L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church
Forum RP de l'Eglise Aristotelicienne du jeu en ligne RR
Forum RP for the Aristotelic Church of the RK online game
 
Lien fonctionnel : Le DogmeLien fonctionnel : Le Droit Canon
 FAQFAQ   RechercherRechercher   Liste des MembresListe des Membres   Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs   S'enregistrerS'enregistrer 
 ProfilProfil   Se connecter pour vérifier ses messages privésSe connecter pour vérifier ses messages privés   ConnexionConnexion 

Thématique sur la Liberté & la Foy

 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum -> La Bibliothèque Romaine - The Roman Library - Die Römische Bibliothek - La Biblioteca Romana -> Salle Trufaldinienne - Secondary room
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
Sainte Wilgeforte



Inscrit le: 17 Juil 2009
Messages: 6071

MessagePosté le: Ven Déc 11, 2009 10:33 pm    Sujet du message: Thématique sur la Liberté & la Foy Répondre en citant



    Thématique sur la Liberté & la Foy



    A) La liberté : plus beau cadeau de Dieu aux hommes (par le père Lapinus)

    tome 1, partie I, chapitre 2 du Livre des Vertus a écrit:
    « Mais la vie était imparfaite. Bien que créée par Dieu et composante de Lui, elle n’était pas Lui tout entier. Sa capacité de choisir était partielle, car son savoir et son pouvoir n’étaient pas illimités. Sa capacité de ressentir était tronquée, car elle était composée de matière, neutre et impersonnelle. Mais Dieu voulait aimer la vie et que la vie l’aime en retour. »


    C'est à mes yeux le plus beau et le plus intéressant passage de l’ensemble du Livre car il est une incroyable note d’espoir pour tous ceux qui doutent. Dieu n’agit donc pas avec la créature ni ne la détermine à agir : il nous a au contraire fait le plus inestimable cadeau qui soit : le libre-arbitre. Notre détermination et notre pensée sont donc absolues, ce qui prouve que notre destinée n’est pas écrite à l’avance… Même si Dieu connaît tous les futurs possibles.

    L'homme désespéré et reniant l’autorité divine pour l’avoir mis dans une si mauvais situation doit donc reprendre espoir en sachant cela, mais l’homme sage en fera une toute autre interprétation : il comprendra que cette liberté d’action nous oblige à mener une vie vertueuse et à ne pas céder aux tentations du Sans-Nom. Si nous avons la possibilité de choisir, nous avons donc la possibilité de choisir de vivre vertueusement, mais aussi de choisir une vie de blasphèmes. C’est la compensation de la liberté, mais également une immense marque de confiance de la part du Très-Haut : Il nous pense en effet à même de déterminer nous-même notre degré de vertu. C’est aussi une manière d'expérimenter notre foi.

    Il n’est d’ailleurs pas le seul à éprouver notre foi : la Créature Sans Nom le fait aussi, en tentant sans relâche les hommes, cherchant par tous les moyens possibles de les détourner du chemin de la vertu. Et c’est bien cette liberté offerte par Dieu qui lui sert : si l’homme n’était pas libre de choisir sa destinée, tous les hommes seraient vertueux et aucun ne se laisserait tenter par elle. Cette liberté lui profite donc également, et la véritable question est de savoir si le Tout-Puissant l’avait prévu.

    Notre nature même est imparfaite, mais il ne tient qu’à nous d’essayer de nous approcher le plus possible de Sa perfection : grâce à Son inestimable cadeau qu’est la Liberté, nous pouvons façonner nos existences de la manière qui nous semble la plus juste.



    B) LA LIBERTÉ ARISTOTÉLICIENNE (par jerem51, théologue du SO)

    Vous l'avez sans doute remarqué, chers frères, ou peut-être vous a-t-on déjà posé la question, mais comment peut-on affirmer la liberté de l'homme si ce dernier est susceptible d'être puni par Dieu dès qu'il s'écarte de sa voie ?

