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[RP] Procès en canonisation de Sjnoel
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Rehael



Inscrit le: 16 Sep 2007
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Localisation: Roma

MessagePosté le: Ven Fév 05, 2010 12:13 pm    Sujet du message: [RP] Procès en canonisation de Sjnoel Répondre en citant

Procès en canonisation du Bienheureux Sjnoel.

[Les modalités de vote sont les suivantes : dépot d'un bulletin "Pour" ou "Contre", pour chacun des trois bienheureux présentés, après présentation du certificat de baptême]

Rehael a écrit:

Le Camerlingue avait passé une grande partie de la nuit en prières avant d'entamer ses ablutions afin de préparer son corps et son esprit à la journée qui allait suivre. Après avoir revétu ses vêtements liturgiques, il rejoignit ses confrères cardinaux, qui, depuis le Palais pontifical, gagnèrent la Place d'Aristote.

Sur celle-ci avait été installée une estrade pour que chacun puisse y prendre place. Il allait être demandé aux fidèles de se prononcer publiquement sur la canonisation de trois bienheureux : Norv, Jarkov, et Sjnoel, après présentation de leurs hagiographies respectives.


Les gardes pontificaux avaient été disposés un peu partout afin d'assurer le bon déroulement du procès et la sécurité des fidèles.

Le Camerlingue, se leva, et le premier, pris la parole.


Au nom de la Curie romaine, je déclare ouvert le procès en canonisation du 30 janvier 1457.

Conformément au Droit Canon, les fidèles sont appellés à se prononcer sur l'élévation au statut de Saint des Vénérables Norv, Jarkov, et Sjnoel.

Se tournant quelque peu vers son confrère

Son Eminence Vincent Diftain, en sa qualité de Chancelier du Saint Office, va présenter les hagiographies des trois Vénérables. S'en suivra le traditionnel vote.


Eminence Diftain, pouvez vous a présent nous faire lecture de l'hagiographie du Bienheureux Sjnoel ?

[topic initial : http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=18929 ]
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Bardieu



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MessagePosté le: Sam Fév 06, 2010 11:45 am    Sujet du message: Répondre en citant

Alors, pour ma part, je suis extrêmement favorable pour la canonisation du Bienheureux Sjnoël.

Je vote Oui ! Pour les autres, je vais encore prendre le temps de relire l'hagiographie pour être certain de mon vote.

Dernier détail que j'oubliais, en temps qu'évêque, je suis baptisé, en effet.
_________________
En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?
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Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Sam Fév 06, 2010 2:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Wilgeforte attendait qu'on lise l'hagiographie avant de se prononcer.
_________________
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Sybilla



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MessagePosté le: Mer Fév 10, 2010 10:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Sybilla attendit aussi...
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vincent.diftain



Inscrit le: 10 Déc 2006
Messages: 7213
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MessagePosté le: Mer Fév 10, 2010 11:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le Cardinal Chancelier du Saint Office fit alors lecture de l'Hagiographie du Bienheureux Sjnoel.

Citation:
Hagiographie du bienheureux Sjnoel



FIDELE SERVITEUR DE L'EGLISE ET CO-FONDATEUR DE L'EGLISE HOLLANDAISE

Né dans le Lyonnais-Dauphiné, Sjnoel prit très vite la décision de servir l'Eglise Aristotélicienne. Fervent défenseur de celle-ci, il a juré de la défendre avec sa vie. L'armement ne lui attire guère, il prend alors les décisions qui changent sa vie de simple paysan à un clerc renommé.

Il entra dans l'Ordre Cistercien, ordre monastique renommé, où, le Père Fredstleu, l'accueillit les bras ouverts. Il se fit baptiser à l'abbaye Saint Arnvald de Noirlac, et prit le statut de Frère de l'Ordre Cistercien et accomplit ses études théologiques dans le Séminaire Saint-Benoît. Il prêcha dans les halles de son village, Dié, mais très vite, il entendait parler des contrées de l'Hollande, où l'on parlait le néerlandais, une langue, qu'il pratiquait particulièrement bien.

Au sein de l'Ordre Cistercien, Sjnoel su trouver un appui sans faille notamment auprès de son abbé et ami le Protonotaire Romain Frère Roger qui lui apporta le soutien nécessaire pour s'imposer à la fois comme clerc et comme diplomate romain en Hollande. Plusieurs de ses condisciples amenés à former l'ossature du clergé hollandais furent formés au sein de séminaire Saint Benoît de Noirlac. Un temps, ils formèrent même une belle abbaye hollandaise cistercienne.

