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La Sainte et Justifiée Violence

 
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frère roger



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MessagePosté le: Sam Juin 27, 2009 7:19 am    Sujet du message: La Sainte et Justifiée Violence Répondre en citant

Zabouvski a écrit:
La Sainte et Justifiée Violence



Pour les chevaliers croisés, c'est en toute sécurité qu'ils combattent pour le Très-Haut, sans avoir à craindre de pécher en tuant leurs adversaires, ni de périr, s'ils se font tuer eux-mêmes. Que la mort soit subie, qu'elle soit donnée, c'est toujours une mort pour le Très-Haut : elle n'a rien de criminel, elle est très glorieuse. Dans un cas, c'est pour servir la foi ; dans l'autre, elle permet de gagner le Soleil : le Très-Haut permet en effet que l'on tue un ennemi pour venger la foi, et le Très-Haut alors de se donner lui-même plus volontiers encore au chevalier pour le consoler. Ainsi, disais-je, le chevalier croisé donne-t-il la mort sans rien redouter ; mais il meurt avec plus de sécurité encore : c'est lui qui bénéficie de sa propre mort, le Très-Haut de la mort qu'il donne.

Car ce n'est pas sans raison qu'il porte l'épée : il est l'exécuteur de la volonté divine, que ce soit pour châtier les malfaiteurs ou pour glorifier les bons. Quand il met à mort un malfaiteur, il n'est pas un homicide, mais, si j'ose dire, un malicide. Il venge le Très-Haut de ceux qui font le mal ; il défend les aristotéliciens. S'il est tué lui-même, il ne périt pas : il parvient à son but, le but de tous les aristotéliciens, l’ultime étape du chemin de la vertu : le Soleil. La mort qu'il inflige est au profit du Très-Haut ; celle qu'il reçoit, au sien propre. De la mort du païen, l’aristotélicien peut tirer gloire, puisqu'il agit pour la gloire du Très-Haut ; dans la mort de l’aristotélicien, la générosité de Dieu se donne libre cours : il fait venir le chevalier à lui pour le récompenser. Dans le premier cas, le juste se réjouira en voyant le châtiment ; dans le second, il dira : "Puisque le juste retire du fruit de sa justice, il y a sans doute un Dieu qui juge les hommes sur la terre."

Pourtant, il ne convient pas de tuer les païens si l'on peut trouver un autre moyen de les empêcher de harceler ou d'opprimer les fidèles. Seuls les plus doctes prélats, nos cardinaux, peuvent juger qu'ils vaut mieux que les païens soient tués, plutôt que de laisser la menace que représentent les pécheurs suspendus au-dessus de la tête des justes, de peur de voir les justes se laisser entraîner à commettre l'iniquité.

Qu'ils soient rejetés loin du Soleil, ceux qui commettent l'iniquité, ceux qui s'efforcent d'enlever les inestimables richesses que Jérusalem réserve au peuple aristotélicien, ceux qui veulent souiller les Lieux saints et s'approprier le sanctuaire de Dieu. Que les deux glaives des fidèles soient levés sur la tête des ennemis, pour détruire quiconque s'élève contre la foi de Dieu, c'est-à-dire celle des aristotéliciens, "pour que les nations ne disent pas: où est leur Dieu ?"

Texte rédigé par feu monseigneur Zabouvski,
sous l'inspiration de l'oeuvre de Saint Bernard & surtout de la thématique des croisades en Terre Sainte

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Ignius



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MessagePosté le: Jeu Mar 28, 2013 12:55 am    Sujet du message: Répondre en citant

La Santa e Giustificata Violenza

Per i cavalieri crociati, che sicuramente combattono per l'Altissimo, senza timore di peccare uccidendo i loro avversari, né di perire, se si fanno uccidere loro stessi. Che la morte sia subita, che sia data, è sempre una morte per l'Altissimo: non ha niente di criminale, è molto gloriosa. In un caso, è per servire la fede; nell'altro, permette di guadagnare il Sole: l'Altissimo permette infatti che si uccida un nemico per vendicare la fede, e l'Altissimo allora si donerà più volentieri ancora al cavaliere per consolarlo. Così, dicevo, il cavaliere crociato dona egli stesso la morte senza temere niente; ma muore con ancora più sicurezza: è lui che beneficia della sua propria morte, l'Altissimo della morte che egli dà.

Perché non è senza ragione che porta la spada: è l'esecutore della volontà divina, sia per castigare i malfattori o per glorificare i buoni. Quando mette a morte un malfattore, non è un omicidio, ma, se oso dire, un malicidio. Vendica l'Altissimo da quelli che fanno il male; difende gli aristotelici. Se è ucciso egli stesso, non perisce: raggiunge il suo obiettivo, l'obiettivo di tutti gli aristotelici, l'ultima tappa del cammino della virtù: il Sole. La morte che infligge è a profitto dell'Altissimo; quella che riceve, al suo proprio. Dalla morte del pagano, l'aristotelico può ricevere gloria, poiché agisce per la gloria dell'Altissimo; nella morte dell'aristotelico, la generosità di Dio dona sfogo: fa venire il cavaliere a lui per ricompensarlo. Nel primo caso, il giusto si rallegrerà vedendo il castigo; nel secondo, dirà: "Poiché il giusto ritira del frutto della sua giustizia, c'è senza dubbio un Dio che giudica gli uomini sulla terra."

Tuttavia, non conviene uccidere i pagani se si può trovare un altro modo per impedire loro di assillare o di opprimere i fedeli. Solo i più dotti prelati, i nostri cardinali, possono giudicare se sia meglio che i pagani siano uccisi, piuttosto di lasciare la minaccia che rappresentano i peccatori sospesi "al di sopra della testa dei giusti", per paura di vedere i giusti lasciarsi trascinare a commettere iniquità.

Che siano rigettati lontano dal Sole, quelli che commettono iniquità, quelli che si sforzano di togliere le inestimabili ricchezze che Gerusalemme riserva al popolo aristotelico, quelli che vogliono sporcare i Luoghi Santi e appropriarsi del Santuario di Dio. Che le due spade dei fedeli siano sollevate sulla testa dei nemici, per distruggere chiunque si alza contro la fede di Dio, ovvero quella degli aristotelici, "affinché le nazioni non dicano: dove è il loro Dio?"


Testo redatto dal defunto monsignore Zabouvski,
sotto l'ispirazione dell'opera di San Bernardo e soprattutto della tematica delle crociate in Terra Santa

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