'étude du cercle nous permet de faire ressortir deux éléments. Le premier, le centre, unique et maître de tout, et sa circonférence, sur laquelle tous les points sont égaux. Ainsi donc, la communauté aristotélicienne est une communauté de personnes ayant en commun leur foi en le Très-Haut et étant donc tous égaux devant lui par ce fait même. Le croyant est introduit à la communauté par le baptême. Le Baptême, ou rite d'entrée, donne au nouveau croyant les prémisses de l'amitié Aristotélicienne parfaite. Cette amitié est encore en puissance et demande à être développée par un contact avec Dieu dans la prière et les sacrements, et aussi par le témoignage de douceur et de compassion avec les autres. On peut parler à ce niveau d'une première étape de la vie spirituelle, celle des commençants, dans laquelle l'aristotélicien essaye de supprimer les vices qui demeurent en lui. On appelle aussi cette voie la voie Purificatrice, qui purifie l'âme de ses souillures.


    2) Ensuite vient l'étape des progressants, ou voie illuminative dans laquelle l'Aristotélicien, débarrassé de ses vices, pratique activement les vertus et développe par là son lien avec Dieu et son prochain. Le point central de cette étape sera la pratique de la charité fraternelle, et la preuve première de la sainteté devra être le rayonnement spirituel auprès des autres. Le but de celui qui pratique cette voie est avant tout d'aider ses frères sur le chemin de la Vertu.


    3) Enfin nous touchons à l'amitié parfaite, ou voie unitive. Cette voie est celle des parfaits. Il faut comprendre que l’Aristotélicien se consacre d’abord à Dieu, et que c'est dans une relation privilégiée avec Lui que se situe le plus haut point de la spiritualité. Cette relation avec Dieu se traduit par une profonde charité pour les autres, avec un sens parfait de l'amitié et une force de caractère qui permet de montrer aux autres la vérité sans les blesser. Mais cette union avec Dieu aura une condition, celle d'avoir une amitié parfaite sur cette terre avec un de nos prochains. Ne pourra accéder au titre "d'Ami de Dieu", donc de son égal, que celui qui aura concrétisé son aspiration à la perfection par une union d'âme avec un autre Aristotélicien.





Chapitre second sur l'Amitié Aristotélicienne: Les rapports avec les pouvoirs publics...


Nous avons dit que plus qu'un sentiment subjectif, l'amitié Aristotélicienne établie, par la voie du baptême, une communauté de vie objective entre tous les baptisés, entre les membres de la société céleste et ceux de la société terrestre. Cet élément a de grandes conséquences sur le tissu social, et sur la conception que nous devons avoir de la place de la Religion dans l'organisation temporelle du monde.

    1) La communion des saints, fondement de toute société.

    Par souci de clarification, nous appellerons cette communauté de vie la "communion des saints."

    Le but premier de l'organisation temporelle des sociétés est de mettre en place les structures pour permettre aux hommes le développement de toutes leurs facultés matérielles et spirituelles. Dans cette optique, une société qui ne serait pas basée sur le concept de communion des saints manquerai gravement a son but, puisqu'il lui manquerait le stade le plus élémentaire et le plus fondamental de l'union entre les hommes et de toute vie sociale aristotélicienne.
    Il en résulte logiquement que pour être pleinement intégrée dans une société conforme a l'idéal aristotélicien, il faut être soit même membre de la communion des saints, être membre de l'amitié aristotélicienne. Ceux qui ne le sont pas ne possèdent pas les bases fondamentales de la vie en société, ils sont des déchirures dans le tissu social, et comme toutes les déchirures ils risquent de s'étendre et de mettre en danger l'existence même de la société.

    On comprend donc la nécessité qui s'impose aux pouvoirs publics, pour le bien même de la société qu'ils dirigent, de mettre tout en oeuvre pour éviter cette déchirure, car c'est la survie même du tissu social qui est en jeu. Les pouvoirs publics auront donc soin de préserver le caractère Aristotélicien de leurs administrés, et de soutenir les efforts de la Sainte Eglise pour le salut des âmes et la bonne marche de la cité de Dieu, sur terre et au ciel.

    2) Du statut des religions partiellement admises.

    Certaines religions, bien que manifestement erronées, possèdent en elle quelques graines de vérité. Il s’agit du Spinozisme et de l’Averroïsme. Ces religions ( on peine a leur donner ce nom, étant donné leur erreur manifeste) on donc un caractère moins nocif que les autres erreurs. Il faut donc leur donner un statut à part, que nous appellerons « statut de tolérance ». Les membres de ces cultes doivent être mis, autant que possible, à l’écart de l’autorité publique, car le spectacle de leur erreur aurait des conséquences sur le peuple qui serait on ne peut plus néfastes. De plus n’étant pas unis au corps social par la communion des saints, ils y aurait un manque manifeste dans la cohésion sociale. Il faut donc les tolérer mais pas leur laisser le pouvoir.




