L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[franckus]

il remercia d'un signe de tête le juge puis s'adresse a sixtine d'un ton posé et lent.

Sixtine, oui tout s'est fait très rapidement, je ne l'ai pas maitrisé et l'aurais je seulement pu ? en avais je vraiment l'envie ? oui je vous est appelé mon amour et vous est embrassé même si les derniers jours avant notre séparation j'avais du mal à le faire, mais je l'ai fait parce que je cherchais encore comment vous dire les choses. j'ai eu beau cherché la meilleur façons de vous le dire, il n'y en avait pas. je suis désolé que vous ayez trouvé cela lâche ce n'était pas mon intention , bien au contraire, j'ai fait ce que je pouvais pour que vous compreniez ce qu'il se passait.

Quand à la parfaite harmonie, j'ai du mal à croire que vous n'avez pas remarqué que quelque chose n'allait pas. peut être parce que je m'étais convaincu que j'arriverais à vous donner cette envie. vous m'avez envoyé tout les signes d'un mécontentement ou d'un manque d'envie et c'est d'ailleurs ce qui m'a permis d'en déduire que vous en étiez consciente, surtout ces derniers mois. ça fait deux ans que nous tournons en ronds et que j'essais de nous insuffler un nouveau souffle, Moujan d'abord, en me disant que ça vous plairais car c'est ce que vous aimiez, ça ne l'a pas fait, je vous est proposé un partie politique car c'est ce que vous aimiez, la non plus sans succès et enfin notre compagnie, même chose. j'ai bien tenté de comprendre pourquoi mais vous ne m'apportiez pas vraiment de réponse, comme si vous esquiviez la conversation. je voulais reprendre avec vous ma vie d'avant notre rencontre, la partager en pensant que cela nous donnerais un nouveau souffle, je pensais que ça vous ferais rêver, je n'ai pas su vous donner cette envie. et puis j'ai compris que vous me suiviez uniquement parce que c'était votre rôle d'épouse, même s'il est vrai que c'est ce que l'on est en droit d'attendre de son partenaire. à ce moment là je me suis trouvé découragé et j'ai compris que nous n'avancerions plus.

et puis cette expédition s'est présenté, je vous l'est proposé, vous l'avez accepté. Lors des premiers jours de notre escale à Béziers, j'ai compris que même ça se serait compliqué.
entre temps, j'ai fait la rencontre de vénus, j'ai réalisé que j'avais en fait besoin, d'être moi, de rire, de passer de bon moments, de faire des rencontres, de légèreté de m'écarter de la vie et de mes devoirs de noble et de la politique que j'ai totalement en horreur. nous avons développer une complicité que nous avions tout les deux perdu au fur et à mesure de ces deux années.

vous aviez très bien compris ce qu'il se passait avec vénus, le soir ou je vous ai parlé, je n'ai pas jugé utile d'en dire plus car il était évident que vous aviez compris. la situation n'était plus tenable et il fallait que je vous annonce que je souhaitais notre séparation avant que l'inévitable se produise.

Sachez que je ne vous reproche rien, et je ne vous juge pas comme responsable de là où nous en sommes aujourd'hui. ainsi va la vie aucun de nous deux n'est responsable de la fin de notre couple. aurions nous pu éviter d'en arriver là ? je ne pense pas. Dune manière ou d'une autre nous serions passé dans cette même salle, je n'y croyais plus.

[sixtine_cypher]

Elle inspira profondément puis répondit calmement

Vous avez pris la décision de mettre fin à notre union, soit, moi je trouve que vous avez un comportement égoïste où il n'y a que votre personne qui compte, à vous entendre il n'y a que moi la fautive.

Je n'en dirai pas plus ... ha si je vais vous demander de conserver les clefs du domaine car il y a tous mes documents importants et je ne sais pas comment en reconstruire un.

Elle se tourna vers le juge

Voila Messire Juge je vous remercie pour votre patience

[franckus]

a son tour, il se tourne devant le juge, attendant la suite.

[Ettore_Asburgo_D'Argovia]

Le Cardinal Asburgo d'Argovia, avec une sage discrétion, permit aux deux époux de s’exprimer avec franchise, laissant émerger les ressentiments dissimulés derrière la retenue imposée par la solennité du lieu. Après avoir écouté avec attention, il inspira profondément, recueillant en lui le poids des paroles entendues, et déclara d’une voix grave et mesurée :

Je considère avoir réuni les éléments suffisants pour élaborer la sentence. Je me retire maintenant en salle du conseil pour procéder à la délibération.

Sur ces mots, il se leva avec calme et, d’un pas assuré, quitta la salle.
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+ Ettore Asburgo D'Argovia
Cardinale-Presbitero di San Barnaba a Ripa
Decano del Tribunale della Rota Romana
Ufficiale dell'Ordine pontificio di Nicola V

[Ettore_Asburgo_D'Argovia]