L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Motarde d'Ascalon]

Ce n'est pas sans joie qu'elle vit le soleil se lever sur la magnifique cité romaine, l'instant magique de ces premiers rayon dardant la basilique SaintTitus renvoyant mille eclats estompant pendant quelques secondes toute la difficulté du voyage comme si l'escorte etait touché par la grace Divine. Chacun d'ailleurs s'etait arreter pour admirer ce spetacle. En contra bas Rome, le chemin se terminait pour beaucoup, le repos et la convalescence commencait pour d'autre.

Comme elle l'avait fait souvent en chemin, le prefet descendit de sa monture pour humidifier le linge avant de la remettre sur le front de Kad qui avait souffert du reste du trajet. Inquiete, elle prenait son poul a chaque fois, mais le sentait un peu plus faible, il fallait vite finir, il n'en pouvait plus. Heureusement qu'il etait tombé dans l'inconscience salvatrice qui devait l'eloigner quelque peu de la douleur.
Mumurant des paroles reconfortantes qu'il n'entendait sans doute pas, elle effleura sa joue d'une main tremblante, pour la derniere fois ou elle prenait des nouvelles de son aspirant, elle avait eut du mal de trouver le battement de vie, il etait a peine perceptible, presque inexistant, mais Kad ne pouvait l'abandonné maintenant, ici, aux portes de Rome, quand tout avait ete prevu pour le recevoir et le soigner.

Remontant en selle, elle se mis debout sur ses etrillers et s'adressa a l'ensemble de l'escorte:

Portez haut les gonfanons mes amis, Rome est la pour nous acceuillir. Le terme de notre voyage est devant nous, franchissez les portes la tête haute, vous avez bien servit votre Seigneur.

Ceci dit, la fin serai cahotique pour l'aspirant vidame allongé sur la civiere mais le temps etait compté, elle lanca Urca au galop avant de repasser au pas en approchant la porte principale. Pas besoin de prevenir, le prefet etait connu, et les gardes ouvrirent grand les portes avec un salut respectueux, tous les yeux se tournant vers la fiere equipé.
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[thorin_ll]

Enfin Rome, ses couleurs flamboyantes, la cité des merveilles, la cité sacré. Comme toujours Thorin était éblouit par la beauté des lieux. Ca brulure lui faisais de moins en moins mal.

Il regardait le lieu avec émerveillement comme à chaque fois. On voyait les hommes d'église aller ca et là. Puis la place d'Aristote apparu avec la basilique dans le fond. Ses yeux lâchèrent quelques larmes. Ils avaient réussi leur pieuse mission. Les textes étaient à Rome. Il se leva prie le coffret et monta sur Falkore.

Il prit la tête du convoi fièrement, les textes avec lui. Il allait les remettre à ses éminences intacte pour qu’ils les étudient et les traduises.

Il eleva la voix.

Merci a vous mes frères nous y sommes arrivé grâce à vous.

Il souriait franchement
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Mort, Veille à jamais sur les francs et leur citadelle,

[morgalex72]

Morgalex vit enfin se profiler devant elle Rome. Ils allaient pouvoir remettre les textes sacrés.

Elle entendit les paroles de Thorin et cela lui réchauffa le coeur. Elle vit autour d'elle ses compagnons d'armes apprécier aussi cet instant.

L'instant était solennel et tous le monde oublia la fatigue accumulée au long du voyage, tous les déboires pour ne penser qu'à ces textes.

Sur leurs visages, on pouvait lire de la joie et du soulagement. Ils allaient tous pouvoir panser leur blessures, tant physiques que morales.

Ils se redressèrent tous sur leurs montures et c'est la tête haute qu'ils arrivèrent et fiers d'avoir mener cette mission à son terme.

[shakka]

Shakka était fier de franchir les portes de Rome à nouveau et cette fois c'est la tunique de franc qu'il avait sur le dos.
Son battait pour Rome et pour la fierté de son ordre à contribuer à l'acheminement des textes sacrés...
Entouré de beaucoup de valeureux qu'il connaissait quasiment tous,ils ne pouvait s'empécher de penser à l'éfficacité qu'avait représenté cette coopération entre les gardes,l'ordre et l'église.
Et à présent arrivé,il savourait comme tous l'instant...
Thorin brandit les textes et un grand "HHuuaa" lui répondit puis le silence retomba maius on voyait sur les visages les traits se détendre.
Janus semblait se porter mieux avec le breuvage de sabotin mais son état nécessitait des soins.
Il lança un regard à Thorin et se frappa la poitrine;Puis se tournant vers jontas,il saluat de la tête l'homme qui représentait la nouvelle autorité de la garde Papale...
Ils avançait dans Rome et partout la foule se massait tant la troupe impréssionait d'abord par sa structure armée qui pénétrait un lieu où on neportait point l'arme et de par les traces évidente d'affrontements qu'il avaient dù subir.
Tantot les regards étaient chargés de respect,tantot de peur par la vision des bléssés.
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PRO FIDES E PATRIA

[jeandalf]

le messager de thorin_ll avait prévenu le camerlingue de l'arrivée des textes, il vint donc à la rencontre du convois dés que celui-ci passa les porte.

