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L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church
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Message |
Martin_Tamarre
Cardinal
Inscrit le: 02 Oct 2009
Messages: 3407
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 Posté le: Sam Mai 30, 2020 9:19 pm Sujet du message: [RP] Réponse au mutisme de Sa Sainteté |
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Martin cloua cette annonce en Place d'Aristote avec cette petite note : A diffuser le plus largement dans toutes les gargotes de tous les Royaumes !
Il s'éloigna ensuite sans se retourner...
| Citation: | --------------------------------------------------------------
----------------Réponse d'un Ex-Primat de France au mutisme de Sa Sainteté
A Sa Sainteté Sixte IV,
Paix et Bénédiction,
- Nous ne sommes pas étonné et nous savions que nous allions lire une annonce du Consistoire au lieu d'une,
de Sa Sainteté Sixte IV.
Manque de courage de ce dernier ? Certainement... Il est plus facile de critiquer le travail de personnes qu'on
ne connait pas que de faire sa propre autocritique...
- Pour revenir à cette annonce, il est très surprenant de voir ce passage "désobéissance envers le Siège Apostolique
& l'autorité pontificale au nom de l'Assemblée Épiscopale de France". En aucun cas, on m'a demandé de nommer
cette personne puisque l'annonce de ce dernier a été faite par Sa Sainteté Sixte IV, lui même, du fond de son
fauteuil doré où il s'est certainement endormi depuis ce temps ! Je me suis simplement exprimé sur la façon de
faire et que, pour être reconnu par notre Assemblée, il devrait passer par le système mis en place pour occuper
une charge d'Administrateur.
Vous savez ? Le système que nous impose rigoureusement Sa Sainteté Sixte IV mais qu'il n'applique pas à lui
même quand il s'agit de copinage.
Sa Sainteté Sixte IV a plus l'air de prôner le : "Fais ce que je dis mais pas ce que je fais !"
- En ce qui concerne les excuses demandées par le Consistoire, elles pourront être faites quand le donneur de leçon
qu'est Sa Sainteté Sixte IV, aura fait de même quand il s'est exprimé, sans preuve et sans s'être même
déplacé jusqu'au petit peuple qu'est l'Assemblée Épiscopale de France, sur la soi-disant fainéantise du Primat
et des Vices-Primat. Vu son peu d'activité, je pense que Sa Sainteté Sixte IV prend son cas pour une
généralité à Rome. Mais j'aimerai lui dire que la Primatie de France n'a rien à lui envier sur son activité car
elle l'est bien plus que la sienne.
- Je terminerai ce courrier en disant, que j'espère que la Primatie de France ne prendra pas le chemin peu vertueux
de Sa Sainteté Sixte IV. Ce dernier a beau toujours faire passer les Reynes et Roys de France pour les méchants mais
quand on essaye de rétablir un semblant de relation avec ces derniers, il utilise des moyens occultes pour écouter
les conversations même quand il n'est pas dans la pièce.
- Pour ma part, j'attends toujours les excuses de Sa Sainteté Sixte IV et seulement après, je penserai aux miennes.
Mais une chose est sûre, Sa Sainteté Sixte IV n'est pas assez vertueux pour avouer qu'il a fauté. Je pense qu'il est
trop présomptueux pour l'assumer et surtout, pour l'avouer publiquement.
En ce qui concerne le pèlerinage, j'invite Sa Sainteté Sixte IV à le faire avec moi pour se remémorer qu'il doit
respecter la Primatie de France s'il veut recevoir du respect en retour.
- En conclusion, dans quelques jours, sans excuses de Sa Sainteté Sixte IV, je prendrai une décision sur mon lien
avec Rome de par ma charge d'Archevêque de Rouen et même de simple fidèle.