Chapitre troisième: le rôle de l'amitié dans la conception de la hiérarchie de l'Eglise


Nous avons dit que chaque "aristotélicien" est uni aux autres par un lien spécial qu'il reçoit dans le Baptême. Ce lien fait de son existence un chemin vers la lumière, chemin qu'il ne parcourt pas seul mais en communauté.

    1) L'histoire de la communauté

    Pour quelqu'un qui avance il faut deux choses: la direction et la force d'avancer. Nous allons maintenant voir pourquoi la hiérarchie est nécessaire pour un Aristotélicien.

    Aristote nous a enseigné il y a près de 1800 ans une doctrine complexe, dont le but est de nous ancrer dans le Bien, dans le Beau, dans le Vrai. Cet ancrage se fait par la contemplation de la beauté éternelle de Dieu, et par la transcription de cette beauté dans les choses de tous les jours. Mais après la mort d'Aristote, ou plutot après son accession à la gloire de la contemplation, il nous fallait des guides qui transmettent fidèlement son message aux hommes de tous les siècles et de toutes les cultures. C'est pour cela que vers les années 30-35 de notre ère une assemblée de sages se tint à Tarse. Cette assemblée réunissait les héritiers de la tradition philosophique Aristotélicienne et les disciples de Christos le Sage , avec leur chef Paul. C'est cette assemblée qui décida de la fondation d'une institution qui unirait les deux traditions dans une même vision, faisant ainsi la synthèse des plus beaux enseignements humains et divins.
    Cette assemblée fut très vite visiblement assistée de l'Esprit Divin, et la religion aristotélicienne se répandit dans tout l'Empire Romain, malgré les persécutions que le diable ne manquait pas de mettre sur son chemin.
    Mais malgré les vagues de la persécution, malgré le tourment des hérésies, l'Eglise garda sa rectitude originelle grace à sa hiérarchie soudée.

    2) Le secours divin nécessaire pour le chemin

    Cette constance de l'Eglise de Dieu n'est concevable au milieu de tant de vicissitudes que par l'action très sainte de Dieu, par l'intercession d'Aristote et des saints de tous les temps, spécialement les martyrs qui sont morts pour la gloire et la lumière éternelle. Cette aide de Dieu avait un canal: la hiérarchie de l'Eglise.

    En effet dans l'Eglise certains sont appellés à être davantage que de simples aristotélicien: ils sont appellés à être les guides de leur troupeau, et ils reçoivent pour cela une grace spéciale qui se nomme l'ordination. Si le baptême introduit dans la communauté spéciale qu'est l'amitié aristotélicienne, l'ordination fait du fidèle croyant un membre à part, choisi, élu pour une fonction particulière qui est celle de guider les fidèles et d'être le canal de la lumière dans les âmes.

    3) la hiérarchie

    Le premier de ces hommes est le Pape, représentant de la lumière divine sur terre, celui qui a reçut en dernier recours le droit et le pouvoir de trancher toutes les questions religieuse, dans le respect toutefois de l'oeuvre de ses prédecesseurs.

    Puis viennent les cardinaux, les hommes illustres qui par leur action, leur générosité et la profondeur de leur inspiration par l'Esprit de Lumière, ont mérités d'être les instruments de Dieu pour la désignation du nouveau pape.

    Les évêques sont les canaux de la grace de Dieu dans les âmes des fidèles. Ils sont les pères de leur diocèse et veulent le salut de tous.

    Et enfin les curés sont les fidèles assistants des évêques dans cette tache difficile de guider les âmes vers la contemplation de la Beauté éternelle : Dieu lui même. Le curé est un prêtre qui a reçu une mission particulière de l'évêque.

    Les prêtres sans cure sont des auxiliaires précieux, et ils peuvent aider les curés dans leur tache, ou bien assister l'Evêque au conseil diocésain.

    Les diacres se donnent aussi à Dieu, mais ne reçoivent pas cette ordination spéciale. Leur service particulier les poussent d'abord à aider dans la gestion matérielle de l'Eglise.




Chapitre quatrième: Amitié et moyens de sanctification.

Nous venons de le voir, la hiérarchie est le canal du secours divin. Ce secours est transmis par ce qu'on appelle la liturgie.

    1) Nature de la liturgie

    Il serait faux de croire que la liturgie n'est qu'un enseignement. L'enseignement en est un aspect, mais il n'est pas le seul, loin de là. Vous savez que le baptême aristotélicien donne au baptisé un lien spécial, lien qui est premièrement un lien de Foi. le rôle de la liturgie est de faire augmenter cette Foi. La liturgie est donc une nourriture pour la Foi, elle renforce le lien avec l'ensemble de la communauté ecclésiale. Le lien de l'amitié Aristotélicienne est donc au centre de toute la vie du croyant, et la liturgie est primordiale pour la vie de ce lien.