Bienvenu à vous, je pense que votre quête arrive à sa fin.
J'espère que vous n'avez pas eu de mésaventure et que tout c'est passé pour le mieu...
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Mort à Tastevin le 16 décembre 1455

[Arakiriman]

Arakiriman était heureuse que les textes soit enfin arrivé à Rome.
Durant la découverte du coffre où ils etaient contenus, elle avait accompagné l'inquisiteur venu authentifier la relique. Puis elle avait organiser les derniers renforts permettant de maintenir au loin les brigands pour la fin du voyage qui était déjà assez épprouvant pour tous les bléssés et l'escorte initiale.

Elle entra sur la place d'Aristote, heureuse d'avoir pu montrer son dévouement à Dieu et regarda son ami Thorin_ll tenant les écrits découverts dans sa ville.
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l'Ordre Teutonique Recrute
Chevalier Légat d'Isenduil

[Januspaulus]

Januspaulus avait reprit ses esprits depuis peu. Il recommençait enfin à voir à peu près net, et il vit donc une magnifique cité aux couleurs flamboyantes. Il en déduisit qu'ils étaient enfin arrivés.

La douleur de sa grave brûlure le rappelait à l'ordre. Malgré cela, il ne regrettait rien, que valait une jambe brûlée quand il s'agissait de sauver la vie d'un archeveque?

Janus remarqua qu'il y avait de plus en plus d'homme d'église autour d'eux. Il fit part de sa remarque à Thorin, qui lui expliqua qu'ils arrivaient sur la place d'Aristote. Janus était soulagé, la mission était terminée, les textes seraient bientôt en sécurité, plus de soucis pour l'instant. Enfin, jusqu'à la prochaine mission pensa t-il avec un léger sourire.

Janus leva les bras aussi haut qu'il le pouvait dans son état, et il cria aussi fort que sa fatigue le laissait faire :

On est arrivééééés !!!!!

Ces paroles redonnèrent de la force à Janus, et celui-ci murmura à ses compagnons :

Je vous sers un calva ? Il doit rester deux ou trois bouteilles dans les fontes de ma monture, si vous ne m'avez pas tout bu durant mon inconscience.
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[thorin_ll]

La troupe entra sur la place et se mit en rang. Son éminence le camerlingue Jeandalf était là pour les accueillir.
Thorin descendit de cheval fièrement, il était sale et bruler mais fier. Il se tint droit avança et posa un genoux à terre présentant les textes à son éminence Jeandalf.

Paix à vous, mon Eminence, je vous remets au nom de tous les Moratois, de l'ordre des chevaliers francs et de nos amis des saintes armées ses précieux texte.

Il baissa la tête attendant la réponse du camerlingue. La foule regardait la scène, ses hommes tous bien aligné malgré leur blessure regardant fièrement leur Grand Maistre.
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Mort, Veille à jamais sur les francs et leur citadelle,

[jeandalf]

jeandalf visiblement pris dans ces pensées avait été distrait

Merci bien Thorin, ainsi qu'a tout ceux qui ont participé à cette quète.
Nous allons déposer ça dans la bibliothèque du saint siège.
la partie non innondée bien entendu...
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Mort à Tastevin le 16 décembre 1455

[Kad]

Il y a de cela quelques heures qu'il avait sombré dans l'inconscience, pour se voir ensuite malmené par une succession de cauchemards, tous plus noirs les uns que les autres.

Ceux ci s'achevaient toujours sur cette fin horrible, qu'il n'espérait que le fruit de son someil. L'épée de l'hérétique violait ses chairs pour lui prendre la vie. Ultime vision que celle de la lame s'élevant, prête à siffler pour que s'en aille rouler sa tête sur le champ de bataille. Louant Aristote de lui insufler la force nécessaire pour réagir, il avait enlacé le pommeau de son arme de ses digts doigts pour pousser ensuite sur ses cuisses endolories et se relever, perforant le coeur impur d'une vive estocade.

