L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church
Forum RP de l'Eglise Aristotelicienne du jeu en ligne RR
Forum RP for the Aristotelic Church of the RK online game
 
Lien fonctionnel : Le DogmeLien fonctionnel : Le Droit Canon
 FAQFAQ   RechercherRechercher   Liste des MembresListe des Membres   Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs   S'enregistrerS'enregistrer 
 ProfilProfil   Se connecter pour vérifier ses messages privésSe connecter pour vérifier ses messages privés   ConnexionConnexion 

De la nature divine du pouvoir

 
Poster un nouveau sujet   Ce sujet est verrouillé; vous ne pouvez pas éditer les messages ou faire de réponses.    L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum -> La Bibliothèque Romaine - The Roman Library - Die Römische Bibliothek - La Biblioteca Romana -> Salle Trufaldinienne - Secondary room
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
Rehael



Inscrit le: 16 Sep 2007
Messages: 13676
Localisation: Roma

MessagePosté le: Ven Oct 30, 2009 12:26 am    Sujet du message: De la nature divine du pouvoir Répondre en citant

Citation:



    « De la nature divine du pouvoir »



    Nous, Guillaume de Lorgol, Cardinal-Camerlingue de la Sancte Eglise Aristotélicienne, Universelle, et Romaine par la grâce de Dieu et de Sa Sainteté le Pape Eugène V,
    A l'universalité des fidèles,
    Aux souverains des royaumes,
    Salut et bénédiction,


    Les rois sont les vassaux de l’Eglise. Rien n’est plus vrai que cet enseignement de Saint Thomas, ce superbe véhicule du message divin.

    A l’origine, le Tout-Puissant, dans son infinie mansuétude, et laissant aux hommes leur libre arbitre, a conféré à iceux la possibilité de gouverner à leurs propres destinées terrestres, en formant ce que l’on a l’habitude d’appeler la société politique, c'est-à-dire la cité. Cette communauté d’intérêts, dépositaire d’un pouvoir sur elle-même que lui a conféré le Très-Haut, devait alors faire un choix, celui du souverain à qui elle déléguerait, à son tour, l’autorité politique, l’imperium séculaire.

    Comme toute convention, icelle impliquait une réciprocité, à savoir l’obligation pour le souverain, d’une part de gouverner selon l’intérêt commun et non selon l’intérêt des factions, et d’autre part de respecter un ordre juridique tiré de la nature des choses, qui lui impose le respect des lois fondamentales organisant son règne et sa succession comme autant de clauses au contrat de société, mais aussi de conformer son principat aux enseignements de la religion et aux impératifs de la vertu, le pouvoir dont il bénéficiait lui venant de Dieu par le truchement de son peuple.

    Tout pouvoir est de nature divine, aussi est-il naturel que les clercs, qui sont ceux des hommes qui ont la connaissance la plus étendue des principes de la foy, sont ceux qui peuvent le mieux régner dans le respect de l’essence même de l’autorité politique. Toutesfois, il est vrai que les laïcs, qui n’ont point encore été illuminés par la révélation aristotélicienne, le prophète ayant vu en rêve ce qu’était la cité idéale, et son gouvernement par la caste des philosophes-roys, ne sont pas prêts à recevoir cette vérité intangible. Au clergé d’être patient et consensuel.

    Ceci étant, nonobstant ce qui s’oppose au règne immédiat du Très Saint Père, roy des roys, sur la totalité du monde connu, ainsi que l’exige la raison, il reste que les souverains de l’ordre temporel n’ont d’autre choix de se soumettre aux justes prescriptions de l’Eglise, dépositaire des principes de la vraye foy qui est au fondement de leur pouvoir, ainsi que nous venons de l’affirmer.

    Nous voyons, dans l’actualité récente, ce qui nous amène à réaffirmer telle position, tant nous devons constater que le chaos est maître dans l’ordre temporel. Nulle institution n’est épargnée par la déliquescence des valeurs qui doivent fonder l’autorité publique. Nous voyons un roy de France contesté dans son autorité, raillé par ses propres sujets. Nous voyons un Empereur dépossédé de sa légitime autorité, et reproduisant le triste épisode françoys des roys fainéants, déchus de leurs droits à la couronne, iceluy laissant à ses maires du palais, membres de la diète, le soin de gouverner à sa place, contre la volonté de son peuple. Nous voyons un régent d’Angleterre séduit par l’apostasie. Oh, Dieu ! Ce que nous devons subir comme tragédies en ce siècle !

    Les rois sont les vassaux de l’Eglise, et lui doivent fidélité, à moins de priver leur autorité de sa substance divine, et de méconnaître les stipulations du contrat de société.

