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Aaron Cardinal
Inscrit le: 07 Mar 2006 Messages: 13192 Localisation: Castelli Romani
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Posté le: Ven Avr 11, 2014 11:00 am Sujet du message: Du caractère sacré et perpétuel du baptême |
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Citation: |
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Du caractère sacré et perpétuel du baptême
Texte théologique et canonique sur les fondements du sacrement du baptême
Le baptême est le premier des sacrements qu’un fidèle reçoit dans sa vie. Il infuse l’état de
grâce pour la première fois dans l’âme du baptisé et efface, comme nous l’enseigne Christos,
les péchés qui ont été commis avant l’obtention du sacrement baptismal. Par ce rite, il devient
un fidèle aristotélicien. Ainsi nous est relaté les actes et paroles de Christos dans sa Vita au
chapitre XII :
« Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion : "Par la grâce
de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie". Et Christos
plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion
de cette eau en chuchotant ces paroles : "Seigneur, daigne laver cet homme de ses
péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très
Haut. Amen". »
Le baptême apparaît donc comme une nouvelle naissance. Il fait renaître en Dieu celui qui
le reçoit, quelle que soit les actions perpétrées ou les paroles prononcées. Son âme est lavée,
devenue immaculée. Recevoir le baptême aristotélicien c’est entrer dans la Communauté
Aristotélicienne que forme l’Église de Dieu sur Terre. C’est le premier pas vers le Salut de
l’âme au Paradis solaire qui est le domaine du Très-Haut. Car c’est par le baptême que l’on
reçoit la grâce. Et la grâce aide à la sanctification du fidèle. Ce lien de communication et de
communion avec Dieu permet à la foi du fidèle d’être vivifié, d’imprégner sa vie des valeurs
spirituelles et des vertus aristotéliciennes. C’est là l’efficacité réelle du sacrement du baptême
qui sème la graine sanctifiante menant au Salut. Comme l’on dit les Prophètes dont le message
continue d’être diffusé par l’Église, « le Très-Haut sauve et sanctifie les hommes au
travers des sacrements qui sont les moyens les plus sûrs, mais non les seuls, d’accéder au
Salut ».
Mais si l’on entre dans la vie aristotélicienne par le baptême comme notre naissance nous fait
entrer dans la vie terrestre, cela suppose qu’il y ait une possibilité de mort. Se pose donc la
question de la solubilité du baptême. Car il est dit au chapitre XII de la Vita du prophète
Christos :
« Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il
nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: " Mes
apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos
péchés. À vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur
qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit
l’essence". »
Cependant Christos affirme également que, comme le mariage, le baptême est un engagement
à vie. Ces paroles rapportées dans le chapitre XIII de sa Vita apparaissent dés lors de prime à
bord contradictoires :
« Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre
espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur
amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que
l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait.
Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia,
choisis judicieusement, car une foi que tu auras épousé Yhonny, vous ne pourrez plus
vous y soustraire ».
Il devient alors nécessairement important de nous interroger sur les fondements de la vie en
tant que fidèle aristotélicien. C’est avant tout comme nous l’avons dit la recherche du Salut
dans le Paradis Solaire et l’amour de Dieu pour Lui-même. Ainsi apparaît-il que la vie
aristotélicienne n’est pas uniquement la vie terrestre telle qu’on l’entend au sens physique du
terme, mais la vie dans le temps et l’éternité des Cieux.
Ainsi qu’est-ce que la mort aristotélicienne ? C’est la damnation, se détourner de Dieu, mourir
aux yeux du Très-Haut, privé de Sa vision béatifique et de l’amour de nos frères en l’Église.
