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Pastorale Annexe 2:Le Crédo commenté par son Eminence Aaron

 
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vincent.diftain



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MessagePosté le: Lun Fév 18, 2008 1:46 pm    Sujet du message: Pastorale Annexe 2:Le Crédo commenté par son Eminence Aaron Répondre en citant

Père Aaron a écrit:


    Le Crédo, commenté par son Eminence Aaron de Nagan, cardinal de la Sainte Eglise Aristotélicienne.


    Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
    Créateur du Ciel et de la Terre,
    Des Enfers et du Paradis,
    Juge de notre âme à l'heure de la mort.

    Et en Aristote, son prophète,
    le fils de Nicomaque et de Phaetis,
    envoyé pour enseigner la sagesse
    et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.


    _________________________


  • Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,

    Dieu est tout puissant car sans lui rien ne peut exister. Dieu est la source de toute chose, de la matière comme du vide, si bien qu’avant la création du monde, il n’existait même pas de vide car même le vide est quelque chose. On appelait alors cet état sans existence « le Néant », où seul Dieu était.

    Le temps, le mouvement, l’existence et le savoir sont issu de Dieu Lui-même. Il est la source de toutes choses. Il est omnipotent car il suffit à Dieu de penser pour que le monde se fit, Il est omniscient car Il est la source même du savoir et de l’existence, Il est omniprésent car tout est issu de Lui et tout est en Lui.

    Enfin, le Très-Haut, par son statut de divin, de source de la Création, est infini et éternel.Par Lui tout s’est fait, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans Lui. Il est l'Alpha et Omega, ce qui signifie « le premier et le dernier ».



  • Créateur du Ciel et de la Terre,

    Cette phrase est à la dimension de l’homme. Par cette réplique, l’on tente d’englober l’ensemble de la Création, car de notre condition, la terre et le ciel sont partout. En affirmant que le Très-Haut créa le ciel et la terre, où que nous position notre regard, de l’Orient à l’Occident, du Septentrion au Midi, nous ne faisons que contempler l’œuvre de Dieu, et uniquement celle-ci.

    Par le ciel et la terre, on réunit donc l’ensemble de la création visible par l’homme, car la réplique suivante définira ce qui lui est invisible. Cependant, le ciel et la terre ne se résument pas aux arbres, à l’humus, aux nuages ou à la pluie, ils s’étendent aussi à l’homme, à l’ensemble des créatures vivantes, mais également aux sentiment, aux émotions, à tous ce que l’homme peut vivre ou ressentire et par qui ces sentiments existent.



  • Des Enfers et du Paradis,

    Comme tout est issu de Dieu, le Tout-Puissant est également à l’origine des Enfers et du Paradis. C’est le monde invisible, par opposition au monde visible qu’est la terre et le ciel, comme nous venons de le démontrer. Le Livre des Vertus est une source appréciable pour connaître ces lieux, notamment dans sa troisième partie qui à pour titre « l’Eclipse » et où un jeune homme fait un songe durant lequel il visitera à la fois les Enfers sélénites et le Paradis solaire.

    Car bien que nous évoquions de temps à autre que nos morts aillent au ciel, c’est en fait sur le Soleil qu’ils se rendent, terre d’accueil des enfants défunts du Très-Haut, terre de la Cité Céleste. C’est là, derrière l’image que nous avons des grilles du Paradis qu’Aristote et Christos, entourés des archanges et des d’anges, attendent ceux qui auront réussi à vivre une vie exemplaire, vertueuse, aristotélicienne… A l’inverse, le sol lunaire attendra les hérétiques, les incroyants et les infidèles qui n’auront pas cru en l’existence de l’Eternel.

    Sur la lune règnent les sept démons qui caractérisent les sept péchés capitaux, par opposition aux sept archanges qui symbolisent les sept vertus fondamentales de l’aristotélisme et qui eux vivent auprès du Créateur.



  • Juge de notre âme à l'heure de la mort.

    Le chapitre de l’Eclipse du Livre des Vertus est un texte important pour connaître se qui nous attend dans l’au-delà. Sypous, personnage principal de cette partie, nous relate sa confrontation avec le Tout-Puissant durant son songe, ou il Lui dit : « J’ai compris le sens du Salut. Lorsqu’un humain a vécu dans la vertu, s’étant ainsi conformé à Ta divine parole, transmise par le prophète Aristote et par Christos, le messie, Tu lui accordes le droit d’accéder en ces lieux, au Paradis, au sein du soleil. S'il se détourne de la vertu, refusant d’écouter Ta divine parole, qu’il s’abandonne aux plaisirs terrestres, à l’égoïsme, à la tentation, à de fausses divinités, Ton infinie sagesse t’amène à l’envoyer en Enfer, sur la lune, pour y être puni pour l’éternité. Tu nous aimes, mais c’est également à nous de T’aimer. »

    Ce passage résume les deux possibilités qui s’offriront à nous lorsque nous serons face à Dieu le jour de notre mort. Nous nous soumettrons alors à son jugement. Cependant, le Très-Haut nous laisse une chance, un choix, une dernière possibilité de nous racheter, si nous venions à Le rejoindre plus vite que nous l’aurions pensé.

