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L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church
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Message |
erwann.
Inscrit le: 30 Nov 2020
Messages: 135
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 Posté le: Ven Avr 16, 2021 11:16 pm Sujet du message: [Annonce de la Couronne de France] Anathème, Blasphème (...) |
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L'Ambassadeur Royal afficha une publication provenant du Louvre et de Sa Majesté.
| Citation: | [center]
Alistaire Auguste de la Maison Vadikra, Roy de France par la grâce du peuple & par celle du Très-Haut.[/center]
A Tous qui liront ou se feront lire,
----------Anathème, Blasphème & Hérésie
Bon peuple de France,
Alors que les festivités de Pâques devraient unir tous les Fidèles de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Nous sommes au regret de constater qu'une partie d'entre eux se déchirent de l'autre côté des frontières de Notre beau Royaume.
Un schisme fait rage en Saint Empire Romain Germanique (SRING), qui oppose les partisans de l'Empereur* et le Saint Siège de Rome.
L'Empereur se targue de vouloir assainir l'Eglise, qu'il accuse d'être « une secte du Sans-Nom dirigée par les princes-démons et leurs sbires », corrompue et dévoyée, dans une annonce parue le 18 mars 1469 et confirmée par une seconde déclaration, quinze jours plus tard.
Que chacun soit averti que cette division prend racine dans des oppositions politiques et des conspirations belliqueuses, et non pas dans le prétendu désir de recouvrer une Eglise pure et exempte des tares que l'Empereur lui prête pour justifier ses actions.
L'Empereur, au gré d'alliances avec des engeances criminelles et ouvertement ennemies de Rome, à savoir ONE ainsi que les Lions de Juda, a pris le pli de récuser ses liens avec l'autorité papale, qu'il accuse de vouloir le spolier de ses droits et prérogatives sur les territoires que Sa Sainteté entendait défendre contre le crime, l'infâmie et l'hérésie.
L'Empereur accuse l'Eglise d'avoir revendiqué la souveraineté de la ville d'Ortebello, que Rome ne faisait que défendre contre une faction de rebelles soutenus par des brigands étrangers qui souhaitait livrer la ville à l'organisation ONE, par le contrôle de son port.
L'Empereur, en refusant aux Provinces du SRING assaillies par des hordes de margoulins genevois d'intenter quelconque action à leur encontre ; en interdisant à icelles de faire appel à l'aide offerte par Rome ; en traitant les soldats des armées papales comme des criminels invasifs ; en exigeant que les armées pontificales soient démantelées alors qu'elles constituaient le seul rempart face aux incursions des hérétiques Helvètes ; en faisant appel aux armées réformées des Lions de Juda pour combattre les Provinces avec qui il était en désaccord, a trahi la confiance que le Très Saint Père** et tous les Croyants du SRING lui portaient.
L'Empereur, en préférant au sacre qu'on lui offrait d'organiser à Rome un couronnement apocryphe sis à Strasbourg et mené par son Roy d'Armes, a contrevenu au dogme et a définitivement signé son hérésie. Il a, depuis, été excommunié, c'est-à-dire exclu de la communauté des Fidèles de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine.
Le jour même où le Saint Siège a décidé de démobiliser ses forces et de quitter la Savoie, l'Empereur a commencé à publier une série d'annonces fantasques et scandaleuses à propos de la création d'un nouveau territoire, au nom imaginaire et fantaisiste de « Royaume de Romagne ».
L'Empereur allègue qu'il est l'autorité suprême du Saint Empire Romain Germanique et prétend pouvoir instaurer un territoire créé de toutes pièces, où il escompte établir une Eglise et y nommer un Pape usurpateur, Iaudas. Ce dernier a perdu les titres, rang et rôles que Rome lui avait confiés.
Or, ce faisant, l'Empereur viole par deux fois la Constitution du SRING, que seule la Diète Impériale est habilitée à modifier. La Constitution du SRING définit la Foy romaine comme la religion officielle de l'Empire. De plus, le texte établit également les frontières impériales ; l'Empereur ne peut pas décider de créer de nouvelles terres, dont il ne maîtrise d'ailleurs pas l'étendue géographique, puisqu'il y ajoute la moitié de l'Italie.