    Ad majorem Dei gloriam.
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé MSN Messenger
Sainte Wilgeforte



Inscrit le: 17 Juil 2009
Messages: 6071

MessagePosté le: Sam Juin 12, 2010 2:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    “Della natura divina del potere„



    Noi, Guillaume di Lorgol, Cardinal-Camerlingue della Sancte Eglise Aristotélicienne, universale, e romana con la grazia di dio e della sua santità il papa Eugène V,
    All'universalità dei fedeli,
    Ai sovrani dei regni,
    Ciao e benedizione,


    I re sono i vassalli di l ’ Eglise.. Nulla n ’ è più vero di quest'insegnamento di Thomas santo, di questa superbia veicolo del messaggio divino.

    A l ’ origine, l'onnipotente, nella sua mansuetudine infinita, e lasciando agli uomini il loro libero arbitro, ha conferito a iceux la possibilità di governare ai loro destini terrestri, formando ciò che l ’ si hanno l ’ pratica d ’ chiamare la società politica, cioè la città. Questa Comunità d ’ interessi, agente d ’ un potere su essa stessa che gli ha conferito molto-Alto, doveva allora fare una scelta, quello del sovrano a che delegherebbe, a sua volta, l ’ autorità politica, l ’ imperium secolare.

    Come qualsiasi convenzione, icelle implicava una reciprocità, cioè l ’ obbligo per il sovrano, d ’ una parte di governare secondo l ’ interesse comune e non secondo l ’ interesse delle fazioni, e d ’ altra parte di rispettare un ordinamento giuridico tratto della natura delle cose, che gli impone il rispetto delle leggi fondamentali che organizzano il suo regno e la sua successione come altrettante clausole al contratto di società, ma anche di conformare il suo principato agli insegnamenti della religione ed agli imperativi della virtù, il potere di cui lo beneficiava venendo da dio tramite il suo popolo.

    Qualsiasi potere è di natura divina, così è naturale che i giovani di studio, che sono quelli degli uomini che sono al corrente più ampia dei principi della foy, sono coloro che possono meglio regnare nel rispetto di l ’ benzina anche di l ’ autorità politica. Toutesfois è vero che laici, che n ’ non sono stati ancora illuminati dalla rivelazione aristotélicienne, il profeta che ha visto in sogno questo qu ’ era la città ideale, ed il suo governo con la casta dei philosophes-roys, non è pronto a ricevere questa verità intangibile. Al clero d ’ essere paziente e consensuale.

    Detto questo, nonostante ciò che s ’ oppone al regno immediato del padre molto santo, Roy roys, sulla totalità del mondo conosciuto, come l ’ esige la ragione, egli resta che i sovrani di l ’ ordine temporale n ’ hanno d ’ altra scelta di sottoporsi alle prescrizioni giuste di l ’ Eglise, agente dei principi dello vraye foy che è alla base del loro potere, come veniamo da l ’ affermare.

    Vediamo, in l ’ attualità recente, cosa che li induce a ribadire tale posizione, tanto noi dobbiamo constatare che il caos è padrone in l ’ ordine temporale. Istituzione nulla n ’ è salvata dalla deliquescenza dei valori che devono fondare l ’ autorità pubblica. Vediamo Roy della Francia contestato nella sua autorità, canzonato dai suoi argomenti. Vediamo un imperatore privato della sua autorità legittima, e che riproduce l'episodio triste françoys dei roys pigri, decaduti dai loro diritti alla corona, iceluy che lasciano ai suoi sindaci del palazzo, membri della dieta, la cura di governare al suo posto, contro la volontà del suo popolo. Vediamo un reggente d ’ Inghilterra seduce per l ’ apostasia. Oh, dio! Ciò che dobbiamo subire come tragedie in questo secolo!

    I re sono i vassalli di l ’ Eglise, e gli devono fedeltà, meno a di privare la loro autorità della sua sostanza divina, e di trascurare le stipulazioni del contratto di società.

    Ad majorem Dei gloriam.

_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Kalixtus
Cardinal
Cardinal


Inscrit le: 24 Fév 2013
Messages: 12851
Localisation: Roma, Palazzo Doria-Pamphilj

MessagePosté le: Ven Avr 30, 2021 4:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    « Von der göttlichen Natur der Macht »



    Wir, Guillaume von Lorgol, Kardinal-Kamerlengo der Heiligen Aristotelischen, Universalen und Römischen Kirche durch die Gnade Gottes und Seiner Heiligkeit Papst Eugen V,
    An die Allgemeinheit der Gläubigen,
    An die Herrscher der Königreiche,
    Seid gegrüßt und gesegnet,


    Könige sind die Vasallen der Kirche. Nichts ist wahrer als diese Lehre des heiligen Thomas, dieser wunderbare Übermittler der göttlichen Botschaft.