    En effet, dans son infinie mansuétude, Dieu nous permet de revenir à la vie si arrivé devant Lui, nous ne nous estimions pas assez vertueux pour mériter le Paradis, qu’au vu de notre vie la sentence pourrait bien être la damnation éternelle à l’enfer lunaire. Choisir de revenir à la vie, c’est vouloir changer de mode d’existence et se tourner désormais vers l’aristotélisme et ses valeurs, car le deuxième jugement pourrait bien être sans appel…



  • Et en Aristote, son prophète,
    le fils de Nicomaque et de Phaetis,

    Aristote le sage, serviteur du Très-Haut, à qui le Verbe divin a été révélé et qui annonça la venue du salut et de la lumière.

    Depuis Oane, premier être humain à comprendre Dieu et à conduire la communauté originelle du Tout-Puissant, les hommes s’étaient peu à peu détourner de Dieu pour finalement oublier jusqu’à Son existence. C’est alors qu’Il décida de poser la première pierre d’un édifice qui allait devenir sans doute la deuxième plus belle œuvre de Sa création : l’Eglise.

    Aristote fut éclairé par la lumière divine, sa raison et ses enseignements allaient ouvrir le monde sur une nouvelle ère, celle du retour de la communauté des hommes dans le sillage de l’Amour infini du Très-Haut. Il était la première partie du binôme fondateur de l’Institution de Dieu et il annonçait déjà celui qui le compléterait : Christos.



  • Envoyé pour enseigner la sagesse
    et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

    Trois logions, symboles du message de Christos qui sont certaines de ses paroles révélatrices mises par écrit, servirons à nous expliquer, ou en tous cas nous aiderons comprendre ce passage du credo.

    Dans le logion III, Christos disait : « Mes amis, l'âme est composée de deux parties: la compréhension et le savoir. Aristote est venu vous apporter la compréhension, moi je suis venu vous apporter le savoir. Entre Aristote et moi se tient toute la différence qui existe entre convaincre et persuader. » Cette phrase, peut-être compliquée, doit être associée à deux autres logions afin d’être éclairée. Il s’agit du logion IV et V dans lesquels Christos affirme : « La foi apporte la vérité. Mais pour la comprendre, il nous faut user de la raison » et « La raison et le mysticisme permettent tous deux de comprendre Dieu, chacun d'eux se retrouvant dans chacun de nous. A vous de trouver votre chemin vers le Très Haut en vous inspirant de la raison d'Aristote et de mon mysticisme »

    Nous sommes donc face à plusieurs éléments de nous même, de notre âme et de notre esprit : la foi, la raison, la compréhension, le savoir et le mysticisme. Aristote touche plus particulièrement notre esprit, car Dieu se révèle tout d'abord dans sa doctrine lumineuse et ses enseignements, doctrine qui annonçait de manière prophétique l'enseignement de la Lumière d’une façon tout autre mais non moins complémentaire par le prophète Christos.

    Foi et Raison sont comme les deux facettes d'une même réalité, comme l’exprime le logion que nous venons de citer : « La foi apporte la vérité, mais pour la comprendre, il nous faut user de la raison »... Une même réalité qui forme un ensemble éclairé par les prophéties divines transmises aux hommes par l’intermédiaire d’Aristote et Christos. La vérité de la Raison et la compréhension furent l’œuvre du philosophe grec ; elles furent le premier élément de cet universel sentiment que l’homme a retrouvé depuis la chute du paganisme : la Foi et la conscience de l’existence d’un seul et unique dieu : le Très-Haut.


    Je crois aussi en Christos,
    Né de Maria et de Giosep.
    Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
    C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
    Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
    Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

    Je crois en l'Action Divine;
    En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
    En la communion des Saints;
    En la rémission des péchés
    En la Vie Eternelle.


    ___________________________


  • Je crois aussi en Christos,
    Né de Maria et de Giosep.

    Christos est messie, guide et miroir de la divinité.

    Devant le spectacle impie qu’offrait l’humanité, Dieu décida, dans son infinie bonté et sagesse, qu’il était temps pour les hommes de voir arriver celui qui fut annoncé par Aristote, pour apporter le divin enseignement, incarnant par la même l’amitié vertueuse et le philanthropisme.

    Christos aura la volonté d’aller enseigner à toutes les nations, de compléter l’ouvrage entamé par son illustre prédécesseur dans l’optique de l’établissement d’une Institution forte, morale et vertueuse, au service du Créateur duquel Il avait reçu la vérité divine.

    Il affrontera sans relâche les tentatives perverses de la bête sans nom, il luttera par la foi, la sagesse et la non-violence contre ceux qui l’empêcheront de délivrer son message. Il finira enfin par s’offrir à l’humanité afin de monter à Dieu que l’homme peut atteindre l’amitié parfaite vertueuse et unitive jusqu'à se sacrifier pour les autres sans rien attendre en retour.



  • Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

    Christos est, comme nous l’avons expliqué précédemment, le message complémentaire du Très-Haut et indispensable à la compréhension de la foi aristotélicienne. Par Aristote, emblème de la Raison, les pauvres d'esprits apprendront la science, et par Christos, porteur de la Foi, les savants progresseront dans la sagesse et dans la piété. L'équilibre prophétique divin trouve là son fondement.

    L'étude de la philosophie et de la théologie doit être développée dans cet esprit d'union, et les théologiens seront conscients que de la beauté et de la pureté de leur doctrine découlera l'image que les fidèles se feront de la beauté même de Dieu. Ainsi les Livres Saints de la Révélation de Christos et ceux de la Révélation du Logos écrits par Aristote devront être lus de concert et se complètent mutuellement.

