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[ALL] The Council of Nicaea [F,GB,PT,E,HR]

 
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NReis



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MessagePosté le: Dim Nov 19, 2017 8:07 pm    Sujet du message: [ALL] The Council of Nicaea [F,GB,PT,E,HR] Répondre en citant

Dear all,

I would like to ask you to translate this document regarding the Council of Nicaea. Here you have the French and English versions.

Have a good work! Your work is very important for the entire Church!


Citation:




Le Concile de Nicée (325)

Pourquoi ce concile ?

Le concile de Nicée a été convoqué à l'initiative de l'empereur romain Constantin Ier qui venait de réunifier l'empire après avoir vaincu Licinius à Andrinople (septembre 324). Se rendant en Orient, il constata vite le très grand nombre de vues sur l'Aristotélisme et décida de faire tout son possible pour construire l'unité de l'Église et rétablir la paix, sans compter l'avantage politique qu'il pensait en tirer pour le renforcement de son autorité puisqu'il comptait faire de l'Eglise réunifiée la religion unique de l'Empire et une force sur laquelle il pourrait s'appuyer.
Aussi décida-t-il de réunir dans une assemblée unique des représentants de toutes les communautés aristotéliciennes, peu après avoir ordonné la fin des persécutions dont les dernières, pas si lointaines, avaient été lancées par Dioclétien et dont certains évêques portaient encore les stigmates lors de la réunion.


Les tendances présentes au concile

A Nicée, on pouvait distinguer cinq principaux fractions parmi les évêques réunis:
- Les Christosiens, qui considéraient que Christos seul était le messie. Ils ne voyaient en Aristote qu’un philosophe éclairé ayant annoncé la venue de Christos, mais n'ayant qu'un rôle mineur au sein de l'Eglise
- Les Aristodoxes, qui prétendaient que sans Aristote il n’y aurait pas eu de messie, car celui-ci, d’essence humaine, s’inspirait totalement des révélation du philosophe
- Les Aristotéliciens, qui affirmaient qu'Aristote et Christos ne formaient qu’un duo en un tout dans l’harmonie de la Foi et de la Raison
- Les Sophistes, qui étaient une branche aristotélicien située à l'Est et soumise à l'autorité du Patriarche grec de Constantinople. Ils voulaient renforcer la position de leur Patriarche, puisqu'ils le voyaient comme le successeur légitime de Christos.

Le reste se composait de micro-principes ou de subdivisions des principales idéologies, tels que les iconophiles qui vouaient un culte particulier aux images et aux représentations des prophètes («La prosternation devant la croix et le respect dû aux images pieuses (icônes) pousse à la croyance» disaient-ils), les Pélagiens, les arianistes, et d’autres dont le nom est oublié de nos jours.


L'échec de l'union avec les spinozistes

Les spinozistes aussi étaient présents à Nicée.
Ils avaient été invités parce que l'empereur voyait comme une nécessité leur intégration à l'Eglise. Il avait en effet la volonté d'être investi par un pouvoir divin supérieur et pensait que l'adhésion des spinozistes à l'Eglise ne pourrait que favoriser ses desseins.
Cependant, toutes les principales idéologies s'unirent pour faire échouer cette intégration. Ils déclarèrent comme hétérodoxe la croyance des spinozistes parce qu'ils prétendaient que «le corps et l’âme sont parallèles entre eux, conséquemment à tous les attributs d’un même objet, en tant que mode de l’Etendue et mode de la Pensée de l’humain». En conséquence, les textes de Daju furent mis à l’index.


Le Symbole de Nicée

L'empereur Constantin formula trois vœux au concile œcuménique de Nicée:
- Fixer la date de la Pâques
- Mettre fin aux divisions
- Trancher une bonne fois pour toute entre les différentes interprétations des sources de la foi, ainsi que les natures respectives d'Aristote et de Christos par rapport à Dieu.

Après plusieurs mois de débats au cours desquels les évêques ne parvinrent pas à trouver un accord sur un texte définissant les sources de la foi, l'empereur n'hésita pas à menacer les récalcitrants.
C'est finalement la tendance christosienne qui parvint à s'imposer, ne laissant comme concession aux défenseurs d’Aristote que l'usage de l'adjectif "aristotélicienne" pour qualifier l'Eglise universelle. Aristote fut relégué au rang de simple "annonciateur" de la venue du messie.
La pensée des spiritualistes arriva également à s'imposer au terme de débats théologiques houleux. Les évêques se mirent d'accord sur le fait que l'Esprit Divin appelé "Action Divine" avait aidé les deux Prophètes à acquérir la science nécessaire pour accomplir leur mission respective.

