L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Rehael]

Alors que la cérémonie des hommages des cardinaux au Saint Père s'achevait, le Camerlingue se tenait à côté de SE Aaron de Nagan, Archichancelier du Saint-Siège. Après un coup d'oeil au Pape, il fit signe aux gardes pontificaux de faire entrer dans la basilique les nouveaux feudataires pontificaux.

Ceux-ci allaient désormais venir prêter allégeance au Pape et recevoir leur fief. La basilique Saint Titus, parfaitement décorée de velours rouge, de soie or et blanche, était prête à accueillir cet évènement majeur

While the ceremony of homage of the cardinals of the Holy Father finished, the Camerlengo stood beside SE Aaron Nagan, Archchancelor the Holy See. After a look at the Pope, he motioned to the papal guards to enter the new Papal Basilica vassals.

These would now come to pledge allegiance to the Pope and receive their stronghold.

[Jason MacCord]

Rome...
MacCord ne pensait s'y rendre dans cet etat. Entre les combats avec les armées de brigands Fatum à Dieppe, le procès et la prison par ces brigands, la prise en otage toujours par eux, les beaux atours ne suffiront pas à cacher les traits tirés, la canne et le bandage à la main où il manquait un doigt. Heureusement, il ne venait pas seul. Il se tourna vers Lizie.

Alors belle soeur, contente d'etre là ? Va peut etre falloir se depecher d'arriver à St Titus, on visitera plus tard. Allez, tu traines...

MacCord sourit.
Si l'un des deux avait bien du mal à se deplacer c'etait lui.

[Rozenn]

Français - French

Elle ne venait pas seule non plus la Boulette ! D'une parce qu'elle partageait tout avec son chéwi d'amouw et de deux parce qu'elle avait personne pour s'occuper de la petite C3. Enfin si... Elle pouvait bien laisser le gars Firmin à la maison mais... Laisser la p'tiote à Firmin ça la rassurait pas, pis t'façon Korantin voulait même pas prêter ses domestiques. Honteux hein ? Ils partageaient tout mais pas les domestiques. Un comble quand même !

Pas mieux habillée que d'habitude, mais toujours accordée au blason familial des Caillavet, la Rozette et tout la petite famille finirent pas arriver là où on lui avait dit d'aller. Non sans mal quand on connait les qualités géographiques de la prochainement Ladispoli... Pis bien sur, elle avait refusé catégoriquement de donner le plan à Korantin. C'était SA Vicomté ! Si elle trouvait pas le chemin pour aller la réceptionner c'était que le Très Haut en avait décidé autrement.

-Maaaah j'trouvé ! Pis même qu'on est les premiers ! On a bien fait d'partir longtemps à l'avance t'as vu !

Je vous passe les détails du nombre de tours et de détours que la Boulotte avait fait faire à sa troupe avant d'arriver à destination... Ce serait trop long vue la taille du bâtiment. Si si je vous assure.

Poliment, elle salua le Cardinal qui se trouvait là. Le Plantagenêt de mémoire... Elle lui avait parlé pendant la croisade, pour la Navarre. Oui oui c'était bien lui ! Elle se souvenait bien.

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Anglais - English

Rozenn didn't come alone too ! On the one hand because she share everything with her husband and on the other hand because nobody could take care of their child. Although.... She could ask to Firmin but... She didn't want to leave her daughter to him. Anyway, Korantin didn't want to lend his domestics. Shame on him ! They shared everything but not the domestics !

Dressed as usual, in harmony with Caillavet family's coat of arms, the "Rozette" and her family were in the place ! With some big difficulties because Rozenn isn't very good in geography... Even very very bad. Of course, she had flatly refused to give the map to Korantin. It was HER Viscounty !

-Aaaaaah I have found it ! And we are first ! It was a good idea to go out with lots of advance.

She waved at the Cardinal Rehael de Plantagenêt. She spoke with him during the Crusade, for the Navarre. Yes, it was him, she remembered.

