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L’éclipse I: La lune

 
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Pouyss



Inscrit le: 10 Mai 2006
Messages: 2334

MessagePosté le: Dim Mai 28, 2006 10:25 pm    Sujet du message: L’éclipse I: La lune Répondre en citant

    _____________________________________________________________

    Dogme corrigé

    => Livre des Vertus, chapitres de l'Éclipse, revu et corrigé : > ICI <

    _____________________________________________________________




16-06-1454

L’éclipse I: La lune

L’histoire que je vais vous raconter peut sembler surprenante, mais, lorsque vous l’aurez lue, vous saurez qu’il y a en elle beaucoup de vérité.

Un jour qu’il faisait beau, je me promenais avec mon chien le long de petits chemins ondulant entre les champs. Je venais de manger et me cherchais un petit coin agréable où faire ma sieste. En cet après-midi de mai, le ciel était d’un bleu pur, vierge de tout nuage. Les oiseaux chantaient et mon chien courait à travers les blés, poursuivant de petits animaux bien plus rapides que lui. Il aboyait de toutes ses forces dans sa course-poursuite perdue d’avance.

La journée semblait belle, mais la présence de la lune dans le ciel en plein jour m’inquiétait. Alors que le soleil était le lieu destiné à accueillir les justes après leur jugement, la lune était le futur lieu de supplice des pécheurs. Le premier était surnommé Paradis, alors que la seconde était appelée Enfer. Le rapprochement de ces deux astres divins en pleine journée ne pouvait qu’être annonciatrice de grands malheurs.

Je me baissais pour admirer une petite fleur des prés, mais l’obscurité était telle que je ne pouvais plus la distinguer. L’obscurité, me dis-je? Comment pouvait-il y avoir la moindre obscurité pendant une si belle journée, alors que le soleil était à son apogée? Je levai les yeux au ciel et fus saisi d’horreur: la lune masquait maintenant le soleil, empêchant la divine lumière, source de vie, d’éclairer le monde. Seul un sinistre halo couleur de feu, ceignant l’astre de nuit, témoignait encore de la présence de l’astre de jour.

Mon chien s’arrêta d’aboyer. Je me dis, pour me rassurer, qu’il ne s’agissait que d’un de ces événements cosmiques dont les anciens avaient régulièrement gardé trace, et que cela allait finir bientôt. Mais je n’en étais pas convaincu. Le halo de feu donnait à cette éclipse une atmosphère angoissante. Mais il finit par disparaître quand la lune acheva sa conquête du soleil. Il faisait un noir d’encre. Même les étoiles avaient décidé de s‘éclipser. C’est alors que la lune décida de contrevenir aux règles de la physique.

Je la vis se colorer de diverses teintes. Au centre de ce disque d’obscurité, des taches de couleurs se mouvaient, comme des oiseaux virevoltant dans le ciel. Elles semblaient livrer batailles, se mêlant les unes aux autres, puis se séparant brusquement. Le mauve se jetait sur le bleu, qui esquivait le turquoise, alors que le vert fuyait le rouge, lui-même poursuivi par le jaune. Puis, les taches calmèrent leurs ébats. Je ne pouvais pas quitter la lune des yeux, alors que je voyais les couleurs se répartir la surface de l’astre de nuit, en un tout enfin ordonné.

Elles restèrent ainsi toute une éternité, alors que mon chien geignait, caché dans le champ de blé. Puis, les taches de couleurs surgirent de la lune, telles des carreaux tirés par une arbalète. On aurait dit six rayons de lumière qui déchiraient le ciel en de longs traits colorés. Les couleurs se joignirent en un véritable arc-en-ciel qui vint s’abattre à mes pieds. J’avais devant moi un pont zébré de couleurs, formant une arche qui enjambait la distance qui me séparait de la lune.

Je la regardai alors et vis que le pont de couleurs y tombait en une véritable chute de lumière blanche. Je regardai ensuite à mes pieds et vis qu’ils étaient aspergés de la même douce lumière laiteuse. Les six rayons, accolés sur toute la longueur du pont, venaient à ses extrémités fusionner en une même blancheur.

Bien qu’étreint par une angoisse indescriptible, je décidai de poser le pied sur cet arc-en-ciel lunaire...


