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[RP] Mars 1457 - Cérémonie exceptionnelle pour les SA
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acar



Inscrit le: 25 Nov 2006
Messages: 3614

MessagePosté le: Lun Mar 30, 2009 11:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

A ces mots, enstendus, il reprict en chœur : Deus Lo Vult
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Chevreux



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Messages: 2048
Localisation: Dole (Franche-Comté)

MessagePosté le: Mar Mar 31, 2009 4:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

L'Ordensmarscahll avait senti dans la voix de sa soeur Aurore des sentiments bien sombres.

Il se promit d'aller lui parler après la cérémonie.

Il placa une main sur l'épée qu'il venait de recevoir et l'autre main sur l'étoile d'Aristete qu'il portait au cou, adressant ainsi rapidement une prière silentieuse au Très Haut, afin qu'Il vienne permettre au calme de revenir et de donner la force à tous de ne pas sombrer dans une colère ou une noirceur qui se voudrait néfaste pour les SA.

Il leva les yeux vers SE Ingeburge en attendant la suite des événements.

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ramon



Inscrit le: 14 Nov 2007
Messages: 580

MessagePosté le: Mar Mar 31, 2009 8:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ramon après s'être remis de la situation, se rapprocha du cardinale et lui chuchota a l'oreille:

-Je pense que nous pouvons reprendre la cérémonie, si demande est faites pour annuler ce qui a été fait, elle le sera après cette belle journée et Dieu en aura voulu ainsi.

Puis, il reprit avec le sourire pour apaiser l'atmosphère, qui était maintenant pesante:

-Nous aurons au-moins eut le plaisir d'avoir la reconnaissance de l'église quelques jours Very Happy
Alors, continuons je vous prie, que cette journée reste en nos mémoires Very Happy


Il s'éloigna et reprit sa place initiale.
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neocor



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Localisation: Chambery

MessagePosté le: Mar Mar 31, 2009 10:22 pm    Sujet du message: Neocor Répondre en citant

Neocor avait assisté effondré à l'intervention d'Aurore... Il avait grande amitié pour Elle, mais songea qu'elle avait pêché par excès... Il se promit de lui en faire la remarque...
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Kad



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Messages: 6405
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MessagePosté le: Mer Avr 01, 2009 4:41 am    Sujet du message: Répondre en citant

Il avait tranquillement poursuivi le cérémonial, répétant inlassablement les mêmes gestes, toujours avec autant d'application. Les adoubements de Monseigneur Sabotin, Grand Maître des Francs, ainsi que de l'ancien Ordensmarschall Teutonique, Ramon, étaient à ses yeux indiscutables et mérités, au même titre que les précédents. Il avait eu l'occasion de travailler avec eux, lors de mobilisations ou encore à la Garde, et appréciait leurs compétences. Les deux Chevaliers faisaient montre de charisme et sagesse. Lorsqu'Aurore pénétra dans la chapelle, interrompant d'une voix puissante le déroulement de l'office, il s'interrompit un instant.

Sa couronne avait cessé de vaciller. Le coup de froid avait chassé le vacillement de l'ornement. Il avait entendu chaque mot, l'avait gravé en sa mémoire, et ne manquerait de réagir par la suite, au sortir de la chapelle, lors de la réunion exceptionnelle qui se tiendrait probablement à l'Etat Major des Saintes Armées. Pour l'heure, il importait que la cérémonie honorant les milites reste focalisée sur son seul et unique objectif.

Le vieux Préfet de se diriger vers le Connétable de Rome, le regard sombre, les traits plissés comme lors d'une délibération inquisitoriale...

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Ingeburge



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Messages: 9794
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MessagePosté le: Ven Avr 03, 2009 10:15 pm    Sujet du message: Le plus beau, c'est Marco! Répondre en citant

Elle était demeurée imperturbable, ne faisant pas attention à tous les chevaliers, nouvellement adoubés ou non, s'alignant devant elle suite à son appel.
Mais sous son masque habituel d'indifférence, elle souffrait. Même si elle n'écoutait pas, elle ne pouvait qu'entendre, même si elle ne regardait pas, elle ne pouvait que voir. Et elle avait entendu et vu.