Il avait laché son arme. Porté sa main à son ventre. L'avait contemplé un instant, pour réalisé qu'elle était imbibée de son propre sang. Sans un mot, son corps s'était affaissé. Seul son index avait ensuite frémit pour pointer son livre des vertus qui gisait à quelques mètres de la.

Le voyage s'était avéré éprouvant. Par de bref interludes, ses paupières s'étaient écartées, lui laissant le temps de mesurer cette douleur qui l'assaillait sans relache. Seul le linge humide que sa préfète avait apposé sur son front le soulageait. Point assez pour le garder éveillé. La souffrance ne faisait qu'empiré, et il avait bien vite sombré de nouveau dans les ténères.

Il devina l'approche de Rome lorsqu'hurlairent les cors. Son état recquierait des soins d'urgence. Voyant Motarde approcher, il lui csusura ces quelques mots en puisant dans ses dernières forces :

Ma préfète, fais moi rappatrier en Languedoc au plus vite... Ma tâche la bas n'est point achevée, il me reste tant à faire...

Et ses cils de s'embrasser, venant recouvrir des pupilles tremblottantes. Blanc comme le fessier d'une chaste Aristotélicienne, il s'endormit alors...
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[Motarde d'Ascalon]

Les textes etaient arrivé a bon port, elle avait apercut le camerlingue Jeandalf venir les prendre en personne. Rassuré, elle pouvait se consacré entierement a son aspirant vidame.

Delaissant son cher destrier, elle s'agenouilla aupres du blessé, portant une nouvelle fois sa main sur sa gorge pour en mesurer le poul, humidifia le linge qu'elle avait poser sur le front de Kad, le regard inquiet.

Kad avait reussi a reprendre conscience, oh pas longtemps, quelques seconds, mais qui furent suffisentes pour faire passer le message qu'il voulait faire entendre au prefet.
Peut etre ne t'entendit il pas la suite, ses yeux s'etait deja refermé, mais elle passa doucement sa main sur sa joue et murmura:

Oui cher kad, tu rejoindra le languedoc, mais quand tu seras en etat de voyager. Dors, repose toi, je m'occupe de tout.

Elle avait beaucoup de peine de voir son vidame ainsi, si elle etait arrivé plutot ca ne serai sans doute pas arrivé, elle etait aussi responsable de la sécurité de ses hommes.
Hellant un soldat de la garde, elle lui demanda d'aller voir si quelque chose avait ete prevu pour le blessé, elle avait fait parvenir une missive, les choses avaient du etre preparé a l'avance.
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[nuitcristaline]

Nuit vit le garde la dévisager, ayant l'air très surpris de rencontrer une femme médecin, lorsqu'elle se présenta. Sa confiance revint, lorsqu'il vit tous les instruments médicaux, préparés sur une table. Il l'invita à le suivre ...

Ils traversèrent de nombreux couloirs en pierres massives, avec de nombreux gardes portant des torches. Un rai de lumière courait sous la porte et derrière l'on pouvait entendre des bruits de sabots. Le garde l'ouvrit et au loin, elle crut reconnaitre une silhouette. Au fur et à mesure qu'elle s'approchait, elle reconnut Motarde. Elle se mit à courir vers elle. Celle ci était agenouillée auprés de Kad qui était surement inconscient. Une fois devant eux, elle se pencha sur Kad et s'assura qu'il était vivant, puis s'adressa au préfet :

Motarde tout est prêt à l'office du mèdecin ! Faut vite que des gardes emmènent Kad, de façon à ce que je puisse lui donner des soins.

Celà fait combien de temps qu'il a perdu connaissance ?

A t'il perdu beaucoup de sang ?

Et toi comment vas tu ?

Es tu blessée ?

Nuit la questionna en attendant que Kad soit emmené à l'office...
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[Motarde d'Ascalon]

Elle etait toujours entrain de renouvelé l'eau du linge quand Nuit vint a ses cotes. Elle la regarda soulagé. Shakka l'avait prevenu que tout avait ete mis en place pour recevoir les blessé, mais pas que c'etait le chambellan elle meme qui etait venu. Motarde en fut ravi.

Reportant son attention sur Kad elle repondit rapidement aux questions de Nuit:

Il etait encore conscient il y a peu, mais a ete insconcient pratiquement tout le long du trajet de retour, c'est sans doute mieux ainsi, il aura moins souffert. Quand je suis arrivé il etait deja blessé, je ne sais pas depuis combien de temps, mais j'ai fait un pensement compressif pour arreter l'hemoragie.

