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Sacrement : Les funérailles

 
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FrèreNico



Inscrit le: 12 Mar 2006
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MessagePosté le: Lun Oct 09, 2006 6:00 pm    Sujet du message: Sacrement : Les funérailles Répondre en citant

Les funérailles aristotéliciennes


I) Administration


A) Les conditions

-1) Être reconnu définitivement mort par au moins un médecin et un clerc (Avoir été éradiqué)

-2) Être baptisé ou avoir entamé récemment la procédure en vue du baptême (au minimum être inscrit aux Archives du Vatican). En ce qui concerne les funérailles, les catéchumènes sont donc à considérer comme des fidèles.
Ne pas être sujet à interdiction (voir point C)

B) Le lieu

Pour tout fidèle défunt les funérailles doivent généralement être célébrées dans l'église de sa propre paroisse.
Il est cependant permis à tout fidèle, comme à ceux à qui il revient de s'occuper des funérailles d'un fidèle défunt, de choisir pour les funérailles une autre église avec le consentement de celui qui en a la charge et en informant le propre curé du défunt.
Si la mort est survenue hors de la propre paroisse et que le cadavre n'y a pas été transporté et si aucune église n'a été légitimement choisie pour les funérailles, ces dernières seront célébrées dans l'église paroissiale où la mort est survenue.

C) Les limitations

Doivent être privés des funérailles ecclésiastiques, à moins qu'ils n'aient donné quelque signe de pénitence avant leur mort:
1. les apostats, hérétiques et schismatiques notoires;
2. les autres pécheurs manifestes, auxquels les funérailles ecclésiastiques ne peuvent être accordées sans scandale public des fidèles.
3. les suicidés.

Si quelque doute surgit, la sainte inquisition pourra trancher.

D) L'organisateur

C'est au curé de la paroisse que revient la tâche et la responsabilité d'organiser ce sacrement, en cas d'empêchement ou dans le cas où il n'y aurait pas de curé ou de diacre, l'officiant peut être un clerc reconnu par l’église Aristotélicienne et n'étant pas sujet à interdictions.
Dans le cas de l’enterrement d’un membre du clergé, d’un nobles ou de personnages importants, le clerc responsable peut demander à son Evêque ou à un cardinal de diriger la cérémonie.


II) Exemple de cérémonie


jeandalf a écrit:
Enterrement

Pourquoi enterrer nos mort ?

L’Homme fait de terre et d’eau est par nature attiré par le centre de la terre, mais l’amitié vrai élèvera son âme et si elle est digne de rejoindre le seigneur elle ne s’enfoncera pas comme le corps vers le feu des enfers mais au contraire elle trouvera sa vrai nature qui est de s’élever vers notre seigneur.


1) Le début (soit à la levée du corps, soit à l’arrivée du cercueil à l’église ou au cimetière)

Le prêtre :Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tiens seigneur.
Les fidèle : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

Le prêtre : Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’et la tienne Seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

Le prêtre : Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

Le prêtre : Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’ami qui nous est cher.
Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.

Tous : Amen

2) A l’église ou au cimetière

A l’entrée se trouve un panier d’osier avec comme seul objet un médaillon d’Aristote et éventuellement le présent du prêtre s’il était un ami proche du défunt, les amis déposeront un fruit ou un pain dans la corbeille. Parfois certains déposent quelques écus ou d’autres consommable. ( Le contenu de la corbeille étant distribué aux mendiants après la cérémonie ). Lorsque tout le monde serra en place, un proche du défunt prendra la corbeille et une partie des offrandes pour le moment du signe des amis. En général c’est la même personne qui lira le texte lors du signe de la mémoire.

Frères, si nous sommes ici, c'est pour entourer de notre amitié une famille qui est dans la peine. C'est aussi pour nous rappeler que Dieu se souvient de tout ce qu'il y a eu de bien dans la vie de notre frère (soeur) et de lui demander de lui faire bon accueil.

Le signe de la lumière
( on allume en silence les cierges autour du cercueil )

Le prêtre : "L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de < Nom du défunt > qui le (la) conduit maintenant au Royaume de Dieu !"

Le signe de la foi

Le prêtre : :< Nom du défunt >. nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et Christos, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle".

Le signe des amis

( l’un des amis du défunt apporte la corbeille de l’amitié )
Le prêtre : < Nom du défunt >,nous déposons ces présent sur ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur".

Le signe de la mémoire


Cet enterrement nous rappelle plusieurs choses :
- Le souvenir d'un Ami aristotélicien qui vient de nous quitter. D'un homme ( d'une femme ) qui avait une histoire, unique, avec Dieu. Qui était entouré de tendresse par Dieu. Qui a fait, ou non, l'expérience de cette tendresse.
Nous voici nombreux dans cette chapelle, autour de :< Nom du défunt >., pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a toujours uni Dieu, qui unit Dieu à chacun de nous, à tout instant.
- La mort viendra pour chacun de nous. pour les uns tôt, pour les autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.
Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".
Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.
Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre frère ( soeur ) et que Christos intercède auprès du seigneur pour qu’il le reçoive en son Paradis.

Laissons maintenant ceux qui l’on connu parler de lui (elle).

Citation:


Là interviennent ceux qui le désirent





Le signe d’adieu

Le prêtre : Avant de quitter la chapelle, nous allons dire un dernier adieu à notre frère ( soeur ) < Nom du défunt >
Avec respect et affection, confions-le ( la ) à Dieu dans l'espérance de nous retrouver un jour auprès de Lui (ell).


( un instant de silence )



Avec tous ceux qui nous ont précédés et qui vivent déjà auprès du Seigneur,
avec l'immense cortège des saints, nous lui souhaitons un bon dernier voyage à son enveloppe charnelle.


LA DÉPOSITION AU CIMETIÈRE


Nous allons maintenant confier à la terre le corps de notre frère (soeur) dans ce lieu où reposent déjà tant de défunts de nos familles. Le moment est venu de lui dire "à Dieu".
C'est un moment de tristesse, mais il faut que l'espérance reste forte en nous. car nous espérons revoir N. quand Dieu nous réunira, dans la joie de son Royaume.
Recueillons-nous en pensant à tout ce que nous avons vécu avec ) < Nom du défunt >, à ca qu'il (elle) est pour nous, à ce qu'il (elle) est pour Dieu.

( silence pendant la descente du cercueil)

Ensuite prêtre asperge le cercueil d'eau bénite et dit :

"Cette eau, souvenir de ton baptême,
nous rappelle que Dieu a fait de toi son enfant.
Qu'il te reçoive aujourd'hui dans sa Paix !"

(Le prêtre peut dire un mot de condoléances pour terminer et annonce le jour de la Messe communautaire pour le défunt)


fin de la cérémonie par les amis et la familles qui défilant en jetant une poignée de terre dans la tombe.