Elle ne réagit que lorsque le Vénérable s'agenouilla devant elle. Elle eut un geste de protestation mais aucun son ne put franchir la barrière hermétique de ses lèvres. Et ce qu'elle ne parvint pas à exprimer par la parole, elle le fit passer par son regard éteint qui s'anima quelque peu. Ils étaient frères en chevalerie, il n'avait pas à se mettre à genoux devant elle. Et ils œuvraient pour la même chose : faire triompher la Vraie Foi et contribuer à la gloire du Très-Haut, au-delà d'eux-mêmes et de leurs intérêts propres.
Elle s'en voulut de ne pouvoir dire tout cela mais elle ne pouvait pas, elle était comme anesthésiée par l'outrage, trop interdite pour s'exprimer à haute voix. Elle avait jeté ce qui lui restait de force dans son appel précédent, elle était exsangue même si elle tenait encore debout. Elle pressa plus énergiquement l'épaule de Leg, l'invitant à se relever et son regard mort se perdit à nouveau dans le lointain.

Qu'attendait-Il d'elle? La question s'imposa à elle, brutale. Etait-ce une nouvelle épreuve? Examinait-Il à nouveau sa détermination?
Il savait qu'elle avait voulu renoncer, Il savait qu'elle s'interrogeait sur ses capacités à se battre encore et toujours, Il savait qu'elle se sentait incapable dans bien des domaines, Il savait qu'elle était au bord de l'abandon, Il savait qu'elle n'aspirait qu'à l'oubli. Elle ne demandait rien que la paix.
Et toujours la destinée — ou Lui? — s'ingéniait à ne pas la laisser tranquille. Tout ceci méritait-il qu'elle y laisse sa santé? Tout ceci méritait-il qu'elle y laisse sa lucidité? Tout ceci méritait-il qu'elle y laisse sa vie?
En cet instant précis, tout ce qui avait régi son existence lui paru bien dérisoire, ses principes et sa ligne de conduite ne pesaient pas lourds.

Alors, elle fuit. Seulement en pensées car les convenances et son rang ne lui permettaient pas de rejoindre l'obscurité réconfortante de la sacristie.
Elle se revit, enfant insouciante, au couvent de la Celle, quand son temps était partagé entre la prière, les leçons et les jeux en plein air. Elle avait appris ce qu'on avait bien voulu lui laisser voir et elle avait découvert par elle-même ce qu'on ne voulait pas qu'elle approche de trop près. Ses pensées se fixèrent sur un souvenir précis. Elle se trouvait dans l'antique bibliothèque, à fureter et à compulser des ouvrages bien plus vieux que les murs qui les abritaient. Sa préférence allaient à ceux qui étaient tenus hors de portée des petites pensionnaires. Elle avait vité délaissé les écrits averroïstes et spinozistes, inintéressants et si risibles à ses yeux, pour ceux des philosophes grecs que l'on disait païens et bien peu recommandables pour des fillettes destinées à faire un mariage avantageux et à remplir le rôle d'une épouse dévouée. Elle avait dévoré des pages et des pages, à la faveur de son grec rudimentaire, appréhendant des concepts qui la déroutaient parfois. Mais elle y revenait toujours, intriguée et ravie. Et elle les avait dévorés à nouveau plus tard, quand elle maîtrisa enfin un peu mieux la langue hellène.

Et ce fut les mots d'un de ces Anciens qui lui revinrent alors qu'elle ne réagissait toujours pas aux paroles échangées, aux murmures curieux, aux déplacements effectués et aux gestes esquissés.
Elle les revit clairement, ils n'avaient jamais déserté son esprit :

    « Dès le matin, me dire à moi-même : tu vas rencontrer un fâcheux, un ingrat, un insolent, un fourbe, un envieux, un égoïste. Ils ont tous ces vices par suite de leur ignorance des biens et des maux. Mais moi, qui ai examiné la nature du bien, qui est d'être beau, et celle du mal, qui est d'être honteux, et celle de l'homme vicieux lui-même, considérant qu'il a la même nature que moi, qu'il est issu non du même sang ni de la même semence, mais de la même intelligence, et qu'il est comme moi en possession de parcelles de divinité, je ne puis recevoir aucun tort de ces hommes parce qu'aucun d'eux ne pourra me déshonorer ; je ne puis non plus m'irriter contre un parent ni le haïr, car nous sommes nés pour l'action en commun, comme les pieds, les mains, les paupières, les rangées des dents d'en haut et d'en bas. Agir les uns contre les autres est contraire à la nature, et c'est agir les uns contre les autres que de s'emporter et de haïr. » *