    2) La fonction d'enseignement de la Liturgie.

    Il y a deux voies d'enseignement: le prêche et le sermon lors de la messe.
    Il est bon de distinguer les deux: en effet le prêche permet de renforcer la conviction des fidèles et de soi même au niveau des Idées, tandis que le sermon leur indique la voie à suivre, et les Idées qu'ils doivent cultiver et étendre. C'est à dire que le Sermon montre aux fidèles la voie à suivre, tandis que le prêche est le moyen pour avancer dans cette voie.


    3) La nature de la Messe

    La Messe est le cadre général dans lequel se déroule le Sermon, mais elle n'est pas que cela. Dans la Messe le prêtre transmet aux fidèles, par une communication mystérieuse, l'expérience de sa contemplation de Dieu. Et plus que cela, il est comme le canal a travers lequel les fidèles atteignent Dieu. La pureté de la Foi et des Idées du prêtre joue donc un gros rôle: si le canal est impur, comment les fidèles verront ils Dieu?

    4) L'Enseignement

    De l’enseignement aristotélicien. L’enseignement aristotélicien consiste en le partage de connaissances entre certains clercs aguerris et leurs prochains. Ceux-ci perpétuent le culte de l’esprit, toujours porté à découvrir, tel qu’expliqué par Aristote. L’enseignement est tout aussi vital, sinon plus, que le sermon, puisqu’il permet aux clercs de prendre conscience de la vérité, de mieux la comprendre. C’est cette compréhension de la vérité qui permettra à quiconque d’aider son prochain sur le chemin de la Vertu.


    D'abord fait à l'abbaye Cistercien de Noirlac le 24ème jour du mois de décembre de l'an de grâce 1453 par le Père Lescure
    Mis à jour faite à Rome le 13ième jour du mois d'août de l'an de grâce 1455 par le Père Zabouvski
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Ignius



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MessagePosté le: Ven Oct 05, 2012 12:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


L'Amicizia Aristotelica

Capitolo Primo: Il Percorso di Amicizia Aristotelica

1) L'amicizia aristotelica, secondo i principi di Aristotele stabiliti durante il pasto con Polyphilos, può essere vera solo se i membri di questa amicizia sono uguali l'uno verso 'altro. L'amicizia aristotelica è la comunità dei battezzati nella Chiesa. Essa si potrebbe rappresentare come un cerchio, simbolo anche della perfezione divina. Lo studio del cerchio ci permette di fare emergere due elementi. Il primo, il centro, unico e principale di tutto, e la sua circonferenza, sulla quale tutti i punti sono uguali. Dunque, la comunità aristotelica è una comunità di persone che condividono la loro fede in Dio onnipotente e quindi tutti sono uguali davanti a Lui per questo stesso fatto. Il credente è introdotto nella comunità attraverso il battesimo. Il battesimo, o rito d'ingresso, dona al credente le premesse dell'amicizia aristotelica perfetta. Questa amicizia è ancora in potenza e ha bisogno di essere sviluppata attraverso il contatto con Dio nella preghiera e nei sacramenti, e anche attraverso la dimostrazione di gentilezza e compassione con gli altri. Si può parlare a questo livello di una prima fase di vita spirituale, quella dei principianti, in cui l'aristotelico cerca di eliminare i difetti che rimangono in lui. Questa via è detta la "via Purificatrice", che purifica l'anima delle sue macchie.

2) Poi viene la fase di progresso, o "via Illuminativa", in cui l'aristotelico, sgomberato dei suoi vizi, pratica attivamente le virtù e sviluppa il suo legame con Dio ed il suo prossimo. Il punto centrale di questa fase è la pratica della carità fraterna, e la prima prova della santità sarà l'influenza spirituale presso gli altri. L'obiettivo di chi pratica questo approccio è principalmente quello di aiutare i fratelli nel cammino della Virtù.

3) Infine si arriva alla amicizia perfetta, o "via Unitiva". Questo è il sentiero della perfezione. Si deve capire che l'aristotelico si dedica prima a Dio, e che essere in rapporto con Lui è il punto più alto della spiritualità. Questo rapporto con Dio si traduce in una profonda carità verso gli altri, con un perfetto senso di amicizia e una forza di carattere che può mostrare agli altri la verità senza ferirli. Ma questa unione con Dio avrà una condizione, quella di avere un'amicizia perfetta su questa terra con uno dei nostri prossimi. Potrà accedere al titolo di "Amico di Dio", pertanto suo pari, solo colui che avrà concretizzato la sua aspirazione alla perfezione attraverso un'unione dell'anima con un altro aristotelico.