_________________
Frère Franciscain
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Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Sam Juin 12, 2010 1:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Înmormântarea aristoteliană


I) Administraţia


A) Condiţiile

-1) Să fie recunoscut ca fiind mort definitiv de către un medic sau un cleric (sa fie eradicat)

-2) Să fie botezat sau să aibă începută procedura de botez (să fie măcar înscris în Arhivele Vaticanului). În ceea ce priveşte înmormântarea, catahumenii trebuie sa fie consideraţi ca fiind credincioşi.
Nu trebuie să existe subiect de interdicţie (vezi punctul C)

B) Judecata

Pentru orice credincios defunct, înmormantarea trebuie să fie în general realizată de biserica din parohia acestuia.
Cu toate acestea, este permis tuturor credincioşilor care se ocupa de înmormântarea credinciosului defunct să aleagă pentru funeralii alta biserică, cu consenţământul persoanei organizatoare şi informând preotul paroh al defunctului.
În cazul în care decesul a survenit în altă parohie şi dacă răposatul nu a fost mutat în biserica aleasă în mod legitim, funeraliile pot avea loc în parohia unde a survenit decesul.

C) Limitări

Un credincios poate fi privat de funeraliile eclesiastice în cazul în care au fost date urmatoarele semne înainte de moarte:
1. apostitari, eretici şi schismatici notorii;
2. manifestări publice, cu care Biserica nu poate fi de-acord;
3. sinucidere.

În cazul în care apare orice îndoială, Sfânta Inchiziţie va cerceta cazul.

D) Organizatorul
Acesta funcţie îi revine preotului paroh şi resposabilitatea de a organiza aceasta Taină. În absenţa acestuia sau în cazul în care nu există preot sau diacon, oficiantul poate fi funcţionar recunoscut de Biserica Aristoteliană, dar sa nu fie obiectul unei interdicţii.
În cazul înmormântării nobililor sau a personajelor importante, clericul responsabil poate cere episcopului sau a unui cardinal să dirijeze ceremonia.



II) Exemplu de ceremonie
Citation:
Îngroparea

De ce morţii noştri sunt îngropaţi?
Omul din apa şi pământ este în mod natural atras de centrul de greutate al Pământului, dar prietenia adevarată îi ridică sufletul şi în cazul în care este vrednic de a adera la Domnul, acesta nu se va scufunda în focurile iadului, ci va găsi un loc adevărat al naturii în care poate să creasca cu Domnul nostru.

1) Inceputul (de la ridicarea corpului, de la ajungerea la biserica sau la cimitir)

Preotul: Dupa toate privirile noastre care s-au întrunit aici, el poate vedea în sfârşit pe Domnul nostru.
Credincioşii: Domnul nu se va abate în al privi pe prietenul (prietena) nostru (noastră).

Preot: Dupa prietenia care a primit-o şi i-a ghidat viaţa, îi dă în final prietenia pe care Domnul nostru o ia.
Credincioşii: Domnul nu se va abate în al privi pe prietenul (prietena) nostru (noastră).

Preotul: Dupa durerea şi lacrimile care au înnorat viaţa lui, luminează spre eternitate.
Credincioşii: Domnul nu se va abate în al privi pe prietenul (prietena) nostru (noastră).

Preotul: Doamne, ne întoarcem spre tine speranţele într-un moment în care corpul prietenului nostru dispare.
Dă-ne speranţa să-l vedem cu Tine peste veacuri.

Toata lumea: Amin.

2) La biserica sau la cimitir

La intrare se va găsi un coş de răchită având doar un medalion a lui Aristotel şi eventual, preotul şi prietenii apropiaţi ai defunctului pot pune câte un fruct sau o pâine în coş. Uneori se pot pune câţiva bani şi alte alimente consumabile. ( Conţinutul coşului este distribuit la cerşetori după ceremonie). Când toata lumea este la loc, o ruda a defunctului ia cosul şi o parte din ofrande pentru momentul unui semn al prietenilor. În general, aceseaşi persoana citeşte textul la semn.

Fraţi şi surori, suntem aici pentru a înconjura cu prietenia noastra o familie care este în durere. De asemenea, ne amintim că Dumnezeu îşi aminteşte de tot ce a fost bun în viaţa acestui frate (acestei surori) al nostru (a noastră) şi îi vom cere să-i facă o primire frumoasă.

Semn de lumină
( în tăcere se aprind lumânări în jurul sicriului )

Preotul: "Prietenia este lumina lumii şi flacăra care încălzeşte inimile noastre.
Ceea ce acum luminează este drumul lui <numele> care îl conduce în Regatul lui Dumnezeu!"

Semn de credinţă
Preotul: "<numele>, am pus cruce aristoteliană pe sicriul tău.
Aceasta cruce este semnul lui Aristotel şi a lui Hristos, care pentru tine îţi fac semn de salut şi-ţi dau viaţa eternă."

Semn al prietenilor

(unul dintre prietenii defunctului aduce coşul prieteniei.
Preotul: "<numele>, îţi punem pe sicriul tău semnul prieteniei noastre, semnul rugăciunii noastre, semnul inimilor noastre."

Semn de memorie

Înmormântarea ne aminteşte mai multe lucruri:
- Ne amintim de un prieten Aristotelian pe care tocmai l-am părăsit, de un bărbat (sau o femeie) care are o istorie, unică, cu Dumnezeu, de cineva care a fost înconjurat de dragostea lui Dumnezeu, de cineva care a avut sau nu experienţa acestei iubiri.
Suntem mulţi în aceasta clipă, în jurul lui <numele>, pentru a aduce la cunoştinţă de judecata iubirii care l-a unit mereu cu Dumnezeu şi cu care ne uneşte de Dumnezeu în aceste clipe.
- Moartea vine pentru noi toţi, pentru unii mai devreme, pentru unii mai târziu, pentru unii în tinereţea lor, pentru alţii în clipele bătrâneţii.
Domnul ne avertizează: "Fi-ţi gata, fi-ţi mereu pregătiţi pentru că nu stiţi nici ziua, nici ora."
Aristotel ne ghideaza iar Hristos ne invita sa luăm exemplul lui pentru a ne găsi bucuria de a trăi pentru alţii, de a iubi pe cei care ne iubesc.
Prezenţa noastră aici este rugăciunea. Noi îl invocam pe Aristotel să ierte păcatele fratelui nostru (surorii) şi pe Hristos să mijlocească cu Domnul pentru a-l primi pe fratele nostru (sora) în Paradisul său.

Acum, cunoscuţii să vorbeasca despre el (ea).

Citation:


Odata ce doresc cei implicaţi



Semnal de adio

Preotul: Înainte de a părăsi capela, să mergem să ne luam adio de la fratele nostru (sora) <numele>
Cu respect şi afecţiune, îl (o) încredinţăm la Domnul în speranţa că într-o zi ne vom întâlni cu el (ea).