Sjnoel rejoignit aussi l'Ordre Teutonique, ordre dont il avait beaucoup entendu parler, et par lequel il se sentait attiré. Grâce à sa maîtrise des langues, il put rapidement évoluer dans cet univers avant tout militaire : il connaissait en effet l'anglais, français, néerlandais et bien d'autres, ce qui faisait de lui un personnage clé pour l'ordre.

Il prit alors la décision de partir en Hollande, après s'être intégré auprès de l'Inquisition Romaine, où il fut accepté après la sélection des candidats. Il poursuivra cette tâche dans les nouvelles terres du nord.

Avec son oncle, il arriva, l'un des premiers en Hollande, terres vides et peuplées d'ignorant, sa seule tâche était de les instruire, mais surtout, de mener une politique religieuse, au nom de la Sainte Eglise Aristotélicienne. Il accéda au Conseil Comtal, en tant que Chancelier. Il déposa sa candidature auprès de la Nonciature Apostolique en même temps, il s'y fit accepter en tant que None Apostolique pour la Hollande.

Quelques mois passèrent, mais la religion importait peu le peuple hollandais, il la rejetait, il l'ignorait totalement, tout comme le Diacre Sjnoel, Diacre de Rotterdam à l'époque. Ne pas cessant sous les hautes pressions des habitant de la cure, il continuait sa progression, et rédigea le Concordat entre l'Eglise Aristotélicienne et le Comté Hollandois. Ce dernier document, fit une telle polémique, que le jeune Sjnoel reçut les pires critiques, mais l'homme se durcissait de plus en plus.

Après un mois de sévères discussions entre les habitants, le conseil, et Sjnoel même, il réussit à faire passer le Concordat tel qu'il était. A partir de ce moment, Sjnoel savait, que les fondations étaient posées.

Il ne tarda pas de déménager à Leiden, ville situé plus au nord de Rotterdam, et prit la charge de Curé. Il dirigea alors, de main ferme cette cure. Peu de temps après, il prit sous ses ailes, le diacre Sonho, qui se trouvait être un excellent élève.


A LA TÊTE DU COMTE HOLLANDAIS



C'est alors, lors des suivantes élections comtales, que le peuple le reconnut comme Comte de Hollande. Il régna de façon religieuse, plaçant et mettant en avant la religion avant toute autre chose. Fit des réformes importantes au niveau des institutions et réglé les problèmes restants à propos du Concordat ecclésiastique.

Pendant son règne, il entreprit de fonder une section néerlandaise de l'Ordre Teutonique, ordre dans lequel il avait progressé et atteint le statut d'"Ordenskaplan". Il n'avait plus de difficultés de trouver des membres, cependant, il dut s'opposer à quelques obstacles, tel que des personnes désirant la séparation de l'Eglise et de l'Etat, chose inimaginable pour le jeune Curé. Il en fit part à la Curie, qui ne resta pas lâche à propos, et l'Ordre en question, tomba quelques mois plus tard, alors que l'Ordre Teutonique prit de l'ampleur, et vit ses rangs grandir d'environ vingt membres.

Beaucoup d'entre eux furent des disciples ou de très bons amis de Sjnoel, et lui dévouaient leurs vies. Il dit alors:

"Dévouez votre vie à l'Eglise et non à moi, je ne suis que le meneur du troupeau, qui vous guidera vers la Gloire du Très-Haut!"

Ceux-ci comprirent et se mirent en service de l'Eglise dans l'Ordre Teutonique. Le mandat de Sjnoel prit fin, et reçut comme fief le Comté de Gouda, et offrit un commanderie à l'Ordre Teutonique, qui devint l'Intendance. Tout de même qu'il avait fait de Krimpen, la commanderie générale de l'Ordre Teutonique hollandais. Un Ordre Militaro-religieux était désormais puissant dans le comté, qui parlait une autre langue, que la France ou encore le Saint Empire Romain Germanique.

Quelques batailles eurent lieu, contre des bandes de voleurs, de manants, hors-la-loi ou encore des brigands. Au début de celle-ci, Sjnoel fut nommé HochMeister, titre le plus important dans l’Ordre. Il dut donc prendre la tête d'un groupe de teutoniques, bien qu'il ne fût pas lui-même armé. Chaque bataille fut gagnée par les Teutons et l’Armée Hollandaise. La confiance envers l’Ordre Teutonique grandissait, tout de même envers ces membres, qui libèrent à plusieurs reprises des villes du Comté.