    C'est à cette question que j'entends répondre ici après moult études du Livre des Vertus et des textes de référence aristotéliciens sur la question.

    1) Dieu a-t-il créé l'Homme libre?

    Une lecture attentive du Livre des Vertus nous dit que les hommes, après leur création, s'interrogèrent sur le sens de leur présence sur Terre face à des créatures qui se prétendaient toutes l'espèce préférée du Créateur (cf. Le Doute dans le Livre des Vertus). Or, s'ils s'interrogèrent, il faut bien en conclure que Dieu les a doté d'un esprit, lequel permet de raisonner et donc de penser librement.
    Il faut donc en conclure que l'Homme a été créé libre de penser.

    2) L'homme est-il la seule créature dotée de la liberté?

    Le Livre des Vertus nous apprend que non; en effet, la Créature Sans Nom fut, à son tour, dotée de la liberté: :“Puisque tu es si sûre de ton choix, je te laisse l’occasion de le prouver" et elle reçut la liberté de tenter les Hommes (cf. La Décision dans le Livre des Vertus).

    3) Quelles conséquences cette double liberté entraîne-t-elle?

    L'homme ayant reçu, comme la Créature Sans Nom, la liberté de penser, d'agir ..., il était tout naturel que celle-ci, laissée sans guide, se laisse abuser et suive la voie du mal, puisque l'Homme était devenu absolument libre de choisir, tel que Dieu l'avait décidé, entre la vertu et le pêché (cf. Onanylone dans le Livre des Vertus)

    Dieu avait donné aux hommes la liberté absolue et la Créature Sans Nom essaya de les attirer, en toute liberté, vers le mal.
    Et ce qui devait arriver arriva: l’homme prit alors la femme et la femme prit l’homme. Le fort abusa du faible et le faible subit le fort. Tous s’unirent en une orgie bestiale de stupre et de violence. Leurs corps mêlés reflétaient les flammes des maisons qui brûlaient. La nourriture était dévorée, la boisson engloutie. Les paroles suaves encourageaient les gestes indécents. Une véritable orgie de débauche avait lieu. Et de l’amour de Dieu il ne fut plus question.

    L'homme s'était livré à la liberté absolue, celle de faire tout ce qui lui plaisait, sans contrainte et sans frein que son désir et ses envies en oubliant que sa liberté s'arrêtait où commençait celle d'autrui.

    4) De la nécessité d'encadrer la liberté:

    Dieu comprit alors qu'on ne pouvait pas seulement laisser aux Hommes la liberté absolue de choisir entre le bien et mal car la liberté absolue n'était que la liberté de la Créature Sans Nom et des Princes-Démons. Il fallait les guider sur le chemin de la raison et de la rédemption quand ils chutaient: la liberté devait être encadrée afin d'être toute puissante pour faire le bien, mais liée pour faire le mal, de sorte que l'on peut affirmer que l'Homme a bien été créé libre par Dieu, mais que, dans son infinie sagesse, Dieu a voulu empêcher que l'Homme puisse répandre le mal impunément (cf. Le Roi du péché dans le Livre des Vertus).
    C'est pour cela qu'il fonda une Église.

    Celle-ci fut chargée de définir les Lois et la morale découlant des préceptes de ses enseignements afin que la liberté des hommes soit encadrée et non plus anarchique, que l'Homme puisse non seulement distinguer le bien du mal, mais puisse aussi distinguer les chemins qui mènent à la vertu(Vita de Christos).

    5) De la Grâce divine:

    Il voulut que chacun d'entre eux, destiné à chuter par la nature même de son imperfection qui l'exposait à la tentation de la Créature Sans Nom puisse être sauvé. Il lui permit donc par la possibilité de se sauver soi-même par la raison revenue à la réalité, de bénéficier du Pardon, de la Bienveillance et de l'Amour divin par la foi: ce qui doit être appelé Grâce.
    Aussi en donna-t-il au peuple moult exemples:

    - ainsi, par son sacrifice, Christos montra que les pêchés des hommes pouvaient être rachetés par le Grâce
    - ainsi encore, il proposa au peuple moult vies vertueuses de saints et de Bienheureux touchés par la Grâce divine
    - ainsi inventa-t-il la confession et la pénitence qui permettent aux fidèles éprouvant un sincère repentir de demander à Dieu de leur accorder sa Grâce.