(un moment de linişte)


Toţi cei care ne-au precedat şi cu viaţă de la Domnul, cu cortegiul imens de sfinţi, îi dorim o ultimă călătorie plăcuta a cărnii.


ÎNGROPAREA LA CIMITIR

Mergem acum să oferim pământului trupul fratelui nostru (sora) în acest loc în care sunt atât de mulţi morţi ai familiei nostre. Momentul a venit să-i spunem "la Dumnezeu".
E un moment trist, dar trebuie să speram că vom fi puternici, pentru că ne aşteptăm să-l revedem, când Dumnezeu ne va reuni, în Regatul său.
Noi colectam în gândire tot ceea ce am trăit cu <numele>, pentru modul în care el (ea) este cu noi, pentru că este cu Dumnezeu.

(moment de linişte; coborârea sicriului)

Apoi, preotul stropeşte sicriul cu apă şi spune:


"Acesta apa, venită din botezul tău,
ne aminteşte că Dumnezeu te-a făcut copilul lui.
Primiţi astăzi aceasta în Pace!"

(Preotul poate să spună cuvinte de condoleanţe pentru a finaliza şi anunţa Praznicul pentru defunct)

sfârşitul ceremoniei, prietenii şi familia defileaza şi arunca pământ peste mormânt.

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Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Sam Juin 12, 2010 1:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
I) Administração

A) As condições

-1) Ser reconhecido definitivamente morto pelo menos por um médico e um clérigo. (Ter sido Erradicado)

-2) Ser Baptizado ou ter pedido recentemente o processo de baptismo (no mínimo ser inscrito nos Arquivos do Vaticano). Em relação aos Funerais, os catecúmenos são, portanto, considerados como fiéis.
Não estar sujeito a interdições (Ver ponto C).

B) O lugar

Para todos os fiéis falecidos, os funerais devem ser, geralmente, celebrados na igreja da sua própria paróquia.
É permitido a todos os fiéis, como àqueles que têm de se ocupar dos funerais de um fiel morto, de escolher para os funerais uma outra igreja com o consentimento do pároco desta e informando o próprio pároco do falecido.
Se a morte ocorreu fora da paróquia, e o cadáver não for expedido, ou se nenhuma igreja foi escolhida para o funeral, este será celebrado na igreja paroquial onde ocorreu a morte.

C) As interdições

Podem ser privados de funeral eclesiástico, a menos que tenham dado algum sinal de arrependimento antes da morte:
1. Os apóstatas, heréticos e cismáticos notáveis;
2. Os outros pecadores manifestantes, em que os funerais eclesiásticos não podem ser concedidos sem escândalos públicos por parte dos fiéis.
3. Suicídios.

Se alguma dúvida surgir, cabe à Santa Inquisição decidir.

D) O Organizador

É o pároco da paróquia que tem a obrigação e responsabilidade de organizar este sacramento, em caso de impedimento ou no caso de não haver um pároco ou um diácono, o oficiante pode ser um clérigo reconhecido pela Igreja Aristotélica, não estando sujeito a interdições.
No caso de enterro de um membro do clero, de um nobre, ou de pessoas importantes, o pároco responsável pode pedir ao seu Bispo ou a um Cardeal para dirigir a cerimónia.


II) Exemplo de Cerimónia

Jeandalf a écrit:
Enterro

Porquê enterrar os mortos?

O homem feito de terra e água é por natureza atraído pelo centro da terra, mas a verdadeira amizade elevará a sua alma e se ela for digna de ir ao encontro de Jah ela não se afundará como o seu corpo em direcção ao fogo do inferno, mas pelo contrário ela encontrará a sua verdadeira natureza que é elevar-se em direcção a Jah.

1) O princípio (seja à recolha do corpo, seja à chegada do caixão à igreja ou ao cemitério)

O pároco: Depois de todos os nossos olhares que se cruzaram com o seu, que ele possa enfim ver o teu, Senhor.
Os fiéis: Jah, não desvies o teu olhar do nosso amigo(a).

O pároco: Depois da amizade que ele recebeu e que guiou a sua vida, conceda a última amizade que é a sua, Senhor.
Os fiéis: Jah, não desvies o teu olhar do nosso amigo(a).

O pároco: Depois da tristeza e as lágrimas que escureceram a sua vida, ilumine o seu caminho para a eternidade.
Os fiéis: Jah, não desvies o teu olhar do nosso amigo(a).

O pároco: Meu Jah, nós viramos para Ti as nossas esperanças na hora onde desaparece o corpo de um amigo que nos é querido.
Concede-nos a esperança de o rever perto de Ti por toda a eternidade.

Todos: Amén


2) Na Igreja ou no Cemitério

À entrada encontra-se um cesto de vime com um único objecto, um medalhão de Aristóteles e, eventualmente, o presente do pároco se era um amigo próximo do falecido, os amigos deixaram um fruto ou um pão no cesto. Às vezes alguns deixam algumas moedas ou algo consumível. (O conteúdo do cesto será distribuído aos mendigos depois da cerimónia).
Depois de toda a gente estar no seu lugar, alguém próximo do falecido irá buscar o cesto e uma parte das ofertas para o momento de sinal dos amigos. Em geral, é a mesma pessoa que lerá o texto em sinal de memória.


Irmãos, se nós estamos aqui, é para partilhar a nossa amizade que aqui está na tristeza. É também para lembrarmo-nos que Jah se lembra de tudo o que houve de bom na vida do nosso irmão (irmã) e pedir-lhe para fazer uma boa recepção.

O Sinal da Luz:
(Acendemos em silêncio as velas à volta do caixão)

O pároco: "A Amizade é a luz do mundo, é a chama que aquece o nosso coração.
Que ela ilumine agora o caminho de «Nome do Falecido» que o(a) conduza agora ao Reino de Jah!"

O Sinal da Fé:

O pároco: «Nome do Falecido», nós pousamos esta cruz Aristotélica sobre o caixão.
Esta Cruz é o sinal que liga Aristóteles e Christos, que ela seja para ti um sinal de salvação e de vida eterna.

O Sinal dos Amigos:
(Um dos Amigos do falecido trás o cesto da amizade)

O pároco: «Nome do Falecido» nós pousamos estes presentes sobre o teu caixão, sinal da nossa amizade, sinal das nossas orações, sinal do nosso coração.