Elle revint au présent, brutalement et ses yeux se posèrent sur la ligne que formaient devant elle les Chevaliers d'Isenduil. Ils étaient là, forts de leur tempérament, de leur histoire et de leur expérience. Si différents mais animés de la même volonté. Elle les regarda, durant un instant et les quelques cris lancés ça et là parachevèrent de la sortir de sa léthargie.
Elle reprit alors là où elle s'était arrêtée, comme en écho de ce qu'elle avait dit précédemment :

— La Très Sainte Eglise a besoin de vous, la Congrégation des Saintes Armées a besoin de vous... j'ai besoin de vous.
J'aimerais sincèrement vous voir composer le futur Conseil des Chevaliers d'Isenduil. Etre adoubé au nom de la Très Sainte Eglise ne vous oblige en rien à rejoindre cette noble assemblée, il vous appartient d'accepter ou non d'y entrer.
C'est pourquoi, si telle est votre volonté, je vous invite à réciter après moi le serment des membres du Conseil des Chevaliers d'Isenduil ou à reprendre votre place parmi l'assistance.


Et une main étreignant son Etoile de Rubis et l'autre se posant sur le pommeau de son épée, elle renouvela le serment prêté par le passé, yeux levés vers les voûtes de la Chapelle Milites Dei :
— Je jure ici de servir l'Eglise Aristotélicienne.
Je jure obéissance à l'Auditeur Général, au Chancelier militaire et au Chevalier Sénateur.
Je me conformerai à la Règle de l'Office Militaire et m'acquitterai de mes tâches au sein du Conseil des Chevaliers d'Isenduil, en plaçant ma fidélité envers icelui.
Je porterai et ferai honneur aux insignes que l'on m'a remis lors de mon anoblissement.
Je n'abuserai point de ma situation et resterai impartial concernant les décisions prises ou à prendre.
Je fais vœu de silence concernant les propos tenus au sein du Conseil des Chevaliers d'Isenduil et n'en parlerais qu'avec les autres Chevaliers ou la Sainte Curie.

J'ai reçu le glaive au nom du Très-Haut, d’Aristote et de Christos.
Je jure de ne m'en servir que pour ma propre défense, pour celle de la Sainte Eglise, pour celle de la Foi Aristotélicienne et pour celle du Saint-Siège. Autant que l'humaine fragilité me le permettra, je ne blesserais personne injustement avec lui.
Je serai attentif au fait que ce n'est pas par le glaive, mais par la Foi, que les Saints ont vaincu les païens!


Elle attendit, repensant à ce qui lui avait traversé l'esprit...
Sa santé? Il existait pour cela des remèdes et des guérisseurs plus ou moins charlatans.
Sa lucidité? Aussi loin qu'elle s'en souvienne, elle avait toujours été vacillante; un peu plus, un peu moins...
Sa vie? Il y avait longtemps qu'elle ne lui appartenait plus, elle Lui avait remis son existence entière à jamais.

A jamais.


----------------
* Marc Aurèle, Soliloques (τα εις εαυτον), Livre II, § 1

EDIT > Fautes
_________________
Morte deux fois en trois jours, vise le triplé


Dernière édition par Ingeburge le Sam Avr 04, 2009 12:51 am; édité 1 fois
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ramon



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Messages: 580

MessagePosté le: Ven Avr 03, 2009 11:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ramon genoux à terre, reprit à la suite de la cardinal, il etait bien evidant, qu'il ne laisserait pas ses engagements et soutiendrai ceux qui à ses yeux peuvent l'etre.Ainsi, il eut une pensé pour son cousin au moment de reprendre placant sa main dextre sur son coeur:

— Je jure ici de servir l'Eglise Aristotélicienne.
Je jure obéissance à l'Auditeur Général, au Chancelier militaire et au Chevalier Sénateur.
Je me conformerai à la Règle de l'Office Militaire et m'acquitterai de mes tâches au sein du Conseil des Chevaliers d'Isenduil, en plaçant ma fidélité envers icelui.
Je porterai et ferai honneur aux insignes que l'on m'a remis lors de mon anoblissement.
Je n'abuserai point de ma situation et resterai impartial concernant les décisions prises ou à prendre.
Je fais vœu de silence concernant les propos tenus au sein du Conseil des Chevaliers d'Isenduil et n'en parlerais qu'avec les autres Chevaliers ou la Sainte Curie.