[Alexandre*]

Les Demessy étaient arrivés à Rome en carrosse. Ils allaient prêtés serment d'allégeance au Pape Innocentius et recevoir leurs fiefs de sa main. Alexandre s'étaient préparés à cela, lui le Royaliste avait bien changé. Depuis le conflit avec un hérétique que tout le monde prenait pour un Roy, il était très déçu et ce n'était pas le nouveau Roy, qui n'avait pas tenu sa parole, qui l'avait rassuré. Les institutions Royales étaient perverties et le resteraient.

Alexandre serait ainsi en conformité avec ses valeurs et personne ne viendrait lui demander de faire le choix de sa religion et ne dépendrait plus de la haine d'un Régnant ou d'un Roy prit de folie.

Il était habillée d'un costume de velours de rouge et de bleu, orné de broderie en fil d'or. Son épée d’apparat à la ceinture et sa cape blanche, ornée de la croix de l'Ordre du Sainct Esprit dans le dos, était posée sur ses épaules.

Alexandre mis le pied sur le parvis de la basilique Saint Titus et tendit le bras à son épouse afin d'entrer fièrement en son sein.

Chérie, nous y allons, pas trop angoissée ?

D'un pas sans empressement mais serein ils gravirent les marches et entrèrent dans la basilique. Passèrent les portes encadrées par les gardes Pontificaux. Alexandre se signa et salua les deux Cardinaux.

Bien le bonjour vos Éminences. C'est une joie de vous revoir Cardinal Rehael
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[Istar]

Angoissée..non du tout pensa-t-elle. C’était un jour heureux, malgré les différentes situations qui subsistaient à travers tout le Royaume. Istar entra au côté de son époux et remarque les gens déjà présents. Elle voit les stigmates de bataille récente dans certains regards et son coeur se serre. Cela ne se terminerait donc jamais...

Elle secoue légèrement la tête et se dirige vers l’avant pour saluer les Éminences présentes. Ce n’était pas à tous les jours qu’on était anoblit par le Pape. Un honneur que peu recevait, elle le savait. Terminé la prostitution des titres pour le bénéfice de fous avides de pouvoir. Moyen stupide mais efficace de garder la main mise sur une noblesse faible. Chaque personne présente aujourd’hui avait fait un choix difficile durant une période des plus intense. Chaque personne avait suivit ces valeurs et avait respecté un serment qui touchait le plus profond de l’âme.

De retour dans la réalité, Istar salue respectueusement les éminences. Elle connaissait bien son éminence Rehael de Plantagenêt , Cardinal Camerlingue car il assumait aussi le poste de cardinal connétable. Et un peu moins, sauf par réputation son éminences Aaron de Nagan.

« Pax Vobiscum Éminences. C’est un plaisir et un grand honneur d’être ici en ce jour. »
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[Endymion]

Et le Préfet du Collège Héraldique Pontifical qui avait suivi silencieusement, si ce n'est religieusement, les allégeances des cardinaux était placé en retrait derrière l'Archichancelier.
Au fur et à mesure que les futurs feudataires entraient dans la basilique il essayé de les reconnaître et de leur associer mentalement leurs fiefs. Si ce fut aisé pour ses ex-compatriotes gascons, ce fut moins évident pour les autres.
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[Melian]

Un uniforme rouge à l'horizon, et voilà la Ventoux qui arrive, aussi discrètement que ses couleurs le lui permette. On l'avait mandée, aussi tout bêtement, eh bien elle arrivait. Basique.

Elle s'approcha, toujours impressionnée par les lieux. Elle entra, et salua chaque personne avec la déférence qui lui était due.

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A red uniform on the horizon, and here is the Ventoux who arrives, however discreetly her colors allows it. We had summoned her, so quite silly, well she arrived. Basic.