O Sinal da Memória:

Este funeral nos lembra várias coisas:
- A lembrança de um amigo aristotélico que nos deixou. De um homem (de uma mulher) que tinha uma história, única, com Deus. Que estava cercado pelo amor de Deus. Que viveu, ou não, a experiência deste amor.
Aqui estamos, vários de nós nesta capela, em torno de <falecido>, para nos conscientizarmos deste amor que sempre ligou <falecido> à Deus, que conecta cada um de nós com Deus, em todos os momentos.
- A morte virá para cada um de nós, para uns, próxima, para outros, mais tarde.
Para uns na sua juventude, para outros na sua velhice.
Jah preveniu-nos: "Estejam prontos, estejam sempre prontos porque não sabem nem o dia nem a hora".
Aristóteles guiou-nos e Cristo convidou-nos a seguir o exemplo dele, a encontrar a nossa alegria a viver para os outros, a amar como eles nos amaram.
Estamos aqui para orar. Nós invocamos Aristóteles para medir os pecados do nosso irmão (irmã) e que Cristo interceda perto de Jah para que ele o receba no seu Paraíso.

Deixamos agora aqueles que o conheceram falar dele (dela).

Citation:
Aqui intervêm aqueles que desejarem.


O Sinal de Adeus:

O pároco: Antes de sair da capela, vamos dizer um último adeus ao nosso irmão (irmã) «Nome do Falecido».
Com respeito e afecto, confiamo-lo(la) a Jah na esperança de nos encontrarmos um dia perto dele(ela).

(Um instante de silêncio)

Com todos aqueles que nos antecederam e que já vivem perto de Jah, com o imenso cortejo de santos, nós desejamos-lhe uma boa última viagem ao seu invólucro carnal.


O Enterro

Nós vamos agora confiar à terra, o corpo do nosso irmão (irmã) neste lugar onde já descansam alguns dos nossos familiares. O momento chegou de lhe dizer "a Deus".
É um momento de tristeza, mas a esperança é mais forte em nós, porque nós esperamos revê-lo, quando Jah nos reunir, na alegria do seu Reino.
Recolher-nos-á pensando em tudo o que nós vivemos com «Nome do Falecido», ao que ele é para nós, ao que ele é para Jah.

(Silêncio durante a descida do caixão)

Depois o pároco asperge o caixão com água benta e diz:

"Esta água, lembrança do teu baptismo,
lembra-nos que Jah fez de ti sua criança.
Que ele te receba hoje na sua Paz"

(O pároco pode dizer umas palavras de condolências para terminar e anunciar o dia da Missa por alma do falecido)

Fim da cerimónia para os amigos e familiares que desfilam lançando uma mão de terra no túmulo.

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Ignius



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MessagePosté le: Mar Mar 05, 2013 4:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il Funerale Aristotelico

I) Amministrazione

A) Le Condizioni

-1) Essere riconosciuto definitivamente morto da almeno un medico e un chierico (essere stato eradicato).

-2) Essere battezzato o avere recentemente avviato la procedura per il battesimo (essere almeno iscritto negli Archivi del Vaticano). Per quanto riguarda i funerali, i catecumeni devono quindi essere considerati come dei fedeli.
Non essere soggetto a interdizione (vedi punto C).

B) Il Luogo

Per tutti i fedeli defunti, i funerali devono di solito essere celebrati nella chiesa della propria parrocchia.
Tuttavia, è possibile per ogni fedele, come per coloro il cui lavoro è quello di occuparsi dei funerali di un fedele defunto, di scegliere per i funerali un'altra chiesa con il consenso del vescovo in carica e informando il proprio parroco.
Se la morte si è verificata al di fuori della propria parrocchia e il cadavere non è stato trasportato e se nessuna chiesa è stata legittimamente scelta per i funerali, questi saranno celebrati nella chiesa parrocchiale dove è avvenuta la morte.

C) Le Limitazioni

Dovrebbero essere privati ​​dei funerali religiosi, a meno che non abbiano mostrato qualche segno di pentimento prima della morte:
1. apostati, eretici e scismatici noti;
2. altri peccatori manifesti, dato che i funerali religiosi potrebbero suscitare pubblico scandalo tra i fedeli.
3. suicidi.

Se dovesse sorgere qualche dubbio, potrà intervenire la Santa Inquisizione.

D) L'Organizzatore

E' parroco che ha il compito e la responsabilità di organizzare questo sacramento; in caso di impedimento o in assenza di sacerdoti o diaconi, l'officiante piò essere un chierico riconosciuto dalla chiesa aristotelica e non soggetto a interdizioni.
Nel caso del funerale di un membro del clero, un nobile o un personaggio importante, il chierico responsabile può chiedere al suo vescovo o a un cardinale di condurre la cerimonia.


II) Esempio di Cerimonia
Jeandalf a écrit:
Sepoltura
Perché seppelliamo i nostri morti?
L'Uomo, fatto di terra e acqua, è per natura attratto dal centro della terra, ma la vera amicizia eleverà la sua anima e, se essa è degna di riunirsi con il Signore, non affonderà come il corpo verso il fuoco dell'inferno, ma al contrario troverà la sua vera natura che è quella di salire verso il nostro Signore.

Citation:
1) L'inizio (sia la rimozione del corpo, sia l'arrivo della bara alla chiesa o al cimitero

Il sacerdote: Dopo tutti i nostri sguardi che hanno incrociato il suo, che [nome del defunto] possa infine vedere il Tuo, Signore.
I fedeli: Signore non deviare il Tuo sguardo del nostro amico.

Il sacerdote: Dopo l'amicizia che ha ricevuto e che ha guidato la sua vita, accordagli l'amicizia ultima che è la Tua, Signore.
I fedeli: Signore non deviare il Tuo sguardo del nostro amico.

Il sacerdote: Dopo le pene e le lacrime che hanno offuscato la sua vita, illumina la sua strada per l'eternità.
I fedeli: Signore non deviare il Tuo sguardo del nostro amico.

Il sacerdote: Signore, rivolgiamo a Te le nostre speranze nel momento in cui scompare il corpo dell'amico che ci è caro.
Accordaci la speranza di rivederlo presso Te per i secoli dei secoli.


Tutti: Amen


Citation:
2) Alla chiesa o al cimitero

All'ingresso si trova un cesto di vimini con al suo interno, come unico oggetto, un medaglione di Aristotele; eventualmente un dono da parte del sacerdote, se questo era un amico intimo del defunto; gli amici deporranno un frutto o un pezzo di pane nel cestino. A volte, alcuni depositano qualche ducato o altri materiali di consumo. (Il contenuto del cestino viene distribuito ai mendicanti dopo la cerimonia). Quando tutti avranno terminato, un parente del defunto prenderà il cestino e una parte delle offerte per il momento del segno dell'amicizia. In genere, è la stessa persona che legge il testo durante il segno della memoria.

Il sacerdote: Fratelli, se siamo qui, è per circondare con la nostra amicizia una famiglia che è nella pena. E' anche per ricordarci che Dio si ricorda di tutto quello che c'è stato di bene nella vita del nostro fratello/sorella e per domandargli di fargli una buona accoglienza.