    Voilà pourquoi Christos nous indique le chemin du Paradis. Par sa doctrine, sa foi et son message, il compète sont prédécesseur dans une indispensable explication du mysticisme et de la foi. Il faut trouver le juste milieu entre les vertus et les péchés, entre les vertus elles-mêmes et entre la foi car il ne suffit pas d’être vertueux pour être aristotélicien, il faut aussi croire, il faut avoir la foi, il faut être persuadé par le message de Christos. C’est en cela que sa vie exemplaire est essentielle et c’est par ce qu’elle est exemplaire que celle-ci nous mène tout droit au Paradis solaire.



  • C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
    Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
    Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

    « Lui, aimant jusqu'a la fin, Homme parfait pur de tout péché accepta ce sort avec humilité, afin de réparer par son sacrifice volontaire les péchés de tous les hommes passés, présents et futurs et pour établir à jamais l'amitié entre les hommes et avec Dieu. »


    Christos fut condamné à la croix, comme plus tard beaucoup des premiers aristotéliciens. Mais ce qu’il y a d’admirable dans ce fait, c’est que Christos c’est offert lui-même à l’humanité pour réparer les fautes qu’elle avait commises au cour des siècles, fautes qui l’avait amenée à renier l’existence de Dieu. Par son sacrifice, Christos apporte le salut et prouve à Dieu que l’on peut offrir, jusqu’à son propre corps, sa propre vie, sans rien attendre en retour et pour le bénéfice des autres.

    La volonté de Christos en se donnant aux hommes est que ceux-ci adhèrent à l’Eglise de Dieu, croient et fondent leurs existences sur les principes aristotéliciens, la foi, les enseignements prophétiques de la raison et du mysticisme, et enfin, qu’ils imitent sa propre vie pour le salut de leurs âmes et la plus grande gloire du Royaume de Dieu.

    Pour que jamais nous n’oublions, Christos institua le sacrement de l’amitié que nous répétons à chaque office. Le pain et le vin, symbole du prophète offert à l’humanité, sont ainsi partagés à chaque célébration pour symboliser le partage et les liens qui lient ainsi les fidèles de l’Eglise, ce en sa propre mémoire et en celle du Très-Haut qui l’avait envoyé.



  • Je crois en l'Action Divine;

    L’Action Divine se manifeste quotidiennement par la foi des fidèles aristotéliciens. La seule survivance de la Sainte Eglise à travers les premiers siècles de notre ère et jusqu’à nos jours en est la preuve la plus fondamentale. Persécutés, crucifiés, martyrisés, les premiers aristotéliciens n’en sont pourtant pas resté à une simple communauté numériquement faible. A travers l’espace et le temps, grâce à la Foi, vivifié par l’Action Divine, l’aristotélisme s’est développé malgré les contraintes et les vilenies que l’autorité en place infligeait aux premiers fidèles.

    L’Action Divine, c’est l’espoir et la Foi, insufflée par Dieu aux hommes à travers l’Eglise qui canalise et centralise celle-ci pour la redistribuer à l’ensemble des fidèles, animant et inspirant cette volonté de se rapprocher toujours plus du divin à travers les sacrements donnés par la Sainte Institution de Dieu sur Terre elle-même.

    L’Action divine, c’est la sève de l’arbre qui permet à celui-ci de grandir sans cesse, de porter feuilles et fruits…



  • En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;

    La Sainte Eglise Aristotélicienne trouve ses racines à la fois en Terre Hellénique et en Terre Sainte. C’est l’union entre les deux enseignements des prophètes Aristote et Christos qui donna naissance à la Sainte Institution. Ils sont le fondement même de la parole divine et sans lesquels l’Eglise n’existerait pas.

    Cependant, c’est à Christos que l’on doit la création institutionnelle de l’Eglise de Dieu. En effet, lors d’un repas il interpella Titus, l’un des ses apôtres préférés, et le chargea de l’aider à construire l’Eglise pour la plus grande gloire des Cieux. A ses autres disciples, il confia la lourde tâche de porter la bonne parole à travers l’empire romain qui pourchassait à cette époque tous ceux qui se revendiquaient de la philosophie aristotélicienne.

    Aujourd’hui, les évêques sont les successeurs des apôtres de Christos, et le premier d’entre eux est le successeur de Titus, l’évêque de la Ville Eternelle, voilà pourquoi on la nomme « Romaine », c'est également pour cela qu'elle est apostolique.

    En outre, Elle est « Sainte » car Institution de Dieu. Elle est « Une » car les fidèles ne forment qu’une seule et même famille dont le père est le Créateur Lui-même. Elle est donc « Indivisible » car « Une ». Dieu étant Un, la foi étant basée sur l’Amitié Unitive, tout schisme est donc considéré comme un reniement de l’Eglise primaire fondée par Christos, et un reniement d’une partie de la famille à laquelle on appartient, sinon de l’autorité ou de la légitime succession du premier représentant de Dieu sur terre.

    Enfin, par son statut d’institution de Dieu par laquelle Il fait entendre sa voix, la Sainte et Immuable Eglise Aristotélicienne est seule qualifiée pour interpréter l'enseignement divin. Elle veillera ainsi en bon pasteur, comme le fut Christos, au maintien de l'unité de la Foi, de l'harmonie de la doctrine, et de la concorde entre les croyants.