    Conclusion :

    Article 1: Dieu a donné à l'Homme l'absolue liberté de penser, donc de faire le bien ou le mal, mais il voulut encadrer ce dernier par la création de l'Église.
    Article 2: la Grâce divine est un don de Dieu destinée à racheter ceux qui chutent à cause de la liberté à faire le mal.
    Article 3: la Grâce divine n'existe que parce que l'Homme a été créé libre de penser: sans liberté, pas de Grâce divine, car l'Homme ne pourrait jamais se tromper et serait alors l'égal de Dieu.
    Article 4: l'Église joue un rôle essentiel de médiateur entre Dieu et les Hommes aussi bien dans la définition du bien et du mal que dans la dispense des moyens d'accéder à la Grâce divine par la confession et la pénitence.

_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Kalixtus
Cardinal
Cardinal


Inscrit le: 24 Fév 2013
Messages: 12723
Localisation: Roma, Palazzo Doria-Pamphilj

MessagePosté le: Ven Avr 30, 2021 4:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

    Thematik über die Freiheit und den Glauben



    A) Freiheit: Gottes größtes Geschenk an die Menschheit (von Pater Lapinus)

    Band 1, Teil I, Kapitel 2 des Buches der Tugenden a écrit:
    « Nur war das Leben unvollkommen. Obzwar geschaffen von GOTT und bestehend aus IHM war es doch nicht ganz ER. Seine Fähigkeit zu wählen war eingeschränkt, denn sein Wissen und sein Können waren nicht unbegrenzt. Seine Fähigkeit zu spüren war beschnitten, denn sie war von Materie gemacht, neutral und unpersönlich. Doch GOTT wollte das Leben lieben, und er wollte, daß das Leben ihn dafür liebte. »


    Dies ist meiner Meinung nach die schönste und interessanteste Stelle im ganzen Buch, denn sie ist ein unglaublicher Hoffnungsschimmer für alle, die zweifeln. Gott handelt also weder mit der Schöpfung, noch gibt er ihr vor, zu handeln; im Gegenteil, er hat uns das unschätzbarste Geschenk gemacht, das es gibt: den freien Willen. Unsere Entschlossenheit und unser Denken sind also absolut, was beweist, dass unser Schicksal nicht im Voraus geschrieben ist... auch wenn Gott alle möglichen Zukünfte kennt.

    Der Mann, der verzweifelt ist und die göttliche Autorität verleugnet, weil er ihn in eine so schlimme Lage gebracht hat, muss daher wieder Hoffnung schöpfen, wenn er dies weiß, aber der Weise wird eine ganz andere Interpretation vornehmen: Er wird verstehen, dass diese Handlungsfreiheit uns verpflichtet, ein tugendhaftes Leben zu führen und nicht den Versuchungen der Namenlosen nachzugeben. Wenn wir die Möglichkeit haben zu wählen, haben wir die Möglichkeit, uns für ein tugendhaftes Leben zu entscheiden, aber auch für ein Leben der Blasphemie. Das ist der Ausgleich für die Freiheit, aber auch ein immenser Vertrauensbeweis seitens des Allerhöchsten: Er glaubt in der Tat, dass wir in der Lage sind, unseren Tugendgrad selbst zu bestimmen. Es ist auch eine Möglichkeit, unseren Glauben zu erfahren.