Ecco il segno della luce
(Si accendono in silenzio le candele attorno alla bara)

Il sacerdote: L'amicizia è la luce del mondo è la fiamma che riscalda il nostro cuore.
Che rischiara ora la strada di [Nome del defunto] perché lo conduca subito al Regno di Dio!


Ecco il segno della fede

Il sacerdote: : [Nome del defunto] depositiamo questa croce aristotelica sulla tua bara.
Questa croce è il segno che collega Aristotele e Christos, che sia per te di salvezza e di vita eterna.


Ecco il segno dell'amicizia
(Uno amico del defunto porta il cestino dell'amicizia)

Il sacerdote: [Nome del defunto] , depositiamo questi doni sulla tua bara, segno della nostra amicizia, segno della nostra preghiera, segno del nostro cuore.

Ecco il segno della memoria

Questa sepoltura ci ricorda molte cose:
- La memoria d' un amico aristotelico che ci ha appena lasciati. Di un uomo/ di una donna che aveva una storia, unica, con Dio. Che era circondato d'amore di Dio. Che ha fatto, o no, l' esperienza di quest'amore.
Noi numerosi in questa cappella, attorno a [Nome del defunto], per prendere coscienza di questo legame d' amore che l'ha sempre collegato a Dio, che collega Dio a ciascuno di noi, in ogni istante.
- La morte verrà per ciascuno di noi. Per gli uni presto, per gli altri più tardi. Per gli uni nella loro gioventù, per d' altri nella loro vecchiaia. Il Signore ci avverte: " Siate pronti, siate sempre pronti poiché non sapete né il giorno né l'ora".
Aristotele ci ha guidati e Christos ci invita a prendere esempio su lui, a trovare la nostra gioia di vivere per gli altri, amare come loro ci hanno amati.
La nostra presenza qui è preghiera. Invochiamo Aristote che misuri i peccati del nostro fratello (sorella) e che Christos intercede presso il Signore perché lo riceva nel suo Paradiso.
Lasciamo ora parlare coloro che l'hanno conosciuto.


Interverranno coloro che lo desiderano.

Ecco il segno dell'addio

Il sacerdote: Prima di lasciare la cappella, diremo un ultimo addio al nostro fratello/sorella [Nome del defunto].
Con rispetto ed affetto, l'affidiamo a Dio nella speranza di trovarci un giorno presso Lui.


(un momento di silenzio)

Con tutti coloro che ci hanno preceduti e che vivono già presso il Signore,
con la processione immensa dei Santi, auguriamo un buon ultimo viaggio alle sue spoglie mortali.



Citation:
3) La deposizione al cimitero

Il Sacerdote: Ora affideremo alla terra il corpo del nostro fratello/sorella in questo luogo in cui riposano già tanti defunti delle nostre famiglie. È venuto il momento di dirgli " a Dio".
E' un momento di tristezza, ma occorre che la speranza resta forte in noi. Poiché speriamo di rivedere [nome del defunto] quando Dio ci riunirà, nella gioia del Suo Regno.
Raccogliamoci pensando a tutto ciò che abbiamo vissuto con [Nome del defunto] , e a quello che lui è stato per noi, a quello che è per Dio.


(silenzio durante la discesa della bara)

In seguito sacerdote asperge la bara d'acqua benedetta e dice:

"Quest'acqua, ricordo del tuo battesimo,
ci ricorda che Dio ha fatto di te suo figlio.
Che ti accoglie oggi nella sua Pace!"


(Il sacerdote può dire una parola di condoglianze per terminare ed annuncia il giorno della messa comunitaria per il defunto)

Fine della cerimonia per degli amici e le famiglie che che sfilano gettando un pugno di terra nella tomba.

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Chapita



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MessagePosté le: Mer Mai 07, 2014 6:47 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Die aristotelische Beerdigung


I) Verwaltung


A) Die Voraussetzungen

-1) Die Person muss von wenigstens einem Arzt und einem Priester als erwiesenermaßen tot bestätigt werden. ((OCC: Charakter wurde gelöscht))

-2) Die Person muss getauft sein oder das Verfahren der Taufe vor kurzer Zeit angeregt haben (zumindest in den Taufanfrageregistern enthalten sein). In Hinblick auf die Beerdigung sind Taufbewerber also wie Rechtgläubige zu behandeln.
Die Person darf keinen Verboten unterliegen (siehe Punkt C)

B) Der Ort

Die Beerdigung eines verschiedenen Gläubigen muss generell in der Kirche seiner Heimatgemeinde gefeiert werden.
Jedoch ist es ist dem Gläubigen wie auch jenen, denen es zufällt sich um die Beerdigung des Verschiedenen zu kümmern, gestattet, eine andere Kirche für die Beerdigung zu wählen, vorbehaltlich der Zustimmung des betreffenden verantwortlichen Priesters und der Benachrichtigung des Priesters der Heimatgemeinde.
Wenn der Tod fern der Heimatgemeinde eintrat und der Leichnam nicht in die Heimat zurückgebracht werden kann, wird die Beerdigung in der Kirche der Gemeinde gefeiert, in der derjenige verstorben ist, sofern keine andere Kirche rechtmäßig ausgewählt wird.

C) Die Einschränkungen

Folgende Personen müssen von der kirchlichen Beerdigung ausgeschlossen werden, außer sie zeigten vor ihrem Tod Zeichen der Reue:
1. Offenkundige Abtrünnige, Häretiker und Schismatiker;
2. Andere offensichtliche Sünder, denen eine aristotelische Beerdigung nicht ohne eine öffentliche Verärgerung der Gläubigen gewährt werden kann.
3. Selbstmörder

Wenn Zweifel bestehen, ist die Heilige Inquisition entscheidungsbefugt.

D) Die Vorbereitung

Die Aufgabe und Verantwortung der Vorbereitung dieses Sakramentes liegt beim Priester der Heimatgemeinde; im Falle einer Verhinderung oder wenn es dort keinen Priester oder Diakon gibt, kann der Zelebrant jeder von der aristotelischen Kirche anerkannte Geistliche sein, sofern dieser keinem Verbot unterliegt
Im Falle der Beerdigung eines Mitglieds des Klerus oder eines Adligen oder einer anderen wichtigen Person, kann der Priester seinen Bischof oder einen Kardinal bitten, die Zeremonie zu leiten.


II.) Beispielzeremonie


jeandalf a écrit:

Beerdigung

Warum begraben wir unsere Verstorbenen?

Der Mensch, gemacht aus Erde und Wasser, ist von Natur aus vom Inneren der Erde angezogen. Doch wahre Freundschaft kann seine Seele erheben und wird nicht wie ein Körper in die Feuer der Hölle fallen, sondern, so er es wert ist, beim Allmächtigen zu sein, wird er im Gegenteil seine wahre Natur erkennen, die es ist, sich dem HERRN zuzuwenden.


