L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Odoacre]

Place d'Aristote, centre de la Ville Céleste, une haute Tour s'élève non pas dans les nuées, mais un peu plus haut que la plupart des riches palais parsemant ladite cité...

C'est la Tour d'Astrologie de l'évêque de Périgueux Odoacre de Corinthe...

Ce qu'on ne voit pas en revanche, ce sont les niveaux sous-terrains.... le couloir creusé qui mène à une petite bicoque discrète et les caves...

Les caves... sur trois niveaux... quatre peut-être ?

La petite sauterie se tient dans le deuxième niveau, sous les réserves de nourriture ou ce qui en tient lieu... décrivons un peu mieux les lieux étape par étape pour les visiteurs venus de l'extérieur...

[L'entrée]

Une solide porte de bois garnie de nombreuses ferrures et charnières métalliques, un bois épais, quatre ou cinq verrous, trois clefs...

Et devant, un homme en coule blanche (robe ample en lin à capuche dissimulant le visage)...

Il se tient devant la porte, une clef autour du cou accrochée à une chaîne pour faire entrer les visiteurs. Ostensiblement, il porte une épée large à deux mains dont la lame, polie avec méticulosité.

Son ordre de mission : laisser uniquement entrer les personnes portant sur elle une convocation scellée par Odoacre de Corinthe ainsi que Wilgeforte dont il a reçu une description détaillée par le vieux Grec.

[L'Antichambre]

C'est là que les personnes convoquées sont invitées à attendre. Théoriquement, elles peuvent ne pas y descendre directement et aller ailleurs dans la tour mais les portes ont été soigneusement verrouillées, même la trappe menant en haut de la tour, à l'air libre. Le garde manger du niveau - 1 est également fermé, et une grille barre l'escalier des niveaux inférieurs au - 2.

Il s'agit d'une pièce relativement vaste, éclairée par 5 torches crachotantes et garnies et quelques bancs de bois durs.

Une autre porte, elle même garnie d'une solide serrure mène à la chambre d'interrogatoire...

[La chambre d'interrogatoire]

Celle-là... les premiers convoqués la découvriront.


HRP/Pour plus de clarté, mettre entre crochet le lieu où votre personnage se trouve au début de chaque post, en gras c'est encore mieux. Par exemple :

[A l'entrée]

[Dans la tour...pouvez préciser l'étage...] Si certains se sentent l'âme aventureuse...

[Antichambre]

[Salle d'interrogatoire]

Enjoy !/HRP
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Primat de France, Archevêque de Rouen et Inquisiteur de la Foi
Odoacre est sur Twitter !

[Marves]

[Conseil Superieur de la Nonciature Apostolique]

Monseigneur Borgia etait dans les Salles du Conseil Superieur de la Nonciature du Palais Saint Nicolas V pour s'occuper des continues affaires qui concernaient la Chancellerie Romaine, quand il recut la lettre de convocation de l'Inquisiteur Monseigneur Odoacre de Corinthe.

Il dit "Uhm... Una convocazione dell'Inquisizione, cosa potranno volere? Ah! Forse riguarda l'Affare Horvy... Meglio presentarsi il prima possibile."

Dit cela, le Protonotaire s'achemina avec sa garde personnelle vers le lieu où il avait été convoqué et il y arriva en peu de temps: il connaissait Rome à la perfection.

[A l'entrée]

Monseigneur Marves vit l'homme en coule blanche à l'entrée de la tour et se présenta:

"Bonjour à vous, mon frere. Je suis Monseigneur Giacomo Borgia dict "Marves", Archeveque de Pise, Protonotaire Apostolique et Secretaire Pontifical. J'ai la convocation de Monseigneur Odoacre de Corinthe. Vous pouvez m'adresser?"

Il attendu une réponse...

[HRP] Veuillez pardonner mon pauvre RP et mon mauvais francais, mais je suis italien (je crois que vous l'avez compris) et ce n'est pas facile ecrire un bon RP avec une autre langue [/HRP]
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[Daimones]

[A l'entrée]

Vêtu d'une coule blanche, Daimones attendait. Sa peau était toujours peinte en bleu, il avait toujours ses tatouages bleu foncés et ses scarifications, les yeux rougis par la consommation excessive de drogues...