ARCHEVEQUE DE COLOGNE – LA FIN D’UN GUIDE

Bien que la fatigue commençait à toucher le jeune prêtre de plus en plus, il continuait à faire son devoir et sa volonté qui consistait à servir l’Unique, avec rigueur et passion. Les traductions du Droit Canon et du Livre des Vertus avançaient bien, et commençaient à se terminer. Ceci était un travail extrêmement épuisant, un travail de recherche et de connaissances en langues. Il fallait trouver les bonnes personnes, qui avait les bons diplômes en lettres de leur langue, ainsi, il n’en put trouver qu’une bonne dizaine. Cependant, ils furent très compétents et c’est alors que le Curé de Leiden, fut élu Archevêque de Cologne, par l’Assemblée Episcopale du Saint Empire Germain.

Désormais, il était temps de réorganiser et de démarrer l’organisation de l’Archevêché et d’augmenter sa réputation auprès du reste du monde Aristotélicien. Une Inquisition, avec tribunaux, avocats, juges et Procureurs devait être organisée. Une Armée Episcopale devait tout de même être mise au point, jusqu’à ce jour-ci, il n’y en a toujours pas, mais la caserne est achevée, et les traductions faites grâce à une femme, nommé Raldar. Celle-ci s’est investie pour la Garde, hélas, elle aussi, elle à rejoint le Très-Haut.

Tout se mit en place, tout s’organisa, et l’Archevêché commença à trouver son ampleur. Des pèlerinages se dirigeaient vers elle, avec pour mission de prêcher les savoirs de Rome. Ceci ne fit que du bien à la Province nordique. L’Archevêque avait fondé le parti Ultra Montanus en Hollande, celle-ci gagna les élections comtales et une Comtesse de ce parti prit le pouvoir et fit des réformes favorables à l’Eglise.

Deux mois passèrent, et le prêtre tomba malade. Sa fatigue avait atteint un tel point qu’il devait s’exclure du monde grouillant, vivant et c’est alors qu’il partit en retraite spirituelle pour deux mois. Il retourna une seule fois, pour annoncer son départ du monde, il laissa une lettre et son testament. Ensuite, il quitta la Terre pour rejoindre le Soleil, après une vie courte mais intensive, une vie qui agrandit l’Eglise, qui la donnait plus d’ampleur qu’auparavant, et qui, désormais, pouvait compter des centaines de fidèles de plus, prêt à la servir jusqu’à la fin des Temps.


HOMMAGES DEDIES A L’ARCHEVEQUE

Son Eminence MrGroar :

« Homme volontaire, audacieux, téméraire et parfois impatient, Sjnoel a toujours su écouter ses amis et aider son prochain »

Comtesse Nadia de Ligne :

« Gedreven, grondlegger van het Aristotelische Geloof in Holland, een groot man voor het Graafschap.


(Personne rigoureuse, fondateur de l’Eglise Aristotélicienne en Hollande, un grand homme pour le Comté Hollandais.)

Son Excellence DragothAr Ooms :

« Als je Holland zou mogen vergelijken met een gierstveld, dan is Monseigneur Sjnoel het eerste zaadje dat de Almachtige gezaaid heeft in deze vruchtbare bodem. En door dit ene zaadje mag ik dezer dagen genieten van een rijk gevuld veld waar ik goed de Vruchten van de Heer kan oogsten.”

( Si l’on devait comparer l’Hollande à un champ de maîs, alors Monseigneur Sjnoel est la première graine que le Très-Haut a semé dans ce sol fertile. Et grâce à cette première graine j’ai le droit de profiter en ces jours d’un champ bien rempli dans lequel je peux récolter les fruits du Seigneur.)


Sa Grâce Karanda de Ligne :

“Sjnoel is voor mij de vader van het geloof in Holland, een van de grondleggers van de Raad van Holland en een goedwillende wereldverbeteraar.”

(Sjnoel est pour le père de la Foi en Hollande, un des fondateurs du Conseil Hollandais et un sage qui tentait d’améliorer le monde.)