She approached, always impressed by the place. She entered, and greeted every person with the respect which was due to her.
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[kast]

Français - French

Les états pontificaux, encore. Jamais le basque n'avait autant voyagé à travers les différents royaumes d'Europe. Jamais il n'avait tant souhaiter arriver à destination, tant le voyage avait été long, et pénible pour les oreilles. Sans rien dire, il souffrait en douleur. Ce qu'il faut savoir, et ce que l'autre narrateur vous cache. C'est que pendant que Madame perd la troupe dans un pays étranger, elle chante. Et quand elle chante, elle chante mal, et le basque souffre.

Heureusement pour lui et pour les suivant, toute guillerette la boulette avait pris la tête du cortège. Le basque lui s'était placé en arrière avec Constance Cuichelle Caillavet, leur fille. Elle visitait pour la première fois les terres que ses frères allaient se partager dans de longues années, pendant qu'elle aura vouée sa vie au Très Haut. Ils arrivèrent enfin à destination. Le basque confia C3 a Firmin, et suivi son épouse dans le « saluage » (oui c'est un mot !) des personnes.

Anglais - English

In a nuttshell, Kast travelled all across Europe kingdoms with his familly and his wife Rozenn. But there is a issue. She has a problem with geography, and she has a problem with her voice when she sing. And she always sing when they are on a road trip. So you have to understand to pain of my character to travel across those kingdoms.

When they arrived in Rome, Kast followed his wife closely and stood by her side.[/i]
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[Alexandre.Olund]

[En chemin]

Alexandre avait l'impression d'avoir quitté Rome il n'y à pas si longtemps. En effet sa dernière venue était à la fin de la croisade, un grand jour, alors que les croisés avaient l'honneur d'être décorés. Ce jour là était à ses yeux un jour tout aussi important. Celui où la cupidité, l'avarice et la fierté mal placée étaient mises en échec. En effet, ce jour Rome restituait les fiefs Français perdu par ceux ayant combattu pour leur foy, pour la justice.

Mais ce n'était pas ce qui occupait le plus le Sombre sur son trajet. La guerre faisait rage en Normandie et il avait dû manœuvrer pour se donner rendez-vous avec son épouse à l'orée d'un village où ils se rejoignirent, partant ensuite à travers la nuit. Il avait prit soin de charger la monture qu'il avait emprunté pour l'occasion de leurs tenues respectives. Souvent son regard allait à Lilas, son épouse, perchée sur sa jument. Un sourire venait alors éclairer légèrement ses traits tirés par la fatigue.
Le voyage jusqu'à Rome était assez long, et l'état de Lilas, alors enceinte, ne facilitait pas le voyage. Aussi Alexandre insistait-il chaque soir pour qu'ils se reposent en chemin, cherchant une auberge. Le repos n'était pas long et à chaque aurore ils reprenaient la route, mais il s'assurait qu'elle ait le confort suffisant à sa condition. Parfois même il s'assurait de louer une voiture, délaissant sa monture pour prendre les brides de Macha, la jument de Lilas, tandis que cette dernière prenait place dans l'attelage. Lorsque enfin la périphérie de Rome fut atteinte une nouvelle auberge fut sélectionnée. Une toilette faite et un repos prit avant l'heure de début de la cérémonie furent accueilli avec le plus grand réconfort. Les retrouvailles du couple séparés par la guerre furent cependant brèves. La grossesse de la rousse avait cette tendance la "combler" de nausées et de quelques malaises, aussi le Sombre était-il toujours à l'affut.

[La Cérémonie]

C'est apprété pour la cérémonie que le Sombre avait traversé Rome, son bras offert à épouse. Par deux fois il avait du demander son chemin avant d'arriver finalement à la Basilique.

Prête Lily ?