Capitolo Secondo: I rapporti con il governo

Abbiamo detto che, più di un sentimento soggettivo, l'amicizia aristotelica stabilisce, mediante il battesimo, una comunità di vita oggettiva tra tutti i battezzati, composta dai membri della società terrena e quelli della società celeste. Quest'elemento ha grandi conseguenze sul tessuto sociale, e sulla concezione che dobbiamo avere del posto della religione nell'organizzazione temporale del mondo.

1) La comunione dei santi, il fondamento di ogni società
Per maggiore chiarezza, noi chiameremo questa comunità di vita "comunione dei santi".
Lo scopo principale dell'organizzazione temporale della società è quello di creare strutture che consentano agli uomini di sviluppare tutte le loro facoltà, fisiche e spirituali. In questo contesto, una società che non si basa sul concetto di comunione dei santi mancherà sicuramente il suo scopo, in quanto mancherebbe la fase più elementare e fondamentale dell'unione tra gli uomini e della vita sociale aristotelica.
Ne consegue logicamente che, per essere pienamente integrati in una società conforme all'ideale aristotelico, occorre essere sia un membro della comunione dei santi, sia un membro di amicizia aristotelica. Coloro che non lo sono non possiedono i fondamenti della vita in società, essi sono strappi nel tessuto sociale, e, come tutti gli strappi, rischiano di estendersi e di mettere in pericolo l'esistenza stessa della società.
Si comprende dunque la necessità che si impone ai poteri pubblici, per il bene stesso della società che dirigono, di mettere tutto in opera per evitare questo strappo, poiché è in gioco la stessa sopravvivenza del tessuto sociale. Il governo, pertanto, deve fare attenzione a preservare il carattere aristotelico dei loro cittadini e appoggiare gli sforzi della Santa Chiesa per la salvezza delle anime e il buon funzionamento della città di Dio, sulla terra e in cielo.

2) Dello status delle religioni parzialmente ammesse
Alcune religioni, benchè ovviamente erronee, possiedono alcuni semi di verità. Queste sono lo Spinozismo e l'Averroismo. Queste religioni eterodosse sono quindi meno dannose di altri errori. Devono pertanto beneficiare di uno status a parte, che noi chiamiamo "stato di tolleranza". I membri di questi culti dovrebbero essere collocati, per quanto possibile, lontano dalla pubblica autorità, perché lo spettacolo del loro errore potrebbe influenzare il popolo e ciò può essere più dannoso. Inoltre, non essendo collegati al corpo sociale dalla comunione dei santi, sarebbe manifesta una mancanza di coesione sociale. Occorre dunque tollerarli ma non lasciare loro il potere.


Capitolo Terzo: Il ruolo di amicizia nella concezione della gerarchia della Chiesa

Abbiamo detto che ogni "aristotelico" è unito agli altri da un legame speciale, ricevuto col Battesimo. Questo legame fa della sua esistenza un cammino verso la luce, cammino che non percorre da solo ma in Comunità.

1) La storia della comunità
Per qualcuno che avanza occorrono due cose: la direzione e la forza di avanzare. Ora vedremo perché la gerarchia è necessaria per un aristotelico.
Aristotele ci ha insegnato quasi 1800 anni fa una dottrina complessa, il cui obiettivo è di ancorarci nel Bene, nel Bello, nella Verità. Questo ancoraggio è realizzato attraverso la contemplazione della bellezza eterna di Dio e attraverso la trascrizione di questa bellezza nelle cose di tutti i giorni. Ma, dopo la morte di Aristotele, o meglio dopo la sua adesione alla gloria della contemplazione, ci occorrevano delle guide che trasmettessero esattamente il suo messaggio agli uomini di tutti i secoli e di tutte le culture. È per questo che, verso gli anni 30-35 della nostra era, un'assemblea di saggi si tenne a Tarso. Questa assemblea ha riunito gli eredi della tradizione filosofica aristotelica ed i discepoli di Christos il Saggio, con il loro leader Paul. E' questa assemblea che decise la fondazione di un istituzione che avrebbe unito le due tradizioni in una stessa visione, creando una sintesi dei migliori insegnamenti umani e divini.
Questa assemblea fu visibilmente assistita dallo Spirito Divino, e la religione aristotelica si diffuse in tutto l'Impero Romano, nonostante le persecuzioni che la creatura senza nome non trascurava di mettere sul suo cammino.
Ma nonostante le ondate di persecuzione, nonostante il tormento delle eresie, la Chiesa conservò la sua rettitudine originale grazie alla sua salda gerarchia.