Dame Pippa :

"Zijn leven stond in dienst van de kerk, vele uren vertaalde hij de geschriften, zijn eenzaamheid hierdoor voor lief nemend, hij had grote wijsheid maar kon slecht tegen domheid en reageerde hier op met groot ongeduld, voor hen die dichtbij zn hart waren had hij echter alle geduld, liefde en zorgzaamheid. Hij wordt erg gemist."

(Sa vie était dédiée à l’Eglise, pendant de nombreuses heures, il passait à traduire des textes, sa solitude ne lui importait peu, ses connaissances étaient nombreuses, cependant il ne supportait pas les ignorants et sa réaction sur ses gens là, fut parfois impatiente. Pour ceux près de son cœur, il possédait toute la patience et l’écoute. Il nous manque.)

MOMENTS FORTS ET MIRACULEUX
Citation:
Rome (APP) - SAINT ARNVALD: MOMENTS FORTS ET MIRACULEUX DE L'AN 1457

Au commencement, le vieux recteur cistercien roger s'était senti mal le 17 mai 1457 et un médecin avant été appelé le lendemain. le verdict avait été sans appel. Le coma du début s'était transformé en une éradication In Gratibus, indices forts de rupture définitive du lien entre l'âme et le corps. Puis surprise, une nouvelle connexion neuronale In Gratibus a eu lieu le 19 Mai 1457 à 02h33. Un espoir était permis. Roger sortira t-il de son coma Res Parendo ? ...

Dans la nuit du 20 mai, un vent mystérieux souffla toutes les bougies de l'Abbatiale Saint Bernard, perturbant les rares moines priant à cette heure pour le rétablissement de Frere Roger. Une douce mélopée intérieure sembla bercer les témoins qui se sentirent confiant et serein dans l'instant. Une expérience difficilement descriptible, ils vous en parleront mieux que moi. Puis le calme fut rompit bizarrement par ce qui ressemblait à des battements d'ailes et un cri de rapace. Un novice affirma même avoir vu un aigle noir près du corps comateux de Frère Roger dans sa cellule.

Le 21 mai, malgré la tristesse due aux ennuis de santé de roger, les célébrations de la Saint Arnvald en l'abbaye cistercienne de Noirlac se déroulent normalement. Quand soudain, le miracle : l'arrivée de l'aigle noir teutonique au dessus du manoir ou reposait le corps de frère Roger. Le frère Roger sort de son coma profond dans un grand fracas et arrive dans l'abbatial pour partager son retour miraculeux. Frère Roger a aperçu Sjnoel, à qui est imputable ce miracle. Un chant improvisé et spontanée partit de l'abbatial pour célébrer cette évènement extraordinaire.

Un beau jour,
ou peut-être une nuit,
A Noirlac, il s'était endormi
Quand soudain, venant de l'abbatiale
Et nimbé de lumière,
Surgit un aigle noir.

Lentement, Roger ouvrit les yeux,
Lentement, il sortit du coma.
Près de lui, dans un bruissement d'ailes,
Comme tombé du ciel,
Il vit Sjnoel.

Il portait, les couleurs teutoniques,
Et parlait, avec une voix grave.
C'est alors, que l'abbé cistercien,
Retrouvant sa vigueur,
Se leva de sa couche.

Ô, Très-Haut,
Tu l'as touché du doigt,
Tu le rends à ses frères, ici-bas.
C'est ainsi que Tu es reconnu
Ceux qui osent le nier
Oh, qu'ils soient pourfendus.

En ce jour, bénit de tous les saints.
Le fameux, fondateur hollandais,
En héros, sur les terres cisterciennes,
Surgissant du passé,
Nous était revenu.

"Dis mon Frère, O dis, écoute-nous.
Donnes nous, à vivre ta sagesse
Fais de nous, des constructeurs d'empires,
Au service du Très Haut,
Toujours dans la foi.

Comme avant, dans ta vie cistercienne,
Comme avant, chez tes freres teutoniques,
Comme avant, en la cure de Leiden,
Être faiseur de joies
Montres nous des merveilles."

Une tenue, couleur de la nuit,
Une voix, ou peut-être un rubis
J'avais peur, il m'a rendu l'espoir
L'oiseau nous a laissé
Seuls avec Frère Roger.

L'aigle noir, dans un bruissement d'ailes
Repartit, pour regagner le ciel.
Et toujours, au paradis solaire
Sur ses Frères et ses Sœurs,
Il veille sur nos vies.