  • En la communion des Saints;

    Cette réplique est d’une importance majeure car elle symbolise l’union universelle de l’Eglise à travers le temps, l’univers visible et invisible. On nomme aussi « Communion des Saints » l’Amitié Aristotélicienne.

    Lorsque l’on devient fidèle de la Sainte Eglise Aristotélicienne par le baptême, nous sommes invités à tendre vers le divin. Or, tendre vers le divin, c’est tendre vers l’état de sainteté, état que tout fidèle est invité à atteindre… Pour notre Sainte Mère l’Eglise, le fidèle est saint quand il a atteint le paradis solaire, gage d’une vie qui fut vertueuse, du moins, suffisamment pour que le Très-Haut ait accordé Sa confiance et le droit de vivre éternellement dans la Cité Céleste.

    A côté des fidèles, devenu saints par leur accession au Paradis solaire, nous trouvons les Saints placer sur un piédestal par la Sainte Eglise. Ceux-ci sont ceux qui ont eut une vie plus vertueuse encore que la normale. Ils sont distingués car l’Eglise est certaine qu’ils ont atteint le Soleil sans entraves ni difficultés. Ils sont élevés en modèle de sanctification et intercèdent auprès du Tout-Puissant lorsque les fidèles d’ici bas leur adressent des prières.

    Enfin, comme nous le spécifions au début de ce paragraphe, la communion des Saints ne se limite pas aux défunts, elle englobe ce que l’on nomme l’Eglise Militante et l’Eglise Triomphante. La première étant l’Eglise d’ici bas, la seconde étant l’Eglise des Cieux, toutes deux rassemblées en une seule et même Eglise pour la plus grande gloire de Dieu.

    La Communion des Saints doit être, avant tout, une Communion de toutes les âmes en Celui qui est la vie, la Lumière et l'Amour.



  • En la rémission des péchés.

    Un théologue* du Saint-Office, la congrégation qui à pour charge la conservation et l’analyse des écritures et des dogmes, faisait remarquer que les érudits des temps anciens et de nos jours affirmaient par calcul que la Lune était beaucoup plus petite que le Soleil, lui-même immensément plus grand que la Terre. Or, comme nous le savons, le Soleil est la terre d’accueil du Très-Haut pour les âmes des défunts.

    Ainsi, nous pouvons donc en déduire, que Dieu, dans son infini sagesse et sa pleine omniscience savait que l’homme ne serait pas foncièrement mauvais, mais justement qu’il chercherait à se faire pardonner des fautes commises, puisqu’Il a prévu un lieu infiniment plus grand pour les âmes sauvées que pour les âmes damnées.

    Avec l’Amour, le Pardon est sans doute le plus beau cadeau que le Seigneur peut nous donner après le don de la vie elle-même. Dieu, dans son infinie mansuétude, pardonne aux hommes leurs fautes, leurs péchés. Cependant, l’homme doit croire en cette rémission, en ce cadeau. Il doit entreprendre cette démarche dans l’optique sincère de se voir lavé du mal commis.

    Et c’est par la confession que Dieu nous accorde son pardon. Lorsque l’on partage ses peines et ses regrets avec quelqu’un, un prêtre, on entreprend la démarche de se soulager d’un sentiment, d’un souvenir de culpabilité. « Le commencement des bonnes œuvres, c’est la confession des œuvres mauvaises. Tu fais la vérité et tu viens à la Lumière. »

    Parfois, se sera dans la souffrance que l’on lavera ses péchés, mais ce n’est pas pour autant qu’il faut la rechercher, car Dieu ne le veut pas ainsi. Si elle se présente, si on la subit, il faut la prendre comme une épreuve à surmonter grâce à la foi retrouvée en la rémission du péché, pour la rendre plus forte encore qu’avant. C’est la le but de la pénitence, renforcer la Foi à travers un sacrifice du corps et de l’esprit et recouvrer pleinement Dieu et la communion des Saints.

    Croire en la rémission des péchés, c’est donc croire en l’infinie bonté du Très-Haut, en son amour infini, en son pardon gracieux et gratuit. La seule rétribution qu’il demande en retour, c’est de l’aimer !



  • En la Vie Eternelle.

    La vie éternelle sera l’affaire de tout homme. Qui soit bon ou mauvais, après sa mort il sera confronté au jugement divin qui décidera si l’homme est condamné à l’enfer lunaire ou au paradis solaire pour l’éternité. Le premier est bien entendu un monde de souffrance et de malheurs que se partage les sept ange-démons symbolisant chacun un des grands péchés. Chaque homme jugé indigne du paradis solaire sera affecté à l’un d’eux selon le vice vers lequel il aura le plus tendu.

    Le second est le monde de Dieu, le lieu de la Cité Céleste où sont rassemblé l’ensemble des fidèles de la Sainte Eglise qui ont mené une vie exemplaire, empreinte de vertu. On y retrouve Aristote, Christos, Oane, le premier d’entre les humains à avoir compris Dieu, les sept archanges et les myriades d’anges, les saints, nos frères et nos sœurs en l’Eglise…

    Ceux qui sont dans la gloire du Ciel, auprès du Père universel et créateur, vive pour l’éternité à ses côtés dans la pleine béatitude et l’amour infini du Tout-Puissant. La vie éternelle au sein de l’Eglise Triomphante de la Cité Céleste est le point d’aboutissement de la Foi du fidèle aristotélicien.



