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[1467] Eglise Aristotélicienne / Aristotelic Church
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Daresha



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MessagePosté le: Sam Avr 18, 2020 1:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Granting of the title of Aristotelian King of the Two Sicilies



      We, Arduino Della Scala, Cardinal Dean of the Sacred College, by the will and decision of His Holiness Sixtus IV, Bishop of Rome, Vicar of God on earth, Successor of the Second Prophet and of Saint Titus Prince of the Apostles, Supreme Pontiff and Pope of the Universal Church, Metropolitan of the Province of Rome, Servant of the Servants of God, before the Almighty and under the gaze of His Two Prophets, Aristotle and Christos,


      Since the King of the Kingdom of the Two Sicilies, His Majesty Cristoforo Borgia, said Cristoforo_, is a man of undisputed Faith, an high example of Aristotelian virtue, brotherhood and friendship, for he led the Kingdom of the Two Sicilies in the light of the teachings of the Prophets

      Announce:

      To grant the personal privilege of using the title of Aristotelian King to His Majesty Cristoforo Borgia, said Cristoforo_, in official and private acts for his devotion and faith to be an example and model to follow for his people and for all the rulers of the Kingdoms.



      We wish and pray that the Kingdom of the Two Sicilies will always be a beacon of faith and fidelity to the Word of the Most High, in communion with the Holy Roman and Universal Aristotelian Church.




    Ad Maiorem Dei Gloriam


    Roma, X.XII.MCDLXVII Sixti IV PP Anno I




    For the Sacred College of Cardinals
    Arduino Della Scala, Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalis Decanus.



Citation:





    Concessione del titolo di Re Aristotelico delle Due Sicilie



      Noi, Arduino Della Scala, Cardinale Decano del Sacro Collegio, per volontà e decisione di Sua Santità Sisto IV, Vescovo di Roma, Vicario di Dio in terra, Successore del Secondo Profeta e di San Titus Principe degli Apostoli, Sommo Pontefice e Papa della Chiesa Universale, Metropolita della Provincia di Roma, Servo dei servi di Dio, di fronte all'Onnipotente e sotto la guida dei Suoi Due Profeti, Aristotele e Christos,


      Essendo il Re delle Due Sicilie, Sua Maestà Cristoforo Borgia, detto Cristoforo_, un uomo di indiscussa Fede, un alto esempio di virtù aristotelica, fratellanza e amicizia, e poiché Egli governa il Regno delle Due Sicilie rischiarato dalla luce degli insegnamenti dei Profeti

      Annunciamo:

      di concedere l'esclusivo e personale privilegio di usare il titolo di Re Aristotelico a Sua Maestà Cristoforo Borgia, detto Cristoforo_, in atti ufficiali e privati perché la sua devozione e la sua fede siano un esempio e un modello da seguire per il Suo popolo e per tutti i governanti dei Regni.

      Ci auguriamo e preghiamo che il Regno delle Due Sicilie sia sempre un faro di fede e fedeltà alla Parola dell'Altissimo, in comunione con la Santa Chiesa Aristotelica Romana e Universale.





    Ad Maiorem Dei Gloriam


    Roma, X.XII.MCDLXVII Sixti IV PP Anno I




    Per il Sacro Collegio dei Cardinali
    Arduino Della Scala, Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalis Decanus.

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Daresha



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MessagePosté le: Sam Avr 18, 2020 1:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


    L'Autel et le Trône
    De la discipline du clergé francophone dans les affaires temporelles



    Nous, Cardinaux du Consistoire Pontifical Francophone, devant le Tout Puissant et sous le regard de Ses deux Saints Prophètes, Aristote et Christos, par le grâce de Sa Sainteté Sixte IV, Souverain Pontife et Pape de l'Église Universelle, faisons savoir :


      Que le Consistoire Pontifical Francophone a décidé de prendre position sur l'implication des clercs, notamment des archevêques et évêques de sa zone géodogmatique, dans le domaine des affaires séculières et politiques.

      Si il n'est rien de plus vrai que le Prophète Aristote est l'auteur de la doctrine plaçant le clerc philosophe-roi à la tête de la Cité idéale dans la classe d'or, nous ne pouvons ignorer qu'en pratique l'investissement en politique rencontre d'inévitables désagréments tels que les questions de conflit d'intérêts. En une seule et unique personne, se trouve désormais deux personnes distinctes difficiles à distinguer : il y a d'abord la personne politique avec ses opinions politiques personnelles et d'autre part, la personne religieuse en sa qualité de berger du troupeau avec les devoirs moraux attachés à sa charge religieuse. De ceci, il en découle des décisions prises par cette personne, et il arrive que l'une des deux personnalités peut influencer l'autre dans ses décisions. C'est de là vient le principal danger, dans la mesure où les ouailles troublées par ce mélange peuvent trouver raison à remettre en cause la neutralité dudit clerc quelque soit ses choix dans le domaine religieux.