Deux résolutions sortirent de ce Conseil:
- la première était la reconnaissance de l'évêque de Rome comme représentant de l'Église;
- la deuxième était l'adoption du texte nommé "Symbole de Nicée", signé par les 300 membres présents du Clergé puisque les différents fractions ont ressenti la nécessité d'exprimer leurs croyances communes dans un court texte valorisant l'Action Divine et Christos.
Ce texte contenait déjà quelques-unes des conclusions exprimées dans le Credo, écrit par Olcovidius en 123 et découvert par les années 380 par Jérôme, qui n'a été révélé publiquement et publié qu'avec l'acceptation des Aristotéliciens, au cours des années 1450.

Les conclusions du Concile furent alors acceptées par la majorité des présents. Les derniers évêques errant dans l'erreur, restant fidèles à leur propre conception et leurs écrits, en l'occurrence les sophistes ainsi que les ariens, furent définitivement excommuniés. Ainsi, le concile se solda par la formulation d'une seule vérité dogmatique que nul ne pourrait contester sans risquer d'être chassé de l'Eglise.


Le bilan du concile

Ce premier concile fut politiquement positif pour l’Eglise car il en renforça l'unité, cantonnant les apologistes du prophète Aristote dans la clandestinité pour près de mille ans et la presque clandestinité que demandait l'étude d’Aristote fut un frein à l'épanouissement de la vraie foi.
L'impact de ce concile de Nicée fut tellement important sur la l'aristotélisme que de nombreux historiens ont divisé "L'ère aristotélicienne de la Fondation" en deux périodes: "L'Ere de la Dispersion de la Foi", de la naissance de Christos au Concile de Nicée (325), et "l'Ere du Questionnement" du Concile de Nicée à la fin du pontificat de Nicolas V (1452).
En ce qui concerne la position des femmes dans l'Église, ils ont conclu que les femmes n'étaient pas autorisées à occuper de fonctions religieuses, décision qui n'a été révoquée qu'un millénaire plus tard, dans le cadre du Concile de Constance (1418).


Citation:




The Council of Nicaea (325)


Why the Council
The Council of Nicaea was convoked by the Roman Emperor Constantine I, who had reunited the Empire after having defeated Licinius in Andrianople (September 324). Travelling to the East, he quickly realized the huge number of views on Aristotelianism and decided to do everything he could, to build the unity of the Church and to restore the peace, not to mention the political advantage he thought he could use to reinforce his authority, since he intended to make the reunified church the unique religion of the Empire and a force in which he could rely on.
Therefore, he decided to reunite in a unique assembly the representatives of all the Aristotelic communities, shortly after ordering the end of the persecutions whose last, in a not so distant past, had been launched by Diocletian and of which some Bishops still bore the stigmas in the meeting.


The tendencies present at the Council
At Nicaea, it was possible to distinguish five main fractions among the Bishops:
- The Christosiens, who considered that Christos himself was the Messiah. They saw in Aristotle only an enlightened philosopher who had announced the coming of Christos, but having a minor role inside the Church;
- The Aristodoxes, who claimed that without Aristotle there would not have been any Messiah, since He, the human essence, was completely inspired by the revelation of the philosopher;
- The Aristotelics, who asserted the Aristotle and Christos formed a single whole in the harmony of the Faith and the Reason;
- The Sophistes, who were an Aristotelic branch located in the East and subjected to the authority of the Greek patriarch of Constantinople. They wanted to reinforce the position of their Patriarch, since they see him as the legitimate successor of Christos.

The remainder consisted of micro-principles or subdivisions of the main ideologies, such as the iconophiles who devoted a special worship to the images and to representations of the prophets («The prostration before the cross and the due respect to pious images (icons) leads to belief» they say), the Pelagians, the Arianists, and others whose names are forgotten nowadays.


The failure of the union with the Spinozists
The Spinozists were also present at Nicaea.
They had been invited because the Emperor saw as a necessity their integration into the Church. He had indeed the will to be invested by a superior divine power and thought that the adhesion of the Spinozists to the Church could only promote his designs.
However, all the principal ideologies united to derail this integration. They declared as heterodox the belief of the Spinozists, because they claimed that «the body and the soul are parallel to each other, likewise to all attributes of the same object, as a process of the Extent and a process of the human's Thought». As a result, Daju's texts were put at the Index.


The Symbol of Nicaea
The Emperor Constantine formulated three wishes at the Ecumenical Council of Nicaea:
- Fix the date of the Easter;
- Put an end to the divisions of the Nicene Council;
- Decide once and for all between the different interpretations of the sources of the faith, as well as the respective natures of Aristotle and Christos in relation to God.