*autre nom spécifique aux théologiens aristotéliciens.

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MessagePosté le: Lun Mar 14, 2016 11:33 pm    Sujet du message: Re: Le Crédo commenté par son Eminence Aaron de Nagan Répondre en citant

Citation:


    O Credo, comentado por Sua Eminência Aaron de Nagan, Cardeal da Santa Igreja Aristotélica


    Eu acredito em Jah, o Altíssimo Todo-Poderoso,
    Criador do Céu e da Terra
    Do Inferno e do Paraíso,
    Juiz da nossa alma na hora da morte.

    E em Aristóteles, seu profeta,
    O filho de Nicomaque e de Phaetis,
    Enviado para ensinar a sabedoria
    E leis divinas do universo aos homens perdidos.


    _________________________


  • Eu acredito em Jah, o Altíssimo Todo-Poderoso,

    Jah é Todo-Poderoso, porque sem Ele nada pode existir. Jah é a fonte de todas as coisas, tanto da matéria como do vazio, por isso é que antes da Criação do mundo, nem o vazio existia porque mesmo o vazio é alguma coisa. Chamamos então a este estado sem existência « O Nada », onde somente Jah existia.

    O tempo, o movimento, a existência e o conhecimento são provenientes do próprio Jah. Ele é a fonte de todas as coisas. Ele é omnipotente porque é suficiente a Jah pensar para que o mundo seja feito; Ele é omnisciente porque ele é a fonte do conhecimento e da existência; Ele é omnipresente porque tudo vem Dele e tudo está Nele.

    Por fim, o Altíssimo, pelo seu estatuto de divino, da fonte da Criação, é infinito e eterno. Por Ele todas as coisas foram feitas e nada do que está feito se faria sem Ele. Ele é o Alfa e o Ómega, que significa «o primeiro e o último».



  • Criador do Céu e da Terra

    Nesta frase está a dimensão do homem. Com esta resposta, tentamos envolver toda a Criação, pois devido à nossa condição, a Terra e o Céu estão em toda a parte. Afirmamos que o Altíssimo criou o Céu e a Terra, onde a posição do nosso olhar, de Oriente ao Ocidente, do Norte ao Sul, só contempla a obra de Jah, e unicamente a Dele.

    Pelo Céu e pela Terra, reunimos assim toda a Criação visível pelo Homem, de modo que a réplica seguinte definirá o que lhe é invisível. No entanto, o Céu e a Terra não se resumem às árvores, ao húmus, às nuvens ou à chuva, eles estendem-se também ao Homem, à totalidade das criaturas vivas, mas igualmente aos sentimentos, às emoções, a tudo o que o homem pode viver e sentir e para que esses sentimentos existam.



  • Do Inferno e do Paraíso,

    Como tudo faz parte de Jah, o Todo-Poderoso está igualmente na origem do Inferno e do Paraíso. É o mundo invisível, por oposição ao mundo visível que é a Terra e o Céu, como nós acabámos de demonstrar. O Livro das Virtudes constitui uma valiosa fonte para conhecer estes locais, principalmente na sua terceira parte que dá pelo título de «O Eclipse», onde um jovem tem um sonho, durante o qual ele visita tanto o Inferno Lunar como o Paraíso Solar.

    Pois embora evoquemos ao longo do tempo que os nossos mortos vão para o Céu, é na verdade para o Sol que eles vão, local de refúgio dos filhos defuntos do Altíssimo, terra da Cidade Celeste. É lá, por detrás da imagem que nós temos dos Portões do Paraíso que Aristóteles e Christos, cercados pelos Arcanjos e Anjos, esperam aqueles que terão conseguido viver uma vida exemplar, virtuosa, aristotélica... Por outro lado, o Inferno Lunar esperará os hereges, os incrédulos e os infiéis que não terão acreditado na existência do Eterno.

    Sobre a Lua reinam os sete Demónios que representam os sete pecados capitais, por oposição aos sete Arcanjos que simbolizam as sete virtudes fundamentais do Aristotelismo e que vivem junto do Criador.



  • Juiz da nossa alma na hora da morte.

    O capítulo do Eclipse do Livro das Virtudes é um texto importante para conhecer o que nos espera depois da morte. Sypous, personagem principal desta parte, relata-nos o seu confronto com o Todo-Poderoso durante o seu sonho, onde ele lhe disse: “Eu compreendi o significado da Salvação. Quando um humano viveu na virtude, conformando-se com a Tua Divina Palavra, transmitida pelo profeta Aristóteles e por Christos, o Messias, tu o autorizas a aceder aos Teus lugares, ao Paraíso, perto do Sol. Se ele se desvia da virtude, recusando ouvir a Tua Divina Palavra, e se abandona aos prazeres terrestres, ao egoísmo, à tentação, às falsas divindades, a Tua infinita sabedoria leva-te a enviá-lo para o Inferno, na Lua, para ser punido para a eternidade. Tu amas-nos, e nós devemos amar-Te também.»
    Esta passagem resume as duas opções que nos são oferecidas quando estamos em frente a Jah no dia da nossa morte. Nós submeteremo-nos então ao Seu julgamento. No entanto, o Altíssimo deixa-nos uma possibilidade, uma escolha, uma última oportunidade de nos redimir, se nós nos juntar-mos a Ele mais rápido do que tínhamos pensado.