Car à quoi bon suivre une personne si peu vertueuse ? Comment prêcher une vie vertueuse quand Sa Sainteté
Sixte IV ne les applique pas à lui-même ? Ce dimanche, j'invite tous les fidèles de la Province de Rouen et des autres
Provinces et Royaumes à se réunir dans les cathédrales de France et d'ailleurs, pour réveiller tous les Archevêques
et Évêques pour qu'ils fassent enfin leur travail ! Un office ! Je les invite également à prier pour que Sa Sainteté
Sixte IV reprenne le chemin de la vertu et lui montrer le chemin au besoin !
- Et n'oubliez pas une chose importante ! Sa Sainteté Sixte IV a été choisi pour un temps indéterminé et non
quelques mois comme pour nos Reynes et Roys. Sachez donc que le seul moyen de le ramener dans le droit chemin,
c'est de lui montrer par vous même qu'il s'est égaré. C'est à nous ! Tous les fidèles Aristotélicien, de le faire !
Pour le rayonnement de la fraternité dans le monde,
Que le Très Haut vous couvre de sa bienveillance éternelle !
Rédigé en les locaux de l'Archevêché de Rouen
En le trentième jour du cinquième mois de l'an de grâce MCDLXVIII
- Le 30 mai 1468 -
Son Excellence Monseigneur Martin Tamarre de Nivellus,
Archevêque Métropolitain de la Province de Rouen,
Évêque d'Hébron.
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| Code: | [quote][color=transparent]--------------------------------------------------------------[/color][img]https://nsm09.casimages.com/img/2019/08/12//19081210351624286816355605.png[/img]
[color=transparent]----------------[/color][color=darkred][size=18][b]Réponse d'un Ex-Primat de France au mutisme de Sa Sainteté[/b][/size][/color]
[img]https://nsm09.casimages.com/img/2019/01/27//19012702293524286816094584.png[/img]
[list]
[b]A[/b] Sa Sainteté Sixte IV,
[list]
[b]P[/b]aix et [b]B[/b]énédiction,
[list]
[*][b]N[/b]ous ne sommes pas étonné et nous savions que nous allions lire une annonce du Consistoire au lieu d'une,
de Sa Sainteté Sixte IV.
Manque de courage de ce dernier ? Certainement... Il est plus facile de critiquer le travail de personnes qu'on
ne connait pas que de faire sa propre autocritique...
[*][b]P[/b]our revenir à cette annonce, il est très surprenant de voir ce passage "désobéissance envers le Siège Apostolique
& l'autorité pontificale au nom de l'Assemblée Épiscopale de France". En aucun cas, on m'a demandé de nommer
cette personne puisque l'annonce de ce dernier a été faite par Sa Sainteté Sixte IV, lui même, du fond de son
fauteuil doré où il s'est certainement endormi depuis ce temps ! Je me suis simplement exprimé sur la façon de
faire et que, pour être reconnu par notre Assemblée, il devrait passer par le système mis en place pour occuper
une charge d'Administrateur.
Vous savez ? Le système que nous impose rigoureusement Sa Sainteté Sixte IV mais qu'il n'applique pas à lui
même quand il s'agit de copinage.
Sa Sainteté Sixte IV a plus l'air de prôner le : "Fais ce que je dis mais pas ce que je fais !"
[*][b]E[/b]n ce qui concerne les excuses demandées par le Consistoire, elles pourront être faites quand le donneur de leçon
qu'est Sa Sainteté Sixte IV, aura fait de même quand il s'est exprimé, sans preuve et sans s'être même
déplacé jusqu'au petit peuple qu'est l'Assemblée Épiscopale de France, sur la soi-disant fainéantise du Primat
et des Vices-Primat. Vu son peu d'activité, je pense que Sa Sainteté Sixte IV prend son cas pour une
généralité à Rome. Mais j'aimerai lui dire que la Primatie de France n'a rien à lui envier sur son activité car
elle l'est bien plus que la sienne.
[*][b]J[/b]e terminerai ce courrier en disant, que j'espère que la Primatie de France ne prendra pas le chemin peu vertueux
de Sa Sainteté Sixte IV. Ce dernier a beau toujours faire passer les Reynes et Roys de France pour les méchants mais
quand on essaye de rétablir un semblant de relation avec ces derniers, il utilise des moyens occultes pour écouter
les conversations même quand il n'est pas dans la pièce.