After several months of debates during which the Bishops could not agree on a text defining the sources of the faith, the Emperor did not hesitate to threaten the recalcitrants. It was finally the Christosian tendency that came to prevail, leaving as a concession to the defenders of Aristotle only the usage of the adjective "Aristotelian" to qualify the universal Church. Aristotle was relegated to the rank of a simple "annunciator" of the coming of the Messiah. The Bishops agreed on the fact that the Divine Spirit, called "Divine Action", had helped the two Prophets to acquire the science necessary to accomplish their respective missions.
Two resolutions came out of this Council: The first one was the recognition of the Bishop of the Rome as the representative of the Church according to the Nicene principal view. The second resolution was the text named "Symbol of Nicaea" which was signed by the 300 attending members of Clergy, since the different fractions felt the necessity to express their common beliefs in a short text highlighting or glorifying (to the choice) the Divine Action and Christos. This text already contained some of the conclusions expressed in the Credo, written by Olcovidius in 123 and discovered by the 380's by Jerome, which was only released and published with the acceptance of the Aristotelians, during the 1450's.
This compromise was then accepted by the majority of those present. The last errant Bishops in error, remaining faithful to their own conception and their writings, namely the sophists as well as the Arians, were definitely excommunicated. Thus, the Council ended with the formulation of a single dogmatic truth, which no one could challenge without being expelled from the Church.


The balance of the Council
This first Council was politically positive for the Church since it strengthened its unity, confining the apologists of the prophet Aristotle in clandestinity for nearly a thousand years and the almost clandestinity that demanded the study of Aristotle was a brake on the flourishing of the true faith. The impact of this Council of Nicaea was so important on the Aristotelianism that several historians divided "The Aristotelian era of the foundation" into two periods: "The Era of the Dispersion of the Faith", from the birth of Christos to the Council of Nicaea (325), and "The Era of the Questioning" from the Council of Nicaea to the end of the pontificate of Nicolas V (1452).
Regarding the position of women in the Church, they concluded that women where not allowed to occupy religious offices, a decision that was revoked a millennium later, in the Council of Constance (1418).

_________________
His Excellency NReis Ribeiro de Sousa Coutinho | Archbishop of Braga | Vice-Primate of the Kingdom of Portugal | General Secretary of the Roman Registers | Writer of the Saint Office | Translator on Villa San Loyats



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Beatrix_algrave



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MessagePosté le: Dim Jan 06, 2019 12:00 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




O Conselho de Nicéia (325)
O porquê do Conselho

O Conselho de Nicéia foi convocado por iniciativa do imperador romano Constantino I, que reuniu o império após derrotar Licinius em Andrianópolis (em setembro de 324). Enquanto viajava para o Oriente, não demorou a perceber a enorme quantidade de visões e pensamentos diferentes sobre o Aristotelismo, por isso, decidiu fazer todo o possível para criar uma unidade na Igreja e restaurar a paz. Sem mencionar a vantagem política que ele esperava conquistar para reforçar sua autoridade, já que sua intenção era fazer da Igreja reunificada a única religião do império e, como tal, uma força com a qual ele pudesse contar.

Por isso, decidiu reunir em uma assembléia única os representantes de todas as comunidades aristotélicas, pouco depois de ordenar o fim das perseguições. Os bispos de algumas dessas comunidades ainda suportavam os estigmas das perseguições, sendo que a última delas ocorreu em um passado não tão distante, lançada pelas mãos de Diocleciano.

As tendências presentes no Conselho
Em Nicéia era possível distinguir cinco facções principais dentre os bispos:
- Os Christosianos, que viam o próprio Christos como messias. Eles consideravam Aristóteles apenas um filósofo iluminado que anunciou a chegada de Christos, e que, portanto, tinha um papel coadjuvante dentro da Igreja;
- Os Aristodóxos, que alegavam que sem Aristóteles não haveria messias algum, uma vez que sua essência humana, inspirou-se totalmente pelas revelações do filósofo;
- Os Aristotélicos, que enxergavam Aristóteles e Christos como a perfeita união e harmonia entre a fé e a razão;
- Os Sofistas, um ramo dos Aristotélicos localizado no Oriente, submetidos à autoridade do patriarca Grego de Constantinopla. Eles queriam impor a posição de seu patriarca, já que o consideravam o sucessor legítimo de Christos.