      Dans l'objectif d'empêcher toute remise en cause des décisions religieuses locales, nous rappelons à l'ordre les clercs s'engageant dans la voie politicienne à respecter leurs engagements envers Notre Sainte-Mère l'Église, occuper une charge religieuse implique le devoir fondamental de diriger la conscience du Peuple de Dieu avant de se préoccuper de toutes les considérations et mouvements politiques n'ayant pas de lien avec la charge pastorale. Le plus important est notre devoir sacré de bergers, assurer le soin des âmes marchant dans le chemin de droiture et aider les âmes perdues.

      Nous déclarons et disons qu'à l'avenir la réputation de l'Église ne sera plus jamais compromise avec les abus de clercs préférant délaisser leurs devoirs pastoraux au profit d'aventures politiques qui dépendent seulement et uniquement de leurs propres actes, non celles du Saint-Siège et des Églises locales. Si les personnes concernées sont incapables d'assumer les deux charges en même temps, elles se doivent d'abandonner soit la charge temporelle soit la charge spirituelle pour éviter de commettre l'irréparable qu'en tout état de cause nous ne saurions cautionner. Il vaut mieux redonner à césar ce qui appartient à césar, et à Dieu ce qui appartient à Dieu.

      Dorénavant, nous avons décidé d'instituer de strictes règles disciplinaires et des conditions d'accès générales aux charges politiques, applicables à l'ensemble du clergé de notre zone géodogmatique. Ces charges politiques sont toutes celles qui dépendent d'une élection à la charge de maire, de conseiller comtal/ducal sur une liste comtale/ducale et souverain d'un état. La règle est simple et la même pour tous les clergés : chaque clerc doit demander l'autorisation à son supérieur hiérarchique le plus direct. Les prêtres qui ne sont pas incardinés doivent obtenir l'autorisation de leur Assemblée Épiscopale via leur Primat.

      Ainsi, voici la liste non-exhaustive dépendante des règles canoniques :

      • La catégorie A : Les administrateurs paroissiaux, les diacres, les vicaires, les curés, les archidiacres, les vicaires diocésains, les premiers archidiacres et les vicaires généraux demandent l'autorisation à leur (arch)évêque.
      • La catégorie B : Les administrateurs (archi)diocésains, les évêques et les archevêques demandent l'autorisation à leur Assemblée Épiscopale via le Primat.
      • La catégorie C : Les cardinaux francophones demandent l'autorisation au Consistoire Pontifical Francophone via le cardinal-prêtre.


      Pour la catégorie B et les prêtres non incardinés, les Primats et le Vice-Primat Francophone du Saint-Empire devront nécessairement informer le Consistoire Pontifical Francophone des autorisations données.

      En l'absence de réponse, les clercs sont priés de s'adresser au responsable de leur catégorie supérieure.

      Il est à noter que les clercs investis du sacerdoce souhaitant devenir souverains devront quitter au préalable l'ensemble de leurs charges religieuses pour prétendre au trône, en cas d'élection sur le trône, le sacerdoce pourra être dissous à la demande du nouveau souverain.
      Au cours de son règne, le roi devra gouverner par son sceptre de Justice et, conformer sa gouvernance avec les saints préceptes des Prophètes Aristote et Christos, de telle sorte à administrer son état au moyen de sa sagesse déjà acquise grâce à sa mission pastorale pour le salut de son peuple et du plus grand nombre.

      De même, qu'il soit su, en ce jour, notre ferme décision de sévir contre ces clercs contribuant à traîner la Sainte-Église dans la boue. Nous irons au-delà du simple blâme en portant systématiquement plainte, au nom du Consistoire Pontifical Francophone, à la Pénitencerie Apostolique ou le Tribunal Pontifical, selon la charge du clerc.



    Ad Maiorem Dei Gloriam



    Donné auprès de Saint-Titus, le dixième jour du douzième mois de l'An de Grâce MCDLXVI, deux jours après la Saint-Nicolas, le premier du pontificat de Sa Sainteté Sixte le quatrième.


    Pour le Consistoire Pontifical Francophone,
    Ercole Iaudas de Nanteuil, Cardinal-diacre de Saint-Yves-des-Bretons.



    Tymothé de Nivellus, Cardinal-diacre de Saint Martin du Janicule



Neïrin de Castelcerf, Cardinal-Diacre de Saint Nicomaque de l'Esquilin


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Daresha



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MessagePosté le: Sam Avr 18, 2020 1:56 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:

    ........