...

sources : http://cistercien.forumactif.com/abbatiale-saint-bernard-f7/ceremonies-du-21-mai-en-l-honneur-de-saint-arnvald-t4086.htm
annonces à rome : http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=15396

frereRoger pour l'APP



Citation:

Hagiography of the blessed Sjnoel.



Servant of the Church and co-founder of the Dutch church.

Born in Lyonnais-Dauphiné, Sjnoel quickly took the decision to serve the Aristotelian church. Being a fierce defender of the last, he swore to protect her with his life. Weapons hardly attracted him, so he took the decisions that would change his life from a simple peasant to a famous clerk.

He joined the Cistercian Order, a monastic order, where he was received with open arms by father Fredstleu. He was baptized, took the status of Brother of the Order upon him en ended his seminaries in the seminary Sint-Benedictus. He preached in the halls of his village, Dié. But very soon he received word about a country named Holland, where one spoke Dutch, a language that he mastered very well.

Sjnoel joined the Teutonic Order, an order where he had heard much talk about, and where he felt appealed to. Thanks to his mastership of the language, he grew very quickly. French, English and Dutch speaking and German and Spanish reading, he found a place amongst them. He took the decision of moving to Holland, after integrating into the Roman inquisition, where he was elected from amongst the candidates. He would continue his task on the new grounds in the North.

With his uncle he arrived, one of the first in Holland, an empty country, full of ignorant people. His only task was to educate them, but mostly, to conduct a religious policy, in the name of the holy Aristotelian church. He joined the council, in the position of chancellor. At the same time also trew in his its candidature for the apostolic Nunciature. He was accepted as Nuncio for the county Holland.

A few months passed, but religion did not attract the people of Holland. They refused it, ignored it completely. Just as deacon Sjnoel, deacon of Rotterdam in that time. Continuously under pressure by the Curia, he continued his way, and created the Concordat between the Aristotelian Church and the county Holland. This document made some uproar, the young Sjnoel had to endure the worst critics, but the man still continued.

After a month of arguing against the population, the council and himself, he succeeded to integrate the Concordat. From that moment Sjnoel knew the foundations were laid. he packed and moved to Leiden, north of Rotterdam, where he became priest. Hard, but just he led the patronage. A while later he took Sonho under his care, who proofed to be an excellent student.

the head of the council - Sjnoel loyal teuton



It is then, at the time of the council elections, that he was nominated en crowned as Count of Holland. He ruled on a religious way, by putting religion on the first place, before any other. He made important change on the level of institutes and solved the remaining problems with the ‘Concordat between the Aristotelian Church and the country Holland’.

During his reign he introduced the Dutch branch of the Teutonic order, an order where he achieved the status of ‘Ordenskaplan’. He had no trouble finding members, however, some obstacles appeared on the road, like people who wanted a separation between state and church. What was unthinkable for the young spiritual. He was part of the Curie, who did not remain silenced. However, the order in question disappeared several months later, while the Teutonic order kept growing in rank and size. The order counted nearly 20 members.

Many amongst them were disciples or very good friends of Sjnoel, and devoted their lives to him. Therefore he said:
“Devote your live to the church, and not to me, I’m only a shepherd of the herd, who shall lead you to the glory of the Most Holy!”

These came and offered their service to the church in the Teutonic order. The mandate of Sjnoel came to an end, by which he was crowned to count of Gouda. He gave the Teutonic order a Command post, which was meant as a commissariat. He did the same with Krimpen, the Dutch general command post. A military religious order became so powerful in het country that spoke another language then French or Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.

Several battles were fought against groups of thieves, savages or bandits. At the beginning Sjnoel was made ‘Hochmeister’ the head of the Teutonic order, which meant Grandmaster. He left with the others to battle, unarmed off course, as written in the Canon Law, which fell heavy for him. Every fight was won by the Teutonic order and the Dutch army. The trust in the Teutonic order Grew, almost equally to their members, who repeatedly freed the stone of the country.

Archbishop of Keulen - the end of a guide

However the fatigue began to strike the young priest, he continued his task and his will existed by serving the One with passion and austerity. The translation of the Canon Law and the Book of Virtues began to near the end. It was a very harsh and exhausting work. A work of search and knowledge of the language. He had to find good people with the right diploma’s in their language. He was only able to find 10, although they were very competent. It is for this reason that the soul shepherd of Leiden was made to Archbishop of Keulen by the Episcopal college of the German saint empire.