2) Il divino aiuto necessario per il cammino
Questa costanza della Chiesa di Dio è concepibile in mezzo a tante vicissitudini soltanto con l'azione molto santa di Dio, con l'intercessione di Aristotele e dei santi di tutti i tempi, specialmente i martiri che sono morti per la gloria e la luce eterna. Questo aiuto di Dio aveva un canale: la gerarchia della Chiesa.
Infatti alcuni nella Chiesa sono chiamati ad essere molto più che semplici aristotelici: essi sono chiamati ad essere guide per il loro gregge, e per questo ricevono una grazia speciale che si chiama ordinazione. Se il battesimo introduce nella comunità speciale che è l'amicizia aristotelica, l'ordinazione rende il fedele un membro a parte, scelto, eletto per una funzione particolare, quella di guidare i fedeli e di essere il canale della luce nelle anime.

3) La gerarchia
Il primo di questi uomini è il Papa, rappresentante della luce divina sulla terra, colui che ha ricevuto in ultima istanza il diritto e il potere di decidere tutte le questioni religiose, ma nel rispetto del lavoro dei suoi predecessori.
Poi vengono i Cardinali, gli uomini illustri che, con le loro azioni, la generosità e la profondità della loro ispirazione allo Spirito di Luce, hanno meritato di essere gli strumenti di Dio per la nomina di un nuovo Pontefice.
I Vescovi sono i canali della grazia di Dio nelle anime dei fedeli. Sono i padri della loro diocesi e desiderano la salvezza di tutti.
E, infine, i i parroci sono gli assistenti fedeli de vescovi nel difficile compito di guidare le anime verso la contemplazione della Bellezza eterna: Dio stesso. Il parroco è un sacerdote che ha ricevuto una missione particolare del Vescovo.
I sacerdoti senza parrocchia sono degli assistenti preziosi e possono aiutare i parroci nelle loro mansioni o assistere il vescovo nel Consiglio Diocesano.
Anche i Diaconi sono devoti a Dio, ma non ricevono questa ordinazione speciale. Aiutano con il loro servizio nella gestione materiale della Chiesa.


Capitolo Quarto: Amicizia e mezzi di santificazione.

Abbiamo appena visto che la gerarchia è il canale di aiuto divino. Questo aiuto è fornito da quella che viene chiamata la liturgia.

1) La natura della liturgia
Sarebbe sbagliato pensare che la Liturgia sia solo un insegnamento. L'insegnamento è un aspetto, ma non è il solo. Voi sapete che il battesimo aristotelico dà al battezzato un legame speciale, legame che è in primo luogo un rapporto di Fede. Il ruolo della liturgia è di aumentare questa Fede. La liturgia è quindi un nutrimento per la Fede, essa rafforza il legame con l'intera comunità ecclesiale. Il rapporto di amicizia aristotelica è al centro della vita del credente e la liturgia è essenziale per la vita di questo legame.

2) La funzione di insegnamento della liturgia
Ci sono due metodi di insegnamento: la predica e il sermone durante la messa.
È bene distinguere i due: infatti, la predica permette di rafforzare la convinzione dei fedeli e di se stessi in termini di Idee, mentre il sermone indica loro la via da seguire, e le Idee che devono crescere e sviluppare. Vale a dire che il sermone mostra ai fedeli la via da seguire, mentre la predica è il mezzo per avanzare in questa direzione.

3) La natura della Messa
La Messa è il quadro generale nel quale si svolge il sermone, ma non è solo questo. Nella Messa il sacerdote trasmette ai fedeli, attraverso una misteriosa comunicazione, l'esperienza della sua contemplazione di Dio. E di più, è come un canale attraverso cui avvicinare a Dio i fedeli. La purezza della Fede e delle Idee del sacerdote giocano un ruolo importante: se il canale è impuro, come vedranno i fedeli il loro Dio?

4) L'insegnamento
L'insegnamento aristotelico comporta la condivisione delle conoscenze tra alcuni chierici temprati dallo studio e i loro prossimi. Questi perpetuano il culto dello spirito, che è sempre da scoprire, come spiegato da Aristotele. Anche l'istruzione è di vitale importanza, se non di più del sermone, in quanto permette ai chierici di prendere coscienza della verità, di capirla meglio. E' questa comprensione della verità che permetterà a chiunque di aiutare il suo prossimo lungo il cammino della Virtù.


Scritto da Padre Lescure presso l'abbazia cistercense di Noirlac il giorno 24 dicembre dell'anno di grazia 1453.
Aggiornato da Padre Zabouvski a Roma il giorno 13 agosto dell'anno di grazia 1455.