O restante consistia em células com micro princípios ou subdivisões das principais ideologias, como os iconófilos que devotavam um culto especial às imagens e às representações dos profetas («A prostração diante da cruz e o devido respeito às imagens piedosas (ícones) levam À crença »dizem eles), os pelagianos, os arianistas e outros cujos nomes foram esquecidos nos dias de hoje.

O fracasso da união com os Spinozistas
Os Spinozistas também estavam presentes em Nicéia. Eles foram convidados, uma vez que o imperador via como necessária a integração deles à igreja. O imperador queria, de fato, ser investido de um poder divino superior e considerava que adesão dos Spinozistas à Igreja poderia contribuir com seus projetos.

No entanto, as principais ideologias uniram-se para impedir essa integração. Declararam como heterodoxa a crença dos Spinozistas porque eles alegavam que «o corpo e a alma são paralelos entre si, de modo tal que todos os atributos de um mesmo objeto são simultaneamente um processo de extensão e um processo do pensamento humano». Como resultado, os textos de Daju foram colocados dentro do Index.

O símbolo de Nicéia
O imperador Constantino formulou três pedidos ao Conselho Ecumênico de Nicéia:
- Fixar a data da Páscoa;
- Colocar fim às divisões do Conselho de Nicéia;
- Decidir de uma vez por todas entre as diferentes interpretações das fontes da fé, tal como das respectivas naturezas de Aristóteles e Christos em relação a Jah.

Após vários meses de debates, durante os quais os bispos não conseguiram chegar a um consenso que definisse as fontes da fé, o imperador não hesitou em ameaçar os recalcitrantes. Por fim, a tendência Christosiana foi a que veio a prevalecer, deixando como concessão aos defensores de Aristóteles o uso do adjetivo "aristotélico" para qualificar a Igreja. Com isso, Aristóteles foi relegado ao posto de simples "anunciador" da chegada do messias. Os bispos concordaram com o fato de que o Espírito Divino, chamado de "Ação Divina", ajudou ambos os profetas a adquirir a ciência necessária para cumprir suas respectivas missões.

Duas resoluções saíram deste Conselho: a primeira delas foi o reconhecimento do bispo de Roma como representante da Igreja, segundo a visão de Nicéia. A segunda resolução foi o texto chamado "Símbolo de Nicéia", que foi assinado pelos 300 membros presentes do Clero, já que as diferentes facções sentiram a necessidade de expressar suas crenças comuns em um texto curto destacando ou glorificando (à escolha) a Ação Divina e Christos. Esse texto já contém algumas das conclusões expressas no Credo. Embora o Credo tenha sido escrito por Olcovidius em 123 e descoberto nos anos 380 por Jerônimo, só foi lançado e publicado, com a aceitação dos aristotélicos, na década de 1450.

Esse acordo foi aceito pela maioria dos presentes. Os últimos bispos errantes, os Sofistas e os Arianos, que permaneceram fiéis à sua própria concepção e seus próprios escritos, foram definitivamente excomungados. Assim, o Conselho de Nicéia terminou com a formulação de uma única verdade dogmática que ninguém poderia contestar sem ser expulso da Igreja.

A balança do Conselho
O primeiro Conselho foi politicamente positivo para a Igreja, já que fortaleceu sua unidade, confinando os que faziam apologia ao profeta Aristóteles à clandestinidade por quase mil anos. Essa clandestinidade necessária àqueles que se dedicavam ao estudo de Aristóteles acabou sendo um freio ao florescimento da verdadeira fé.

O impacto do Conselho de Nicéia foi tão importante para o Aristotelismo que vários historiadores dividiram a "Era da fundação Aristotélica" em dois períodos: "A Era da dispersão da Fé", desde o nascimento de Christos até a formação do Conselho de Nicéia (325), e "A Era do Questionamento", desde o Conselho de Nicéia até o final do pontificado de Nicolas V (1452).

Quanto à posição das mulheres na Igreja, eles concluíram que as mulheres não poderiam ocupar cargos religiosos, decisão que foi revogada um milênio depois, no Conselho de Constância (1418).

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Gasper2011



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MessagePosté le: Jeu Mar 14, 2019 8:30 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



El Concilio de Nicea (325)


¿Por qué el Concilio?
El Concilio de Nicea fue convocado por el Emperador Romano Constantine I, que había reunido el Imperio después de haber derrotado a Licinio en Andrinopla (septiembre de 324). Viajando hacia el este, rápidamente se dio cuenta de la gran cantidad de puntos de vistas sobre el aristotelismo y decidió hacer todo lo posible, para construir la unidad de la iglesia y restaurar la paz, sin mencionar la ventaja política pensó que podría utilizar para reforzar su autoridad, puesto que tenía la intención de hacer de la iglesia reunificada la única religión del Imperio y una fuerza en la que él podría confiar.
Por lo tanto, decidió reunir en una única Asamblea a los representantes de todas las comunidades aristotélicas, poco después de ordenar el fin de las persecuciones cuyo último, en un pasado no muy lejano, habían sido lanzados por Diocleciano y del que algunos obispos todavía llevaba los estigmas en la reunión.