    Licet Dominum laudare
    Sur la Paix et la Trêve de Dieu




    Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam



    Il est bon et juste de louer le Seigneur toujours et partout ; et pourtant, comme nous l'ont enseigné nos vénérables pères, il est encore plus bon et juste de se réunir comme frères et sœurs dans la Vraie Foi dans les lieux saints et dans les jours consacrés à Son culte pour mieux Lui rendre grâce sous la bannière de l'Amour pour qu'Il ait bien voulu nous unir. Afin de préserver le caractère sacré du jour du Seigneur ainsi que des temples qui Lui sont dédiés, la Sainte Église, au travers de nos vénérés prédécesseurs ou des conciles généraux, a institué et dicté les mesures de la Paix et de la Trêve de Dieu, réaffirmées et modifiées à plusieurs reprises au cours du temps et plus récemment par un édit du Sacré-Collège des Cardinaux par délégation de notre vénérable prédécesseur. Au vu des dispositions diverses et successives en matière, qui rendent nécessaire le recueil et la mise à jour de ce qui est déjà en vigueur, et souhaitant nous ardemment étendre cette protection à ceux qui sont dignes et chers au Très Haut, nous avons décidé, établi, décrété et statué, et nous décrétons et statuons les canons suivantes, qui remplacent et supplantent toute disposition antérieure sur la Paix et la Trêve de Dieu.


    Partie I. La Paix de Dieu

    Can. 1 : La Paix de Dieu est la protection divine et sacro-sainte perpétuellement reconnue par la Sainte Église en défense des lieux ou des personnes particulièrement chers au Très-Haut.

    Can. 2 : La violation de la Paix de Dieu est un acte sacrilège et de profanation contre le Très-Haut et Sa Sainte Église ; à cause de sa gravité, elle entraîne l'excommunication latae sententiae.

    Can. 3 : La Paix de Dieu est violée par quiconque, à l'exception de notre Garde Pontificale, entre ou donne l'ordre d'entrer en armes ou avec des intentions hostiles dans un temple du Très-Haut, que ce soit une humble église de campagne ou une majestueuse cathédrale.

    Can. 4 : La Paix de Dieu est violée par quiconque s'approprie, tente de s'approprier ou donne l'ordre de s'approprier d'une cure ou d'une cathédrale, que ce soit par les armes ou le subterfuge ; la libération desdits temples du Très-Haut qui auraient été profanés ne constitue pas une violation de la Paix de Dieu.

    Can. 5 : La Paix de Dieu est violée par quiconque bat, agresse, heurte ou blesse un clerc ordonné ou des milites engagés dans la guerre sainte, que ce soit par les armes ou la violence physique.

    Can. 6 : La Paix de Dieu est violée par quiconque attaque un royaume, un duché, un comté, une république, une ville ou tout autre état exceptionnellement placé sous la protection de la Paix de Dieu par le Saint-Siège.


    Partie II. La Trêve de Dieu

    Can. 7 : La Trêve de Dieu est l'interdiction absolue de commettre des actes violents, de verser du sang ou de blesser quelqu'un pendant la journée du dimanche, placée par la Sainte Église pour préserver la pureté de la journée consacrée à Dieu.

    Can. 8 : La violation de la Trêve de Dieu est un acte sacrilège et de profanation du jour du Seigneur et de l'Amitié Aristotélicienne ; à cause de sa gravité, elle entraîne l'excommunication latae sententiae.

    Can. 9 : La Trêve de Dieu est violée par quiconque, à la tête d'une armée, donne l'ordre, entre l'aube du samedi et l'aube du dimanche, de faire un mouvement agressif.

    Can. 10 : La Trêve de Dieu est violée par quiconque, qu'il s'agisse d'un général, d'un commandant militaire ou d'un dirigeant politique, donne l'ordre à une armée de faire un mouvement agressif entre l'aube du samedi et l'aube du dimanche.

    Can. 11 : La Trêve de Dieu est violée par quiconque, soldat d'une armée, suit son commandant dans un mouvement agressif, sachant qu'un tel mouvement prendra effet le dimanche, et verse du sang ou blesse quelqu'un pendant la journée du dimanche ; si l'action dudit soldat n'aboutit pas à des actes violents, elle constitue qu'une violation partielle de la Trêve de Dieu et fait l'objet d'un procès inquisitoire.

    Can. 12 : Dans le cadre de la Trêve de Dieu, on entend par mouvement agressif : le déplacement d'une armée vers un territoire ou une ville sur lequel l'armée ou l'état duquel elle est au service ou les alliés de ces derniers n'ont aucun contrôle de facto; ainsi que les encercler, les assiéger ou essayer d'y pénétrer ; le déplacement d'une armée à l'encontre d'une autre armée qui n'est pas sur leur liste blanche.

    Can. 13 : Pendant la journée du Dimanche, le recours aux confrontations en lice devrait être limité, voire à des fins amicales, et si possible sans l'utilisation d'armes. Les duels d'honneur sont toujours interdits du dimanche.

    Can. 14 : Les duels d'honneur, les confrontations en lice avec des intentions hostiles ou l'utilisation d'armes qui ont lieu le Dimanche ne constituent qu'une violation partielle de la Trêve de Dieu et font l'objet d'un interdit.

    n.b. : pour plus de détails voir le Droit Canon sur l''interdit, texte canonique « La Vertu se tient au milieu » partie V : Des peines et des pénitences.

    Can. 15 : Le Saint-Siège, dans des conditions exceptionnelles et seulement pendant la guerre sainte ou la lutte contre le mal, peut accorder des dérogations au respect de la Trêve de Dieu afin de garantir la défense de la Vraie Foi.


