L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Val1]

Val1 reconnut son homologue. Après des salutations, ils entrèrent les trois dans la chapelle. Empreinte de calme et séreinité malgré la foule qui se pressait aux portes, la cérémonie allait commencer.
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[Espoire]

Alors qu'elle étaity arrivée à hauteur du vice grand ambassadeur de de l'ambassadeur royal, Espoire vit arriver leur homologue dans le Saint-Empire.

Messire Nsaymar, enchantée également, j’aurai voulu néanmoins que notre rencontre se fasse dans d’autres circonstances.

Espoire suivit en suite le petit groupe, elle entra dans l’église, signa puis se dirigea vers les places indiquées par son excellence Nsaymar

[Awenna]

Awenna était là effacée pour laisser la famille proche se recueillir en paix, elle finit par porter ses pas dans le saint lieu.
Ses yeux baisser, ses mains jointe devant elle, le port de l'uniforme impeccablement mis, ses cheveux brin remonter en un chignon, elle avançait et allait s'installer près de ses frères et soeurs.

Ses pensées, se dirigèrent vers la défunt, c'était grâce à lui si elle était à la Garde. Les conseils du Père Sapds l'avait dirigé à lui demander conseil. Il l'avait tout naturellement envoyé à la Citadelle.

Elle ne connaissait pas ce grand homme personnellement, mais son intégrité et sa valeur était connu de tous, surtout au sein des Sainctes Armées.

Elle le va les yeux pour voir si le Père Spads l'avait rejoint, mais elle ne l'aperçut pas encore.
De nouveau, elle repartait dans une prière pour cet homme, fière d'appartenir à la GE, elle tacherait de toujours prendre exemple sur Leg Lancien.
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[Izidore]

Triste journée que celle qui arrivée.
Un grand homme c'était éteint et avec lui beaucoup de choses disparaissaient également.
Chevalier, Chevalier Sénateur de l'Office dont il était lui même Chevalier et Légat. Isenduil.
Izidore avait revêtit une longue robe entièrement noire sur laquelle il avait fait brodé la croux Teutonique de même. Il ne portait pas de cape, pas d'arme - rares étaient ces moments d'ailleurs - Ni celle de son ancêtre ni celle d'Isenduil. Il portait simplement le collier de Chevalier d'Isenduil ainsi que sa crux de Chevalier Teutonique qui marquaient son appartenance à une même famille avec celui qui avait tant marqué les esprits.
Il faisait partit du cortège des Chevaliers de l'Office naturellement et avait pénétré dans la chapelle ainsi.
Il fut étonné de voir là certains visage qu'il ne s'attendait pas à voir tel ceux de Masacio, Bourgmestre de son village et la toujours aussi ravissante ex-Chancelière du Lyonnais, Espoire.
Au passage du cortège il salua ses Frères et Soeurs de l'Ordre Teutonique mais aussi ceux du corps des Saintes Armées.
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[Yanahor]

Le chemin avait été long jusqu’à Rome, Circa, Sebastienpirlet et Darkun l’accompagnaient, il avait voulu que la famille de Rubempré soit représenté pour aller rendre hommage à l’un des plus grands acteur de l’Empire Francophone.
Il y avait 3 hommes que le Duc de Salm se flattait d’avoir côtoyé et avec qui il était fier d’avoir œuvrer pour le Cercle Francophone, Rethun, Alandaros et Leg.
Et de ces 3 personnes Leg Di Cesarini était la dernière personne à avoir été vivante et maintenant que lui aussi s’était éteint, Yanahor se sentait bien seul, il n’avait plus personne sur qui il pouvait se targuer d’une certaine filiation intellectuelle et qui restait debout en ce monde.
D’un certain côté cela l’angoissait car petit à petit ses amis tombaient pour s’en aller siéger chez les Justes à la droite d’Aristote.
Il voyait que petit à petit l’insensible fuite des jours le rapprochait de plus en plus vers un même destin inéluctable.

Les 4 hommes entraient enfin dans Rome, ville millénaire que Yanahor avait déjà eue l’occasion de visiter , il y avait même négocier un traité de paix il y a de cela quelques temps et tout ces souvenirs tournoyaient dans sa tête comme les bougies vacillantes de sa jeunesse.