It was time to reconstruct and restart the archdiocese, and to rise his reputation with the others from the Aristotelian world. A inquisition with tribunals, lawyers, judges and solicitors had to be organized. An Episcopal army had be developed at the same moment. Even to this they these do not exist, but the barracks were already made and translated thanks to a woman named Raldal. She has given everything for the army, but was recalled by the Most High.

Everything rose and organized itself, the archdiocese began to find its size. Pilgrim Tours were held in the direction of the diocese with the mission to preach the knowledge of Rome. This did the Northern province nothing but good. The archbishop set up the party ‘Ultra Montanus’ in the Netherlands. This party won the elections and the countess of this council took the power and passed through reformations in favor of the church.

2 months passed and the priest became sick. His fatigue reached the point where he retreated to a monastery. Alive and well he went for a spiritual reflection of 2 months. He returned once to tell the world of his leave from his world. He left a letter and his will. After that he left Earth to join with the sun after a short but intense life, a live that allowed the church to grow larger than before, with hundreds of new followers, ready to serve the church until the end of times.

Hommages aan de Aartsbisschop

His Eminence MrGroar:

Strong-willed man, brave, daring and sometimes impatient, Sjnoel always could listen to its friends and would always help his close friends.

Countess Nadia de Ligne :

Driven, founder of the Aristotelian faith in Holland, a great man for the County.

His Eminence DragothAr Ooms :

If you would compare Holland with a millet field, then monsignor Sjnoel is the first seed that the Almighty has sown in this fertile ground. Because of this seed I may, this days, enjoy of a well filled field from which I can harvest very good quality in name of the lord.

Countess Karanda de Ligne :

Sjnoel is for me the father of faith in Holland, one of the founders of the Council of Holland and a well-meaning person

Lady Pippa :

His life was in service of the Church, many hours spend in translating writings, his loneliness because of this taking as love, he had great wisdom but was only able to react to the stupidest and reacted to this with great impatiens, however, for the ones close to his heard he had great patience, love and caring. He is very missed.

At the start the old Cistercian headmaster, Roger, felt sick, the 17th day of the 5th month in the year 1457 and a doctor was called the next day. The conclusion came immediately. The coma from the start changed in a dismissal in Gratibus(IG), strong indication from a definitive breach between soul and body. Then by surprise, a new neural connection in Gratibus found place on the 19th of the 5th month in 1457 around 02h.33, they could hope again, would Roger rise again from his coma, Res Parendo?

On the night of the 20th of the 5th month, a mysterious wind blew through a corners of the ‘Sint Bernard’ abbey, which shivered the few monks, who were still praying on this late hour. A sweet inner, rhythmic singing appeared to shush the witnesses, who were watching calm towards the moment. an experience, hard to describe, they would be able to tell u better than me. Then, the silence was broken on a strange way by a cry of a bird of prey. A novice found the comatose body of Roger, in his cell.

On the 21th day of the 5th month, despite the sorrow of the health problems of Roger, the festivities in honor of Saint Arnvald began in the Cistercian abbey. Until suddenly, the miracle : the coming of the black Teutonic eagle by the place where Roger rested. He awoke from his deep coma with much fuss and came in the Abbey to share this miraculous return. Brother Roger had seen Sjnoel, on who he attributed this miracle. A improvised and spontaneous singing filled the abbey to celebrate this exceptional moment, a singing that was felt by all.

A beautiful day
Or was it a night
In Noirlac he fell asleep
When suddenly from the abbey
Surrounded by Light
A black eagle rises

Roger slowly opened his eyes
Slowly he awoke from his coma
with him, in wings noise
as fallen from heaven
He saw Sjnoel

He wore Teutonic colors
And spoke with low voice
It was then that the Cistercian abbot
regained his power
And rose from his sleep

O Most High
Your finger touched him
You brought him back to his brothers
You are, therefore, the Most High
Those who dare to deny
That they are contested

This day, blessed above all the Saints
The Dutch founder
The hero of Cistercian grounds
arisen from the past
He has returned

"Tell me Brother, o say and hear us
Give us your wisdom to live
Make us builders of empires
In the service of the Most High
Always in the faith.