    Constitution Apostolique sur la Paix et la Trêve de Dieu,
    Donné à Rome, sur la tombe vénérée de Saint Titus Prince des Apôtres, le douzième jour du mois de décembre, le jeudi, jour de la Saint Corentin, de l'an de grâce MCDLXVII, le premier de Notre Pontificat.






Citation:

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    Licet Dominum laudare
    On Peace and the Truce of God




    Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam



    It is good and just to praise the Lord always and everywhere; and yet, as our venerable fathers taught us, it is even better and more just to gather as brothers and sisters in the True Faith in the holy places and in the days dedicated to His worship to better give thanks to Him under the banner of Love by which He has graciously willed us all to be united. In order to preserve the sanctity of the Lord's Day and the temples dedicated to Him, the Holy Church, through our venerated predecessors or general councils, has instituted and dictated the measures of the Peace and the Truce of God, reaffirmed and modified several times over time and more recently by an edict of the Sacred College of Cardinals by delegation of our venerable predecessor. In view of the various and successive provisions in this matter, which make it necessary to collect and update what is already in force, and wishing to extend this protection to those who are worthy and dear to the Most High, we have decided, established, decreed and ruled, and we decree and rule the following canons, which replace and supplant all previous provisions on thr Peace and the Truce of God.


    Part I. The Peace of God

    Can. 1 : The Peace of God is the divine and sacrosanct protection perpetually recognised by the Holy Church in defence of places or persons particularly dear to the Most High.

    Can. 2 : The violation of the Peace of God is a sacrilegious and profanatory act against the Most High and His Holy Church; by its gravity, it entails the excommunication latae sententiae.

    Can. 3 : The Peace of God is violated by whoever, with the exception of our Pontifical Guard, enters or gives the order to enter, armed or with hostile intentions, into a temple of the Most High, be it a humble countryside church or a majestic cathedral.

    Can. 4 : The Peace of God is violated by whoever seizes, attempts to seize or gives the order to seize a parish or cathedral, whether by arms or subterfuge; the liberation of the said temples of the Most High which have been desecrated does not constitute a violation of the Peace of God.

    Can. 5 : The Peace of God is violated by anyone who beats, assaults, hits or injures an ordained cleric or the militesengaged in holy war, whether by arms or physical violence.

    Can. 6 : The Peace of God is violated by whoever attacks a kingdom, a duchy, a county, a republic, a city or any other state exceptionally placed under the protection of the Peace of God by the Holy See.


    Part II. The Truce of God

    Can. 7 : The Truce of God is the absolute prohibition of committing violent acts, shedding blood or injuring someone on Sunday, placed by the Holy Church to preserve the purity of the day consecrated to God.

    Can. 8 : The violation of the Truce of God is a sacrilegious and profanatory act of the day of the Lord and of the Aristotelian Friendship; by its gravity, it entails the excommunication latae sententiae.

    Can. 9 : The Truce of God is violated by whoever, at the head of an army, gives the order, between the dawn of Saturday and the dawn of Sunday, to perform an aggressive movement.

    Can. 10 : The Truce of God is violated by whoever, whether a general, a military commander or a political leader, orders an army to perform an aggressive movement between the dawn of Saturday and the dawn of Sunday.

    Can. 11 : The Truce of God is violated by whoever, as a soldier of an army, follows his commander in an aggressive movement, knowing that such a movement will take effect on Sunday, and sheds blood or injures someone during the day of Sunday; if the action of such a soldier does not result in violent acts, it constitutes only a partial violation of the Truce of God and is subject to an inquisition trial.

    Can. 12 : In the context of the Truce of God, aggressive movement means: the movement of an army to a territory or city over which the army or the state which it serves or the allies of the latter have no control de facto; as well as encircling, besieging or trying to penetrate them; the displacement of an army against another army which is not on their white list.

    Can. 13 : During the day of Sunday, the use of competing confrontations should be limited, even for friendly purposes, and if possible without the use of weapons. Duels of honour are always prohibited on Sundays.

    Can. 14 : Duels of honour, confrontations with hostile intentions or the use of arms on Sunday are only a partial violation of the Truce of God and are subject to an interdict.

    n.b. : for more details see the Canon Law on the interdict, canonical text « Virtue stands in the middle » part V: On penalties and penances.

    Can. 15 : The Holy See, in exceptional circumstances and only during the holy war or the struggle against evil, may grant exceptions to the observance of the Truce of God in order to guarantee the defense of the True Faith.


    Apostolic Constitution on the Peace and the Truce of God,
    Given in Rome, on the venerated tomb of Saint Titus Prince of the Apostles, on the twelfth day of the month of December, Thursday, the day of Saint Corentin, in the year of grace MCDLXVII, the first of Our Pontificate.