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Ysabet



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MessagePosté le: Mar Mar 17, 2015 1:50 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
VON DER ARISTOTELISCHEN FREUNDSCHAFT

Erstes Kapitel


    1) Die Aristotelische Freundschaft, nach den Grundsätzen des Aristoteles, festgelegt während dem Empfang bei Polyphilos, kann nur dann echt sein, wenn die Mitglieder dieser Freundschaft einander ebenbürtig sind. Die Aristotelische Freundschaft ist die Gemeinschaft der Getauften der Kirche. Man kann sie durch einen Kreis, selbst Symbol der göttlichen Vollkommenheit, darstellen. Die Untersuchung des Kreises erlaubt uns zwei Elemente hervorzuheben. Das erste, der Mittelpunkt , einzigartig und Meister des Ganzen, und seine Kreislinie, auf der alle Punkte ebenbürtig sind. Auf diese Weise also ist die aristotelische Gemeinschaft eine Gemeinschaft von Menschen, die ihren Glauben an den Allmächtigen gemeinsam haben und aus diesem gleichen Grund vor ihm daher alle ebenbürtig sind. Der Gläubige wird in die Gemeinschaft durch die Taufe eingeführt. Die Taufe oder das Eintrittsritual gibt dem neuen Gläubigen die Voraussetzungen zur vollkommenen Aristotelischen Freundschaft. Diese Freundschaft ist noch potentiell und verlangt Entfaltung durch den Kontakt mit Gott in Gebeten und den Sakramenten und auch durch Bezeugung von Sanftmut und Mitgefühl mit den anderen. Man kann auf dieser Stufe von einer ersten Etappe des spirituellen Lebens, der des Anfängers, sprechen, in der der Aristot versucht die Laster auszumerzen, die in ihm innewohnen. Man nennt diesen Weg auch den Reinigenden Weg, der die Seele von ihren Befleckungen reinigt.


    2) Darauf folgt die Etappe (Phase) der Fortschritte, oder der erhellende Weg, auf welchem der Aristot, befreit von seinen Lastern, die Tugenden aktiv ausübt und dadurch sein Band mit Gott und seinen Nächsten ausbaut. Der Mittelpunkt dieser Etappe (Phase) ist das Ausüben der brüderlichen Barmherzigkeit und das erste Zeugnis der Heiligkeit muss die spirituelle Wirkung auf die anderen sein. Das Ziel jener, die diesen Weg verfolgen ist vor allem seinen Brüdern auf dem Pfad der Tugend zu helfen.


    3) Schließlich erhalten wir die vollkommene Freundschaft, oder den vereinigenden Weg. Dieser Weg ist jener der Vollkommenheit. Man muss verstehen, dass der Aristot sich zuerst Gott hingibt und dass er in einer besonderen Verbindung mit Ihm ist, die sich am höchsten Punkt der Spiritualität befindet. Diese Verbindung äußert sich durch tiefgründige Barmherzigkeit für die anderen, mit einem vollkommenen Sinn für Freundschaft und einer Charakterstärke, die es erlaubt den anderen die Wahrheit zu zeigen ohne sie zu verletzen. Doch dieser Bund mit Gott hat eine Bedingung, jene eine vollkommene Freundschaft auf dieser Erde mit einem unserer Nächsten zu haben. Nur derjenige kann den Titel "Freund Gottes", also von seinesgleichen, führen, der sein Streben nach Vollkommenheit durch einen Bund mit der Seele eines anderen Aristoten verwirklicht.





Zweites Kapitel über die Aristotelische Freundschaft: Das Verhältnis mit der Obrigkeit...


Wir haben gesagt, dass die Aristotelische Freundschaft, hergestellt durch den Weg der Taufe, mehr als nur ein subjektives Gefühl ist, eine Gemeinschaft des gegenständlichen Lebens zwischen allen Getauften, zwischen den Mitglieder der himmlischen und jenen der irdischen Gesellschaft. Dieses Element hat große Auswirkungen auf das soziale Gewebe und auf die Auffassung, die wir davon haben müssen von der Stellung der Religion in der irdischen Gestaltung der Welt.

    1) Die Gemeinschaft der Heiligen, Grundlage jeder Gesellschaft.

    Zur Verdeutlichung nennen wir diese Lebensgemeinschaft die "Gemeinschaft der Heiligen."

    Das erste Ziel der irdischen Gestaltung der Gesellschaft ist es Strukturen aufzubauen, die den Menschen die Entwicklung ihrer materiellen und spirituellen Fähigkeiten erlauben. In diesem Gesichtspunkt verfehlt eine Gesellschaft, die nicht auf dem Konzept der Gemeinschaft der Heiligen gestützt ist, ihr Ziel erheblich, da ihr das elementarste und fundamentalste Stadium der Vereinigung zwischen den Menschen und jedem sozialen aristotelischen Leben fehlt.
    Es folgt logisch daraus, dass um voll in eine Gesellschaft konform dem aristotelischen Ideal integriert zu sein, muss man Mitglied der Gemeinschaft der Heiligen, Mitglied der aristotelischen Freundschaft sein. Jene, die die fundamentalen Grundlagen des Lebens in der Gesellschaft nicht besitzen, sind Risse im sozialen Gewebe und wie alle Risse laufen sie Gefahr zu wachsen und die Existenz der Gesellschaft selbst in Gefahr zu bringen.