Un léger sourire lui fut adressé avant qu'il ne reprenne son rythme, adressant un signe de tête à l'assemblée, s'avançant vers un banc pour prendre place, laissant Lilas s'installer avant lui avant de s'installer à son côté, sa main venant chercher la sienne, comme pour s'y rassurer.
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[Lilas.Brindargent]

L'aventure était si excitante! Tout avait commencé par une lettre écrite d'une main qu'elle ne connaissait que trop bien. Il lui donnait rendez-vous hors des murs de la ville. Il lui avait simplement écrit qu'ils partaient. Lilas avait fermé les yeux pour respirer l'odeur du vélin ; il ne portait malheureusement pas le parfum de son époux, mais elle aima prétendre que oui. Ses lèvres se posèrent sur les traits d'encre de sa signature. Il lui manquait tant! Dans son ventre minuscule, elle sentie un fébrile mouvement. Avec un sourire, elle posa la main dessus et en suivit la légère courbe. Elle qui avait une silhouette habituellement presque rachitique, voilà qu'elle se trouvait quelques rondeurs. Même ses joues s'étaient remplies. Il fallait avouer que ses rages de nourriture y étaient pour quelque chose sans doute. Sa lubie pour les poires avait fini par se tarir, et maintenant il s'agissait du pain de levain. Elle le dévorait, sans autre accompagnement et se réjouissait de sa texture élastique lorsqu'elle mordait dedans. Elle en avait d'ailleurs plein son sac quand elle arriva au point de rencontre. Dans la nuit, sous la lune blafarde, cavalière et monture attendaient silencieusement. Elle avait une dague prête à l'usage dans sa botte, au cas où.

Ce fut un craquement qui l'avertie de l'approche de quelqu'un. Ses prunelles marines scrutèrent les ténèbres et reconnurent aussitôt la silhouette de son époux. Lilas descendit rapidement de selle et accourut vers lui pour l'enlacer tendrement. Leur baiser fut long, plein de soulagement ; ils s'étaient retrouvés, ils étaient saufs tous les deux. Son front se joignit à celui de son bien-aimé Sombre alors que son ventre s'appuyait doucement sur le sien. Elle sourit en sentant les doigts d'Alexandre caresser le renflement avec douceur.

« Nous t'attendions toutes les deux. »

Oui, elle parlait au féminin. Lilas était convaincue que cette petite chose qui grandissait en elle était une fille. La douceur du moment la fit soupirer tout juste avant qu'ils ne doivent se séparer pour entamer une route qui se révèlerait longue et ardue pour la future maman. Pleine d'indépendance et de fierté, elle avait voulu monter Macha le plus longtemps possible, mais son dos la faisait terriblement souffrir et elle craignait de nuire à l'enfant lorsqu'ils pressaient le rythme. C'est donc avec une touche de honte qu'elle s'engouffrait dans des coches qu'ils trouvaient sur la route.

Fort heureusement, Alexandre se montra des plus attentifs à ses besoins. Un pli soucieux barrait presque en permanence son front et l'Albâtre souriait de voir à quel point il tenait à son bien-être. Ce bonheur la poursuivait même dans les moments les plus pénibles ; lorsqu'elle vomissait le matin et qu'il tenait ses cheveux d'une main en frictionnant son dos de l'autre.

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L'eau chaude dans la baignoire avait grandement délassée la jeune épouse, mais elle avait été complètement bouleversée en tentant d'entrer dans sa robe. Son petit ventre avait pris de l'expansion à son plus grand dam! Elle qui ne s'émouvait que rarement sentit les larmes monter dans ses yeux. Elle se mordit la lèvre inférieure, déterminée à ne pas fondre lamentablement en pleurs pour si peu. Finalement, en retenant son souffle, elle avait réussi à s'immiscer dans la jolie tenue que lui avait offert son époux en cadeau pour s'agencer à la sienne. Lilas avait mis quelques rubans dans ses cheveux pour parfaire le tout.

Elle suivit le Sombre dans les rues, accrochée à son bras. La rouquine n'acquiesça que faiblement à savoir si elle était prête. Ses yeux marines étaient trop occupés à observer toute l'opulence italienne. La pauvre enfant se sentait bien minuscule dans tout cela. Ce n'était pas son monde. Elle, elle était née dans la poussière. Heureusement qu'Alexandre était à son côté où elle aurait été complètement perdue. L'Albâtre se laissa guider puis s'assit avec reconnaissance, posant une main sur son petit ventre à peine visible hormis pour l'oeil averti.