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Daresha



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MessagePosté le: Sam Avr 18, 2020 1:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:

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    Licet Dominum laudare
    Sulla Pace e la Tregua di Dio




    Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam



    È bene e giusto lodare il Signore sempre e ovunque; eppure, come ci hanno insegnato i nostri venerabili padri, è ancora meglio e più giusto riunirsi come fratelli e sorelle nella Vera Fede nei luoghi santi e nei giorni dedicati al Suo culto per ringraziarLo meglio all' insegna dell'Amore attraverso il quale Egli ha ben voluto unirci. Per preservare la santità del giorno del Signore e dei templi a Lui dedicati, la Santa Chiesa, attraverso i nostri venerati predecessori o dei concili generali, ha istituito e prescritto le misure della Pace e della Tregua di Dio, riaffermate e modificate più volte nel tempo e più recentemente da un editto del Sacro Collegio dei Cardinali per delega del nostro venerabile predecessore. In considerazione delle varie e susseguenti disposizioni in materia, che rendono necessaria la raccolta e l'aggiornamento di quanto già in vigore, e desiderando noi estendere questa protezione a coloro che sono degni e cari all'Altissimo, abbiamo deciso, stabilito, decretato, e sancito, e decretiamo e sanciamo i seguenti canoni, che sostituiscono e soppiantano tutte le precedenti disposizioni sulla Pace e la Tregua di Dio.


    Parte I. La pace di Dio

    Can. 1 : La Pace di Dio è la protezione divina e sacrosanta che la Santa Chiesa riconosce perpetuamente in difesa di luoghi o persone particolarmente care all'Altissimo.

    Can. 2 : La violazione della Pace di Dio è un atto sacrilego e blasfemo contro l'Altissimo e la Sua Santa Chiesa; a causa della sua gravità, esso comporta la scomunica latae sententiae.

    Can. 3 : La Pace di Dio è violata da chiunque, in armi o con intenzioni ostili, ad eccezione della nostra Guardia Pontificia, entri o dia ordine di entrare in un tempio dell'Altissimo, che si tratti di un'umile chiesa di campagna o di una maestosa cattedrale.

    Can. 4 : La Pace di Dio è violata da chiunque si appropri, cerchi di appropriarsi o dia ordine di appropriarsi di una parrocchia o di una cattedrale, sia con le armi che con sotterfugi; la liberazione dei detti templi dell'Altissimo che sono stati profanati non costituisce una violazione della Pace di Dio.

    Can. 5 : La Pace di Dio è violata da chiunque percuota, aggredisca, colpisca o ferisca un chierico ordinato o dei milites impegnati nella guerra santa, che sia con le armi o con la violenza fisica.

    Can. 6 : La Pace di Dio è violata da chiunque attacchi un regno, ducato, contea, contea, repubblica, città o qualsiasi altro stato posto eccezionalmente sotto la protezione della Pace di Dio da parte della Santa Sede.


    Parte II. La tregua di Dio

    Can. 7 : La Tregua di Dio è il divieto assoluto di commettere atti di violenza, spargere sangue o ferire qualcuno durante la giornata di domenica, posto dalla Santa Chiesa per preservare la purezza del giorno consacrato a Dio.

    Can. 8 : La violazione della Tregua di Dio è un atto sacrilego e di profanazione del giorno del Signore e dell'Amicizia Aristotelica; per la sua gravità, esso comporta la scomunica latae sententiae.

    Can. 9 : La Tregua di Dio è violata da chiunque, a capo di un esercito, dia l'ordine, tra l'alba del sabato e l'alba della domenica, di compiere un movimento aggressivo.

    Can. 10 : La Tregua di Dio è violata da chiunque, sia esso un generale, un comandante militare o un capo politico, ordini ad un esercito di compiere un movimento aggressivo tra l'alba del sabato e l'alba della domenica.

    Can. 11 : La Tregua di Dio è violata da chiunque, come soldato di un esercito, segua il suo comandante in un movimento aggressivo, sapendo che un tale movimento avrà effetto la domenica, e sparga sangue o ferisca qualcuno durante la giornata di domenica; se l'azione del suddetto soldato non si traduce in atti di violenza, essa costituisce solo una violazione parziale della Tregua di Dio ed è oggetto di un processo inquisitoriale.

    Can. 12 : Nel contesto della Tregua di Dio, per movimento aggressivo si intende: il movimento di un esercito verso un territorio o una città su cui l'esercito o lo stato di cui è al servizio o gli alleati di questi ultimi non hanno alcun controllo de facto ; come pure circondarli, assediarli o cercare di entrarvi; il movimento di un esercito contro un altro esercito che non è sulla sua lista bianca.

    Can. 13 : Nella giornata di domenica, l'uso degli scontri in lizza dovrebbe essere limitato, anche a fini amichevoli, e se possibile senza l'uso di armi. I duelli d'onore sono sempre proibiti di domenica.

    Can. 14 : I duelli d'onore, gli scontri in lizza con intenzioni ostili o l'uso di armi di domenica sono solo una violazione parziale della Tregua di Dio e sono oggetto di un interdetto.

    n.b. : per maggiori dettagli si veda il Diritto Canonico sull'interdetto, testo canonico « La Virtù sta nel mezzo » parte V: Delle pene e delle penitenze.