Mais le grand vêtement cachait en partie tout cela... en partie seulement...

Un homme s'avança, avec une escorte composée de soldats.

Daimones serra la poignée de son épée légèrement... puis l'homme se présenta et montra sa convocation.

Daimones prit la clef à son cou et ouvrit la porte.

Vous pouvez entrer Monseigneur, mais sans armes, et sans vos soldats. Il faut descendre l'escalier.
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[Bardieu]

Au palais épiscopal de Cahors.

Bardieu recevit une lettre de convocation à la tour d'astrologie. Il ne voyais pas pourquoi il était convoqué et surtout par son collègue de Périgueux.

Étant par nature suspicieux, Bardieu adressa une lettre à son homologue de Périgueux, lui demandant de s'expliquer par courrier à sa convocation, car il ne dépendait pas de son diocèse.

Bardieu refusa de se soumettre à une convocation dans laquelle rien n'était explicité, au moins la raison de cette convocation. Il rédigea une lettre à Mgr Odoacre.

[Odoacre]

[Salle d'interrogatoire]

La lettre fut portée à l'homme en coule blanche qui la porta lui même à Odoacre, en salle d'interrogatoire.

Ce dernier en prit connaissance, haussant un sourcil à la lecture, puis la posa sur son bureau.

Il dit simplement à Daimones

Fais dire au messager de Monseigneur Bardieu que ce n'est pas Monseigneur de Corinthe qui le convoque mais bien la Sainte Inquisition Romaine et qu'il devrait savoir que la nature secrète de la procédure inquisitoriale interdit aux convocations d'être motivées, même lorsqu'elles s'adressent à un prélat.

Et Daimones remonta prendre son poste à l'entrée et transmit le message oralement au messager de Bardieu.
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Primat de France, Archevêque de Rouen et Inquisiteur de la Foi
Odoacre est sur Twitter !

[nainainus]

[Antichambre]

Mgr Nainainus arriva dans la pièce et attendit son tour.
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[verty]

[À l’archevêché de Bourges]

Mgr Verty, quittant son bureau reçu par messager une convocation devant la sainte inquisition aux armes de Mgr de Corinthe.
De suite elle fit préparer attelage et bagages afin de se rendre à Rome.

[À l’entrée]

Mgr de Montfort, une fois arrivée devant la tour, entra et se trouva face au grand escalier qu’elle connaissait déjà.
Elle se trouva face à un homme du moins elle supposa vu sa corpulence, drapé d’un vêtement blanc. Son visage était en partie caché mais on pouvait apercevoir légèrement une peau bleue peinte surement, des yeux rougi sans doute d’avoir beaucoup pleuré…

Bonjour mon fils, je suis Verty de Montfort-Toxandrie , Archevêque Métropolitain de Bourges.

J'ai reçu convocation de Monseigneur Odoacre de Corinthe.
Elle tendit sa convocation à son vis-à-vis fais moi annoncer auprès de ce dernier.

Avisant un feu dans la grande entrée elle s’en approcha afin de se réchauffer, se que l’ont fait en général avec un feu.

Durant qu’elle se décongelait les mandibules, elle pensait, elle priait le Très Haut, pour que le vieux Grec ait eu l’idée de la convoquer dans une pièce moins élevée que lors de leur dernier entretien.
Cette tour qui devait au moins compter trois cent soixante cinq marches, et peut être trois cent soixante six certaines années…

Que de peine d’avoir du monter tant de marches, mais au final un si doux breuvage l’attendait, ayant un excellent souvenir du raisinet.

Elle attendit que le portier la guide…
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[Bardieu]

[Palais épiscopal de Cahors]

Recevant une nouvelle lettre de Mgr Odoacre, Bardieu se décida à se rendre à Rome pour aller rencontre l'homme qui lui avait si impoliment convoqué.

Ayant un mépris profond pour ce genre de procédure, en particulier le fameux article 1.3 du droit canon qui stipule "1.4. Les missi inquisitionis sont tenus au secret dans le cadre de leurs fonctions. "

Bardieu ne savait donc pas s'il devait venir comme accusé, témoin, pour quelle affaire. Il remplissa une malle avec le plus de documents qu'il put trouver, ne sachant pas sur quoi porter l'enquête et se mit en route vers Rome. Il rumina encore de ne pas être convoqué dans les locaux de l'inquisition.