Las tendencias presentes en el Concilio
En Nicea, fue posible distinguir cinco fracciones principales entre los obispos:
- Los Christosienses, que considera que el mismo Christos era el Mesías. Vieron en Aristóteles sólo a un filósofo iluminado que había anunciado la venida del Christos, pero teniendo un papel menor dentro de la iglesia;
- Los Aristodoxos, que afirmaban que sin Aristóteles no habría habido ningún Mesías, ya que él, la esencia humana, fue totalmente inspirado por la revelación del filósofo;
- Los Aristotélicos, que afirmaban que Aristóteles y Christos formaban un todo en la armonía de la fe y la razón;
- Los Sofistas, que eran una rama aristotélica situada en el este y sometidos a la autoridad del patriarca griego de Constantinopla. Ellos querían reforzar la posición de su Patriarca, ya que lo ven como el sucesor legítimo de Christos.

El resto consistía en micro-principios o subdivisiones de las principales ideologías, como el iconófilos que dedicaban un culto especial a las imágenes y representaciones de los profetas («la postración ante la Cruz y el respeto a imágenes piadosas (Los iconos) conduce a la creencia» que dicen), los pelagianos, los Arianistas y otros cuyos nombres se olvidan hoy en día.


El fracaso de la Unión con el Spinozista
Los Spinozistas estaban también presentes en Nicea.
Había sido invitados porque el emperador vio como una necesidad de su integración en la iglesia. En efecto, tenía la voluntad para ser investido por un poder divino superior y creía que la adhesión de los Spinozistas a la iglesia sólo podía promover sus designios.
Sin embargo, todas las ideologías principales se unieron para descarrilar esta integración. Declararon como heterodoxa la creencia de los Spinozistas, porque afirmaban que «el cuerpo y el alma son paralelos entre sí, asimismo a todos los atributos del mismo objeto, como un proceso de la medida y un proceso del pensamiento humano». Como resultado, los textos de Daju fueron puestos en el Índice.


El símbolo de Nicea
El emperador Constantino formuló tres deseos en el Concilio Ecuménico de Nicea:
- Fijar la fecha de la Pascua;
- Poner fin a las divisiones del Concilio de Niceno;
- Decidir de una vez por todas entre las diversas interpretaciones de las fuentes de la fe, así como la respectiva naturaleza de Aristóteles y Christos en relación a Dios.

Después de varios meses de debates en los que los obispos no pudieron convenir en un texto que definían las fuentes de la fe, el emperador no dudó en amenazar a las recalcitrantes. Finalmente fue la tendencia Christosiana la que se impuso, dejando como una concesión a los defensores de Aristóteles sólo el uso del adjetivo "Aristotélica" para calificar a la Iglesia universal. Aristóteles fue relegado al rango de un simple "anunciador" de la venida del Mesías. Los obispos coincidieron en que el espíritu divino, llamado "Acción divina", había ayudado a los dos profetas para adquirir la ciencia necesaria para llevar a cabo sus respectivas misiones.
Salieron dos resoluciones de este Concilio: el primero fue el reconocimiento del obispo de Roma como representante de la iglesia según la visión principal Nicena. La segunda resolución fue el texto llamado "Símbolo de Nicea", que fue firmado por los 300 miembros del clero, ya que las diferentes fracciones sentían la necesidad de expresar sus creencias comunes en un breve texto resaltado o glorificación (a elección) de la Acción Divina y Christos. Este texto contiene ya algunas de las conclusiones expresadas en el Credo, escrito por Olcovidius en el 123 y descubierto por Jerónimo en los años 380, que sólo fue liberado y publicado con la aceptación de los aristotélicos, durante la década de 1450. Este compromiso fue luego aceptado por la mayoría de los presentes. Excomulgaron a los obispos errantes por errores pasados, permaneciendo fiel a su propio concepto y sus escritos, es decir, los Sofistas, así como los arrianos, definitivamente. Así, el Consejo concluyó con la formulación de una única verdad dogmática, que nadie podría cuestionar sin ser expulsado de la iglesia.