    Can. 15 : La Santa Sede, in circostanze eccezionali e solo durante la guerra santa o la lotta contro il male, può concedere eccezioni all'osservanza della Tregua di Dio per garantire la difesa della Vera Fede.


    Costituzione Apostolica sulla Pace e la Tregua di Dio,
    Data a Roma, sulla veneratissima tomba di San Titus Principe degli Apostoli, il dodicesimo giorno del mese di dicembre, giovedì, ricorrenza di San Corentino, dell'anno di grazia MCDLXVII, il primo del Nostro Pontificato.





Citation:

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    Licet Dominum laudare
    Sobre la Paz y la Tregua de Dios




    Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam



    Es bueno y justo alabar al Señor siempre y en todas partes; y sin embargo, como nos enseñaron nuestros venerables padres, es aún mejor y más justo reunirse como hermanos y hermanas en la Verdadera Fe en los lugares santos y en los días dedicados a Su adoración para darle mejor gracias a Él bajo la bandera del Amor por el cual Él amablemente nos ha querido unir a todos. Para preservar la santidad del Día del Señor y de los templos dedicados a Él, la Santa Iglesia, a través de nuestros venerados predecesores o concilios generales, ha instituido y dictado las medidas de la Paz y de la Tregua de Dios, reafirmadas y modificadas varias veces a lo largo del tiempo y, más recientemente, mediante un edicto del Sagrado Colegio de Cardenales, por delegación de nuestro venerable predecesor. En vista de las diversas y sucesivas disposiciones en esta materia, que obligan a recoger y actualizar lo que ya está en vigor, y con el deseo de extender esta protección a los dignos y queridos del Altísimo, hemos decidido, establecido, decretado y reglado, y decretamos y regulamos los siguientes cánones, que sustituyen y suplantan a todas las disposiciones anteriores sobre la Paz y la Tregua de Dios.


    Parte I. La Paz de Dios

    Can. 1 : La Paz de Dios es la protección divina y sacrosanta reconocida perpetuamente por la Santa Iglesia en defensa de lugares o personas particularmente queridas por el Altísimo.

    Can. 2 : La violación de la Paz de Dios es un acto sacrílego y profanador contra el Altísimo y su Santa Iglesia; por su gravedad, implica la excomunión latae sententiae.

    Can. 3 : La Paz de Dios es violada por quien, con excepción de nuestra Guardia Pontificia, entra o da la orden de entrar, armado o con intenciones hostiles, en un templo del Altísimo, sea una humilde iglesia de campiña o una majestuosa catedral..

    Can. 4 : La Paz de Dios es violada por quien se apodera, intenta apoderarse o da la orden de apoderarse de una parroquia o de una catedral, ya sea por armas o por subterfugios; la liberación de dichos templos del Altísimo que han sido profanados no constituye una violación de la Paz de Dios.

    Can. 5 : La Paz de Dios es violada por quien golpea, ataca, daña o hiere a un clérigo ordenado o los milites que participan en la guerra santa, ya sea por medio de armas o violencia física.

    Can. 6 : La Paz de Dios es violada por quien ataca un reino, un ducado, un condado, una república, una ciudad o cualquier otro estado excepcionalmente puesto bajo la protección de la Paz de Dios por la Santa Sede.


    Parte II. La Tregua de Dios

    Can. 7 : La Tregua de Dios es la prohibición absoluta de cometer actos violentos, derramar sangre o herir a alguien el domingo, puesta por la Santa Iglesia para preservar la pureza del día consagrado a Dios.

    Can. 8 : La violación de la Tregua de Dios es un acto sacrílego y profanador del día del Señor y de la Amistad Aristotélica; por su gravedad, implica la excomunión latae sententiae.

    Can. 9 : La Tregua de Dios es violada por quien, a la cabeza de un ejército, da la orden, entre la madrugada del sábado y la madrugada del domingo, de realizar un movimiento agresivo.

    Can. 10 : La Tregua de Dios es violada por quien, ya sea un general, un comandante militar o un líder político, ordena a un ejército que realice un movimiento agresivo entre la madrugada del sábado y la madrugada del domingo.

    Can. 11 : La Tregua de Dios es violada por quien, como soldado de un ejército, sigue a su comandante en un movimiento agresivo, sabiendo que tal movimiento tendrá efecto el domingo, y derrama sangre o hiere a alguien durante el día del domingo; si la acción de dicho soldado no resulta en actos violentos, constituye sólo una violación parcial de la Tregua de Dios y es objeto de un juicio inquisitorial.

    Can. 12 : En el contexto de la Tregua de Dios, el movimiento agresivo significa: el movimiento de un ejército contra un territorio o ciudad sobre el cual el ejército o el estado al cual sirve o los aliados de estos últimos no tienen control de facto; así como el cercarlos, asediarlos o tratar de penetrarlos; el desplazamiento de un ejército en contra de otro ejército que no se encuentra en su lista blanca.