    De facto, na sua eterna bondade, Jah permite-nos regressar à vida se, ao chegarmos diante Ele, não nos sentirmos suficientemente virtuosos para merecer o Paraíso, que ao rever a nossa vida a sentença poderia bem ser a condenação eterna no Inferno Lunar. Escolher regressar à vida, é querer mudar o modo de existência e voltar-se agora para o aristotelismo e para os seus valores, porque o segundo julgamento poderia bem ser sem recurso...



  • E em Aristóteles, seu profeta,
    O filho de Nicomaque e de Phaetis,


    Aristóteles o sábio, servidor do Altíssimo, a quem o Verbo Divino foi revelado e quem anunciou a vinda da salvação e da luz.

    Desde Oane, primeiro ser humano a compreender Jah e a conduzir a comunidade original do Todo-Poderoso, os homens foram-se pouco a pouco afastando de Jah para finalmente esquecer a Sua existência. Foi então que ele decidiu colocar a primeira pedra de um edifício que iria tornar-se sem dúvida a segunda obra mais bela da Sua Criação: A Igreja.

    Aristóteles foi iluminado pela luz divina, a sua razão e os seus ensinamentos abriram o mundo para uma nova era, a do retorno da comunidade dos homens no seguimento do Amor infinito do Altíssimo. Ele foi a primeira parte do binómio fundador da Instituição de Jah e ele anunciava já aquele que a completaria: Christos.



  • Enviado para ensinar a sabedoria
    E leis divinas do universo aos homens perdidos.


    Três Logions, símbolos da mensagem de Christos, são algumas das suas palavras reveladoras que foram escritas, servir-nos-ão para explicar, ou pelo menos ajudar a compreender esta passagem do Credo.

    No Logion III, Christos dizia: « Meus amigos, a alma é composta de duas partes: a compreensão e o conhecimento. Aristóteles veio trazer-vos a compreensão, eu venho trazer-vos o conhecimento. Entre Aristóteles e eu tendes toda a diferença entre convencer e persuadir. » Esta frase pode ser complicada e deve ser associada a dois outros Logions afim de ser esclarecida. Ela encontra-se nos Logions IV e V nos quais Christos afirma: « A fé traz a verdade. Mas para a compreender, temos que usar a razão » e « A razão e o misticismo permitem ambos compreender Jah, cada um deles encontra-se em cada um de nós. Vós tendes de encontrar o vosso caminho para o Altíssimo, inspirando-vos na razão de Aristóteles e no meu misticismo. »

    Somos assim confrontados com vários elementos de nós mesmos, da nossa alma e do nosso espírito: A fé, a razão, a compreensão, o conhecimento e o misticismo. Aristóteles toca mais particularmente o nosso espírito, pois Jah revela pela primeira vez a sua doutrina luminosa e os seus ensinamentos, doutrina que anunciava de forma profética o ensinamento da Luz de uma forma diferente, mas não menos complementar pelo profeta Christos.

    Fé e Razão são como duas faces de uma mesma realidade, como exprime o Logion que nós acabamos de citar: « A fé traz a verdade. Mas para a compreender, temos que usar a razão»... Uma mesma realidade que forma um conjunto iluminado pelas profecias divinas, transmitidas aos homens por intermédio de Aristóteles e Christos. A verdade da Razão e a compreensão foram obra do filosofo Grego; elas foram o primeiro elemento deste sentimento universal que o homem recuperou desde a queda do paganismo: a Fé e a consciência da existência de um só e único deus: o Altíssimo.


    Eu também acredito em Christos,
    Nascido de Maria e de Giosep.
    Ele dedicou a sua vida para nos mostrar o caminho do Paraíso.
    Assim, depois de ter sofrido sob Pontius,
    Ele morreu em martírio para nos salvar.
    Entrou para o Sol onde O aguardava Aristóteles à direita do Altíssimo.

    Eu acredito na Acção Divina;
    Na Santa Igreja Aristotélica Romana, Una e Indivisível;
    Na comunhão dos santos;
    Na remissão dos pecados
    Na vida eterna.


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Eu também acredito em Christos,
Nascido de Maria e de Giosep.


Christos é o Messias, guia e espelho da divindade.

Perante o espectáculo ímpio que lhe oferecia a humanidade, Jah decidiu, na sua infinita bondade e sabedoria, que era tempo para os homens de ver chegar aquele que foi anunciado por Aristóteles, para trazer o Ensinamento Divino, encarnando pela mesma amizade virtuosa e o filantropismo.

Christos tem a vontade de ir ensinar a todas as nações, de completar o trabalho iniciado pelo seu ilustre antecessor na óptica do estabelecimento de uma Instituição forte, moral e virtuosa, ao serviço do Criador de quem Ele recebera a Verdade Divina.

Ele enfrentará sem descanso as tentativas perversas da Besta Sem Nome, ele lutará pela fé, pela sabedoria e a não-violência contra aqueles que o impedirão de entregar a sua mensagem. Ele terminará por fim por se oferecer à humanidade afim de mostrar a Jah que o Homem pode alcançar a amizade perfeita, virtuosa e de união, sacrificando-se pelos outros sem esperar nada em troca.



Ele dedicou a sua vida para nos mostrar o caminho do Paraíso.

