L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Melian]

Une fois l'ordre donné, Melian descendit doucement de sa monture, puis la prit par la bride. Elle la mena tranquillement, et partit en quête de son époux, histoire de ne pas changer les bonnes habitudes.

Une fois trouvé, elle s'en vint à ses côtés et supervisa l'installation de leur tente. En bonne maniaque, elle s'assura que leurs aides de camp mettaient tout et à la bonne place de préférence. On ne se refait pas.

Et c'est à son bras qu'elle gagna la tente centrale pour aller écouter Son Eminence, et s'assit à côté de lui.






Once the order was given, Melian dismounted slowly from her horse, then took her by the rein. She led her quietly, and left in search of her husband, just to not change the good habits. 

Once found, she came there by his side and oversaw the installation of their tent. In good fussy, she made sure that their aide-de-camp put everything and in the right place rather. We do not recover.

And it is at the arm that she gained the central tent to go to listen to His Eminence, and sat down next to him.
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[Ara97]

The First Magistrate of Episcopal Garde was the first italian crusader to arrive at the cerimony with his High Dignitary's uniform. Once arrived, he set up the tents of the Italian Episcopal Garde and he waited his crusade's comrades. Meanwhile, he heard the Cardinal's words and he applauded at the end such the other crusaders

Le Première Magistrat de la Garde Episcopale a été le première croisè italien arriveè a la cérémonie avec son uniforme de Haut Dignitaire. Une fois arriveè, il mis en place la tente de la Garde Episcopale Italienne et il attendu l'arrivée de ses compagnons de la croisade. En attendant il entendu les mots du Cardinal and il applaudi a la fin comme les autres croisès.

[italiano]
Il Primo Magistrato fu il primo crociato italiano ad arrivare alla cerimonia vestendo la sua uniforme di Alto Dignitario. Una volta arrivato, montò la tenda della Guardia Episcopale Italiana e aspettò tutti i suoi commilitoni. Nel frattempo ascoltò le parole del Cardinale e alla fine applaudì come tutti gli altri crociati.
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Andrea "Ara97" Borgia

[Sauron45]

Sauron laissait son étalon entièrement noir ténèbres suivre la file de soldats. Il observait distraitement le ciel, planifiant tranquillement ses vacances à venir, les mains croisées derrière la tête, un cure-dent entre les dents et chantonnant doucement.

Belle qui tient ma vie, captive dans tes yeux, qui m'as l’âme ravie. D'un sourire gracieux ...

Il sortit rapidement de sa rêverie quand il sentit sa monture ralentir avant de s'arrêter, au milieu du cortège templier. Il regarda la ville fortifiée et marmonna à son cheval en s'appuyant sur la selle.

Je crois bien qu'on va pas bouger plus ce soir mon cher Hadès.

Il observa les mouvements qui commençaient à se faire dans le groupe, commençant à monter le campement. Il descendit de sa monture et flatta son museau avant de s'étirer un bon coup. Il chercha rapidement l'endroit où l'alcool coulerait à flot, histoire de ne pas installer sa tente trop loin. Quand le Grand Maître vint à sa rencontre, passant entre chaque templier, il lui adressa un grand sourire et la regarda.


Voilà une bonne chose de faite, on va tous pouvoir retrouver nos familles restées en arrière.

Il retourna rapidement à ses occupations, commençant à installer sa tente.

[mirceadino]

Le temps arriva.

Deux chevaux marchaient doucement et près entre eux, jusqu'aux faubourgs de Rome. Mircea quitta sa ville romaine, ensemble avec son acolyte, et les deux allèrent vers le campement des croisés, pour les saluer. Ils pourraient voir déjà beaucoup de tentes, de couleurs différentes, et les drapeaux des ordre militaro-religieux qui avaient lutté pour l'aristotelanisme. Les croisés avaient l'air heureux, en criant gloire au Très-Haut et à Son Eglise.

Dans le milieu, le Camerlingue parlait devant tous, en tant que Connétable. Mircea dit à son acolyte, en indiquant le grand pavillon derrière lui:

Là, Isaak, nous allons passer une nuit là-bas, parmi les croisés.

Discretement, Mircea se glissa dans la foule, mit pied à terre, et prit sa place à quelques pieds au droit du cardinal Plantagenest. Ses derniers mots, les félicitations, s’étaient finis, donc le cardinal von Hohenzollern arriva exactement pour dire ses propres mots pour les croisés. Dire quoi? Il n'avait jamais parlé ou vu aucun de ceux présents, mais il savait que tous avaient lutté bravement pour leur foi. Il fit un pas en avant et dit:

Frères et soeurs, débuta-t-il - oh, tous les yeux étaient sur lui! Que Dieu vous bénisse tous! Félicitations à tous! Félicitations pour la victoire que vous avez apporté pour notre Saint Eglise-Mère! Vous avez été courageux, vos yeux ont vu la mort, mais vous avez su à être loyaux et garder la foi dans le Très-Haut. Vous méritez le respect et l'appréciation de tous les aristotéliciens que vous a protégé!