[Entrée de la tour d'astrologie]

La carriole de Bardieu s'arrêta devant la tour. Le bâtiment impressionnant dominait une partie des structures romaines. A l'entrée, il remit sa convocation à un page.

Faites moi annoncer auprès de Mgr Odoacre, et faites lui aussi savoir aussi... non, en fait, je lui ferrait savoir moi même.

Bardieu voulut commencer à attaquer une par une les marches de l'escalier de la tour quand il vit Mgr Verty.
Il comprit à ce moment là que les affaires devaient concerner le Berry, il avait peut être même une idée de l'affaire exacte pour laquelle il était convoqué.

Il espérait avoir pris avec lui tous les documents pour répondre aux questions de Mgr Odoacre. La mémoire de Bardieu était très sélective et de plus en plus difficile avec l'âge.

Bonjour Monseigneur ! Quelle surprise de vous voir ici, je suppose que c'est par convocation aussi ?
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En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?

[verty]

[À l’entrée, devant le feu]

Verty se retourna et vit son confrère de Cahors.
Bonjour Mgr Bardieu, décidément nous ne nous quittons plus…
Elle afficha un large sourire.

Ah ! C’est dommage que les marches soient toujours aussi difficiles à gravir.
Je connaissais la coutume de l’inquisition de convoquer les témoins, mais je ne savais pas qu’elle les torturait à ce point, en les faisant grimper des escaliers interminable.

Mon frère restez avec moi près du feu en attendant d’être entendu, le voyage à du être long et froid…
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[Graoully]

[Locaux de la CSI]

Lors de son passage à Rome, l'abbé de la Louveterie s'arrangeait toujours pour obtenir une paillasse dans les locaux de sa congrégation. Il avait pu voir l'évêque de Périgueux la veille, et au matin, on vint lui apporter une missive. C'était sa convocation. Sachant fort bien le motif, il se rendit très vite à la tour indiquée, sa soutane et sa croix inquisitoriale en place.

[A l'entrée]

Un homme attendait là, la main sur la garde d'une épée. Il l'avisa.

Demat ma mab. Je suis le Père Graoully de la Louveterie, inquisiteur moi aussi. Frère Odoacre m'a convoqué.

[Antichambre]

Deux clercs étaient déjà présents. Il alla les saluer.

Bonjour mgr Verty, et vous aussi mgr. - avisant frère Bardieu, qu'il avait déjà vu quelque part, mais ne se souvenait plus de l'endroit, ni de ses fonctions.
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[Bardieu]

[Escalier]

En effet, monseigneur, nous ne nous quittons plus ! Mais je vous en prie, je vais tenter de vous aider, malgré mon grand âge, à monter cet escalier.

Les deux prélats s'aidaient mutuellement à grimper l'horrible escalier qui menait jusqu'à l'antichambre quand le père Bardieu vit le Père Graoully.



AH, mon père, vous arrivez à pique. Je n'en peux plus, cet escalier est une véritable torture. Ne voudriez vous pas m'aider en portant mon sac pour que je puisse avancer moins péniblement.

Je pense que Mgr Verty est dans le même état que moi. Si cela continue, je vais porter plainte pour tentative de meurtre par épuisement.
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[Marves]

[A l'entrée]

Le Protonotaire vit arriver Monseigneur Bardieu, Monseigneur Verty et le Père Graoully et il les salua respectueusement.

Marves se retourna vers la garde qui avait une expression étrange en visage.

"Je voudrais que le Père Francesco ici présent, mon ami et secretaire le plus fiable, puisse m'accompagner. Il restera dehors évidemment quand je parlerais avec Mgr. Odoacre, si Monseigneur l'Inquisiteur le souhaite. Naturellement, nous n'avons pas des armes, en étant membres membres de la Nonciature. Est-ce qu'il est possible?"