J'ai reçu le glaive au nom du Très-Haut, d’Aristote et de Christos.
Je jure de ne m'en servir que pour ma propre défense, pour celle de la Sainte Eglise, pour celle de la Foi Aristotélicienne et pour celle du Saint-Siège. Autant que l'humaine fragilité me le permettra, je ne blesserais personne injustement avec lui.
Je serai attentif au fait que ce n'est pas par le glaive, mais par la Foi, que les Saints ont vaincu les païens!
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Epsonstylus



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MessagePosté le: Ven Avr 03, 2009 11:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La rouquine ne pouvait pas s'agenouiller à l'image de son frère teutonnique. Alors elle inclina la tête, ferma les yeux et une main sur son épée, l'autre son coeur elle récita ces mots :

Je jure ici de servir l'Eglise Aristotélicienne.
Je jure obéissance à l'Auditeur Général, au Chancelier militaire et au Chevalier Sénateur.
Je me conformerai à la Règle de l'Office Militaire et m'acquitterai de mes tâches au sein du Conseil des Chevaliers d'Isenduil, en plaçant ma fidélité envers icelui.
Je porterai et ferai honneur aux insignes que l'on m'a remis lors de mon anoblissement.
Je n'abuserai point de ma situation et resterai impartial concernant les décisions prises ou à prendre.
Je fais vœu de silence concernant les propos tenus au sein du Conseil des Chevaliers d'Isenduil et n'en parlerais qu'avec les autres Chevaliers ou la Sainte Curie.

J'ai reçu le glaive au nom du Très-Haut, d’Aristote et de Christos.
Je jure de ne m'en servir que pour ma propre défense, pour celle de la Sainte Eglise, pour celle de la Foi Aristotélicienne et pour celle du Saint-Siège. Autant que l'humaine fragilité me le permettra, je ne blesserais personne injustement avec lui.
Je serai attentif au fait que ce n'est pas par le glaive, mais par la Foi, que les Saints ont vaincu les païens!
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Izidore



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MessagePosté le: Ven Avr 03, 2009 11:45 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Encore l'esprit embrumé par ce qu'il venait de se passer, Izidore tentait de réfléchir rapidement à la situation. Il repensa a diverses choses qu'il avait acquises durant sa vie. Lui qui n'avait pas été élevé au sein des grandes universités ou parmis les cultivés moines aux bibliothèques immenses s'était forgé tout seul. Fils d'un maître d'armes, elles étaient devenus pour lui une seconde nature, le prolongement naturel de ses membres supérieurs.

Il avait à force de travail physique et de réflexion su comment utiliser au mieux selon son physique évoluant les armes les plus courantes au sein d'un château. Contraindre son corps et son esprit à des sacrifices pour obtenir la maitrise d'un domaine ou d'un art.
Cette loi était applicable a tous les domaines. Pour passer "maître" en un domaine il faut concevoir des sacrifices, peu importe leurs natures. Pour certains c'était physique, d'autres moral, psychologique, pour d'autres encore c'était leur âme. Tous avaient un but, réussir, seuls les domaines étaient différents.

Il avait fait bien des sacrifices pour parvenir à maitriser le "peu" de choses qu'il savait ; armes, combat, stratégie militaire, forge, études, diplomatie ... Tant de domaines et tant de sacrifices. Il n'y avait qu'une chose qu'il ne voulait sacrifier, son âme. Il espérait qu'il en serait de même pour tous ceux qui comme son Frère Ramon et lui même, allaient prononcer le serment.





— Je jure ici de servir l'Eglise Aristotélicienne.
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Chevreux



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MessagePosté le: Sam Avr 04, 2009 12:43 am    Sujet du message: Répondre en citant

Chevreux était resté silencieux, ne sachant pas trop quoi penser de ce qui venait de se passer.

Lorsque le Cardinal repris la cérémonie, il avait encore l'eprit tourné vers sa Soeur Arakiriman qu'il avait entendu sortir.