The time arrived.

Two horses walked slowly and close to each other, to the suburbs of Rome. Mircea left his Roman villa alongside with his acolyte, and both went to the encampment of the crusaders, to greet them. They could already see plenty of tents, of different colours, and flags of the military-religious orders that fought for the Aristotelanism. The crusaders looked happy, shouting glory to the Most High and to His Church.

In the middle, the Camerlengo was talking in front of everybody as Constable. Mircea said to his acolyte, pointing to the great pavilion behind him:

There, Izaak, we'll spend a night there, among the crusaders.

Discretely, Mircea slipped in the crowd, dismounted and took position a few feet in the right of the cardinal Plantagenet. His last words, the congratulations, ended, so the cardinal von Hohenzollern arrived on time to say his own words to the crusaders. What to say? He had never talked to any of those present, never seen them, but he knew that they had fought bravely for their faith. He made a step forward and said:

Brothers and sisters, started he - oh, all the eyes were on him! May God bless you all! Congratulations everyone! Congratulations for the victory that you brought to our Holy Mother Church! You were brave; your eyes have seen death; but you knew to be loyal and keep the faith in the Most High. You are deserving the respect and appreciation of all the Aristotelians that you protected!

[Laurentz]

Und plötzlich standen sie vor Rom...

Es war sein erster Kreuzzug gewesen und obwohl Laurentz nur Reiter im Deutschen Orden war, doch war er froh, dass er an diesem Kreuzzug teil hatte.
Er blickte zu jedem einzelnen aus der kleinen Gruppe des deutschen Flügels des Deutschen Ordes. Mit einem Schmunzeln auf den Lippen wandte er seinen Kopf um den Worten der Kardinäle zu lauschen.



And suddenly they stood outside of Rome...

It had been his first crusade. Though he was just Reiter of the Teutonic Order, Laurentz was glad that he partook in this crusade.
He glanced at each one from the small group of the german wing of the Teutonic Order. With a smile on his face he turned his head to listen the words of the Cardinals.



Et tout à coup ils étaient à l'extérieur de Rome...

Il avait était sa première croisade. Bien que Laurentz n'était que Reiter de l'Ordre Teutonique, il était content qu'il avait participé à cette croisade.
Il regarda chacun du groupe petit de l'aile allemande de l'Ordre Teutonique. Avec un sourire aux lèvres il tourna sa tête pour écouter les paroles des Cardinals.

[Rhiana]

Rhiana au côtés de son époux arriva au campement des croisées, déjà elle aperçut leur frère Sampieru donner les ordres pour dresser les tentes
Elle lui sourit, oui un sourire car malgré toutes les deceptions que tous soldats pouvaient ressentir, la fierté de voir tout leurs frères et soeurs là parmi eux, certain se remettant de leur blessure, mais là, la rendait fière.
Elle vit au loin Haeven et Eléanor et leur sourit, elle était heureuse de les voir en vie, blessé pour l'une d'entre elle mais là en vie

Elle descendit de cheval et laissa le palfrenier s'en occuper, tant de mois de guerre, de souffrance, pourquoi?



Se dirigeant vers leur frère Sampieru

Avez vous besoin d'aide mon frère ?
Auriez vous vu Lladrane ?

Elle était inquiète, elle n'avait pas revu sa fille depuis des semaine, celle ci faisant la navette pour les vivres, elle ne restait jamais longtemps en place

[Loreleï]

Le retour. Enfin. Moment à la fois espéré et redouté. La jeune femme n'avait pour ainsi dire jamais eu vraiment de temps pour elle. Très tôt, elle avait pris les armes, laissant sa vie de coté. Alors, la fin de la croisade signifiait pour elle, l'inconnu. Elle chevauchait, silencieuse, parmi ses frères et soeurs teutoniques, tentant d'imaginer de quoi seraient fait les prochains jours. Son cheval suivait docilement le rythme des autres qui composaient la colonne teutonique. Lorsqu'il stoppa sa marche, la brune releva le nez et observa les alentours. Pas de dangers apparents. Quelques instants sans trop savoir ce qui se passait, puis l'Erster Botschafter donna les ordres. Les Teutoniques s'affairèrent alors à monter tentes et campements, dans un ordre bien défini. Chacun avait son rôle et il ne fallut pas longtemps pour que le campement soit prêt.