    Can. 13 : Durante el día del domingo, el uso de confrontaciones en pugna debe ser limitado, aunque sea con fines amistosos, y si es posible sin el uso de armas. Los duelos de honor siempre están prohibidos los domingos.

    Can. 14 : Los duelos de honor, las confrontaciones con intenciones hostiles o el uso de armas el domingo son sólo una violación parcial de la Tregua de Dios y son susceptibles de un interdicto.

    n.b. : para más detalles ver Derecho Canónico sobre el interdicto, texto canónico « La virtud está en el medio » parte V : Nalties y penitencias..

    Can. 15 : La Santa Sede, en circunstancias excepcionales y sólo durante la guerra santa o la lucha contra el mal, puede conceder excepciones a la observancia de la Tregua de Dios para garantizar la defensa de la Verdadera Fe.


    Constitución Apostólica sobre la Paz y la Tregua de Dios,
    Dado en Roma, sobre la venerada tumba de San Tito Príncipe de los Apóstoles, el XII día de diciembre, el jueves, día de San Corentino, en el año de gracia MCDLXVII, el primero de Nuestro Pontificado.





Citation:

    ........


    Licet Dominum laudare
    Sobre a Paz e a Trégua de Deus




    Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam



    É bom e justo louvar o Senhor sempre e em toda a parte; no entanto, como nos ensinaram os nossos veneráveis pais, é ainda melhor e mais justo reunir-se como irmãos e irmãs na Verdadeira Fé nos lugares santos e nos dias dedicados ao Seu culto para melhor Lhe dar graças sob a bandeira do Amor, pela qual Ele graciosamente nos quis unir a todos. Para preservar a santidade do Dia do Senhor e dos templos a Ele dedicados, a Santa Igreja, através dos nossos venerados predecessores ou conselhos gerais, instituiu e ditou as medidas da Paz e da Trégua de Deus, reafirmadas e modificadas várias vezes no tempo e, mais recentemente, por um édito do Sagrado Colégio Cardinalício por delegação do nosso venerado predecessor. Em vista das várias e sucessivas disposições nesta matéria, que tornam necessário recolher e actualizar o que já está em vigor, e desejando estender esta protecção àqueles que são dignos e queridos do Altíssimo, decidimos, estabelecemos, decretamos e governamos, e decretamos e governamos os cânones seguintes, que substituem e suplantam todas as disposições anteriores sobre a Paz e a Trégua de Deus.


    Parte I. A Paz de Deus

    Can. 1 : A Paz de Deus é a protecção divina e sacrossanta perpetuamente reconhecida pela Santa Igreja em defesa de lugares ou pessoas particularmente queridas ao Altíssimo.

    Can. 2 : A violação da Paz de Deus é um acto sacrílego e profanador contra o Altíssimo e a Sua Santa Igreja; pela sua gravidade, comporta a excomunhão latae sententiae.

    Can. 3 : A Paz de Deus é violada por quem, com excepção da nossa Guarda Pontifícia, entra ou dá a ordem de entrar, armado ou com intenções hostis, num templo do Altíssimo, seja uma humilde igreja rural ou uma catedral majestosa.

    Can. 4 : A Paz de Deus é violada por quem apreende, tenta apreender ou dá a ordem de apreender uma paróquia ou catedral, seja por armas ou subterfúgios; a libertação dos ditos templos do Altíssimo que foram profanados não constitui uma violação da Paz de Deus.

    Can. 5 : A Paz de Deus é violada por quem bate, assalta, ataca, bate ou fere um clérigo ordenado ou os milites engajados na guerra santa, seja por armas ou violência física.

    Can. 6 : A Paz de Deus é violada por quem ataca um reino, um ducado, um condado, uma república, uma cidade ou qualquer outro estado excepcionalmente colocado sob a proteção da Paz de Deus pela Santa Sé..


    Paret II. A Trégua de Deus

    Can. 7 : A Trégua de Deus é a proibição absoluta de cometer atos violentos, derramar sangue ou ferir alguém no domingo, colocada pela Santa Igreja para preservar a pureza do dia consagrado a Deus.

    Can. 8 : A violação da Trégua de Deus é um ato sacrílego e profanador do dia do Senhor e da Amizade Aristotélica; pela sua gravidade, comporta a excomunhão latae sententiae.

    Can. 9 : A Trégua de Deus é violada por quem, ao comando de um exército, dá a ordem de realizar um movimento agressivo entre o amanhecer do sábado e o amanhecer do domingo.

    Can. 10 : A Trégua de Deus é violada por quem, seja um general, um comandante militar ou um líder político, ordena que um exército execute um movimento agressivo entre o amanhecer de sábado e o amanhecer de domingo.

    Can. 11 : A Trégua de Deus é violada por quem, como soldado de um exército, segue seu comandante em um movimento agressivo, sabendo que tal movimento terá efeito no domingo, e derramará sangue ou ferirá alguém durante o dia de domingo; se a ação de tal soldado não resultar em atos violentos, constitui apenas uma violação parcial da Trégua de Deus e está sujeita a um julgamento de inquisição.