    Man versteht daher die Notwendigkeit, die sich der Obrigkeit auferlegt, für das Wohl der Gesellschaft selbst, die sie leitet, sich dafür einzusetzen diese Risse zu vermeiden, weil es das Überleben des sozialen Gewebes selbst ist, dass auf dem Spiel steht. Die Obrigkeit hat also die Sorge den Aristotelischen Charakter in ihren Bürgern zu bewahren und die Bemühungen der Heiligen Kirche zum Seelenheil und den guten Gang der Gottesstadt auf Erden und im Himmel zu unterstützen.

    2) Vom Status teilweise zugelassener Religionen.

    Bestimmte Religionen besitzen in sich, obwohl sie nachweislich irren, einige Kerne der Wahrheit. Dabei handelt es sich um den Spinozismus und den Averroismus. Diese Religionen (man kann ihnen kaum diesen Namen geben, der ihnen wegen ihres offensichtlichen Irrtums gegeben ist) haben also einen weniger schädlichen Charakter als andere Irrungen. Es ist nötig ihnen einen eigenen Status, den wir "Status der Duldung" nennen, zu geben. Die Mitglieder dieser Kulte müssen so gut wie möglich abseits von Obrigkeiten aufgestellt werden, denn der Anblick ihrer Irrungen kann verheerende Auswirkungen auf die Menschen haben. Weiters sind sie nicht mit dem sozialen Körper durch die Gemeinschaft der Heiligen verbunden, ihnen fehlt daher offensichtlich der soziale Zusammenhalt. Man muss sie also dulden aber lässt ihnen keine Macht.




Drittes Kapitel: Die Rolle der Freundschaft in der Auffassung der Kirchenhierarchie


Wir sagten, dass jeder "Aristot" mit den anderen durch ein spezielles Band, das er durch die Taufe erhalten hat, verbunden ist. Diese Verbindung macht aus seiner Existenz einen Weg zum Licht, einen Weg, den er nicht allein sondern mit der Gemeinschaft geht.

    1) Die Geschichte der Gemeinschaft

    Für jemanden der sich fortbewegt braucht es zwei Dinge: die Richtung und die Bewegungskraft. Wir werden nun sehen warum die Hierarchie für einen Aristoten wichtig ist.

    Aristoteles lehrte uns vor etwas 1800 Jahren eine komplette Doktrin, deren Ziel es ist uns im Guten, Schönen und Wahren zu verankern. Dieser Anker entsteht durch die Betrachtung der ewigen Schönheit Gottes und durch die Transkription dieser Schönheit in die alltäglichen Dinge. Doch nach dem Tode Aristoteles, beziehungsweise nach der Ruhmeserlangung seiner Betrachtungen, brauchten wir Führer, die seine Botschaften den Menschen naturgetreu vermitteln, in allen Zeiten und allen Kulturen. Deshalb fand um die Jahre 30 bis 35 unserer Zeitrechnung eine Versammlung von Weisen in Tarsus statt. Diese Versammlung vereinte die Erben der philosphischen Aristotelischen Überlieferung und die Schüler von Christos dem Weisen, mit ihrem Anführer dem Apostel Paulos. Diese Versammlung entschied die Gründung einer Institution die beide Überlieferungen in einer Sichtweise vereint, eine Synthese der schönsten menschlichen und göttlichen Lehren.
    Diese Versammlung wurde sehr schnell sichtlich vom Göttlichen Geist beigewohnt und die aristotelische Religion verbreitete sich im ganzen Römischen Reich, trotz der Verfolgungen, die die Kreatur ohne Namen nicht versäumte auf seinen Weg zu geben.
    Aber trotz der Verfolgungswellen, trotz der Marter der Häretiker, behielt die Kirche ihre ursprüngliche Geradlinigkeit dank ihrer zusammengewachsenen Hierarchie.

    2) Die notwendige göttliche Hilfe für den Pfad/Weg

    Diese Beständigkeit der Kirche Gottes inmitten dieser Ärgernisse ist nur durch das heilige Handeln Gottes vorstellbar, durch Fürsprache die Aristoteles und der Heiligen aller Zeiten, im speziellen der Märtyrer, die für die Ehren und das ewige Licht gestorben sind. Diese göttliche Hilfe hat einen Kanal: Die Hierarchie der Kirche.

    Tatsächliche sind in der Kirche manche dafür berufen mehr zu sein als einfache Aristoten: sie sind dafür berufen Führer ihrer Herde zu sein und sie erhalten dafür eine spezielle Gnade die sich Ordination nennt. Wenn die Taufe in die spezielle Gemeinschaft, die die aristotelisches Freundschaft ist, einführt, so macht die Ordination aus dem ergebenen Gläubigen ein besonderes Mitglied, auserkoren für eine besondere Funktion, die der Führung der Rechtgläubigen und des Leitens von Licht in die Seelen.