Le duc de Salm et ses amis pénétrèrent alors dans la basilique où reposait le corps de son ami défunt, il mit un genou au sol, se signa puis avança dans la nef pour aller s’asseoir et se recueillir sur cette grande lumière de l’Empire qui venaient de s’éteindre.

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[Darkun]

Aucune hésitation malgré le long voyage qu’il venait de faire quand le Duc de Salm son demi frère lui annonça la nouvelle de la mort du Duc de Bresse et de son désir de se rendre à ses funérailles.
A ces mots, il avait ressenti grande peine, se souvint du temps où tout deux s’étaient rencontrés, et ou si souvent ils s’étaient amusés de sa ressemblance avec l’un de ses proches.

Darkun s’était posé question sur cette mort si soudaine, mais comment et qui aurait pu en vouloir à un tel homme ? Cette question à ses yeux n’avait lieu d’être, il aurait fallu être des plus vils pour en arriver à détruire telle noblesse de cœur.

Bien sûr que peut être celui-ci avait pu faire quelques erreurs mais rien qui puisse ternir sa mémoire et c’est plus rassuré en voyant réelle tristesse dans le flot des Nobles et Personnes venues honorer l’Ancien qu’il suivit les pas des siens.

Il ne pouvait que regretter de n’avoir fait le voyage le menant en Empire plus tôt et regrettait d’autant plus moult hésitations à faire celui-ci.
L’Ancien garderait une grande place en son cœur..Tout en traversant la nef afin de venir prendre place son regard s’attarda sur les premiers rangs où il ne lui semblait faire erreur se tenait la famille Di Cesarini.
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Darkun Von Hohenzollern

[Circa]

Circa avait vécu aujourd'hui surement la plus grandiose des journées et ses instants resterons gravés pour toujours dans sa mémoire, et dire que son cher père m'offre la chance mais en même temps le malheur de finir cette grande journée dans ce saint lieu, mais pour voir s'éteindre un homme qui comptait aux yeux de son père. Pendant qu'ils marchaient afin de rejoindre la dépouille du défunt Leg, il ne pouvait pas s'empêcher de penser qu'il avait gagné d'avoir un père fier de son fils et ceci était la plus grande récompense qu'il pouvait avoir malgré tout. Côte à côte, deux duc, le père et le fils prêt à rendre hommage du mieux qu'il se doit celui qui était un grand homme de l'empire et qui le restera aux côtés d'Aristote. Une fois arrivé devant le défunt il s'inclina et suivit son père.
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Duc de Lorraine

[*Mylène*]

Placée aux côtés de Awenna, *Mylène* observait les gens présents et fit un signe de tête en direction de dame Espoire qu'elle était heureuse de croiser en ce lieu, même si elle aurait souhaité que le circonstance fut autre.
Recueillie elle baissa la tête et s'abima dans une prière pour cet homme qu'elle n'avait pas connu mais dont elle avait entendu parler.
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Matraqueuse en puissance dans la chasse aux hérétiques

[L'inommable]

Elle était le souffle de vie du néant de la Lune et d'ici, elle ressentit l'engouement pour elle-même en des lieux où il ne fallait point grand chose pour s'établir et donner ordre au chaos...

Tourbillon invisible, elle flotta au dessus des porteurs de deuils...

Ainsi, le lieu était propice assurément, et les voir tout pimpants, brillants lui donna grande joie, car l'ombre prend sa force après la lumière, pour la dominer, mêlant peur au désarroi.

La cour de Rome, terre d'assassins par excellence, ceci ne pouvait que l'intéresser et voir les nobles familles persistant dans cette voie, elle ne pouvait qu'en éprouver du contentement.

Tourbillon de fraicheur, penserons certains me touchant sans le savoir, le soleil de juin faisait passer ma froideur pour une bise de contentement... Grand bien leur fasse.

Et pourtant, les écouter donnait presque le chemin de la terreur, en ces terres ou bon fidèles de la lumière se mêlaient aux ombres naissantes.

Oanlylone. La nouvelle Oanylone. Si elle avait un visage, elle arborerait un sourire de satisfaction. Elle ne s'était pas déplacée pour rien de toute évidence...