L'Empereur se voudrait être un parangon de vertu et un champion de la Foy aristotélicienne. Il voudrait faire croire aux esprits naïfs et aux faibles de cœur, qu'il connaît le dogme aristotélicien et est le seul garant de son orthodoxie. Il prétend, en abjurant l'autorité de Rome, combattre la corruption, la soif du pouvoir et l'obscurantisme ; ce faisant, il se vautre dans l'hérésie, il se roule dans la mystification charlatane.
La France, fille aînée de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, condamne les actions de l'Empereur du SRING, cet apostat, et dénonce ses manigances, ses mensonges et son hérésie. Elle ne reconnaît pas ce pastiche d'autorité ni ces terres chimériques, et encore moins ses représentants hypocrites et arrivistes ; Elle s'élève contre l'infâmie de ces imposteurs et de ces usurpateurs.
La France renouvelle son soutien à la Très Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, seule garante de la Vraie Foy. Elle croît en son autorité dogmatique suprême représentée par le Pape, successeur de Titus pour La guider vers la Vérité. Elle demeure Fidèle aux Saintes Ecritures du Livre des Vertus.
A l'heure où l'Empereur sombre dans la folie de l'apostasie ainsi que dans les ténèbres de l'hérésie ; à l'heure où il s'éloigne du Chemin d'Aristote et de Christos, Nous ne saurions que lui remémorer la dernière strophe du Credo :
[center]Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle. [/center]
[center]Puisse-t-il revenir dans la Lumière de la Vraie Foy, abjurer ses péchés et trouver le Pardon.[/center]
[right]Rédigé à Paris le 16 avril 1469[/right]
[center]  [/center]
*[char]Cesare.copona[/char]
**[char]Cesarino[/char] |
_________________
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Fenice
Cardinal
Inscrit le: 19 Déc 2010
Messages: 11961
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| Posté le: Sam Avr 17, 2021 3:57 pm Sujet du message: |
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Et juste à temps est venue la réponse et les remerciements.
| Citation: | [center]
Alistaire Auguste de la Maison Vadikra, Roy de France par la grâce du peuple & par celle du Très-Haut.[/center]
A Tous qui liront ou se feront lire,
----------Anathème, Blasphème & Hérésie
Bon peuple de France,
Alors que les festivités de Pâques devraient unir tous les Fidèles de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Nous sommes au regret de constater qu'une partie d'entre eux se déchirent de l'autre côté des frontières de Notre beau Royaume.
Un schisme fait rage en Saint Empire Romain Germanique (SRING), qui oppose les partisans de l'Empereur* et le Saint Siège de Rome.
L'Empereur se targue de vouloir assainir l'Eglise, qu'il accuse d'être « une secte du Sans-Nom dirigée par les princes-démons et leurs sbires », corrompue et dévoyée, dans une annonce parue le 18 mars 1469 et confirmée par une seconde déclaration, quinze jours plus tard.
Que chacun soit averti que cette division prend racine dans des oppositions politiques et des conspirations belliqueuses, et non pas dans le prétendu désir de recouvrer une Eglise pure et exempte des tares que l'Empereur lui prête pour justifier ses actions.
L'Empereur, au gré d'alliances avec des engeances criminelles et ouvertement ennemies de Rome, à savoir ONE ainsi que les Lions de Juda, a pris le pli de récuser ses liens avec l'autorité papale, qu'il accuse de vouloir le spolier de ses droits et prérogatives sur les territoires que Sa Sainteté entendait défendre contre le crime, l'infâmie et l'hérésie.
L'Empereur accuse l'Eglise d'avoir revendiqué la souveraineté de la ville d'Ortebello, que Rome ne faisait que défendre contre une faction de rebelles soutenus par des brigands étrangers qui souhaitait livrer la ville à l'organisation ONE, par le contrôle de son port.
L'Empereur, en refusant aux Provinces du SRING assaillies par des hordes de margoulins genevois d'intenter quelconque action à leur encontre ; en interdisant à icelles de faire appel à l'aide offerte par Rome ; en traitant les soldats des armées papales comme des criminels invasifs ; en exigeant que les armées pontificales soient démantelées alors qu'elles constituaient le seul rempart face aux incursions des hérétiques Helvètes ; en faisant appel aux armées réformées des Lions de Juda pour combattre les Provinces avec qui il était en désaccord, a trahi la confiance que le Très Saint Père** et tous les Croyants du SRING lui portaient.
L'Empereur, en préférant au sacre qu'on lui offrait d'organiser à Rome un couronnement apocryphe sis à Strasbourg et mené par son Roy d'Armes, a contrevenu au dogme et a définitivement signé son hérésie. Il a, depuis, été excommunié, c'est-à-dire exclu de la communauté des Fidèles de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine.