    3) Die Hierarchie

    Der erste unter diesen Menschen ist der Papst, Repräsentant des göttlichen Lichts auf Erden, welcher als letzte Instanz das Recht und die Macht erhalten hat alle religiösen Fragen zu entscheiden, allerdings mit Beachtung des Werks seiner Vorgänger.

    Danach kommen die Kardinäle, erlauchte Menschen, die es durch ihre Handlungen, ihre Großzügigkeit und die Tiefe ihrer Inspiration durch den Geist des Lichts verdient haben göttliche Instrumente zur Bestellung eines neuen Papstes zu sein.

    Die Bischöfe sind Kanäle der göttlichen Gnade in den Seelen der Rechtgläubigen. Sie sind die Väter ihrer Diözesen und wollen das Heil aller.

    Und die Pfarrer schließlich sind getreue Gehilfen des Bischofs bei der schwierigen Aufgabe die Seelen zur Betrachtung der ewigen Schönheit zu führen: Gott, selbst. Der Pfarrer ist ein Priester der eine bestimmte Mission vom Bischof erhalten hat.

    Die Priester ohne Pfarramt sind kostbare Helfer, sie können den Pfarrer bei ihrer Arbeit helfen oder dem Bischof im Diözesanrat zur Seite stehen.

    Die Diakone geben sich auch Gott hin, erhalten aber die besondere Ordination nicht. Ihr besonderer Dienst veranlasst sie zuerst in der sachlichen Führung der Kirche zu helfen.




Viertes Kapitel: Freundschaft und Mittel der Heiligung.

Wir sahen, dass die Hierarchie der Kanal der göttlichen Hilfe ist. Diese Hilfe wird durch das was man Liturgie nennt übermittelt.

    1) Die Natur der Liturgie

    Es ist falsch zu glauben, dass die Liturgie nur Unterweisung ist. Die Unterweisung darin ist ein Aspekt, aber nicht der einzige, ganz im Gegenteil. Ihr wisst, dass die aristotelische Taufe dem Getauften ein spezielles Band gibt, ein Band das primär ein Band des Glaubens ist. Die Rolle der Liturgie ist es den Glauben zu stärken. Die Liturgie ist also Nahrung für den Glauben, sie stärkt das Band mit der Gesamtheit der Kirchengemeinschaft. Das Band der Aristotelischen Freundschaft steht also im Zentrum im ganzen Leben des Gläubigen und die Liturgie ist entscheidend für das Leben dieses Bandes.


    2) Die unterweisende Funktion der Liturgie.

    Es gibt zwei Wege der Unterweisung: die Predigt und den Sermon während des Gottesdienstes.
    Es ist wichtig die beiden zu unterscheiden: Denn die Predigt erlaubt es die eigene Überzeugung und die der Rechtgläubigen am Niveau der Ideen zu stärken, während der Sermon ihnen den Weg zu folgen zeigt und die Ideen die sie entwickeln und ausbreiten müssen. Das heißt dass der Sermon den Rechtgläubigen den zu folgenden Weg zeigt, während die Predigt das Mittel ist auf dem Weg weiterzukommen.


    3) Die Natur des Gottesdienstes

    Der Gottesdienst ist der allgemeine Rahmen in dem sich der Sermon abspielt, aber er ist nicht nur das. Im Gottesdienst vermittelt der Priester den Rechtgläubigen durch eine geheimnisvolle Kommunikation die Erfahrung seiner Betrachtung von Gott. Und mehr als das, ist er wie der Kanal durch den die Rechtgläubigen Gott erreichen. Die Reinheit des Glaubens und der Ideen des Priesters spielt daher eine große Rolle: Wenn der Kanal unrein ist, wie sollen die Rechtgläubigen Gott sehen?

    4) Die Unterweisung

    Die aristotelische Unterweisung. Die aristotelische Unterweisung beruht auf dem Teilen des Wissens unter bestimmten erfahrenen Klerikern und ihren Nächsten. Diese erhalten den Kult des Geistes, immer getrieben zu entdecken wie durch Aristoteles erklärt. Die Unterweisung ist auch ganz lebendig, wenn nicht mehr als der Sermon, da er es den Klerikern erlaubt die Wahrheit bewusst zu machen, um sie besser zu verstehen. Es ist dieses Verständnis der Wahrheit die es allen erlaubt dem Nächsten auf dem Pfad der Tugend zu helfen.

    Anmerkung:
    Predigt = Predigt In Gratebus
    Sermon = Predigt Res Parendo


    Zuerst erstellt in der Zisterzienserabtei in Noirlac am 24. Dezember im Gnadenjahr 1453 von Vater Lescure
    Aktualisiert in Rom am 13 August im Gnadenjahr 1455 von Vater Zabouvski

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