Sypous
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Ubaldo



Inscrit le: 19 Aoû 2006
Messages: 3218

MessagePosté le: Sam Avr 07, 2007 2:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

El Eclipse I: La Luna

La historia que le contaré puede parecer sorprendente, pero, cuando la lea, sabrá usted que hay mucha verdad contenida en ella.

Un día, en el que el clima estaba agradable, me encontraba yo caminando con mi perro a lo largo de pequeños senderos que serpentean entre campos. Acababa yo de comer y buscaba para mi mismo una pequeña, y cómoda esquina donde tomar la siesta. En esta tarde de mayo, el cielo estaba de un color azul puro y desprovisto de cualquier nube. Los pájaros cantaban y mi perro corría a través del maizal, persiguiendo animales pequeños mucho más rápidos que él. Ladraba feliz y poderosamente, aunque había perdido la carrera por adelantado.

El día se veía hermoso, pero la presencia de la luna en el cielo del día completo me preocupaba. Mientras que el sol era el lugar previsto para acomodar a los virtuosos después de su juicio, la luna era el futuro lugar de tormento para los pecadores. El primero fue llamado Paraíso, mientras que el segundo fue llamado Infierno. La combinación de estas dos estrellas divinas en un día completo, solamente podía estar anunciando grandes desgracias.

Me agaché para poder admirar una pequeña flor de las praderas, pero la oscuridad era tal que no podía verla. ¿La oscuridad, me pregunté? ¿Cómo podría haber oscuridad durante tan hermoso día, mientras el sol se encontraba alto en todo su apogeo? Levanté mis ojos hacia el cielo y fui tomado presa del horror: la luna había enmascarado al sol, evitando que la luz divina, fuente de la vida, alcance el mundo. Solamente una siniestro halo del color del fuego, ciñendo a la estrella de la noche, todavía atestiguaba la presencia de la estrella del día.

Mi perro dejó de ladrar. Me dije a mi mismo, intentando de tal modo tranquilizarme, que era solamente uno de esos regulares acontecimientos cósmicos del que los antiguos llevaban la cuenta regularmente, y que pronto se acabaría. Pero no estaba convencido de ello. El halo de fuego le daba a este eclipse una atmósfera inquietante. Pero incluso esto terminó desapareciendo cuando la luna terminó su conquista sobre el sol. Parecido a tinta negra. Incluso las estrellas habían decidido eclipsarse. En este punto del tiempo la luna decidió incumplir las reglas de la física.

La vi colorearse de tintes diversos. En el centro de este disco de oscuridad, flotaban puntos de color, como pájaros circundando el cielo. Parecían luchar batallas, mezclándose el uno con el otro y luego separándose precipitadamente. El malva fue lanzado sobre el azul, que se esquivó hacia el turquesa, mientras el verde escapaba al rojo, él mismo asaltado por el amarillo. Entonces los puntos calmaron sus retozos. No podía parar de mirar a la luna arriba, donde vi los colores siendo distribuidos sobre la superficie de la estrella de la noche, finalmente ordenados en un todo coherente.

Permanecieron así por una total eternidad, mientras mi perro gimoteaba y se ocultaba en el campo de maíz. Entonces, los puntos de color emergieron de la luna, como las saetas tiradas por una ballesta. Uno habría de decir que seis rayos de luces se movieron de prisa a través del cielo como largos dedos de colores. Los colores se juntaron en un verdadero arco iris que cayó bajo mis pies. Vi delante de mí un puente rayado, de colores, formando un arco que atravesaba la distancia separándome a mí de la luna.

Lo miré entonces y vi que el puente de colores caía allí en una verdadera cascada de la luz blanca. Mire luego hacia mis propios pies y vi que fueron regados con la misma suave luz lechosa. Los seis rayos, arrejuntados sobre la entera longitud del puente, llegaron en sus extremos finales a ensamblarse juntos en la misma blancura.

Aunque era sujetado por una angustia indescriptible, decidí fijar mi pie sobre este arco iris lunar.
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Sjnoel



Inscrit le: 17 Fév 2007
Messages: 494
Localisation: Haarlem

MessagePosté le: Mar Avr 15, 2008 10:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

De Maan

De geschiedenis die ik je zal vertellen kan heel verbazend lijken, maar, wanneer je het leest, zul je weten dat er veel waarheid in schuilt.