Le jour même où le Saint Siège a décidé de démobiliser ses forces et de quitter la Savoie, l'Empereur a commencé à publier une série d'annonces fantasques et scandaleuses à propos de la création d'un nouveau territoire, au nom imaginaire et fantaisiste de « Royaume de Romagne ».
L'Empereur allègue qu'il est l'autorité suprême du Saint Empire Romain Germanique et prétend pouvoir instaurer un territoire créé de toutes pièces, où il escompte établir une Eglise et y nommer un Pape usurpateur, Iaudas. Ce dernier a perdu les titres, rang et rôles que Rome lui avait confiés.
Or, ce faisant, l'Empereur viole par deux fois la Constitution du SRING, que seule la Diète Impériale est habilitée à modifier. La Constitution du SRING définit la Foy romaine comme la religion officielle de l'Empire. De plus, le texte établit également les frontières impériales ; l'Empereur ne peut pas décider de créer de nouvelles terres, dont il ne maîtrise d'ailleurs pas l'étendue géographique, puisqu'il y ajoute la moitié de l'Italie.
L'Empereur se voudrait être un parangon de vertu et un champion de la Foy aristotélicienne. Il voudrait faire croire aux esprits naïfs et aux faibles de cœur, qu'il connaît le dogme aristotélicien et est le seul garant de son orthodoxie. Il prétend, en abjurant l'autorité de Rome, combattre la corruption, la soif du pouvoir et l'obscurantisme ; ce faisant, il se vautre dans l'hérésie, il se roule dans la mystification charlatane.
La France, fille aînée de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, condamne les actions de l'Empereur du SRING, cet apostat, et dénonce ses manigances, ses mensonges et son hérésie. Elle ne reconnaît pas ce pastiche d'autorité ni ces terres chimériques, et encore moins ses représentants hypocrites et arrivistes ; Elle s'élève contre l'infâmie de ces imposteurs et de ces usurpateurs.
La France renouvelle son soutien à la Très Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, seule garante de la Vraie Foy. Elle croît en son autorité dogmatique suprême représentée par le Pape, successeur de Titus pour La guider vers la Vérité. Elle demeure Fidèle aux Saintes Ecritures du Livre des Vertus.
A l'heure où l'Empereur sombre dans la folie de l'apostasie ainsi que dans les ténèbres de l'hérésie ; à l'heure où il s'éloigne du Chemin d'Aristote et de Christos, Nous ne saurions que lui remémorer la dernière strophe du Credo :
[center]Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle. [/center]
[center]Puisse-t-il revenir dans la Lumière de la Vraie Foy, abjurer ses péchés et trouver le Pardon.[/center]
[right]Rédigé à Paris le 16 avril 1469[/right]
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*[char]Cesare.copona[/char]
**[char]Cesarino[/char]
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La Sainte Église Aristotélicienne Universelle et Romaine, guidée par Sa Sainteté le Pape Sixte IV et le Sacré Collège des Cardinaux,
remercie le Royaume de France, Sa Majesté Alistaire Auguste de la Maison Vadikra
pour sa condamnation publique et explicite des actes commis par l’Empereur du SRING contre Notre Sainte Mère l’Église, au travers d’un énoncé clair des réalités de la situation analysée avec une grande précision.
La vérité se trouve ainsi rétablie au milieu des mensonges proférés par l’Empereur et de ses erreurs.
Alors que le clergé, les nobles impériaux, les nobles pontificaux et les fidèles sont persécutés depuis des semaines à présent, le soutien affiché par la Fille aînée de l’Église est un réconfort inestimable et apprécié à sa juste valeur.
Au travers de cette terrible situation, les Aristotéliciens s’unissent et ressortiront plus forts, guidés par la lumière et la sagesse du Très-Haut.
Puisse cette déclaration de foi, d’amitié et de vérité réveiller les consciences des personnes ayant perdu la foi, et montrer le chemin à celles et ceux perdus dans les ténèbres.
+Fortes in Fide+
Roma, XVII.IV.MCDLXIX, Sixtus IV PP Anno III
Pour le Sacré Collège des Cardinaux
Son Eminence Arduino Della Scala
Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalis Decanus
Pour la Congrégation de la Nonciature Apostolique
Son Eminence Fenice Maria Helena Deversi-Aslan Borgia
Cardinale-Chancelière de la Nonciature
 
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