1) Der Anfang (entweder durch das Anheben des Körpers oder durch die Ankunft des Sarges in der Kirche oder auf dem Friedhof)

Priester: "Nachdem seine Augen alle unsere Antlitze gesehen haben, erblickt er nun endlich deines, HERR"
Die Rechtgläubigen: "HERR, wende dein Antlitz nicht ab von unserem Freund"

Priester: "Nach der Freundschaft, die er erfahren hat und die sein Leben geleitet hat, wird ihm nun die absolute Freundschaft des Allmächtigen zuteil."
Die Rechtgläubigen: "HERR, wende dein Antlitz nicht ab von unserem Freund"

Priester: " Nach den Leiden und den Tränen, die sein Leben verdunkelt haben, wird sein Weg nun erhellt sein bis in die Ewigkeit."
Die Rechtgläubigen: "HERR, wende dein Antlitz nicht ab von unserem Freund"

Priester: "HERR, wir bitten dich in dieser Stunde, da der Körper unseres verstorbenen Freundes verschwindet. Gewähre uns die Gnade, ihn an deiner Seite wiederzusehen, auf immer und ewig."

Alle: "Amen"

2) In der Kirche oder auf dem Friedhof

Ein Weidenkorb wird aufgestellt, in dem nur das aristotelische Medaillon und eventuell ein Geschenk des Priesters liegt, so er denn mit dem Verstorbenen befreundet war. Die Freunde legen nun Früchte oder einen Brotlaib hinein. Einige mögen auch ein paar Taler oder anderes Essen hineinlegen (der Inhalt des Korbes wird nach der Zeremonie an Bettler verteilt). Wenn jeder etwas hineingelegt hat, nimmt ein enger Angehöriger den Korb an sich und nimmt sich einen Gegenstand heraus als Teil der Gaben beim Zeichen der Freundschaft. Normalerweise wird die selbe Person auch den Text beim Zeichen des Gedenkens lesen.

Brüder und Schwestern, wir sind hier versammelt in Freundschaft, doch als Familie in Trauer. Wir wollen uns daran erinnern, das der HERR alles Gute im Leben von <Verstorbener> kennt, und wir wollen den HERRN bitten, <Verstorbenen> einen guten Empfang zu bereiten.

Das Zeichen des Lichts
( In Stille entzündet der Priester die Kerzen um den Sarg. )

Priester: "Freundschaft ist Licht der Welt, sie ist die Flamme, die unser Herz erwärmt. Sie erhellt nun den Weg für <Verstorbenen> und führt ihn in das Königreich Gottes."

Das Zeichen des Glaubens

Priester: "<Name>, wir legen dieses Aristotelische Kreuz auf deinen Sarg.
Dieses Kreuz ist das Symbols das Aristoteles und Christos miteinander verbindet, es sei für dich Zeichen des Heils und des ewigen Lebens."

Das Zeichen der Freundschaft
( einer der Freunde des Verstorbenen bringt den Korb der Freundschaft )

Priester: "<Verstorbener>, wir legen dir diese Geschenke auf deinen Sarg, als ein Zeichen unserer Freundschaft, ein Zeichen unserer Gebete, ein Zeichen unseres Herzens."

Das Zeichen des Gedenkens


Eine Beerdigung macht uns mehrere Dinge klar:
- die Erinnerung an einen aristotelischen Freund, der uns gerade verlassen hat. An einen Menschen, der eine einzigartige Geschichte mit Gott hatte. Der umgeben war von der Liebe Gottes. Der diese Liebe nutzte.
Wir sind nun hier in dieser Kirche, versammelt um <Name>, um uns dieses Bandes der Liebe bewusst zu werden, welches <Name> stets mit Gott verbunden hat, welches jeden einzelnen von uns allezeit mit Gott verbindet.
- Der Tod erwartet uns alle; einige früher, andere später, einige in ihrer Jugend, andere im hohen Alter.
Der Herr warnt uns: "Seid bereit, seid stets bereit, denn ihr wisst weder den Tag noch die Stunde." Aristoteles lehrte es uns und Christos lud uns ein seinem Beispiel zu folgen Freude zu haben am Leben für andere und zu lieben sowie sie uns liebten.
Unsere Gegenwart hier ist Gebet. Wir rufen Aristoteles an, der die Sünden <des> bemisst, und wir rufen Christos an, der für ihn beim HERRN eintritt, so dass er teilhaben kann an Seinem Paradies.

Wer den Wunsch verspürt, mag nun sprechen.

Das Zeichen des Abschieds

Priester: "Bevor wir die Kirche nun verlassen wollen wir <dem> ein letztes Mal Lebewohl sagen. Mit Respekt und Hingabe wollen wir ihn dem HERRN anvertrauen in der Hoffnung, dass wir ihn wieder treffen in Seiner Gegenwart."


( Ein Moment des Schweigens. )


"Zusammen mit all denen, die uns bereits vorausgegangen sind und bereits in der Gesellschaft des HERRN und der Gemeinschaft der Heiligen leben, wollen wir <Verstorbenen> eine gute Reise wünschen."


BEISETZUNG AUF DEM FRIEDHOF


"An diesem Ort vertrauen wir nun den Körper <unseres> der Erde an, in der bereits so viele der Verstorbenen unserer Familien ruhen. Für <ihn> kam nun die Zeit zu sagen "Ich gehe zu GOTT".
Dies ist ein Moment der Trauer,aber es ist notwendig, dass die Hoffnung stark bleibt in uns, denn wir hoffen <Verstorbenen> wiederzusehen, wenn der HERR uns wieder vereint in Seinem Königreich.
Lasst uns innehalten im Gedenken an alles, was wir mit <Verstorbenen> erlebt haben, und dass es gegenüber <ihm> für uns so ist wie für den HERRN."

( Stille während der Sarg in das Grab hinab gelassen wird.)

Dann besprenkelt der Priester den Sarg mit Weihwasser und sagt:

"Dieses Wasser, Erinnerung an deine Taufe, erinnert uns daran, dass Gott dich zu seinem Kind gemacht hat. Möge er dich heute in Seinem Frieden empfangen."