La seule vraie mort pour un aristotélicien, c’est l’enfer lunaire. De la sorte, lorsque Christos
dit que le baptême est un engagement à vie, il parle de toute notre vie, tant terrestre que
céleste. Or, un damné est mort spirituellement. Son sacrement de baptême comme tous les
sacrements qu’il a pu recevoir ne lui sont plus d’aucune utilité puisque le lien qui le liait à
Dieu et par lequel il participait à Sa grâce lui est perdu. Ainsi est le vrai sens des paroles de
Christos qui nous disait d’être digne sur terre de notre baptême au risque qu’il nous soit
enlevé dans l’éternité, occasionnant souffrances et peines pour toujours.
C’est ainsi que l’on en vient à dire que les sacrements, qui sont des « dons infiniment gracieux
et gratuits du Tout-Puissant envers la race humaine, sont éternels et perpétuels ». Ipso facto,
cette miséricorde infinie du Très-Haut nous amène à affirmer que le baptême est un sacrement
indissoluble, car seul lien perpétuel et continu qui le lie à Dieu et lui permet d’accéder, hors
du péché, aux grâces sanctifiantes dont Il est la source. Car seul le péché rompt le lien qui
nous unit à Dieu. Et comme l’obtention de l’ensemble des sacrements aristotéliciens est
subordonnée à l’existence du rite baptismal, sans baptême, point de confession possible et
donc de sacrement de pénitence qui en découle. Le baptême dissous, le fidèle excommunié
serait donc définitivement condamné à l’enfer sélénite, contraint à l’impossibilité de recevoir
le sacrement de pénitence faisant suite à la confession de ses péchés.
Or Dieu étant pardon et amour, il ne saurait-être concevable qu’Il condamne à l’éternité des
enfers les fidèles potentiellement contrits. Par ailleurs, l’Église, dans Sa coutume et Son
ministère a déjà à de nombreuses reprises ouvert les bras à ceux qui se tournent vers Elle et
Lui demandant humblement, contrits et pénitents, l’absolution de leurs péchés et la
réintégration de leurs corps et de leurs âmes dans la communion de l’Église et des fidèles dans
l’espoir du Paradis Solaire et des grâces salvatrices du Très-Haut. Aussi, comme le sacrement
du pardon et subordonné à la réception du sacrement du baptême, nous en venons à constater
que le sacrement du baptême ne peut-être dissous, faute de quoi, un fidèle excommunié de
pourrait jamais réintégrer la communauté des fidèles. D’autre part, si le baptême pouvait être
dissout à chaque péché mortel commis par un baptisé, alors la confession serait parfaitement
inutile et il suffirait au fidèle de demander à nouveau le baptême pour obtenir le pardon.
Christos ayant institué la confession qui pardonne les péchés, aucun péché ne peut donc
résister à une confession vraie et sincère car la puissance de pardon de Dieu est comme Lui-
même : infinie. L’existence seule de la confession confirme par elle-même l’explication de
l’apparente contradiction dans les paroles de Christos : la confession restaure l’état de grâce
d’un baptisé tombé dans le péché et ré-infuse la grâce du baptême dans son âme, le faisant à
nouveau vivre aux yeux de Dieu, et revivifiant en lui les vertus théologales de Foi, de Charité
et d’Espérance.
Pour le peuple de Dieu,
Aaron de Nagan,
archevêque de Césarée.
Aristokolès de Valyria,
évêque de Agen.
Avec la participation de Tibère de Plantagenêt, archevêque de Rouen, Aymé von Frayner-
Embussy, archevêque d’Arles, doyen du Séminaire de Provence, légiste pontifical et
théologue auprès de la Congrégation du Saint-Office, Aegon de Valyria, évêque d’Autun,
légiste pontifical et scripteur auprès de la Congrégation du Saint-Office, Pie de Valence,
évêque de Langres, légiste pontifical et scripteur auprès de la Congrégation du Saint-Office,
Overnas de Chypre, archevêque de Malines.
________________________________
Texte théologique et dogmatique sur les fondements du sacrement du baptême.
Donné et entériné à Rome par le Sacré-Collège sous le pontificat du Très Saint Père Innocent
VIII le huitième du mois de septembre, le dimanche, de l'an de grâce MCDLXI.