El balance del Consejo
Este primer Consejo fue políticamente positivo para la iglesia puesto que consolidó su unidad, el confinamiento de los apologistas del Profeta Aristóteles en la clandestinidad por casi mil años y la casi clandestinidad que exigió el estudio de Aristóteles fue un freno para el florecimiento de la fe verdadera. El impacto de este Concilio de Nicea fue tan importante en el aristotelismo que varios historiadores dividieron "La época aristotélica de la Fundación" en dos períodos: "La Era de la dispersión de la fe", desde el nacimiento de Christos en el Concilio de Nicea (325), y "la Era del cuestionamiento" desde el Concilio de Nicea hasta el final del pontificado de Nicolás V (1452). Con respecto a la posición de las mujeres en la iglesia, llegó a la conclusión de que las mujeres no les permiten ocupar cargos religiosos, una decisión que fue revocada un milenio más tarde, en el Concilio de Constanza (1418).

Traducido por D_b_xativa - Revisado por Gasper2011


Code:
[quote][img]http://i.imgur.com/uT2V4.png[/img]


[size=18][b][color=darkred]El Concilio de Nicea (325) [/color][/b][/size]


[b][u]¿Por qué el Concilio?[/u][/b]
El Concilio de Nicea fue convocado por el Emperador Romano Constantine I, que había reunido el Imperio después de haber derrotado a Licinio en Andrinopla (septiembre de 324). Viajando hacia el este, rápidamente se dio cuenta de la gran cantidad de puntos de vistas sobre el aristotelismo y decidió hacer todo lo posible, para construir la unidad de la iglesia y restaurar la paz, sin mencionar la ventaja política pensó que podría utilizar para reforzar su autoridad, puesto que tenía la intención de hacer de la iglesia reunificada la única religión del Imperio y una fuerza en la que él podría confiar.
Por lo tanto, decidió reunir en una única Asamblea a los representantes de todas las comunidades aristotélicas, poco después de ordenar el fin de las persecuciones cuyo último, en un pasado no muy lejano, habían sido lanzados por Diocleciano y del que algunos obispos todavía llevaba los estigmas en la reunión.


[b][u]Las tendencias presentes en el Concilio[/u][/b]
En Nicea, fue posible distinguir cinco fracciones principales entre los obispos:
 - [u]Los Christosienses[/u], que considera que el mismo Christos era el Mesías. Vieron en Aristóteles sólo a un filósofo iluminado que había anunciado la venida del Christos, pero teniendo un papel menor dentro de la iglesia;
 - [u]Los Aristodoxos[/u], que afirmaban que sin Aristóteles no habría habido ningún Mesías, ya que él, la esencia humana, fue totalmente inspirado por la revelación del filósofo;
 - [u]Los Aristotélicos[/u], que afirmaban que Aristóteles y Christos formaban un todo en la armonía de la fe y la razón;
 - [u]Los Sofistas[/u], que eran una rama aristotélica situada en el este y sometidos a la autoridad del patriarca griego de Constantinopla. Ellos querían reforzar la posición de su Patriarca, ya que lo ven como el sucesor legítimo de Christos.

El resto consistía en micro-principios o subdivisiones de las principales ideologías, como el iconófilos que dedicaban un culto especial a las imágenes y representaciones de los profetas («la postración ante la Cruz y el respeto a imágenes piadosas (Los iconos) conduce a la creencia» que dicen), los pelagianos, los Arianistas y otros cuyos nombres se olvidan hoy en día.


[b][u]El fracaso de la Unión con el Spinozista[/u][/b]
Los Spinozistas estaban también presentes en Nicea.
Había sido invitados porque el emperador vio como una necesidad de su integración en la iglesia. En efecto, tenía la voluntad para ser investido por un poder divino superior y creía que la adhesión de los Spinozistas a la iglesia sólo podía promover sus designios.
Sin embargo, todas las ideologías principales se unieron para descarrilar esta integración. Declararon como heterodoxa la creencia de los Spinozistas, porque afirmaban que «[i]el cuerpo y el alma son paralelos entre sí, asimismo a todos los atributos del mismo objeto, como un proceso de la medida y un proceso del pensamiento humano[/i]». Como resultado, los textos de Daju fueron puestos en el [i]Índice[/i].


[b][u]El símbolo de Nicea[/u][/b]
El emperador Constantino formuló tres deseos en el Concilio Ecuménico de Nicea:
 - Fijar la fecha de la Pascua;
 - Poner fin a las divisiones del Concilio de Niceno;
 - Decidir de una vez por todas entre las diversas interpretaciones de las fuentes de la fe, así como la respectiva naturaleza de Aristóteles y Christos en relación a Dios.