La jeune teutonique donna un léger coup de talons à sa monture pour rejoindre son père. La fierté du Ritter se lisait dans ses yeux. Et elle aussi, elle était fière. Fière de lui et de ses actes. Il avait tellement donné de lui même dans ce combat. Lentement, la monture se placa au niveau de celle de son père, si près qu'elle pouvait le toucher. Si près, qu'elle put lui déposer un baiser sur la joue. Un léger murmure.

Je t'aime papa.

Puis ses yeux vagabondèrent sur le campement. Chaque frère, chaque soeur ... Tous réunis. Tous ensemble avaient vaincus.

Tu peux être fier de toi papa. Nous pouvons être fiers de nous ...

Doucement, sa main se glisse dans la sienne. La croisade est finie. Enfin. Ils allaient enfin pouvoir se reposer et reprendre des forces. Et puis, construire leur vie. Un peu ...
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[Istar]

La patience est une vertu! Oui, oui il en faut beaucoup, mais là... Cette tente ne voulait pas coopérée. Istar fait un signe à un neuling pour en terminer avec cette farce. Les travaux manuels, à part le champ de bataille, n’étaient vraiment pas dans ses cordes. Cordes qu’elle avait oublié de sécurisée d’Ailleurs... Mais tout rentra dans l’ordre et Istar prit un moment pour se rafraîchir.

Elle restait duplicative devant les sentiments envers cette célébration. Car pour elle, il n’y avait pas vraiment de « succès ». Recevant des informations d’un peu partout, elle savait que des membres du clergé Français se voyaient encore retirer leurs charge de force.... Victoire? Euh non, pas pour Istar.

Bien sure, plus de bataille au corps à corps, plus d’épée en haute voltige, plus d’affrontement physique..mais.... Oui, il y avait ce « mais » qui flottait dans l’air. Revenant d’une petite pause pour le temps des votes pour l’élection royal, Istar avait vu cette annonce..le clergé se plaçait derrière non pas un des trois croisés qui se présentaient mais un qui avait prêté allégeance à eusaias et avait fournit écus et denrées aux armées ennemies. Message claire de rester chez soi pour les croisades? Que penser du futur de Rome, maintenant?

Pour le moment, elle avait décidé de célébré l’amitié, la fraternité et la vie. Le reste... Advienne que pourra... C’est le coeur léger qu’elle alla rejoindre la cérémonie saluant au passage nombre de croisés qu’elle avait apprit à connaitre durant cette croisade.
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[Mammylou]

Marianne regardait les efforts de sa sœur et avait envie de sourire. Elle aurait bien voulu aller l'aider pour qu'elle se ménage un peu. Mais ayant gravement été blessée et mesme laissé pour morte dans un champs elle soignait toujours ses blessures et cela lui avait pris tous ce qu'elle avait comme force pour suivre ses frères et sœurs icelieu. Heureusement un neuling vint au secours de Istar et elle pu se reposer un peu.

Elle irait la visiter un peu plus tard. C'est à peu de chose près ce qu'elle pouvait faire en ce moment son médicastre était formel sans repos elle ne guérirait que très lentement.

Elle n'avait point eu à monter sa propre tente privilège de son état. Mais ceux qui connaissaient bien la jeune femme savait qu'elle aurait préférer cent fois de le faire que d'avoir à attendre qu'on le fisse à sa place. C'était une fille de combat et le travail ne lui faisait point peur. Pourquoi ce trouvait-elle icelieu aujourd'hui au milieu de ses frères et soeurs sans doute pour participer jusqu'au bout à ce qui l'avait conduite jusqu'à maintenant la défense des enseignements du Très-Haut.

Quelques minutes plus tard sortant de sa rêverie elle se décida d'aller rejoindre Istar qui devait maintenant estre bien installer. Elle s'annonça au garde en faction devant la tente de son amie.

- Bonjour Neuling... Heu! Hum! vostre nom m'échappe mais bon... Je suis Marianne de Cognin-Franches plus connu sous le nom de Mammylou à l'OT, et je désirerais m'entretenir avec la Riterine Istar. Veuillez aller la prévenir de ma venue je vous prie.

Il y avait tellement eu de changement dans l'Ordre et elle ne connaissait point encore tous les petits nouveaux qui s'étaient présenté pour devenir eux aussi des membre de cette grande famille. Elle attendit qu'il fasse le message pour entrer.
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[Istar]

Déjà à quelques pas de sa tente, Istar s'arrête en reconnaissant la voix de sœur Mammylou. Un sourire accompagné d'un soupir de soulagement s'échappe, rien de pire que de recevoir des nouvelles d'une mauvaise rencontre. Encore pire contre des armées ennemies. Mais la présence de sœur Mammylou à ce camp lui rappel avec quelle force et courage, celle-ci avait traversée la croisade. Rien ne semblait l'arrêter pour très longtemps. Et c'était une très bonne chose.

Istar retourne rapidement sur ces pas et accueil avec les bras grands ouverts son amie.