[*][b]P[/b]our ma part, j'attends toujours les excuses de Sa Sainteté Sixte IV et seulement après, je penserai aux miennes.
Mais une chose est sûre, Sa Sainteté Sixte IV n'est pas assez vertueux pour avouer qu'il a fauté. Je pense qu'il est
trop présomptueux pour l'assumer et surtout, pour l'avouer publiquement.
En ce qui concerne le pèlerinage, j'invite Sa Sainteté Sixte IV à le faire avec moi pour se remémorer qu'il doit
respecter la Primatie de France s'il veut recevoir du respect en retour.
[*][b]E[/b]n conclusion, dans quelques jours, sans excuses de Sa Sainteté Sixte IV, je prendrai une décision sur mon lien
avec Rome de par ma charge d'Archevêque de Rouen et même de simple fidèle.
Car à quoi bon suivre une personne si peu vertueuse ? Comment prêcher une vie vertueuse quand Sa Sainteté
Sixte IV ne les applique pas à lui-même ? Ce dimanche, j'invite tous les fidèles de la Province de Rouen et des autres
Provinces et Royaumes à se réunir dans les cathédrales de France et d'ailleurs, pour réveiller tous les Archevêques
et Évêques pour qu'ils fassent enfin leur travail ! Un office ! Je les invite également à prier pour que Sa Sainteté
Sixte IV reprenne le chemin de la vertu et lui montrer le chemin au besoin !
[*][b]E[/b]t n'oubliez pas une chose importante ! Sa Sainteté Sixte IV a été choisi pour un temps indéterminé et non
quelques mois comme pour nos Reynes et Roys. Sachez donc que le seul moyen de le ramener dans le droit chemin,
c'est de lui montrer par vous même qu'il s'est égaré. C'est à nous ! Tous les fidèles Aristotélicien, de le faire !
[/list][b]P[/b]our le rayonnement de la fraternité dans le monde,
[b]Q[/b]ue le Très Haut vous couvre de sa bienveillance éternelle !
[/list][/list][img]https://nsm09.casimages.com/img/2019/01/27//19012702293524286816094584.png[/img]
[list]Rédigé en les locaux de l'Archevêché de Rouen
En le trentième jour du cinquième mois de l'an de grâce MCDLXVIII
- Le 30 mai 1468 -
[b]Son Excellence Monseigneur Martin Tamarre de Nivellus[/b],
Archevêque Métropolitain de la Province de Rouen,
Évêque d'Hébron.
[img]https://nsm09.casimages.com/img/2018/12/30//18123011054024286816053946.png[/img][/list][/quote] |
_________________
Son Éminence Martin Tamarre de Nivellus.
Cardinal émérite de Sainte Hildegarde de Bingen.
Préfet du Chapitre Régulier Romain.
Premier Vice Primat de France.
Archevêque métropolitain de Reims.
Évêque d'Hébron.
Comte de Spontin. |
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Sixtus
Pape
Inscrit le: 03 Juil 2014
Messages: 3984
Localisation: Sur les rives du Tibre
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| Posté le: Lun Juin 01, 2020 5:45 am Sujet du message: |
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| Citation: |
De Sa Sainteté Sixte IV, Souverain Pontife et Pape de l'Église Universelle,
A Monseigneur Martin Tamarre de Nivellus, jadis parmi les évêques les plus réputés de France
Malavisé frère dans l'épiscopat,
Nous prenons la plume aujourd'hui pour répondre à vos nombreuses et délirantes lettres publiques, dans l'espoir de ramener la raison dans le cœur d'un homme qui a été clairement assombri par l'orgueil et la présomption. Tout d'abord, nous voulons vous rassurer que nous ne craignons de répondre à aucun de nos frères et sœurs dans l'épiscopat, tout comme nous sommes toujours prêts à écouter touts nos enfants bien-aimés dans la Foi. Toutefois, Monseigneur, vous devez également vous rappeler que la gestion des relations avec les assemblées épiscopales, et même avec les primats qui les représentent, a été longtemps déléguée aux soins des Consistères Pontificaux. Nous supposerons donc que c'est seulement à cause d'une lacune dans votre connaissance de la Sainte Eglise que vous vous êtes étonné de recevoir une réponse du Consistoire Pontifical Francophone ; quelle que soit la vérité, vous n'êtes plus primat et nous pouvons donc vous répondre sans contourner aucune composante de notre hiérarchie, chose que nous faisons avec très peu de plaisir et seulement rarement. C'est précisément à la suite et à l'égard d'une de nos rares interventions directes, rares précisément parce qu'elles se limitent aux seuls affaires nécessaires, que vous avez soulevé vos plaintes délirantes auxquelles nous nous permettons de répondre selon l'ordre dans lequel vous les avez émises.