Después de varios meses de debates en los que los obispos no pudieron convenir en un texto que definían las fuentes de la fe, el emperador no dudó en amenazar a las recalcitrantes. Finalmente fue la tendencia Christosiana la que se impuso, dejando como una concesión a los defensores de Aristóteles sólo el uso del adjetivo "Aristotélica" para calificar a la Iglesia universal. Aristóteles fue relegado al rango de un simple "anunciador" de la venida del Mesías. Los obispos coincidieron en que el espíritu divino, llamado "Acción divina", había ayudado a los dos profetas para adquirir la ciencia necesaria para llevar a cabo sus respectivas misiones.
Salieron dos resoluciones de este Concilio: el primero fue el reconocimiento del obispo de Roma como representante de la iglesia según la visión principal Nicena. La segunda resolución fue el texto llamado "Símbolo de Nicea", que fue firmado por los 300 miembros del clero, ya que las diferentes fracciones sentían la necesidad de expresar sus creencias comunes en un breve texto resaltado o glorificación (a elección) de la Acción Divina y Christos. Este texto contiene ya algunas de las conclusiones expresadas en el Credo, escrito por Olcovidius en el 123 y descubierto por Jerónimo en los años 380, que sólo fue liberado y publicado con la aceptación de los aristotélicos, durante la década de 1450. Este compromiso fue luego aceptado por la mayoría de los presentes. Excomulgaron a los obispos errantes por errores pasados, permaneciendo fiel a su propio concepto y sus escritos, es decir, los Sofistas, así como los arrianos, definitivamente. Así, el Consejo concluyó con la formulación de una única verdad dogmática, que nadie podría cuestionar sin ser expulsado de la iglesia.


[b][u]El balance del Consejo[/u][/b]
Este primer Consejo fue políticamente positivo para la iglesia puesto que consolidó su unidad, el confinamiento de los apologistas del Profeta Aristóteles en la clandestinidad por casi mil años y la casi clandestinidad que exigió el estudio de Aristóteles fue un freno para el florecimiento de la fe verdadera. El impacto de este Concilio de Nicea fue tan importante en el aristotelismo que varios historiadores dividieron "La época aristotélica de la Fundación" en dos períodos: "La Era de la dispersión de la fe", desde el nacimiento de Christos en el Concilio de Nicea (325), y "la Era del cuestionamiento" desde el Concilio de Nicea hasta el final del pontificado de Nicolás V (1452). Con respecto a la posición de las mujeres en la iglesia, llegó a la conclusión de que las mujeres no les permiten ocupar cargos religiosos, una decisión que fue revocada un milenio más tarde, en el Concilio de Constanza (1418).

[size=8]Traducido por D_b_xativa - Revisado por Gasper2011[/size][/quote]

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Jolieen



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MessagePosté le: Mer Juin 12, 2019 7:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

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Nicejski sabor (325)


Zbog čega Sabor
Sabor u Niceji je sazvao Rimski car Konstantin I, koji je ujedinio carstvo nakon što je porazio Licinija lpd Andrianople (Rujan 324). Putujući na istok, brzo je shvatio kako je veliki broj ljudi okrenut Aristotelizmu, te je odlučio učiniti sve, kako bi izgradio ponovno zajedništbo Crkve i povratio mir, a da i ne spominjemo političku stranu u kojoj je imao zamisao ojačati religiju, ujedinjivajući crkvu, te stvoriti jak oslonac na toj jedinstvenoj religiji carstva.
Stoga je odlučio pozvati sve predstavnike aristotelovih zajednica, kako bi ih ujednio u jednu skupštinu, no prije toga je odredio kraj svih progona, koji su bili u ne tako davnoj prošlosti, a zadnjega je vodio Dioklecijan, te su neki biskupi još nosili na svojoj koži oznake tih vremena.


Ideje prisutne na Saboru
U Niceji, moglo se raspoznati pet glavnih frakcija između Biskupa:
- Kristovci, koji su tvrdili da je sam Krist Mesija. U Aristotelu su vidjeli jedino filozofa koji je predvidio Kristov dolazak, ali je imao mali utjecaj na samu Crkvu;
- Aristodoksi, koji su tvrdili da bez Aristotela ne bi bilo niti Mesije, budući da je On, kao ljudska bit,bio u potpunosti nadahnut otkrićima filozofa;
- Aristotelovci, tvrdili su da su Krist i Aristotel obilkovali jednu harmoničnu cjelinu u vjeri i razumu.
- Sofisti, koji su zagovarali istočni položaj Aristotelizma, te autoritet Grčkog patrijaha u Konstantinapolu. Tražili su povratak moći njihovom patrijahu, jer su se smatrali nasljednicima Krista.