Like when, in your life Cistercian
Like when, when your brothers Teutonic
Like when, as guardian of Leiden
Bringer of joy,
Show us miracles! "

Clothing with the color of the night
A voice, or was it a ruby?
I was scared, he gave me hope
The bird has left us
Only with Brother Roger

The black eagle hit his wings
Departed to be one with heaven
And always, in the heavenly paradise
concerning for Brothers and Sisters
He watches over our lives


Translated by taliasup

_________________
Vincent Diftain d'Embussy
Cardinal Romain
Chancelier de la Sainte Inquisition
Grand Inquisiteur


Dernière édition par vincent.diftain le Dim Fév 28, 2010 11:27 am; édité 2 fois
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Bender.B.Rodriguez
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MessagePosté le: Jeu Fév 11, 2010 1:52 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bender.B.Rodriguez a écrit:
Procès en canonisation de Sjnoel
Le Bienheureux Sjnoel doit-il être élevé au statut de Saint Aristotélicien ?


Nom du votant : Bender Balthazar Rodriguez

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Isengart



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MessagePosté le: Jeu Fév 11, 2010 10:06 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Procès en canonisation de Sjnoel
Le Bienheureux Sjnoel doit-il être élevé au statut de Saint Aristotélicien ?

Nom du votant : Deutschritter Isengart von Falkenhayn, Freiherr von Pegnitz

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neocor



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MessagePosté le: Jeu Fév 11, 2010 10:13 am    Sujet du message: Procès Répondre en citant

Procès en canonisation de Sjnoel
Le Bienheureux Sjnoel doit-il être élevé au statut de Saint Aristotélicien ?

Nom du votant : Neocor

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aurelien87



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MessagePosté le: Jeu Fév 11, 2010 10:35 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Procès en canonisation de Sjnoel
Le Bienheureux Sjnoel doit-il être élevé au statut de Saint Aristotélicien ?


Nom du votant : Mgr Aurélien

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Hobb



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MessagePosté le: Jeu Fév 11, 2010 11:26 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Procès en canonisation de Sjnoel
Le Bienheureux Sjnoel doit-il être élevé au statut de Saint Aristotélicien ?


Nom du votant : Hobb

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-"Voilà mon Certificat de baptême :"


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Curé de Genève Maire de Genève (5 jours) - Dit "48%" ! Prince de Lausanne, Baron de Saltara
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Tully
Cardinal
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Inscrit le: 26 Aoû 2009
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Localisation: Vienne (Duché du Lyonnais-Dauphiné))

MessagePosté le: Jeu Fév 11, 2010 12:30 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Procès en canonisation de Sjnoel
Le Bienheureux Sjnoel doit-il être élevé au statut de Saint Aristotélicien ?


Nom du votant : Mgr Tully

Pour

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Honoré.Saint_Cyr



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MessagePosté le: Jeu Fév 11, 2010 12:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Procès en canonisation de Sjnoel
Le Bienheureux Sjnoel doit-il être élevé au statut de Saint Aristotélicien ?


Nom du votant : Mgr Honoré.Saint_Cyr

Pour

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LE DOGME
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vanwolk



Inscrit le: 22 Aoû 2008
Messages: 357

MessagePosté le: Jeu Fév 11, 2010 2:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Procès en canonisation de Sjnoel
Le Bienheureux Sjnoel doit-il être élevé au statut de Saint Aristotélicien ?


Nom du votant : Mgr Vanwolk

Pour

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Eveque d'Agen,
Frère Lescurien,
Maitre de la Chapelle Royale,
Chapelain de l'Ordre Equestre du Saint Sépulcre,
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Sainte Wilgeforte



Inscrit le: 17 Juil 2009
Messages: 6071

MessagePosté le: Jeu Fév 11, 2010 5:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Procès en canonisation de Sjnoel
Le Bienheureux Sjnoel doit-il être élevé au statut de Saint Aristotélicien ?


Nom du votant : Wilgeforte de Torretta-Granitola

Pour

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lily-jane



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Messages: 78
Localisation: Dans les bras d'Aristote ! Ouai !

MessagePosté le: Ven Fév 12, 2010 12:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Procès en canonisation de Sjnoel
Le Bienheureux Sjnoel doit-il être élevé au statut de Saint Aristotélicien ?


Nom du votant : Lily-Jane de Cognin Franchesse Casaviecchi Von Waldershut

Pour


Certificat de baptème
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En pleine partie de ramponneau avec Aristote
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Typhanie Casaviecchi? C'est moi en mieux ![Signature hors norme, merci d'y remédier]
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