    Darüber hinaus ist er nicht der Einzige, der unseren Glauben auf die Probe stellt: Das namenlose Geschöpf tut dies auch, indem es die Menschen unermüdlich in Versuchung führt und mit allen Mitteln versucht, sie vom Pfad der Tugend abzubringen. Und es ist in der Tat diese von Gott angebotene Freiheit, die ihm dient: Wäre der Mensch nicht frei, sein Schicksal zu wählen, wären alle Menschen tugendhaft und keiner würde sich von ihm in Versuchung führen lassen. Diese Freiheit kommt also auch ihm zugute, und die eigentliche Frage ist, ob der Allmächtige sie vorhergesehen hat.

    Unser Wesen selbst ist unvollkommen, aber es liegt an uns, zu versuchen, Seiner Vollkommenheit so nahe wie möglich zu kommen: Dank Seiner unschätzbaren Gabe der Freiheit können wir unser Leben so gestalten, wie wir es für richtig halten.



    B) ARISTOTELISCHE FREIHEIT (von jerem51, SO-Theologe)

    Ihr habt dies zweifellos bemerkt, liebe Brüder, oder vielleicht ist euch die Frage schon gestellt worden: Wie aber kann die Freiheit des Menschen bejaht werden, wenn er Gefahr läuft, von Gott bestraft zu werden, sobald er von seinem Weg abkommt?

    Diese Frage möchte ich hier nach vielen Studien des Buches der Tugenden und der aristotelischen Referenztexte zu diesem Thema beantworten.

    1) Hat Gott den freien Menschen geschaffen?

    Eine sorgfältige Lektüre des Buches der Tugenden sagt uns, dass die Menschen sich nach ihrer Erschaffung die Frage nach dem Sinn ihrer Anwesenheit auf der Erde angesichts von Geschöpfen stellten, die alle behaupteten, die Lieblingsgattung des Schöpfers zu sein (vgl. Der Zweifel im Buch der Tugenden). Wenn sie sich nun selbst in Frage stellten, muss man zu dem Schluss kommen, dass Gott sie mit einem Geist ausgestattet hat, der ihnen Vernunft und damit freies Denken ermöglicht.
    Daraus muss der Schluss gezogen werden, dass der Mensch frei zum Denken geschaffen wurde.

    2) Ist der Mensch das einzige Geschöpf mit Freiheit?

    Das Buch der Tugenden sagt uns, dass dies nicht der Fall ist; in der Tat wurde dem namenlosen Geschöpf ihrerseits die Freiheit gegeben: "Da du deiner Wahl so sicher bist, gebe ich dir die Gelegenheit, sie zu beweisen", und ihm wurde die Freiheit gegeben, die Menschen in Versuchung zu führen (vgl. Die Entscheidung im Buch der Tugenden).

    3) Was sind die Folgen dieser beiderseitigen Freiheit?

    Da der Mensch, wie das namenlose Geschöpf, die Freiheit des Denkens, des Handelns ... erhalten hatte, war es nur natürlich, dass dieser, ohne Führung zurückgelassen, sich täuschen ließ und dem Weg des Bösen folgte, da der Mensch absolut frei geworden war, wie Gott es beschlossen hatte, zwischen Tugend und Sünde zu wählen (vgl. Onanylone im Buch der Tugenden).

    Gott hatte den Menschen absolute Freiheit gegeben, und das namenlose Geschöpf versuchte, sie in völliger Freiheit zum Bösen zu verleiten.
    Und was geschehen sollte, geschah: Der Mann nahm die Frau und die Frau nahm den Mann. Die Starken missbrauchten die Schwachen und die Schwachen litten unter den Starken. Alle vereint in einer bestialischen Orgie von Stumpfsinn und Gewalt. Ihre vermischten Körper spiegelten die Flammen der brennenden Häuser wider. Das Essen wurde verschlungen, die Getränke heruntergespült. Schöne Worte ermutigten zu unsittlichen Gesten. Eine wahre Orgie der Ausschweifungen fand statt. Und die Liebe Gottes stand nicht mehr zur Debatte.