Christos é, como nos foi explicado anteriormente, a mensagem complementar do Altíssimo e indispensável à compreensão da fé Aristotélica. Por Aristóteles, emblema da Razão, os pobres de espírito aprenderão a ciência, e por Christos, portador da Fé, os eruditos prosseguirão na sabedoria e na piedade. O divino equilíbrio profético encontra aqui o seu fundamento.

O estudo da filosofia e da teologia deve ser desenvolvido nesse espírito de união, e os teólogos ficarão conscientes que a beleza e a pureza da sua doutrina resultará da imagem que os fiéis farão da mesma beleza de Jah. Assim os Livros Santos da Revelação de Christos e aqueles da Revelação dos Logos escritos por Aristóteles deverão ser lidos em conjunto e completam-se mutuamente.

É por isto que Christos nos indica o caminho do Paraíso. Pela sua doutrina, pela sua fé e pela sua mensagem, ele compete com o seu antecessor numa indispensável explicação do misticismo e da fé. Temos que encontrar o equilíbrio adequado entre as virtudes e os pecados, entre as virtudes entre si e entre a fé pois não é suficiente ser virtuoso para ser aristotélico, temos também que acreditar, temos que ter fé, temos que ser persuadidos pela mensagem de Christos. É aqui que a sua vida exemplar é essencial e é por ela ser exemplar que nos leva direito ao Paraíso Solar.



Assim, depois de ter sofrido sob Pontius,
Ele morreu em martírio para nos salvar.
Entrou para o Sol onde O aguardava Aristóteles à direita do Altíssimo.


« Ele, amando até ao fim, Homem perfeito puro de todo o pecado, aceitou esse destino com humildade, afim de reparar pelo seu sacrifício voluntário os pecados de todos os homens passados, presentes e futuros e para estabelecer eternamente a amizade entre os homens e com Jah. »

Christos foi condenado à cruz, como também mais tarde os primeiros aristotélicos. Mas o que é admirável neste facto, é que Christos se ofereceu ele mesmo à humanidade para reparar os erros que ela havia cometido ao longo dos séculos, erros que a levara a negar a existência de Jah. Pelo seu sacrifício, Christos traz a salvação e prova a Jah que pode oferecer o seu próprio corpo, a sua própria vida, sem esperar nada em troca e para benefício dos outros.

A vontade de Christos em dar-se aos homens é que eles adiram à Igreja de Jah, crendo e baseando as suas existências sobre os princípios Aristotélicos, a fé, os ensinamentos proféticos da razão e do misticismo, e finalmente, que eles imitem a sua própria vida para a salvação das suas almas e para a maior glória do Reino de Jah.

Para que jamais nos esqueçamos, Christos instituiu o sacramento da amizade que nós repetimos em cada Eucaristia. O pão e o vinho, símbolo do Profeta oferecido à humanidade, são assim partilhados em cada celebração para simbolizar a partilha e os laços que ligam assim os fiéis da Igreja, em sua própria memória e na do Altíssimo que o enviara.



Eu acredito na Acção Divina;

A Acção Divina manifesta-se quotidianamente através da fé dos fiéis aristotélicos. A simples sobrevivência da Santa Igreja ao longo dos primeiros séculos da nossa era e até aos dias de hoje é a prova mais fundamental. Perseguidos, crucificados, martirizados, os primeiros aristotélicos não permaneceram portanto uma simples comunidade numericamente baixa. Através do espaço e do tempo, graças à Fé, vivificada pela Acção Divina, o Aristotelismo foi desenvolvido apesar das dificuldades e das maldades que a autoridade da época infligia sobre os primeiros fiéis.

A Acção Divina é a esperança e a Fé, inculcadas por Jah aos homens através da Igreja que a canaliza e a centraliza para a redistribuir a todos os fiéis, animando e inspirando a vontade de se aproximar ainda mais do Divino, através dos sacramentos dados pela Santa Instituição de Jah na própria Terra.

A Acção Divina é a seiva da árvore que permite a esta crescer sem cessar, e ter folhas e frutos...



Na Santa Igreja Aristotélica Romana, Una e Indivisível;

A Santa Igreja Aristotélica tem as suas raízes tanto na Terra Helénica como na Terra Santa. É da união entre os dois ensinamentos dos profetas Aristóteles e Christos que nasceu a Santa Instituição. Eles são o alicerce da Palavra Divina e sem os quais a Igreja não existiria.

No entanto, é a Christos que se deve a criação institucional da Igreja de Jah. De facto, durante uma refeição ele interpelou Titus, um dos seus apóstolos preferidos, e encarregou-o de ajudar a construir a Igreja para a maior glória dos Céus. Aos seus outros discípulos, ele confiou-lhes a difícil tarefa de espalhar a Palavra por todo o Império Romano que perseguia nessa época todos aqueles que acreditavam na filosofia aristotélica.

Hoje em dia, os Bispos são os sucessores dos apóstolos de Christos, e o primeiro dentre eles é o sucessor de Titus, o Bispo da Cidade Eterna, sendo por isso chamada «Romana», e é igualmente por isso que é apostólica.

Além disso, ela é «Santa» porque é a Instituição de Jah. Ela é «Una» pois os fiéis formam uma única e mesma família cujo Pai é o próprio Criador. É portanto «Indivisível» porque é «Una». Sendo Jah Um e sendo a fé baseada sobre a Amizade Unitiva, todo o cisma é portanto considerado como uma negação da Igreja primária fundada por Christos, e uma negação de uma parte da família à qual se pertence, assim como à autoridade ou sucessão legítima do primeiro representante de Jah na Terra.