Publié et cacheté Son Éminence Aaron de Nagan, Archichancelier du Siège-Apostolique, le
huitième jour du mois de septembre, le dimanche, de l'an de grâce MCDLXI.
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Patriarche in Partibus d'Alexandrie |
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Teagan Cardinal
Inscrit le: 10 Juil 2006 Messages: 1700 Localisation: RL =australia
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Posté le: Ven Avr 11, 2014 4:17 pm Sujet du message: |
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MIrc and I did this some time ago. I haven't checked if it is exactly the same as above.
mirceadino a écrit: | Citation: |
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About the sacred and perpetual nature of baptism
Theological and canonical text on the fundamentals of the sacrament of baptism
Baptism is the first among the sacraments that a faithful receives in his life. It infuses the
state of grace for the first time in the soul of the baptised one and clears, as taught by Christos,
the sins that were committed before gaining the baptismal sacrament. By this rite, he becomes
a true Aristotelian. So as we recount the deeds and words of Christos( Life in Chapter XII):
« Then Christos approached the fountain, and said to the Centurion: "By the grace of the Eternal, I will
wash away your sins, renewing you of water, the source of life." And Christos plunged his hands joined
under the jet of the fountain. He sprayed the figure of the Centurion in this water, whispering these
words: "Lord, condescend to wash this man of his sin, and to thus give him a new birth among believers!
I ask this in the name of The Most High. Amen." »
Baptism thus appears to be a new birth. It revives in God the one who receives whatever are
the committed actions or the spoken words. His soul is washed, becoming immaculate. Receiving
the Aristotelian baptism is entering the Aristotelian Community which forms the Church of God
on Earth. This is the first step towards the Salvation of the soul to the solar Paradise which is the
realm of the Most High. Because the grace is received through baptism. And grace helps with the sanctification of the faithful. This connection of
communication and communion with God allows the faith of the faithful to be invigorated, to impregnate
his life with spiritual values and Aristotelian virtues. This is the real power of the sacrament of baptism
which sows the sanctifying seed leading to Salvation. As the message of the Prophets continues to be spread by
the Church, it is said that "the Most High saves and sanctifies people through the sacraments
which are the safest, but not the only means to reach Salvation."
But if you enter the Aristotelian life through baptism as our birth brings us into the earthly life, this implies
that there is a possibility of death. This raises the question of the solubility of baptism. Because it is said in
Chapter XII of the Life of Prophet Christos:
« Then, Christos called us to him, and we, his apostles, one after another, were fortified by Christos in
the water of the fountain, giving to us the second birth. He said to us: "My apostles, men and women,
by the grace of God, you here have washed away your sins. Show Him that you could be worthy of this
honour that He does you, because the sacrament of Baptism could be withdrawn from whoever betrays
the substance of it." »
However Christos also says that, as with marriage, baptism is a lifetime commitment. These words,
recorded in Chapter XIII of his Life, appear thenceforth from bounty to contradictory edge:
« When two beings share a pure love and they wish to perpetuate our species by procreation,
God allows them, by the sacrament of the marriage, to live their love. This so pure love, experienced
in virtue, glorifies God, because He is love and the love by which humanity exists is the most
beautiful homage that can be made to him. But, like baptism, marriage is a commitment for life,
Natchiachia, judiciously selected, because in the faith that you and Yhonny will have married by,
you will not be able to any more to withdraw from it. ».
It thus becomes necessarily important to wonder about the fundamentals of life as an Aristotelian faithful.
It is first and foremost, as we have said, the research of Salvation in the Solar Paradise and God's love for
Himself. So it appears that the Aristotelian life is not only earthly life as it is understood in the physical
sense, but life in time and eternity from Heavens.
So what is the Aristotelian death? This is damnation, turning away from God, dying in the eyes
of the Almighty, deprived of His beatific vision and of the love of our brothers in the Church.