Elle se tu un instant et regarda Nuit avec serieux, elle s'approcha et lui dit sur le ton de la confidence:

Quand il a retrouver conscience il a demander a rentrer au languedoc pour continuer tout le travail qu'il avait encore a faire. Tu n'aurai pas quelques petites mixtures pour le garder au lit jusqu'a ce qu'il soit totalement retablie? La on ne risque rien, mais je doute que des qu'il ira mieux ca soit difficile de la garder longtemps en chambre, pourtant je ne veux pas d'un vidame moitier impotant parce qu'il aura pas su se soigner correctement.

Elle avait fini sur un ton faussement mecontent, et adressant un sourire au medecin fini par son etat de santé:

je vais tres bien Nuit merci de t'en inquieter.

Se relevant, elle demanda a deux garde de les aider a porter Kad à l'infirmerie.
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[nuitcristaline]

Nuit écouta les réponses de Motarde.

Très bonne initiative Motarde, pour le pansement compressif, car il peut être appliqué sur toutes les plaies sans risque. Tu lui as sauvé la vie !
Sans ton acte, je crains, qu'il n'eut été rappelé auprés d'Aristote, au moment ou je te parle.

Elle regarda la plaie et fût soulagée (façon de parler) de constater qu'il y avait eu une hémorragie externe et non interne. La plaie semblait gonflée et rougie, une infection se développait.

Il était conscient de temps en temps ! et désirait rentrer dans le Languedoc, lui murmurait Motarde. Vu l'état de la blessure, Nuit devait le recoudre et il était hors de question de bouger tant que Kad, n'aurait pas repris des forces et surtout aprés avoir perdu autant de sang, vu l'état de ses vêtements.

Puis ensuite, Motarde donna son état de santé personnel. Nuit fût heureuse de la savoir en parfaite santé.

Dis moi Motarde, celà ne te dérangera pas de m'assister ?

Ou sont les autres blessés ?

Demanda t'elle en se dirigeant vers l'office des médecins, pour prodiguer les soins...
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[MotokoSempai]

Arrivée depuis peu à Rome, MotokoSempai découvrait la ville émerveillée. Elle se perdit avec joie dans la cité de l’Eglise. Tout à ses tribulations elle en oublia presque l’objet de sa venue : stagiaire à la garde papale elle devait y suivre une formation. Mais pour l’heure la jeune femme ne savez plus où donner de la tête devant tant de magnifiques édifices, chargés d’une grande valeur spirituelle. Son petit ami animal, une femelle écureuil, ayant peur de la foule s’était réfugiée sous ses habits.

Un grand élan parcourut soudain la foule qui l’entourait, des cors sonnaient aux portes de Rome. Un bruit s’amplifia : les textes saints tant attendus étaient arrivé ainsi ceux qui avaient risqués leur vie pour ces écrits.

La curiosité emporta la jeune femme qui se dirigea vers le lieu où toute l’attention convergeait. Elle reconnut alors le Préfet des Vidames et d’autres Vidames. Les couleurs de la Garde Papale étaient aussi visible. MotokoSempai s’approcha timidement du groupe, louvoyant entre les différentes personnes présentes. Reconnaissant Dame Arakiriman, pour l’avoir vu au mariage d’une amie, elle la salua brièvement. Puis elle fît un grand sourire à Dame Motarde d’Ascalon.

- Bonjour Préfet, heureuse de vous revoir en cette Sainte ville.

L’air préoccupé et un peu triste du Préfet l’intrigua. A cet instant elle vit un homme à terre, elle l’avait déjà rencontré. Il semblait n’avoir plus de force. Deux gardes s'approchaient de lui pour le transporter. Une autre femme semblait déjà s’occupait de lui et s'enchérire d'autres blessés. Elle n’hésita pas à approcher constatant que les nouveaux venus avaient beaucoup soufferts:

- Puis-je vous aider Dame ? Je suis hospitalière et stagiaire à la Garde Papale.

Ce faisant elle reconnut l'Asipirant-Vidame Kad. Elle fût très triste de le voir si mal en point. Au même instant sa petite créature sauta doucement sur l’homme et alla se lover dans son coup, tout en frottant doucement sa tête contre sa joue.

- N’ayez crainte, cet animal ne ferra rien à l'Aspirant-Vidame Kad, elle ressent juste sa douleur et tente de le réconforter. Dit'elle aux deux gardes surpris.
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