La Beste.Sans.Nom effleura une nouvelle fois ceux qui doutaient d'eux-mêmes puis, satisfaite de sa visite, repartit, mêlée au bon vent de juin.

Oui, une pièce se jouait en ces lieux et il la voulait dramatique, comme à son habitude... Mais encore une fois, les faux fidèles de la lumière l'aideraient facilement, comme ils l'avaient toujours fait, telle étant leur destinée commune.


Modo Kad : Pour répondre, doit on créer un PNJ Dieu et venir débattre au dessus du cortège ? Certes, les PJ peuvent intervenir sur les sensations, mais je reste plus que sceptique quant à l'utilité d'un tel RP dans des funérailles. Je ne supprime pas car cela reste RP, mais qu'on donne un Pape à l'aristotélisme avant de le doter de la BSN ! =)
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[Hobb]

Le Seneschall Teutonique se tenait à côté de ses Soeurs et Frères des Sanctes Armées. Il était affligé de la perte d'un porteur de la vraie Foi.
La réputation du Chevalier, trop tôt disparue, s'était faite au fur et à mesure de ses actions pour l'Eglise et perdurerait longtemps.
Et à n'en pas douter, il continuerait à faire ce que nécessaire d'où il était.

Et unam, sanctam, aristoslicam et apostholicam Ecclesiam
Confiteor unum baptisma in remissionem peccatorum
Et exspecto resurrectionem mortuorum
et vitam venturi saeculi
Amen !
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Curé de Genève Maire de Genève (5 jours) - Dit "48%" ! Prince de Lausanne, Baron de Saltara

[chlodwig_von_frayner]

Tout à chacun meurt un jour… mais il était dit que les grands ne pouvaient mourir ainsi. Et la mort de Leg ne pouvait laisser personne indifférent que se soit en empire ou dans l’Eglise, ou alors s’eut été s’intéresser bien peu aux choses qui comptaient réellement. Le Vénérable avait occupé les plus hautes fonctions et avait connu un destin qui l’avait placé au rang de sage dont les avis étaient respectés. Certains disaient qu’il était resté un peu trop aux affaires sans forcément en avoir le temps… C’était un point de vue… après il fallait aussi considérer que le Vénérable avait eu en fasse de lui des difficultés que peu d’hommes avaient rencontré dans leur vie… si ces médisants s’étaient retrouvé à sa place, ils auraient sans doute déclenché des catastrophe, là où le senatus avait réussit à stabiliser les choses de sa personne.

Avec lui disparaissait une partie de l’histoire de l’empire et de l’Eglise. Après lui… que resterait il ? Certains parlait de Yanahor… a écouter son cœur Chlo n’y croyait pas… mais… c’était son histoire personnelle qui jouait là, et sa connaissance de l’âme humaine. D’autres parlaient de Louis… là non plus il n’y croyait pas. Alors quoi ? Ses ennemis auraient parié qu’il aurait dit Guise… mais non même pas. Quoi pour l’avenir ? Qu’y avait il de vraiment valable dans cet empire qui se déchirait parce que personne ne s’aimait ? Que pouvait on construire sur de la haine remontant sur plusieurs générations ? Que pouvait on faire lorsque chaque parti voulait le pouvoir suprême ? Avec Leg disparaissait l’un des dernières images fédératrice. Quoi maintenant ?

En réalité ce décès influerait sur tous… Les choses étaient en branle depuis longtemps… mais la donne se retrouvait modifié. Il ne pouvait que se contenter d’agir en analyste et non pas en acteur… sa destinée n’était pas là bas. Mais… il songea à tout ce que cet homme représentait… à ce qu’il avait fait… Plus que la personne c’était le symbole qui mourrait… et avec lui toute une époque… malgré ce qu’on voulait faire croire. Il y aurait un avant et un après Leg.