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[Sainte Wilgeforte]

[Scriptorium du Saint-Office romain]

La pièce semblait déserte. Seule la lueur d'une bougie et un bruit régulier de frottement de papier laissait percevoir la présence d'une personne en pleine lecture. Cette personne, c'était Wilgeforte. La jeune préfète feuilletait un ouvrage d'ontothéologie particulièrement passionnant.
Pour elle qui avait, dès son plus jeune âge, fait vœu de chasteté éternelle, les livres étaient son véritable amour. Ils rythmaient à présent sa vie de théologue, pour son plus grand bonheur. La plupart des membres de la congrégation considéraient leur tâches comme du travail ; Wilgeforte considérait, elle, qu'elle vivait de ses passions et en remerciait Dieu chaque jour.

Elle referma le livre et passa une très ample cape dotée d'une tout aussi ample capuche. Depuis quelques temps, elle préférait éviter d'être reconnue.
Elle sortit dans la ville éternelle et se prit à penser que la vie de cardinal devait être bien triste. Un obscur décret sur lequel elle était récemment tombée stipulait en effet que tous les fiacres étaient interdits en place d'Aristote fors les harnachements cardinalices. Quelle pitié cela devait être de ne plus pouvoir marcher à travers les splendides rues de la Ville éternelle !

[Entrée de la tour]

Une silhouette encapuchonnée s'avança vers le garde en coule blanche. Lorsqu'elle se trouva devant celui-ci elle retira sa capuche, révélant des cheveux de jais, un teint pâle et des yeux opalins. À l'adresse de l'homme, elle n'eut que ces mots :

Wilgeforte de Torretta-Granitola.

Cliquetis d'une clef dans une serrure, grincement d'une porte tournant sur ses gonds. La Sicilienne pénétra alors dans l'inquiétante tour et se mit en quête d'Odoacre.

Edit > incohérence géographique.
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[verty]

[À l’entrée]

Mgr Verty, salua père Graoully.

Bonjour mon père c’est un plaisir de te revoir.

Mes frères, peut être devrions nous attendre qu’on nous indique le chemin, je n’ai vraiment pas envie de prendre le risque de monter toutes ses marches pour rien.

En plus j’ai horreur que les hommes montent les marches derrière moi, attendons plutôt devant le feu ou il fait bon être, même si c’est du chêne.
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[Izidore]

[Haut Conseil de la CSA]

Une missive fut apportée au Chevalier-Sénateur dans les locaux de la Congrégation des Saintes Armées.
Elle était signée de Msg Odoacre et faite au nom de la Sainte Inquisition. Comme le voulaient les textes, la raison de la convocation n'était pas indiquée. Par contre, le lieu de cette même convocation était étrange.
Le Chevalier était plutôt agacé d'être convoqué à ce moment là. Il y avait une Croisade en cours et des choses étaient à réglées. Il espérait que cela ne durerait pas longtemps et laissa ses consignes au Chevalier Acar et prit la courte route en compagnie de son écuyère Marianne.


[Place d'Aristote, devant la porte de la tour d'astrologie]

Izidore avait confié la bride de sa monture à Marianne, si il avait une urgence, il pourrait ainsi rejoindre rapidement les locaux de sa congrégation.

Après avoir présenter sa convocation à l'encapuchonné de l'entrée dont les yeux semblaient injectés de drogue et après avoir remarqué qu'il était plutôt lourdement armé pour un simple portier, le Chevalier donna ses consignes.
Lui et ses proches avaient prit l'habitude de converser en langage des signes pour plus de discrétion devant certains. Il demanda donc ainsi à son écuyère de garder son étalon et ses armes et de rester devant la porte de la tour pour surveiller les allées et venues et intervenir si quelque chose lui semblait suspect. Nul besoin d'en dire plus, elle avait souvent accompagné le Chevalier et savait quoi faire. De plus, c'était une sœur Teutonique.

Il entra donc, simplement vêtu de sa tenue blanche Teutonique, de sa cape frappée de la Croix noire et de son collier de Ritter et de Sénateur d'Isenduil.

Lorsqu'il passa la porte, il entendit des voix dans les escaliers menant vers le sommet de la tour. L'une d'elle ressemblait fortement à celle du vieux Frère Bardieu de l'abbaye cistercienne de Noirlac. Il semblait pourtant que le "portier" lui avait dit que l'antichambre se trouvait dans les sous-sol ... Il lança un appel dans le long escalier.

Frère Bardieu ? Est-ce bien vous ?

Ses paroles se répercutèrent le long de l'escalier en un étrange écho.