The only real death for an Aristotelian is the lunar hell. In this way, when Christos says that
baptism is a lifetime commitment, he talks about all our life, both earthly and celestial. But a
damned one is dead spiritually. His sacrament of baptism, as all the sacraments he may have
received, are no longer useful to him since the connection, which bounds him to God and whereby
he reached His grace, is lost to him.So is the true meaning of the words of Christos who told us to
be worthy on the realm of our baptism, at the risk that it may be removed in eternity, causing
suffering and punishment forever.
This is how it goes to say that the sacraments, which are "infinitely graceful and free gifts of the
Almighty to the human race, are eternal and perpetual." Ipso facto, the infinite mercy of the Most
High leads us to affirm that baptism is an indissoluble sacrament, because of the only perpetual
and continuous bond that binds it to God and enables access, out of sin, to the sanctifying grace
whereof He is the source. Because only sin breaks the bond that unites us to God. And as gaining
all the Aristotelian sacraments is dependent on the existence of the baptismal rite, without baptism,
the purpose of confession is possible and thus the sacrament of penance that follows. With a dissolved
baptism, the excommunicated faithful would therefore be permanently doomed to selenite hell, forced
by the impossibility to receive the sacrament of penance following the confession of sins.
But God is forgiveness and love, it can not be conceivable that He condemned to hell for eternity the
potentially contrite faithful. Moreover, the Church, in Its custom and Its ministry, has already repeatedly
opened the arms to those who turn to It and ask It humbly, contrite and penitent, the absolution of their
sins and reintegration of their bodies and their souls in the communion of the Church and of the faithful
in the hope of Solar Paradise and of the saving grace of the Almighty. Also, as the sacrament of
forgiveness is based on the gaining the sacrament of baptism, we come to see that the sacrament
of baptism can not be dissolved, otherwise an excommunicated faithful could never return to the community
of the faithful. On the other hand, if baptism could be dissolved at every mortal sin committed by a baptised,
then confession would be useless and it would be enough for the faithful to ask a new baptism for forgiveness.
Christos having established the confession that forgives sins, no sin can therefore resist a real and sincere
confession because the power of God's forgiveness is like Himself: infinite. The mere existence of the
confession confirms itself the explanation of the apparent contradiction in the words of Christos: the confession
restores a state of grace of baptized one fallen into sin and re-infuses the grace of baptism in his soul, making
him to live again in the sight of God, and reviving him the theological virtues of Faith, Hope and Charity.
For the people of God,
Aaron de Nagan,
archbishop of Caesarea.
Aristokolès de Valyria,
bishop of Agen.
With the contribution of Tibère de Plantagenêt, archbishop of Rouen, Aymé von Frayner-
Embussy, archbishop of Arles, dean of the Seminary of Provence, pontifical jurist and
theologian of the Congregation of the Holy Office, Pie de Valence, bishop of Langres,
pontifical jurist and writer of the Congregation of the Holy Office, Overnas de Chypre,
archbishop of Malines.
________________________________
Theological and dogmatic text about the fundamentals of the sacrament of baptism.
Given and approved at Rome by the Sacred College under the pontificate of the Holy
Father Innocent VIII, on the eighth day of the month of September, on Sunday, of the
year of grace MCDLXI.
Published and sealed by His Eminence Aaron de Nagan, Archchancellor of the Apostolic
See, on the eighth day of the month of September, on Sunday, of the year of grace MCDLXI.
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_________________ Teagan
Former too many things
not enough active things
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Doron
Inscrit le: 19 Mai 2012 Messages: 482
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Posté le: Lun Déc 29, 2014 12:48 am Sujet du message: |
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Citation: |
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Del carácter sacro y perpetuo del bautismo
Texto teológico y canónico sobre los fundamentos del sacramento del bautismo
El bautismo es el primero de los sacramentos que un fiel recibe durante su vida. Infunde el estado de
gracia por primera vez en el alma del bautizado y borra, como nos enseña Christos, los pecados
cometidos antes de la obtención del sacramento bautismal. Por este rito, el creyente se convierte en
un fiel aristotélico. Así es como nos es relatado por los actos y palabras de Christos en su Vida en
el Capítulo XII.