Ses yeux cherchèrent une petite silhouette blonde connue. Car non, ce n’était pas juste pour la mort du vénérable qu’il était venu… c’était avant tout parce qu’une petite voix lui avait demandé de lui prêter un soutient dans l’épreuve qu’elle traversait. Il savait que bien de gens ici ne souhaitaient pas sa présence… qu’importe… car qui aurait pu l’empêcher d’être aux côtés de ceux qu’il appréciait ? Bien peu. Quand on est pas capable de soutenir ceux qu’on apprécie alors c’est qu’on a rien compris à la vie. Lui mettait un point d’honneur à les défendre au mépris de sa propre vie et avant sa propre personne. Un serviteur… jusqu’à ce que son heure soit venue. Il s’avança un peu, la cherchant… elle devait être vers le premier rang…

[Baron_Arwin]

Le chancelier de l'ordre de santiago entra dans la chapelle dans le cortège des fidèles venus rendre un dernier hommage au grand Leg L'ancien. Par devoir et par respect il se devait d'être présent à la cérémonie.
Arwin si s'installer aux cotés du Grand maistre Eden.
Un homme attira son attention. Il se pencha vers soeur Eden et lui chuchota

Grand maistre, qui cette homme qui vous fait signe là bas ?
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Aristotélicien Angeviniste

"Aristotus Me Dominum Est, Christos Me Fortuna Est"

[Asphodelle]

Assise au premier rang, elle attend simplement le début de la cérémonie. Elle ne voulait pas se retourner, mais elle sentait que derrière elle beaucoup de monde s'installait.

Elle eut le besoin de se recueillir, totalement...

C'est pourquoi elle défit son chignon strict et laissa crouler sur ses épaules sa chevelure rougeoyante. Le visage ainsi caché derrière le mur imaginaire de son isolement, elle se mit à méditer, et prier...tentant de ne pas trop s'attarder sur la folie des hommes et jusqu'où ils peuvent aller, pour des choses qui l'échappaient d'ailleurs, pour beaucoup.
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« Il n'y a pas de sens, il n'y a qu'un but »

[Darkun]

Il se signa, tout en faisant une génuflexion et murmura
In nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti. Amen
Puis prit place aux cotés du Duc de Salm et de son fils le Duc de Lorraine, le visage impassible bien que meurtrit intérieurement par cette disparition.
Il se recueillit en silence, longuement..en attendant le début de la cérémonie, puis lentement il releva la tête, après cette adieu silencieux, délivré entre deux vieux amis en toute intimité.

Un léger mouvement attira malgré tout son regard, chevelure rougeoyante dénotant en les bancs ou se tenait silencieuse tout en recueillement la famille du défunt.
Son regard s’attarda un instant sur cette longue chevelure rougeoyante ; ému malgré la dureté dont il avait fait sienne et armure afin de se protéger.
puis lentement, il détourna le regard, trouvant indécent de s’attarder ainsi en cet instant de tristesse, d’adieux à un grand homme.
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Darkun Von Hohenzollern

[Ingeburge]

Il est des événements qui sont inévitables et sur lesquels l'on n'a aucun contrôle. La mort était l'un d'entre eux et c'était une mort qui était aujourd'hui pleurée.

Debout dans la sacristie jouxtant la Chapelle Milites Dei, Ingeburge s'efforçait de ne pas penser à cette succession de décès qui frappaient des proches. Elle ne voulait y songer car sinon, la question lancinante reviendrait : quand est-ce-que cette série funeste prendra fin?
Jamais certainement, car elle n'avait pas le pouvoir d'y mettre un terme.

Elle quitta le coin où elle avait trouvé refuge et s'approcha de la table sur lequel une malle avait été déposée. Elle frôla de ses doigts le vêtement qui s'y trouvait. Le manteau d'Aragoth.
Il était pour elle de le mettre sus ses épaules, il complétait son uniforme : collier de Chevalier d'Isenduil au cou, Etoile de Grand Officier de l'Ordre de l'Etoile d'Aristote épinglée sur la poitrine, ceinture d'Isenduil enserrant sa taille et baudrier de cuir supportant l'épée de Chevalier.

Ayant revêtu tous les insignes de sa charge, elle sortit de la petite pièce afin d'aller prendre place devant l'autel.
Les fidèles étaient déjà nombreux à s'être installés dans la chapelle mais, comme irrésistiblement attirée par eux, elle leva tout d'abord les yeux, se perdant dans la contemplation des pavois représentant chaque corps des Saintes Armées.

Elle fut rappelée au présent par le glas résonnant soudainement sous les voûtes de la chapelle, signe que le cercueil pouvait être amené et déposé sur le catafalque situé devant l'autel.
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Morte deux fois en trois jours, vise le triplé