    Der Mensch hatte sich der absoluten Freiheit hingegeben, der Freiheit zu tun, was immer er wollte, ohne Zwang und ohne Einschränkung gemäß seinem Wunsch und seinen Wünschen, wobei er vergaß, dass seine Freiheit dort aufhörte, wo die Freiheit der anderen begann.

    4) Von der Notwendigkeit, die Freiheit zu gestalten:

    Gott erkannte dann, dass man den Menschen nicht die absolute Freiheit lassen durfte, zwischen Gut und Böse zu wählen, denn absolute Freiheit war nur die Freiheit des namenlosen Geschöpfes und der Dämonenfürsten. Sie mussten auf den Weg der Vernunft und der Erlösung geführt werden, und zwar dann, wenn sie fielen: Die Freiheit musste so gestaltet werden, dass sie allmächtig ist, Gutes zu tun, aber verpflichtet ist das Böse zu vergelten, damit wir bekräftigen können, dass der Mensch zwar von Gott frei geschaffen wurde, Gott aber in seiner unendlichen Weisheit verhindern wollte, dass der Mensch ungestraft Böses verbreitet (vgl. Der König der Sünde im Buch der Tugenden).
    Deshalb gründete er eine Kirche.

    Diese Kirche hatte den Auftrag, die Gesetze und Moralvorstellungen zu definieren, die sich aus den Geboten seiner Lehren ableiten, damit die Freiheit der Menschen gerahmt und nicht mehr anarchisch wird, damit der Mensch nicht nur Gut und Böse unterscheiden kann, sondern auch die Wege, die zur Tugend (Vita de Christos) führen.

    5) Die göttliche Gnade:

    Er wollte, dass jeder von ihnen, der dazu bestimmt war, durch die Natur seiner Unvollkommenheit, durch die er der Versuchung der namenlosen Kreatur ausgesetzt war, zu fallen, gerettet wird. Er erlaubte daher, durch die Möglichkeit, sich durch die in die Wirklichkeit zurückgekehrte Vernunft zu retten, von der Vergebung, dem Wohlwollen und der göttlichen Liebe durch den Glauben zu profitieren: dies soll Gnade genannt werden.
    Er gab den Menschen auch viele Beispiele dafür:

    - So zeigte Christos durch sein Opfer, dass die Sünden der Menschen durch Gnade erlöst werden können...
    - So vermittelte er dem Volk wieder viele tugendhafte Leben von Heiligen und Seligen, die von der göttlichen Gnade berührt wurden.
    - So erfand er die Beichte und die Buße, die es den Gläubigen, die aufrichtig bereuen, erlauben, Gott um seine Gnade zu bitten.

    Schlussfolgerung :

    Artikel 1: Gott gab dem Menschen absolute Gedankenfreiheit und damit die Freiheit, Gutes oder Böses zu tun, aber er wollte letzteres durch die Gründung der Kirche einrahmen.
    Artikel 2: Die göttliche Gnade ist ein Geschenk Gottes, das dazu bestimmt ist, diejenigen zu erlösen, die aufgrund der Freiheit, Böses zu tun, gefallen sind.
    Artikel 3: Die göttliche Gnade existiert nur, weil der Mensch frei zum Denken erschaffen wurde: Ohne Freiheit gibt es keine göttliche Gnade, denn der Mensch könnte niemals einen Fehler machen und wäre dann Gott gleichgestellt.
    Artikel 4: Die Kirche spielt eine wesentliche Rolle als Mittler zwischen Gott und der Menschheit, sowohl bei der Definition von Gut und Böse als auch bei der Verteilung der Mittel, um durch Beichte und Buße Zugang zur göttlichen Gnade zu erlangen.

_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum -> La Bibliothèque Romaine - The Roman Library - Die Römische Bibliothek - La Biblioteca Romana -> Salle Trufaldinienne - Secondary room Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum


Powered by phpBB © 2001, 2005 phpBB Group
Traduction par : phpBB-fr.com