Op een dag, toen het mooi weer was, liep ik met mijn hond langs smalle paden tussen de velden. Ik had net gegeven en zocht voor mijzelf een klein, aangenaam plekje waar ik een dutje kon doen. Op deze meimiddag, was de hemel helderblauw en er was geen wolkje te bekennen. De vogels zongen en mijn hond rende door het graan, jagend op kleine dieren die veel sneller waren dan hij. Hij blafte machtig en blij, ook al had hij bij voorbaat de wedstrijd verloren.

Het leek een schitterende dag, maar de aanwezigheid van de maan in de hemel op klaarlichte dag baarde me zorgen. Terwijl de zon de plaats was die was bestemd voor de deugdzamen na hun oordeel, was de maan de toekomstige plaats van kwellingen voor de zondenaren. Het eerste werd het Paradijs genoemd, terwijl het tweede bekend stond als de Hel. Het samenbrengen van deze twee heldere sterren op klaarlichte dag kon enkel de voorbode zijn van grote onheil.

Ik boog mijzelf om een kleine bloem in de weiden te bewonderen, maar de plotselinge duisternis was zodanig dat ik het niet kon zien. De duisternis, vroeg ik mezelf af? Hoe kon er duisternis zijn op zo’n prachtige dag terwijl de zon hoog aan de hemel stond? Ik sloeg mijn ogen op naar de hemel en werd gegrepen door een verschrikking: de maan maskeerde de zon nu, hinderde het heilige licht, de bron van leven, om de wereld te bereiken. Slechts een kleine halo met de kleur van vuur, die de ster van de nacht omringde, getuigde van de aanwezigheid van de ster van de dag.

Mijn stopte met blaffen. Ik vertelde mezelf, daarbij pogend om mezelf gerust te stellen, dat het slechts een van die regelmatige kosmische gebeurtenissen die de ouden hadden bijgehouden, en dat het snel voorbij zou zijn. Maar ik was niet overtuigd. De halo van vuur gaf deze eclips een onheilspellende atmosfeer. Maar zelfs dit verdween toen de maan zijn verovering van de zon voltooide. Het hulde de hele hemel in een inktzwarte duisternis. Zelfs de sterren gaven zich over aan deze vreemde eclips. Op dit punt in de tijd besloot de maan om de regels der fysica te breken.

In het centrum van deze schrijf van duister, dreven gekleurde puntjes, als vogels die door de lucht vlogen. Ze leken met elkaar te strijden, de een die zich met de ander vermengde en dan abrupt zich scheidden. Mauve wierp zich op blauw, wat wegduikt richting turkoois, het groene vluchtte naar het rood, wat zelf het geel aanviel. Toen hielden de kleuren op met hun dans. Ik kon de drang om naar de maan erboven te kijken niet weerstaan, daar zag ik dat de kleuren zich verdeelden over de oppervlakte van de ster van de nacht, eindelijk gegroepeerd in een coherent geheel.

Zo bleef het gedurende een eeuwigheid, terwijl mijn hond huilde en zichzelf verstopte in het graanveld. Toen, vlogen de gekleurde stippen weg van de maan, zoals een bol afgevuurd door een kruisboog. Je zou zeggen dat zes kleurenregens door de lucht schoten als lange gekleurde vingers. De kleuren kwamen samen in een ware regenboog die eindigde bij mijn voeten. Ik zag voor mij een brug van kleuren, die een boog vormden over de afstand die me scheidde van de maan.

Ik keek ernaar en zag toen dat de brug van kleuren naar beneden kwam in een ware zee van wit licht. Ik keek toen naar mijn eigen voeten en zag dat met hetzelfde zachte witte melkachtige licht waren besprenkeld. De zes kleurenregens, gekoppeld over de gehele lengte van de brug, kwamen op het eind samen in de zelfde witheid.

Hoewel ik in de greep verkeerde van een onbegrijpelijk angst, besloot ik op de maanregenboog te stappen.

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Inorn



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MessagePosté le: Lun Mai 19, 2008 9:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[Die Eklipse] I. Der Mond


Die Geschichte, die ich euch erzählen werde, mag vielleicht wunderlich klingen; wenn ihr sie gelesen haben werdet, werdet ihr wissen, daß in ihr viel Wahres steckt.