Por fim, pelo seu estatuto de Instituição de Jah pela qual Ele faz ouvir a Sua voz, apenas a Santa e Imutável Igreja Aristotélica está qualificada para interpretar o ensinamento divino. Ela será assim o bom pastor, como o foi Christos, ao manter a unidade da Fé, a harmonia da doutrina, e a concórdia entre os crentes.



Na comunhão dos santos;

Esta réplica é de uma grande importância porque simboliza a união universal da Igreja ao longo do tempo, o universo visível e invisível. Também chamamos de «Comunhão dos Santos» a Amizade Aristotélica.

Quando alguém se torna fiel da Santa Igreja Aristotélica pelo Baptismo, somos convidados a caminhar para o divino. Contudo, avançar para o divino é avançar para o estado de Santidade, estado que todo o fiel é convidado a alcançar... Pela nossa Santa Madre Igreja, o fiel é santo quando ele alcançou o Paraíso Solar, garante uma vida que foi virtuosa, pelo menos suficientemente para que o Altíssimo tenha concedido a Sua confiança e o direito de viver eternamente na Cidade Celestial.

Para além dos fiéis, que se tornam santos pela sua ascensão ao Paraíso Solar, encontramos os Santos colocados sobre um pedestal pela Santa Igreja. Esses são aqueles que tiveram uma vida ainda mais virtuosa do que o normal. Eles são diferenciados porque a Igreja tem a certeza que eles alcançaram o Sol sem entraves nem dificuldades. Eles são elevados em modelo de santificação e intercedem junto do Todo-Poderoso quando os fiéis aqui em baixo lhes endereçam as orações.

Por fim, como nós especificamos no início deste parágrafo, a Comunhão dos Santos não se limita aos defuntos, ela engloba o que se chama a Igreja Militante e a Igreja Triunfante. A primeira sendo a Igreja aqui na Terra e a segunda sendo a Igreja dos Céus, ambas estão combinadas numa única Igreja para a maior glória de Jah.

A Comunhão dos Santos deve ser, acima de tudo, uma comunhão de todas as almas Naquele que é a Vida, a Luz e o Amor.



Na remissão dos pecados,

Um teólogo do Santo Ofício*, da congregação que está encarregue da conservação e análise das escrituras e dos dogmas, observou que os eruditos dos tempos antigos e de hoje afirmam o cálculo de que a Lua era muito mais pequena que o Sol, o próprio muito maior do que a Terra. Agora, como sabemos, o Sol é a terra natal do Altíssimo para as almas dos defuntos.

Assim, podemos deduzir que Jah, na sua infinita sabedoria e plena omnisciência sabia que o homem não seria naturalmente mau, mas que justamente buscaria o perdão pelos pecados cometidos, pois Ele previu um lugar infinitamente maior para as almas salvas do que para as almas condenadas.

Com Amor, o Perdão é o maior presente que o Senhor pode nos dar após o dom da própria vida. Jah, na sua infinita misericórdia, perdoa aos homens os seus erros e os seus pecados. No entanto, o homem deve acreditar nesse perdão, nesse presente. Ele deve fazer isso na óptica sincera de se lavar do mal cometido.

É na confissão que Jah nos concede o perdão. Ao partilhar suas mágoas e arrependimentos com alguém, um padre, empreende um processo para aliviar o sentimento de culpa. « O início das obras boas é a confissão das obras más. Faça a verdade e venha para a Luz. »

Às vezes, é no sofrimento que lavamos os nossos pecados, mas isso não é motivo para o buscar, pois Jah também não quer isso. Se isso acontece, se alguém sofre, deve ser tomado como um teste para superar por meio da fé encontrada no perdão do pecado, para torná-lo ainda mais forte do que antes. Este é o propósito da penitência, fortalecer a Fé através do sacrifício do corpo e do espírito e recuperar plenamente Jah na comunhão dos Santos.

Acreditar no perdão dos pecados, é acreditar na bondade infinita do Altíssimo, no seu infinito amor, no seu perdão gracioso e livre. A única retribuição que Ele pede em troca é de O amar!



Na vida eterna.

A vida eterna é a preocupação de todos os homens. Seja bom ou mau, depois da sua morte ele será confrontado ao julgamento divino que decidirá se o homem é condenado ao Inferno Lunar ou ao Paraíso Solar para a eternidade. O primeiro é evidentemente um mundo de sofrimento e infelicidade que se divide entre os sete Príncipes-Demónios, simbolizando cada um dos grandes pecados. Cada homem julgado indigno do Paraíso Solar será atribuído a um deles de acordo com o vício para o qual se inclinou mais.

O segundo é o mundo de Deus, o lugar da Cidade Celestial onde se reúnem todos os fiéis da Santa Igreja que levaram uma vida exemplar, cheia de virtude. Lá encontramos Aristóteles, Christos, Oane, o primeiro dentre os humanos a ter entendido Jah, os sete Arcanjos e os milhares de anjos, os santos, nossos irmãos e irmãs da Igreja...

Os que estão na glória do Céu, com o Pai universal e criador, vivem para a eternidade ao seu lado em plena felicidade e amor infinito do Todo-Poderoso. A vida eterna no seio da Igreja Triunfante da Cidade Celestial é o culminar da Fé dos fiéis aristotélicos.

*outro nome especifico para os teólogos aristotélicos.

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