(Der Priester kann zum Abschluss einige Trauerworte sprechen oder eine Messe für den Verstorbenen ankündigen. )


Zum Ende der Zeremonie gehen Freunde und Familie am Grab vorbei und werfen eine Hand voll Erde hinein. .
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Doron



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MessagePosté le: Dim Jan 11, 2015 1:39 am    Sujet du message: Répondre en citant


    Aristoteliánský pohřeb

    I) Administrace

    A) Podmínky

    1. Aby mohla být osoba uznána za mrtvou, musí být smrt potvrzena alespoň jedním doktorem a jedním duchovním (odstraněná postava)
    2. Osoba musí být pokřtěna, nebo alespoň v průběhu křtu (alespoň registrovaná v dokumentech Vatikánu). S ohledem na pohřeb, jsou tedy katechumeni bráni jako pokřtění.
    3. Osoba nemá žádné zákazy. (viz bod C)

    B) Místo

    Pohřeb se obecně odehrává v kostele farnosti, pod kterou zesnulý spadal.
    Ale i tak je věřícím, kteří přicházejí na pohřeb zesnulého věřícího povoleno, aby vybrali pro místo pohřbu jiný kostel. Ovšem pouze se souhlasem těch, kteří jsou za pohřeb zodpovědní a až po informování kněze domácí farnosti zesnulého.
    Nastala-li smrt mimo domácí farnost a tělo nebylo do ní převezeno, a pokud se žádný jiný legitimní kostel nevybral, tak se svátost odslouží v kostele farnosti, v níž zesnulý zemřel.

    C) Omezení

    Zesnulý jsou zbaveni nároku na církevní pohřeb, pokud se před svou smrtí prokazovali některou z následujících charakteristik:
    1. notoričtí odpadlíci, kacíři a schizmatici;
    2. jiní zjevní hříšníci, jejichž církevní pohřeb by pohoršil věřící komunitu;
    3. spáchání sebevraždy.

    Pokud by se vyskytly nějaké pochybnosti, pak je povoleno, aby o pohřbu rozhodla Svatá inkvizice.

    D) Organizace

    Je to kněz domácí farnosti, jehož úkolem a povinností je organizace této svátosti. V krajním případě, nebo pokud není k dispozici žádný kněz nebo jáhen, může vysluhovat svátost lecjaký duchovní, který nepodléhá žádným omezením, a je uznán Aristoteliánskou církví.
    V případě pohřbu člena duchovenstva nebo šlechtice či jiné důležité osoby, pak může duchovní požádat, aby jeho obřad vedl biskup nebo kardinál.

    II) Příklad obřadu

    Citation:
    Proč pochovávat?

    Kněz: "Člověk stvořen ze země a vody, je od přírody přitahován ke středu země. Ale pravda přátelství pozvedne jeho srdce, a pokud je hodné přidat se k Pánu, tak nepadne do pekelných ohňů jako tělo, ale naopak, najde svou skutečnou podstatu, kterou jest příjezd k našemu Pánu."

    1) Začátek (buď zvedáním těla, nebo příchodem rakve do kostela nebo na hřbitov)

    Kněz: "Po tom, co uviděl všechny naše tváře, konečně uvidí tu tvou, Pane."
    Věřící: "Pane, neodvracej svůj pohled od našeho přítele."

    Kněz: "Po přátelstvích, která získal, a která ho vedla životem, konečně je mu dopřáno největší přátelství, to které dává náš Pán."
    Věřící: "Pane, neodvracej svůj pohled od našeho přítele."

    Kněz: "Po smutku a slzách, které zatemňovaly jeho život, bude nyní jeho cesta osvětlená na věky."
    Věřící: "Pane, neodvracej svůj pohled od našeho přítele."

    Kněz: "Pane, v tuto hodinu, když se před námi ztrácí náš přítel, se k tobě obracíme s nadějí v srdcích. Splň nám naši touhu vidět ho po tvém boku na věky věků."
    Všichni: "Amen."

    2) V kostele anebo na hřbitově

    Do kostela kněz přináší proutěný košík, ve kterém se nachází jen medailon Aristotela a případně dar od kněze, jestliže byl přítelem zesnulého, příbuzní a přátelé vloží do košíku ovoce nebo krajíc chleba. Někteří mohou do košíku vhodit i pár grošů nebo jiné věci. (Obsah košíku se po pohřbu rozdá žebrákům). Když všichni umístí dary do košíku, tak blízký příbuzný vezme košík a bude ho mít u sebe až do obřadu přátelství. V principu tatáž osoba bude číst čtení během obřadu vzpomínek.

    Kněz: "Bratři a sestry, sešli jsme se zde jako rodina v smutku. Právě my si máme připomenout, že Jáh si pamatuje všechno dobré v životě našeho bratra a poprosit ho, aby připravil [jméno] na cestu k Pánu."

    Obřad světla

    Kněz v tichu zapálí svíčky okolo rakve.

    Kněz: "Přátelství je světlem světa, je to plamen, který zahřívá naše srdce. Právě teď osvětluje cestu pro [jméno] do království nebeského!"

    Obřad víry

    Kněz: "[jméno], na tvou rakev pokládáme Aristoteliánský kříž. Tento kříž spojuje Aristotela a Christose a pro tebe je znamením přivítání a věčného života."

    Obřad přátelství

    Jeden z přátel zesnulého přinese proutěný košík přátelství.

    Kněz: "[jméno], na tvou rakev pokládáme tyto dary, znak našeho přátelství, znak našich modliteb, znak našich srdcí."

    Obřad vzpomínek

    Kněz: "Pohřeb pro nás věřící znamená vzpomínku na přítele, jež nás opustil. Člověka s jedinečnou minulostí s Jáhem, který byl obklopen boží laskavostí a který tuto laskavost rozdával dál. Shromáždili jsme se v tomto chrámu, abychom si uvědomili toto pouto lásky, které propojovali [jméno] s Jáhem a které propojuje s Jáhem každého z nás na věky věků. Smrt čeká na každého z nás, pro někoho si přijde později, pro někoho v jeho mládí, pro někoho ve stáří. Pán nás varuje: "Bděte, protože nevíte dne ani hodiny." Aristoteles nás vede a Christos nás zve, abychom následovali jeho příkladu, hledat potěšení ze života pro ostatní, abychom milovali, jakož i oni milovali nás. Naše přítomnost na tomto obřadu je modlitbou. Voláme Aristotela, který změří hříchy [jméno] a Christose, který se bude přimlouvat u Pána za [jméno], aby mohl spolu s ním sedět u Jáhova stolu."

    Kněz: "A nyní uslyšíme čtení z Knihy ctností."

    Blízký příbuzný přečte čtení z Knihy ctností, nebo jiný vhodný text. (například: BOV 1.3.8, 1-2)

    Kněz: "Nyní mohou promluvit ti, co si tak přejí."

    Následují proslovy příbuzných a přátel.

    Obřad rozloučení

    Kněz: "Před opuštěním chrámu řekneme ještě naše poslední sbohem [jméno]. S nadějí předáváme [jméno] Jáhovi a doufáme, že se spolu setkáme v boží slávě."

    Okamžik ticha.

    Kněz: "S těmi všemi, kteří šli již napřed do božího království a žijí v přítomnosti Pána a s nesčetným zástupem svatých, Popřejme [jméno] dobrou cestu."