Eines Tages, bei schönem Wetter, spazierte ich mit meinem Hund auf schmalen Pfaden, die sich durch die Felder schlängelten. Ich wollte etwas essen und suchte daher ein gemütliches Plätzchen, wo ich meine Mittagsruhe halten könnte. An jenem Nachmittag im Mai war der Himmel stahlblau, von jeglicher Wolke unberührt. Die Vögel sangen, und mein Hund jagte kleine Tiere, die natürlich schneller waren als er, durch die Getreidefelder. Er bellte nach Leibeskräften, war seine Verfolgungsjagd doch schon im voraus für ihn verloren.

Der Tag schien schön zu bleiben, doch der Mond, der schon den ganzen Tag am Himmel stand, beunruhigte mich. Während die Sonne der Ort sein würde, an dem die Gerechten sich nach ihrer Beurteilung sammelten, war der Mond der künftige Ort der Qual für die Sünder. Erster wurde Paradies genannt, während zweiter den Namen Hölle trug. Die Annäherung beider göttlichen Gestirne konnte nichts Anderes als großes Unheil ankündigen.

Ich bückte mich, um eine kleine Blume aus der Nähe zu bewundern, doch es wurde derart finster, daß ich sie nicht mehr erkennen konnte. Sagte ich “finster”? Wie konnte es die geringste Finsternis an einem so schönen Tag geben, während die Sonne ihren Höchststand hatte? Ich hob die Augen zum Himmel, und mich traf der Schlag: Der Mond verdeckte die Sonne, hinderte das göttliche Licht, Quell des Lebens, die Welt zu erleuchten. Lediglich ein unheilverkündender feuerroter Lichthof, der das Gestirn der Nacht umgab, zeugte noch von der Anwesenheit des Gestirns des Tags.

Mein Hund hörte auf zu bellen. Ich sagte mir, um mich zu versichern, daß es sich nur um eins dieser kosmischen Ereignisse handele, die die Vorfahren regelmäßig beobachtet hatten und die bald wieder vorübergingen. Doch war ich nicht wirklich davon überzeugt. Der feuerfarbene Lichtkranz verlieh dieser Sonnenfinsternis eine beängstigende Atmosphäre. Er verschwand jedoch, als der Mond die Sonne vollständig bezwungen hatte. Es war stockdunkel. Selbst die Sterne hatten beschlossen, sich zu verfinstern. Dies alles geschah, weil der Mond entschieden hatte, jeglichen physikalischen Gesetzen zuwiderzuhandeln.

Ich sah sie in verschiedensten Schattierungen: In der Mitte der Scheibe der Finsternis wanderten Farbflecken umher, wie Vögel am Himmel umherfliegen. Sie schienen sich Kämpfe zu liefern, mischten sich miteinander, dann wieder trennten sie sich unerwartet. Der malvenfarbene warf sich auf den blauen, der wiederum dem türkisfarbenen auswich, als der grüne vor dem roten flüchtete, selbst den gelben verfolgend. Schließlich ließen die Flecken vom Herumtollen ab. Ich konnte meinen Blick nicht vom Mond wenden, als ich zusah, wie sich die Farben an der Oberfläche des Gestirns der Nacht höchst ordentlich verteilten.

Sie blieben so eine Ewigkeit, während mein Hund in einem Weizenfeld versteckt wimmerte. Dann brachen die Farben aus dem Mond hervor; es sah aus wie Ketten von Kacheln, die von einem Armbrustbolzen durch die Lüfte gezogen wurden. Man könnte sagen: sechs Lichtstrahlen, die den Himmel mit langen Farbstreifen zerteilten. Die Farben vereinten sich zu einem wahren Regenbogen, der vor meinen Füßen endete. Ich hatte eine farbig gestreifte Brücke vor mir, die einen Bogen über die Distanz spannte, die mich vom Mond trennte.

Ich betrachtete sie also und sah, daß die Brücke aus Farben drüben in einen regelrechten Abgrund weißen Lichts stürzte. Dann betrachtete ich meine Füße und sah, daß diese vom selben weichen, milchigen Licht benetzt waren. Die sechs Strahlen, die der Länge nach die Brücke bildeten, vereinten sich an den Endpunkten in gleichem weißen Licht.

Obzwar ich von unbeschreiblicher Angst gepackt war, entschied ich mich doch, meinen Fuß auf diesen lunaren Himmelsbogen zu setzen ...


Übersetzt von Zaltvyksle.
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