« Entonces Christos se acercó a la fuente y dijo al centurión:
"Por la gracia de Dios lavaré tus pecados con agua, la fuente de la vida."
Y Christos sumergió sus manos unidas dentro de la fuente. Luego roció al centurión
con esta agua susurrando estas palabras: "¡Señor, dígnate a lavar los pecados de este
hombre y darle así una nueva vida entre los creyentes! En el nombre del Señor. Amén". ". »
El bautismo aparece como un nuevo nacimiento. Hace renacer en Dios al que lo recibe,
independientemente de las acciones perpetradas o las palabras pronunciadas. Su alma se lava,
convirtiéndose en inmaculada. Recibir el bautismo aristotélico es entrar en la Comunidad Aristotélica
que forma la Iglesia de Dios en la Tierra. Este es el primer paso hacia la Salvación del Alma en el
Paraíso Solar que es el reino del Altísimo. Porque es por el bautismo por lo que recibimos la gracia.
Y la gracia ayuda a la santificación del fiel. Este enlace de comunicación y comunión con Dios permite
que la fe del fiel sea aumentada, impregnando su vida de los valores y las virtudes aristotélicas. Esta
es la verdadera efectividad del sacramento del bautismo que siembra la semilla santificadora que
conduce a la Salvación. Como dijeron los profetas, cuyo mensaje continúa siendo transmitido por la
Iglesia, "El Altísimo salva y santifica a los hombres a través de los sacramentos, que son las maneras
más seguras, pero no las únicas vías de salvación".
Pero si se entra en la vida aristotélica por medio del bautismo, igual que nuestro nacimiento nos lleva
a la vida en la tierra, esto implica que hay una posibilidad de muerte. Así se presenta la cuestión de la
disolubilidad del bautismo. Porque se dice en el capítulo XII de la Vida de Christos el profeta:
« Entonces, Christos nos llamó a su lado, a nosotros, sus apóstoles
y a uno tras otro nos purificó con el agua de la fuente, haciéndonos renacer. Nos dijo:
"Apóstoles míos, tanto hombres como mujeres, por la gracia de Dios ya han sido lavados
vuestros pecados. Demostradle a Él que podéis ser dignos de este honor que os concede
porque el sacramento del bautismo se podrá retirar a cualquiera que traicione su esencia". »
Sin embargo, Christos también afirma que, como el matrimonio, el bautismo es un compromiso de por
vida. Estas palabras reportadas en el Capítulo XII de su Vida parecen en un primer momento
contradictorias:
"Cuando dos seres se aman con un amor puro y desean perpetuar nuestra
especie por medio de la procreación Dios les permite, por el sacramento del matrimonio, vivir su amor.
Este amor tan puro, vivido en la virtud, glorifica a Dios porque Él es amor y el amor que los humanos
comparten es el más bonito homenaje que pueda hacérsele. Pero, igual que el bautismo, el matrimonio
es un compromiso de vida, por eso, Natchiatchia, si elijes juiciosamente casarte con Yhonny no podrás
ya romper el compromiso”. ».
Entonces se hace necesariamente importante preguntarse acerca de los fundamentos de la vida
como fiel Aristotélico. Por encima de todo, como hemos dicho, la búsqueda de la Salvación en el
Paraíso Solar y el amor de Dios mismo. Así pues, parece que la vida Aristotélica no es sólo la
vida terrenal como se entiende en el sentido físico del término, sino también la vida en el tiempo
y la eternidad en el Cielo.
Por tanto, ¿qué es la muerte aristotélica? Esta es la condenación, alejándose de Dios, para morir
a los ojos del Altísimo, privadose de su visión beatíficadora y del amor de nuestros hermanos en la
Iglesia. La única muerte real para un aristotélico es el Infierno Lunar. De esta manera, cuando
Christos dice que el bautismo es un compromiso de por vida, habla de toda nuestra vida, la terrenal
y la celestial.