Avant toute chose, nous convenons avec vous qu'il est très facile de critiquer quand on ne connaît pas la situation, tout comme il est tout aussi facile de se considérer innocent de toute culpabilité quand on n'en a pas conscience ; en raison de cette considération, un primat peut très bien se sentir exempt de défauts lorsqu'il ignore qu'un des diocèses dont il est responsable est sans aucune forme d'administration In Gratibus depuis plusieurs jours, il n'aura pas le sentiment d'avoir manqué à ses devoirs en négligeant même d'émettre un simple appel aux candidatures pour un administrateur diocésain, tout comme il se sentira pleinement en droit de critiquer la plus haute autorité au-dessus de lui si celle-ci est intervenue pour réparer ces défauts.
Nous espérons et prions, Monseigneur, que vous reveniez à cette considération, que vous ignoriez que le vénérable siège de Cahors était vacant et sans administration depuis plusieurs jours, que vous ignoriez qu'un appel aux candidatures pour un évêque Res Parendo ne permettrait pas à l'assemblée que vous autrefois présidiez de nommer un administrateur In Gratibus, que vous ignoriez que de nombreux fidèles du diocèse étaient affligés par l'absence d'un représentant de la Sainte Église, que vous ignoriez que de nombreux fidèles et autres croyaient que l'inaction de la Sainte Eglise avait provoqué un ralentissement des désignations aux paroisses, que vous ignoriez que des groupes hérétiques locaux complotaient déjà pour profiter de cette situation pour profaner la cathédrale de Cahors, qui serait l'énième en France à subir ce sort. Nous espérons et prions, Monseigneur, parce que nous n'avons pris connaissance de cette situation que parce que nous sommes actuellement en Guyenne pour prier après la profanation de l'abbaye de Sainte Illinda, et non parce qu'il est du devoir du Souverain Pontife de veiller à ce que le diocèse de Cahors soit géré de la meilleure façon possible, puisque cette tâche incombe au seul Primat de France, c'est-à-dire, à l'époque, à vous.
Et il n'est guère utile, Monseigneur, de nous montrer ce que nous savions déjà, à savoir que la personne désignée par nous n'est devenue éligible au poste d'administrateur In Gratibus que récemment, puisqu'entre-temps il n'y avait pas eu d'appel aux candidatures qui aurait permis à l'Assemblée Episcopale de France de le nommer conformément aux normes statutaires et canoniques, normes qui nous permettent, à nous et à nous seuls, de procéder à une nomination directe. Que cela vous plaise ou non, Monseigneur, notre intervention a rétabli la situation minimale qui devrait être la normalité, une normalité qui aurait pris beaucoup plus de temps à cause de votre inaction et que, puisse le Très-Haut nous en garder à l'avenir, aurait aussi pu causer la profanation et la perte d'un diocèse.