    Can. 12 : No contexto da Trégua de Deus, movimento agressivo significa: o movimento de um exército contra um território ou cidade sobre o qual o exército ou o estado que ele serve ou os aliados destes últimos não têm controle de facto; assim como cercar, sitiar ou tentar penetrá-los; o movimento de um exército contra outro exército que não está em sua lista branca.

    Can. 13 : Durante o dia de domingo, o uso de confrontos em competição deve ser limitado, mesmo para fins amigáveis, e se possível sem o uso de armas. Os duelos de honra são sempre proibidos aos domingos.

    Can. 14 : Os duelos de honra, os confrontos com intenções hostis ou o uso de armas no domingo são apenas uma violação parcial da Trégua de Deus e estão sujeitos a um interdito.

    n.b. : para mais detalhes ver o Direito Canônico sobre o interdito, texto canônico « A Virtude está no meio » parte V: Sobre penalidades e penitências.

    Can. 15 : A Santa Sé, em circunstâncias excepcionais e somente durante a guerra santa ou a luta contra o mal, pode conceder exceções à observância da Trégua de Deus, a fim de garantir a defesa da Verdadeira Fé.


    Constituição Apostólica sobre a Paz e a Trégua de Deus,
    Dada em Roma, no venerado sepulcro de São Titus Príncipe dos Apóstolos, no décimo segundo dia do mês de Dezembro, quinta-feira, dia de São Corentino, no ano de graça MCDLXVII, o primeiro do Nosso Pontificado.



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Daresha



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MessagePosté le: Sam Avr 18, 2020 1:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

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    Concession du titre de Majesté Aristotélicienne



      Nous, Arduino Della Scala, Doyen du Sacré-Collège des Cardinaux, par la volonté et la décision de Sa Sainteté Sixte IV, Evêque de Rome, Vicaire de Dieu sur terre, Successeur du Second Prophète et de Saint Titus Prince des Apôtres, Souverain Pontife et Pape de l'Eglise Universelle, Métropolite de la Province de Rome, Serviteur des Serviteurs de Dieu, devant le Tout-Puissant et sous le regard de ses Deux Prophètes, Aristote et Christos,


      Étant Sa Majesté la Marquise de Provence, Hersende de Brotel, une femme d'une Foi indiscutée et inébranlable, un exemple élevé de vertu aristotélicienne, de fraternité, d'amitié, et comme elle gouverne nos bien-aimés enfants provençals éclairée par les enseignements des Prophètes,

      Annonçons

      L'octroi du privilège exclusif et personnel de porter le titre de Majesté Aristotélicienne à Sa Majesté Hersende de Brotel, pour toute la durée de son mandat et dans les actes officiels et privés afin que sa dévotion et sa foi soient un exemple et un modèle à suivre pour son peuple et pour tous les gouvernants.

      Nous souhaitons et prions pour que le bien-aimé et très noble peuple provençal soit toujours un phare de foi et de fidélité à la Parole du Très-Haut, en communion avec sa Sainte Mère l'Église Aristotélicienne Romaine et Universelle.





    Ad Maiorem Dei Gloriam


    Roma, X.XII.MCDLXVII Sixti IV PP Anno I




    Arduino Della Scala, Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalis Decanus.

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Daresha



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MessagePosté le: Sam Avr 18, 2020 1:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


    Sixtus Episcopus Romanus
    Omnibus has literas lecturis
    Atque venerabilibus fratribus archiepiscopis et episcopis Galliarum omnium
    Salutem in Domino sempiternam.




    Ayant reçu des nouvelles inquiétantes au sujet des événements actuels dans la belle terre du Périgord ainsi que dans celle de l'Angoumois, nous avons estimé qu'il était nécessaire d'intervenir pour la paix et la clarté. Tout d'abord, en tant que Père et Pasteur, nous exhortons tous nos bien-aimés enfants Périgourdines et Angoumoisins à renoncer à l'usage de la violence et des armes, à cesser toute tentative ou initiative de prévarication à s'arrêter et à engager un dialogue pour résoudre tout conflit ; deuxièmement, nous précisons et proclamons qu'aucune guerre sainte ou croisade n'a été proclamée en France ou en Périgord-Angoumois et que dans ces terres le Saint-Siège n'a accordé aucune dérogation à l'observance de la Trêve de Dieu ni à l'interdiction pour les clercs ordonnés de porter des armes ; de même, nous clarifions et proclamons que le Saint-Siège n'a autorisé personne en Périgord-Angoumois à parler en son nom et que personne, sauf le Saint-Siège et la Curie Romaine, peut déclarer hérétique ou excommunier n'importe qui. Nous prierons pour que la paix et la raison triomphent et nous invitons tous nos enfants bien-aimés à faire de même. Avec notre bénédiction apostolique, que le Très Haut vous guide et vous garde tous.


    Datum Romae, apud Sanctum Titum, die quinto mensis decembris, Anno Domini millesimo quadringentesimo sexagesimo octavo, Pontificato Nostri secundo.




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