    Ursprünglich verlieh der Allmächtige in seiner unendlichen Güte und indem er den Menschen ihren freien Willen überließ, den Menschen die Möglichkeit, ihr eigenes irdisches Schicksal zu bestimmen und das zu gestalten, was man gewöhnlich die politische Gesellschaft, d.h. die Stadt (der Staat), nennt. Diese Interessengemeinschaft, Verwahrer einer ihr vom Allerhöchsten übertragenen Macht über sich selbst, musste eine Wahl treffen, nämlich die des Souveräns, an den sie ihrerseits die politische Autorität delegieren würde, das weltliche Reich.

    Wie jedes Abkommen implizierte auch dieses die Gegenseitigkeit, d.h. die Verpflichtung des Souveräns, einerseits nach dem gemeinsamen Interesse und nicht nach den Interessen der Fraktionen zu regieren und andererseits eine aus der Natur der Dinge abgeleitete Rechtsordnung zu respektieren, die ihm die Achtung der grundlegenden Gesetze auferlegt, die seine Herrschaft und seine Nachfolge bestimmen, ebenso wie so viele weitere Klauseln in dem Gesellschaftsvertrag. Aber auch die Verpflichtung, sein Reich mit den Lehren der Religion und den Geboten der Tugend in Einklang zu bringen, der Macht, die er von Gott durch sein Volk erhalten hat.

    Alle Macht ist göttlicher Natur, und so ist es nur natürlich, dass die Kleriker, d.h. diejenigen unter den Männern, die die Prinzipien des Glaubens am besten kennen, diejenigen sind, die am besten mit Respekt vor dem Wesen der politischen Autorität regieren können. Gleichwohl ist es wahr, dass die Laien, die noch nicht durch die aristotelische Offenbarung erleuchtet sind, und nicht bereit sind diese unfassbare Wahrheit zu verinnerlichen, welche der Prophet in einem Traum gesehen hat, was die ideale Stadt ist, und ihre Regierung durch die Kaste der Philosophenkönige. Es liegt hier an den Geistlichen, geduldig und einvernehmlich zu sein.

    Ungeachtet dessen, was der unmittelbaren Herrschaft des Allerheiligsten Vaters, des Königs der Könige, über die ganze bekannte Welt entgegensteht, wie es die Vernunft verlangt, bleibt den Souveränen der weltlichen Ordnung nichts anderes übrig, als sich den gerechten Vorschriften der Kirche zu unterwerfen, die, wie wir soeben bekräftigt haben, Verwahrer der Grundsätze des wahren Glaubens ist, der die Grundlage ihrer Macht bildet.

    Wir sehen in den jüngsten Ereignissen, was uns dazu veranlasst, eine solche Position zu bekräftigen, so sehr, dass wir feststellen müssen, dass das Chaos in der zeitlichen Ordnung Herr der Lage ist. Keine Institution bleibt vom Verfall der Werte verschont, auf die sich die öffentliche Autorität stützen muss. Wir sehen einen König von Frankreich, der in seiner Autorität herausgefordert und von seinen eigenen Untertanen verspottet wird. Wir sehen einen Kaiser, der seiner legitimen Autorität beraubt wurde und die traurige Francois-Episode der faulen Könige wiederholt, der seiner Rechte auf die Krone beraubt wurde und seine Palastmagistratoren, Mitglieder des Parlaments, an seiner Stelle gegen den Willen seines Volkes regieren lässt. Wir sehen einen Regenten von England, der vom Glaubensabfall verführt wurde. Oh, Gott! Oh, Gott! Oh, Gott! Welche Tragödien müssen wir in diesem Jahrhundert erleiden!

    Könige sind die Vasallen der Kirche..., und schulden ihr Loyalität, es sei denn, sie berauben ihre Autorität ihrer göttlichen Substanz und missachten die Bestimmungen des Gesellschaftsvertrags.

    Ad majorem Dei gloriam.

_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Ce sujet est verrouillé; vous ne pouvez pas éditer les messages ou faire de réponses.    L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum -> La Bibliothèque Romaine - The Roman Library - Die Römische Bibliothek - La Biblioteca Romana -> Salle Trufaldinienne - Secondary room Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum


Powered by phpBB © 2001, 2005 phpBB Group
Traduction par : phpBB-fr.com