    3) Uložení na hřbitově

    Kněz: "Nyní předáváme tělo [jméno] tomuto místu, kde už odpočívá tolik našich rodin. Nastal čas pro [jméno], aby řekl "Odcházím k Jáhovi." Toto je smutný okamžik, ale je nutné, aby v nás zůstávala silná naděje, protože doufáme, že se s [jméno] setkáme ve slávě Jáhova království. Všichni teď upíráme své myšlenky k našemu bratru / sestře [jméno] a jeho cestě k Jáhovi."

    Během spouštění rakve do hrobu je ticho.

    Následně kněz pokropí rakev svěcenou vodou a říká: "Tato voda je vzpomínka na tvůj křest a připomíná nám, že Jáh z tebe udělal své dítě. Nechť tě dnes přijme do své milosti!"

    Kněz může na závěr popřát upřímnou soustrast a oznámit shromáždění, kdy se bude konat mše za zesnulého. Následně mohou i rodinní příslušníci a přátelé hodit do hrobu kousek země.

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Jolieen



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MessagePosté le: Mar Sep 03, 2019 12:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

The Aristotelian funeral


I)Administration


A) The conditions

-1) The person must be confirmed as dead by at least one doctor and one priest. ((OCC: character has been deleted))

-2) The person must be baptized or have recently initiated the process of baptism (at least included in baptismal registers). With regard to the funeral, baptism applicants must be treated like true believers.
The person may not be prohibited (see point C)

B) The place

The funeral of a different believer must generally be celebrated in the church of his home church.
However, it is permissible for the believer, as well as those who have to attend to the burial of the miscellaneous, to choose another church for the funeral, subject to the consent of the respective responsible priest and the notification of the priest of the hometown.
If the death occurred away from the home church and the body can not be returned home, the funeral is celebrated in the church of the church in which the person died, unless another church is lawfully selected.

C) The restrictions

The following persons must be excluded from the church funeral unless they show signs of remorse before their death:
1. Obvious defectors, heretics and schismatics;
2. Other obvious sinners who can not be granted an Aristotelian funeral without a public annoyance of the faithful.
3. Suicide

If in doubt, the Holy Inquisition has the power to make decisions.

D)The preparation

The task and responsibility of the preparation of this sacrament lies with the priest of the home church; in the case of prevention or if there is no priest or deacon there, the celebrant may be any clergyman recognized by the Aristotelian Church, provided that he is not subject to any prohibition.
In the event of the burial of a member of the clergy or a nobleman or other important person, the priest may ask his bishop or a cardinal to lead the ceremony.


II.)Example Ceremony


jeandalf a écrit:

Funeral

Why are we burying our dead?

Man, made of earth and water, is naturally attracted to the interior of the earth. But true friendship can lift up his soul and will not fall like a body into the fires of hell, but, if he is worthy of the Almighty, on the contrary he will recognize his true nature, which is to turn to the LORD ,

1)The beginning (either by raising the body or by the arrival of the coffin in the church or in the cemetery)

Priest: "After his eyes have seen all our faces, he finally sees your Lord,"
The righteous: "Lord, turn your face from our friend"

Priest: "After the friendship he has experienced and led his life, he now has the absolute friendship of the Almighty."
The righteous: "Lord, turn your face from our friend"

Priest: "After the sufferings and the tears that have darkened his life, his way will now be bright to eternity."
The righteous: "Lord, turn your face from our friend"

Priest: "After the sufferings and the tears that have darkened his life, his way will now be bright to eternity."
The righteous: "Lord, turn your face from our friend"

All: "Amen"

2) In the church or in the cemetery

A wicker basket is placed, in which only the Aristotelian medallion and possibly a gift of the priest lies, so he was friends with the deceased. The friends are now laying fruit or a loaf of bread. Some may also put in a few taler or other food (the contents of the basket will be distributed to beggars after the ceremony). When everyone has put something in, a close relative takes the basket and takes out an object as part of the gifts at the sign of friendship. Usually, the same person will read the text at the sign of remembrance.

Brothers and sisters, we are gathered here in friendship, but as a family in mourning. Let us remember that the LORD knows all the good in the life of the deceased, and we will ask the LORD to give a good reception to the dead.

The sign of the light
( In silence, the priest lights the candles around the coffin. )

Priest: "Friendship is the light of the world, it is the flame that warms our hearts, it illuminates the way for the departed, and leads it into the kingdom of God."

The sign of faith

Priest: "<name>, we put this Aristotelian cross on your coffin.
This cross is the symbol that connects Aristotle and Christos, for you it is a sign of salvation and eternal life. "

The sign of friendship
(one of the deceased's friends brings the basket of friendship)

Priests: "<deceased>, we put these gifts on your coffin, as a token of our friendship, a token of our prayers, a sign of our heart."

The sign of remembrance


A funeral tells us several things:
- the memory of an Aristotelian friend who has just left us. To a person who had a unique story with God. He was surrounded by the love of God. Who used this love.
We are now here in this church, gathering around <name> to become aware of this bond of love that <name> has always associated with God, which connects every one of us to God at all times.
- Death awaits us all; some earlier, others later, some in their youth, others in old age.
The Lord warns us, "Be ready, always ready, for you know neither the day nor the hour." Aristotle taught us andChristos invited us to follow his example to enjoy life and love for others as well as they loved us.
Our presence here is prayer. We call Aristotle, who measures the sins of <name>, and we call Christos He who enters for him with the LORD, that he may partake of his paradise.

Who feels the desire, may now speak.

The sign of farewell

Priest: "Before we leave the Church, let us say farewell to the one last time." With respect and devotion we want to entrust him to the Lord in the hope that we will meet him again in His presence. "


( A moment of silence. )


"Together with all those who have gone before us and are already living in the company of the LORD and the communion of saints, let us wish a good journey to the <deceased>."

COURSE AT THE CEMETERY


"In this place, we are now entrusting the body of our Earth, where so many of the deceased of our families are already resting, to have the time to say," I am going to GOD. "
This is a moment of mourning, but it is necessary for hope to remain strong in us, for we hope to see <the> again when the Lord reunifies us in His Kingdom.
Let us pause in remembering all that we have experienced with 'the dead', and that it is for us as for the LORD. '

( Silence while the coffin is lowered down into the grave.)

Then the priest sprinkles the coffin with holy water and says:

"This water, reminder of your baptism, reminds us that God has made you his child, may he receive you today in His peace."

(The priest can conclude by saying some words of mourning or announcing a Mass for the deceased.)


At the end of the ceremony, friends and family pass the grave and throw in a handful of earth. .

Translated by Cardinal-Deacon Caillen Jolieen MacKinnon Rose, 1467

_________________

Cardinal-Deacon of the British Isles -Bishop In Partibus of Lamia - Prefect to the Villa of St.Loyat - Expert to the pontificial collages of Heraldry - Assessor to the Developing Churches
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