« J'espère que les coutures ne craqueront pas. Je me sens à l'étroit. »
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« On endurcit difficilement un bon coeur, il résiste aux raisonnements d'une mauvaise tête, et ses jouissances le consolent des faux brillants du bel-esprit. »

- Marquis de Sade.

[acar]

Non loin de son espousée, il veillait sur elle... Malgré sa grande force, elle ne devait point oublier qu'elle sortait de couches...

Ainsi, en petit retrait, il se posa donc, parmi ses frères et soeurs....
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[Miguael_Enguerrand]

La tour était longue depuis la Bourgogne, mais un voyage en bonne compagnie est réjouissant, il permet de se recentrer sur l'essentiel, de parler franchement, de s'amuser simplement. Miguaël avait voyagé avec sa fiancée, et c'était l'occasion de s'adonner à l'une de ses activités favorites : l'admirer. Ils pouvaient parler aussi, se tenir au courant des dernières nouvelles, porter les derniers ragots entendus ici ou là, rapporter les dernières morts...

Le jeune homme était impatient de revenir à Rome, la ville qu'il préférait par dessus toutes, par la lumière qu'elle apportait sur le monde mais aussi par l'architecture même de cette ville dont l'histoire se confondait avec celle de la civilisation. Miguaël aimait cette atmosphère et voulait en faire profiter Jehanne. Son père l'y avait emmené, plus souvent qu'à Paris même ! Alors que paris était plus proche géographiquement. Le jeune homme allait se faire un plaisir de présenter à sa fiancée les plus belles églises de la ville du Pape.

Ils arrivèrent enfin à la cathédrale Saint Titus. Miguaël descendit en premier et tendit la main à sa fiancée pour l'aider le rejoindre.

Descendez Ma Demoiselle, le monde veut vous voir !

Et il reprit plus bas : Moi, surtout...
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[Melian]

Quand il vous arrive quelque chose d'inattendu, plusieurs solutions s'offrent à vous. En général. Parce que chez Melian, ce n'est pas du tout le cas.

Quand un imprévu arrive, elle prend un vélin, plume et encrier, et elle appelle son époux à la rescousse. Toujours.

Aussi quand elle le vit, elle alla se caler près de lui et prit sa main qu'elle serra très fort. Elle attendit ainsi la suite, un peu rassérénée.

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When it arrives at you something unexpected, several solutions offer themselves to you. Generally. Because at Melian, it is not at all the case.

When an unforeseen arrives, she takes a vellum, a feather and an inkwell, and she calls her husband to the rescue. Always.

So when she lives him, she went to settle near him and took his hand which she squeezed very hardly. She so waited for the continuation, a little reassured.
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[LeanEverlangeMaccord]

Comme à son habitude, mon époux était parti et en chemin, avait pensé que j'aurai peut être aimé savoir où il se rendait... Toujours est il que pour une fois, il me proposait même de le rejoindre, et je n'avais pas manqué de répondre à cette invitation par la positive.

J'arrivais donc seule et cherchais du regard celui qui boitait le plus parmi les invités, tentant de reconnaitre le visage buriné de mon tendre

English
As usual, my husband was gone and by the way, had thought that I might be like to know where he was going ... Always it is that for once, he even offered me to join him, and I did not fail to respond to this invitation by the positive.

So I came alone and looked around for the most lame among the guests, trying to recognize the weathered face of my tender

[Jason MacCord]

MacCord avançait, tant bien que mal. Lizie ronchonnait dans son mutisme, sûrement.
Arrivée à la basilique, MacCord aperçu Lean qui était arrivée aussi. Il allait lui faire signe de la main et se ravisa. Elle le savait boitant et peut être avec d'autres cicatrices mais pas avec un doigt en moins.
MacCord l’appela.

Lean, par ici !

MacCord glissa sa main bandée dans son dos. Il aurait bien le temps de lui en parler plus tard. Pas la peine que Lean s’inquiète en ce jour.