L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Metalxela]

Gregorry revenait de son congés loin de Rome, du Temple, de la Congrégation, loin du monde en quelques sortes.

Le Chapelain, vétu de sa robe templière, avança vers Rome sur son fidèle déstrier. Rome était en vue, mais il faudrait compté encore quelques heures pour l'atteindre.

Dans les sacoches de sa selle se trouvait une somme considérable d'argent que Gregorry avait accumulé pour reverser aux âmes érrante du Royaume.

Un bruit fit frémir le religieux ... des chevaux ... derrière lui...
Gregorry tendit instinctivement sa main sur son coté pour prendre son épée, mais le voeux de non-violence lui avait retiré cette épée...

Il se retourna et fit face à ses poursuivants, une dizaine d'hommes, armés d'épées, d'arc, de haches et de masses.

D'une voix clair et froide, Gregorry s'adressa aux personnes :

Ôla manant! Que vous ammenez à me poursuivre de la sorte?

Un homme s'avança vers lui, plus grand que les autres, surement le chef du groupe. Il répondit au Clerc :

L'appat du gain monseigneur, je me suis laissé dire que vous transportiez une cargaison d'argent assez consistante et disons que mes camarades et moi avons décidez de vous aidez à transporté cette or jusqu'à déstination.

Gregorry, d'une voix dure et froide, retroqua :

Je n'ai plus besoin d'aide, nous sommes en tout et pour tout à une heure de Rome, le route est calme et la fréquentation va s'accroitre dans les lieux à venir.

Le personnage, avec un sourire, répondit d'une voix douce :

Mais qui vous a parlez de Rome? ...

Gregorry, avec une réaction d'une seconde, fit rué son cheval sur le brigand, sauta à terre et attrapa le marteau de guerre de son assaillant au sol. A ce moment là, Gregorry s'arréta, briserait-il son voeu pour l'argent des démunis?

Les birgand sortirent leurs arcs et tenir en joue le chapelain, leur chef, en se relevant, leur intima l'ordre de ne pas tiré, c'était un clerc, il n'utiliserait le marteau.

Il vit le meneur de brigand s'approchait des sacs ... A cet instant il comprit ... Son heure était certainement venu ... La fin était là... Sa décision fut prise, si ces hommes veulent volés l'argent des pauvres, il aurait en façe d'eux l'homme que Gregorry avait été si longtemps... Le Tueur !

Il leva sa masse d'un mouvement rapide et défonça le crâne du meneur. Avant que les brigands eurent compris, il balança la masse sur le cheval du brigand le plus proche et lui vola son épée.

Une douleur lui transperça le dos quand il se baissa... Une flêche... Malgrés la douleur, le bléssé fonça sur le groupe d'homme, en tuant quatre d'un coup d'épée... Trois autres flêches lui transperçerent le dos et le ventre. Mais Gregorry était toujours debout ! Il puisant dans les dernières réserves d'énergies qui lui restait et avança vers les quatres derniers brigands ... D'un coup de lame, il décapita le premier ... Désarma le second puis lui enfonça la lame dans le ventre ... Plus que deux ....

D'une voix tremblante, mais emplit de rage, dit à ses adversaires :

Etes vous pret à affronter la mort?

Les deux derniers hommes, voyant leur groupe décimait, bondir sur leurs chevaux et galopèrent à tout rompre.

Gregorry tomba à genoux, sa cape blanche tapissait de sang... Il s'étendit par terre et, dans ses derniers soupirs, priant :

Ô Trés Haut, j'ai failli à ma tache, j'ai brisé mes voeux ... Mais je n'avais pas le choix, ma vie et mon honneur ou le bonheur des pauvres ... Le choix fut vite pris... Je t'en pris, pardonne moi de tout mes péchés, des morts que j'ai causé, des veuves et des orphelins que j'ai laissé ... Fait de ma fille la personne que sa mère fut ... Benis le Temple, les Thomistes et Rome de ta Bonté ...

Il tourna la tête vers les sacs d'or ... Intact, pas un doublon ne manqué ...

J'oubliais, pardonne ces brigands de leurs méfaits, ils ont agis mal, mais le pardon divin est clément ...

Gregorry ... voyant sa vie défilé devant lui ... trop tourmenté à son gout ... entama un soupir.... Puis plus rien ...

Gregorry de Sambre, dict Metalxela, venait de s'éteindre ...
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Mort

[FrèreThéoduin]

Frère Théoduin partait de Rome avec son ami, Alexandre, c'est à ce moment-là qu'il vit un homme couché par terre.
Frère Théoduin remarqua la robe mauve de la Nonciature Apostolique, il courut jusque là.

Alexandre, vite, retourne à Rome et prévient la garde, amène-moy un apothicaire au plus vite !

Frère Théoduin essaya de réanimé son ami, Gregorry de Sambre, hélas celui-ci venait de s'éteindre à peine arrivé.

Ô toy, Seigneur, pourquoi cela ?
Pourquoi ne suis-je point arrivé à temps ?
Seigneur, regarde ton fils couché-là par terre, que les hommes soient maudits et que leur avidité les fasse périr dans la nuit.

Frère Théoduin regarda les sacs d'écus, il les rassembla afin que personne au passage ne les vole.
Il pria pour son ami, ensuite il le porta et le ramena à Rome.

A Rome

Vite !!! Vite !!! Faictes venir l'apothicaire !

Les gens le regardaient et l'ignoraient.

Mais où est donc passé vostre solidarité et vostre fraternité ???
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