Ostali su bili manje zastupljeni ili sa sitnim izmjenama oko glavnih ideologija, kao što su ikonofili, koji su poticali na ikone kroz slike ili kipove samih proroka («Pokajanje pred križem i poštovanje pobožnih slika (ikona) dovode do vjere» govorili su), Pelagijanci, Arianistanci, i ostali čija su imena danas zaboravljena.


Propali pokušaj unije sa Spinozistima
Spinozisti su također bili prisutni u Niceji.
Bili su pozvani jer je car uvidio važnost njihovog pripajanja Crkvi. Uistinu je imao volju da uloži svu moguću moć kako bi spojio Spinoziste s Crkvom, te time bi ispunio svoje ideje. Međutim, sve glavne ideologije su bile protiv te integracije. Govorili su za njih das u heterodoksi, jer su Spoinozisti tvrdili «tijelo i duša su paralelni jedno s drugim, kao i svi predmeti istih atributa, kao proces opsega i proces ljudske misli». Rezulat toga su Dajini tekstovi u Indexu.


Simbolika Niceje
Car Konstantin je formirao tri želje na Ekumenskom Saboru u Niceji:
- Ispraviti dan Uskrsa;
- Kraj podjelama nakon Nicejskog Sabora;
- Odlučiti se jednom zavazda između različitih tumačenja vjere, kao i odnos priroda Aristotela i Krista u odnosu na Boga.

Nakon višemjesečnih rasprava tijekom kojih se biskupi nisu mogli složiti oko teksta koji definira izvore vjere, car nije oklijevao prijetiti neposlušnima. Napokon je prevladala kršćanska tendencija, ostavljajući Aristotelovim samo ustupak primjene "aristotelovca" za kvalifikaciju u sveopćoj Crkvi. Aristotel je doveden u čin jednostavnog "upozoritelja" dolaska Mesije. Biskupi su se složili oko činjenice da je Božanski Duh, nazvan "Božansko djelovanje", pomogao dvojici proroka da steknu znanje koje je potrebno za izvršenje njihovih zadataka.
Iz ovog Vijeća izašle su dvije rezolucije: prva je bila priznanje biskupa Rima kao predstavnika Crkve prema Nicejskom glavnom stajalištu. Druga rezolucija bila je tekst pod nazivom "Simbol Nicea" kojeg su potpisali 300 članova klera, budući da su različite frakcije osjećale potrebu da izraze svoja zajednička uvjerenja u kratkom tekstu koji naglašava ili veliča (na izbor) Božansku akciju i Krista. Ovaj tekst je već sadržavao neke zaključke izražene u Vjerovanju, kojeg je napisao Olcovidius, 123. godine, a otkrio ga je 380. Jeronim, koji ga je prepravio i objavio ponovno, a prihvaćen je postao tek kada su prihvaćeni i Aristotelovci, 1450' godina.
Ovaj je kompromis prihvatila većina prisutnih. Posljednji biskupi u zabludi, koji su ostali vjerni vlastitoj zamisli i svojim spisima, su bili Sofisti i Ariani, te su kasnije definitivno bili izopćeni. Tako je Vijeće završilo s formulacijom jedinstvene dogmatske istine, koju nitko nije mogao osporiti bez protjerivanja iz Crkve.


Ravnoteža Sabora
Ovaj prvi sabor je politički pozitivno utjecao za Crkvu jer je ojačao njezino jedinstvo, ograničavajući apologete proroka Aristotela u tajnosti gotovo tisuću godina, a gotovu tajnovitost koja je zahtijevala proučavanje Aristotela bila je kočnica procvata prave vjere. Utjecaj ovog Nicejskog sabora bio je toliko važan za aristotelizam da je nekoliko povjesničara podijelilo "Aristotelovu eru temelja" na dva razdoblja: "Era raspršenja vjere", od rođenja Krista do Vijeća u Niceji. (325), i "Era u ispitivanju" iz Nicejskog koncila do kraja pontifikata Nikole V. (1452.).
Što se tiče položaja žena u Crkvi, zaključili su da ženama nije dopušteno zauzimati vjerske službe, što je ukinuto tisućljeće kasnije u Konstanskom vijeću (1418).

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Cardinal-Deacon of the British Isles -Bishop In Partibus of Lamia - Prefect to the Villa of St.Loyat - Expert to the pontificial collages of Heraldry - Assessor to the Developing Churches
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