"Pax tecum ma sœur! Je suis si heureuse de te voir. Ça va?" Ne sachant pas trop l'étendue des dommages, Istar donne une accolade très légère pour ne pas causer un supplice inutile à sa sœur. Elle lui offre ensuite son bras pour se diriger ensemble à la cérémonie.
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[Makcimus.]

La grande carcasse était toujours sur sa monture à observer l'installation du campement. Il était soulagé et malgré de nombreux combats, au final peut de perte. Énormément de blessures, de gros dégâts matériels et nul doute qu'il faudrait des mois pour reconstituer tout cela.


Mais... Au final... Ils s'en étaient plutôt bien sorti, et à son habitude l'Ordre Teutonique avait répondu efficacement et rapidement à l'appel de la Très sainte Église. Il avait commencé la Croisade comme Hochmeister et aujourd'hui il était l'Ordensmarschall en titre. Il observait le campement et il passait en revue ses frères et sœurs.... Nul doute, qu'il était grand temps que la paix revienne.


Il vit arriver sa fille et un large sourire apparut sur son visage... elle lui déposa un baisé sur la joue qu'il accueillit avec plaisir. Il l'écouta et inclina la tête fièrement... Oui nous pouvons être fiers de nous ! Nous avons fait ce que nous pouvions et même bien plus encore. Il porta l'azur de son regard vers Lorelei et ajouta de sa voix rocailleuse... Moi aussi je T'aime et je suis très fier de toi.


Bon.... Je ne sais ou le vent va nous porter, mais... En tout cas... J'espère que nous n'aurons pas besoin de nous mobiliser trop tôt. Reposons-nous un peu !! Il entendit les cloches et il était l'heure de la cérémonie.

Mais... Pour le moment... Allons à la cérémonie.
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[lladrane de Hasselt]

Lladrane arriva bien après ses frères et soeurs, faut dire qu'elle n'avait pas envie d'être là, elle avait été plus que déçue par certain Cardianux et Evêque
et cette croisade, qu'elle en était la victoire, à part celle d'être resté en vie, plus d'un duché avait adopté cette religion qui dégradait toutes les valeurs de Rome, comment pouvait-on célébré une victoire, alors que cette religion du sang nom, avait gagné du terrain
elle stoppa son chariot qui contenait encore un peu de vivre du dernier voyage qu'elle avait fait et descendit, epousta sa robe de bure, il était hors de question de mettre une tenue de tralala, elle était pas là pour ça
Elle salua Sampieru et vit sa mère auprès de son père et courut vers eux, bin oui elle était heureuse de les voir en vie

Mère , Père , que je suis heureuse de vous revoir

Elle se jeta dans leur bras et leur murmura, ceci est la victoire qui m'est la plus chèr, celle de vous voir en vie et en bonne santé tous deux
je vous aime
elle les accompagna a la cérémonie

[Mammylou]

Ce ne fut point très long que Istar vint à sa rencontre les bras ouverts mais ne sachant point trop comment la prendre. Elle lui fit l'accolade et Marianne lui dit:

- Point n'est besoin d'avoir peur de me faire mal ma belle je suis très solide encore. Ce n'est point aujourd'hui qu'ils auront ma peau les hérétiques.

Elle lui sourit bien contente de la revoir tout de-mesme. Il est vrai que cette dernière n'était point présente lorsqu'elle avait été laissé pour morte.

- Ils ne m'ont point manqués quand même mais avec la Foy ont peut résisté à beaucoup de blessures. Et toi j'espère que tu as fais une bonne route en retournant à ton domicile avec ton époux.

Elle était bien heureuse en tous les cas de la revoir en pleine santé icelieu où ils étaient venu à la demande des autorités de Rome. Et, comme de bien entendu après avoir reçu les ordres des dirigeants de l'OT. Leurs présences étaient requises il fallait obéir sans discussion.

- Au fait, il se passera quoi icelieu? Tu le sais toi? Moi je dois avouer que je ne suis point dans la confidence.

Elle atterndit que sa soeur lui réponde puis accepta volontiers le bras qu'elle lui tendait commençant à ressentir une certaine fatigue du au voyage sans doute... Elle cru reconnaître son frère de sang non loin et beaucoup d'autres membres de l'OT...


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[maxifred]

max qui attendait depuis un bon moment , vit arriver les gens de l ordre teutonique.
Il décida d aller les rejoindre.
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[sirairsoft89.]

aprés en avoit terminé avec les chevaux sir allat se changé et accompagnat les fréres et soeurs de l'ordre a la cérémonie

bonjour a tous
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"Ceux qui luttent ne sont pas sûrs de gagner,
mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu."


Dat virtus quod forma negat.
Le courage donne ce que refuse la beauté.