Entonces, un condenado está muerto espiritualmente. Su sacramento del bautismo, como todos los
sacramentos que pudiera haber recibido, no sirven de nada pues el enlace entre él y Dios, por el
cual se encontraba participando en su gracia, se ha perdido. Así es el verdadero sentido de las
palabras de Christos que nos decía que seamos dignos de nuestro bautismo en la tierra o nos
arriesgamos a ser eliminado de la eternidad, causándonos sufrimiento y castigo para siempre.
Así llegamos a decir que los sacramentos, que son "regalos infinitamente graciosos y gratuitos del
Altísimo a la raza humana, son eternos y perpetuos." De hecho, la infinita misericordia del
Todopoderoso nos lleva a afirmar que el Bautismo es un sacramento indisoluble, debido a que es el
único vínculo perpetuo y continuo que une a Dios y que permite el acceso, fuera del pecado, a la gracia
santificante de la que Él es fuente. Porque sólo el pecado rompe el lazo que nos une a Dios. Y como la
obtención del conjunto de los sacramentos aristotélicos está subordinado a la existencia del rito
bautismal, sin bautismo, el de la confesión no es posible y, por tanto, tampoco el sacramento de la
penitencia que emana de eso. Disuelto el bautismo, el fiel excomulgado pues sería condenado
definitivamente al infierno selenita, debido a la imposibilidad de recibir el sacramento de penitencia que
sería la continuación de la confesión de sus pecados.
Ahora bien, Dios es Perdón y Amor, por lo que no puede ser concebible que condene a la eternidad del
infierno a los fieles potencialmente contritos. Por otra parte, la Iglesia, en Su costumbre y su Ministerio
ha abierto ya en varias ocasiones sus brazos a los que acuden a ella pidiendo humildemente contritos y
arrepentidos, la absolución de sus pecados y la reintegración de sus cuerpos y sus almas en la Comunidad
de la Iglesia y de los Fieles con la esperanza de alcanzar el Paraíso Solar y la gracia salvadora del Altísimo.
Además, como el sacramento del perdón está condicionado a la recepción del sacramento del bautismo,
llegamos a la conclusión de que el sacramento del bautismo no se puede disolver, ya que de lo contrario, un
fiel excomulgado nunca podría reincorporarse a la Comunidad de los Fieles.Christo ha instituido la confesión
que perdona los pecados, por lo tanto, ningún pecado puede resistir una confesión verdadera y sincera
porque el poder de perdonar de Dios es, como Él mismo, infinito. La mera existencia de la propia confesión
confirma la explicación de la aparente contradicción en las palabras de Christos: la confesión restaura el
estado de gracia de un bautizado que cayó en el pecado y vuelve a infundir la gracia del bautismo en su alma,
por lo que de nuevo vive ante los ojos de Dios, y hace revivir en él las virtudes teologales de Fe, Esperanza
y Caridad.
Para el pueblo de Dios,
Aaron de Nagan,
Arzobispo de Cesaree.
Aristokolès de Valyria
Obispo de Agen
Con la participación de Tibère de Plantagenêt, arzobispo de Rouen, Aymé von Frayner-Embussy,
arzobispo de Arles, decano del Seminario de Provence, legista papal y jurista en la Congregación del Santo
Oficio, Aegon de Valyria, obispo de Autun, legista papal y escritor en la Congregación del Santo Oficio, Pie
de Valence, obispo de Langres, legista papal y escritor de la Congregación del Santo Oficio, Overnas de
Chypre, arzobispo de Malines.
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Texto teológico y dogmático sobre la base del sacramento del bautismo.
Dado y aprobado en Roma por el Sacro Colegio bajo el pontificado de Su Santidad Inocencio VIII
el ocho de septiembre, domingo, en el año de gracia de MCDLXI.
Expedido y sellado por Su Eminencia Aaron Nagan, Canciller de la Sede Apostólica, el día ocho de
septiembre, domingo, en el año de MCDLXI gracia.
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