Voyant ses frères s'agenouiller un après l'autre et prêter serment, il attendit son tour et, genoux au sol également, prononcia le sien.


    Moi, Chevreux d'Entrelacs, sain de corps et d'esprit,
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Dernière édition par Chevreux le Sam Avr 04, 2009 3:19 am; édité 1 fois
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sabotin



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Messages: 1071
Localisation: Ici et ailleurs

MessagePosté le: Sam Avr 04, 2009 1:03 am    Sujet du message: Répondre en citant

Sabotin avait laissé ses frères et son épouse pretter individuellement leur serment. Quand vint son tour, il posa à nouveau un genoux à terre. Il avait déjà oublié l'incident de tout à l'heure et leva son regard vers Son Eminence Ingeburge pour prononcer son serment :

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Asphodelle



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Messages: 1354

MessagePosté le: Lun Avr 06, 2009 10:22 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Elle était restée silencieuse et recueillie jusqu'au départ d'Arakiriman.

Elle l'avait sortie du cadre car il n'était temps de penser à ce qui venait de se passer et cette incartade n'avait non plus sa place dans le déroulement de la cérémonie.
Lorsque Son Eminence prit la parole, elle avait légèrement levé la tête, le visage tranquille et dénué d'émotions, attentive.

Les Chevaliers prêtèrent serment reprenant les mots de Son Eminence.
Une seconde de silence prit sa marque avant qu'Asphodelle ne récitât le sien, comme si elle soupesait l'importance de ces mots, et que devant son destin, elle prenait toute la mesure de ce qu'elle devenait...faisant le contrepoids avec ce qu'elle était réellement : une simple femme pécheresse qui lutte contre les vices faciles de l'esprit.

Elle se tourne vers Son Eminence, qui comme elle, était avant tout faite de chair et de sang, et par un regard qui se veut à la fois fort et serein, la rassure que tout ira bien :


— Je jure ici de servir l'Eglise Aristotélicienne.
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Je n'abuserai point de ma situation et resterai impartial concernant les décisions prises ou à prendre.

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Chevreux



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MessagePosté le: Mar Avr 07, 2009 10:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Des huit personnes se trouvant à l'avant de la Chapelle, devant le SE Ingeburge, six d'entre eux, les nouveaux Chevaliers, avaient maintenant prononcés leurs serments.

Il ne manquait plus que le renouvellement de serment des deux plus anciens Chevaliers de ce groupe, soit Kad et Leg l'Ancien. Peut-être que l'incident qui venait juste de se passer les perturbaient encore.

C'était cette un incident qui marquerait l'esprit de toutes les personnes présentes. Lui-même s'en souviendrait et il s'était déjà promis d'aller discuter avec sa soeur Arakiriman pour essayer de mieux comprendre ses pensées. Mais le moment n'était pas encore venu de pouvoir aller la rencontrer.

Il se retourna vers ses Frères Chevaliers et attendit que ceux-ci prennent la parole à leur tour.

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Arakiriman



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MessagePosté le: Mer Avr 08, 2009 7:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Elle se retourna au moment de sortir.

Mes Frères Hobb et Mackimus, prétez allégeance, au contraire de ce que peut dire la cardinale vous etes également chevalier vu que vous etes médaille de Rubis comme tous ses petits copains et nos autres frères, eux méritants.

Encore une preuve que la cardinale à vouloir faire tout de sa manière et hors la loi, avait encore fait n'importe quoi.

Et puis qu'il semble que vous avez dissous le conseil, toujours aussi illégalement, il n'y a donc plus de chevalier Sénateur ni d'autres chevaliers là haut, je crois que l'on attend toujours leurs serment...

il y avait au moins 4 pseudos chevaliers hors la loi, et c'était elle la criminelle...Pauvre monde...

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l'Ordre Teutonique Recrute
Chevalier Légat d'Isenduil
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Kad



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MessagePosté le: Sam Avr 11, 2009 4:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Kad s'approcha et déclara :

Je jure ici de servir l'Eglise Aristotélicienne.
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Je me conformerai à la Règle de l'Office Militaire et m'acquitterai de mes tâches au sein du Conseil des Chevaliers d'Isenduil, en plaçant ma fidélité envers icelui.

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Je serai attentif au fait que ce n'est pas par le glaive, mais par la Foi, que les Saints ont vaincu les païens !

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