Peu importe donc que vous ayez maladroitement tenté de vous opposer à ce que nous avons déjà édicté, ou que vous niez publiquement notre autorité, ou que vous ayez tenté de vous attribuer des pouvoirs qui ne vous appartiennent pas et pour lesquels ceux qui vous ont précédé dans la charge de Primat de France ont été punis de manière exemplaire ; ce qui importe, c'est que les fidèles, les âmes qui nous sont confiées par le Très-Haut, notre peuple, ceux qui devraient être notre principale préoccupation, ne courent aucun risque et auront peut-être un peu plus confiance en la Sainte Mère Eglise. Vous demandez nos excuses. Pour quoi? Pour avoir accompli notre devoir sacré et avoir protégé nos enfants bien-aimés dans la foi? Ou peut-être, Monseigneur, pour avoir signalé vos lacunes, comme nous l'avons toujours fait dans la franchise de l'Amitié Aristotélicienne, et peut-être pour avoir blessé vos sentiments? Nous sommes vraiment désolés si nous avons blessé vos sentiments et nous aimerions pouvoir vous dire qu'à l'avenir nous aurions fait autrement, que nous aurions mis de côté le bien-être des fidèles, que nous aurions ignoré un risque réel et imminent, que nous aurions gardé le silence et fait semblant de rien, que nous sauvegarderions votre fierté personnelle devant ce que nous tous, en tant que prêtres, avons juré de défendre, mais la vérité est que nous ne pouvons pas et ne pourrons jamais.
Si vous vouliez connaître les raisons de notre intervention, Monseigneur, maintenant vous les connaissez et elles ne concernent en rien Monseigneurs les évêques et les autres excellents membres de l'Assemblée Épiscopale de France, car elles ne concernent que vous et vous seul. Cependant, ne vous inquiétez pas trop, car, toujours dans l'esprit de l'Amitié Aristotélicienne, nous n'avons jamais manqué de signaler à nos frères et soeurs de l'épiscopat français, comme à n'importe qui d'autre, où ils manquaient et où ils devraient s'améliorer, tout comme nous n'avons jamais rejeté une critique ou une remarque, car ce n'est que par une confrontation franche et sincère que l'on peut s'améliorer. De toute évidence, Monseigneur, vous ne partagez pas ce simple précepte, sinon vous n'auriez pas réagi comme vous l'avez fait, mais vous nous auriez répondu en privé, puisque notre décision avait été rendue en privé pour une bonne raison, en nous demandant plus d'explications et également en nous avertissant d'un déficit de communication.
Au contraire, vous avez choisi d'agir avec colère et rage, de vous élever au-dessus de tous les autres, de vous considérer comme parfait et infaillible, de lancer des accusations infondées et de faire des propositions blasphématoires, de menacer même de renier votre propre foi et de vous éloigner de cette Sainte Mère que vous appréciez quand elle vous a rassuré sur votre rôle et sa confiance inchangée en vous devant les abus d'une souveraine hérétique. Alors, Monseigneur, avant de nous accuser de manquer de courage pour avoir fait agir les responsables, avant de nous accuser de copinage face à un seul candidat possible, avant de nous accuser d'hypocrisie parce que nous agissons dans les limites du possible, avant d'agir avec colère simplement parce que vous n'aimez pas une décision ou la façon dont elle a été communiquée, avant d'accuser quelqu'un de ne rien faire parce que vous ne savez pas ce qu'on fait, réfléchissez sur vos actions, sur vos paroles, méditez sur ce que vous avez fait, sur ce que vous auriez pu faire et sur ce que vous auriez dû faire par contre, rappelez-vous la devise héraldique que vous avez choisie ; nous faisons la même chose quand nous prions chaque jour depuis notre ordination sacerdotale. Vous avez fait un appel public à prier pour nous, un appel auquel nous voulons nous unir, car vous n'avez aucune idée du fardeau que le Très-Haut nous a confié et parce que le soutien de la prière ne peut que nous aider, mais nous demandons aussi de prier pour vous, Monseigneur, afin que vous puissiez retrouver la raison et la foi, qui ont été subjugués par orgueil et colère.
Puisse le Très-Haut toujours nous guider et nous garder tous,
|
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Eskerrik asko Iñési sinaduragatik |
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