L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Tymothé de Nivellus]

Après le serment, Tymothé procéda à l'aspersion d'eau sur le front du baptisé

Je te baptise, Méloir, au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité

Après que le baptême fut effectué, Tymothé confia un cierge au baptisé en prononçant ces quelques mots

-Cette flamme symbolise la lumière divine qui vous habite et, l'ardeur de votre foi, pour que vous vous souveniez du serment que vous avez prononcé avant de recevoir l'eau de la vie éternelle et que, par la prière, la foi et les vertus jamais vous ne chutiez et que si vous chutiez, Dieu vous tende la main pour relever comme le Père aimant qu'il est pour chacun des hommes. Puissiez vous être digne de la dignité que vous avez maintenant comme témoin de la foi devant Dieu, Aristote et Christos. Afin que vous puissiez porter cette lourde croix, voici une médaille faite pour que vous n'oubliez pas quel acte important vous avez fait aujourd'hui.







A présent, chers amis, nous vous invitons à prendre le verre de l'amitié et quelques douceurs avec le baptisé afin de fêter son entrée dans le sein protecteur de Notre Sainte Mère l'Eglise, assisté par le Père de toute chose, le Très-Haut.
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Père Tymothé de Nivellus | Cardinal-Evêque de Saint Trufaldini à la Porte Latine | Cardinal-Camerlingue de Rome et Chancelier de la Chambre Apostolique | Archevêque Sine Cura d'Avignon | Vicomte d'Andenne
"La puissance de Dieu donne toute sa mesure dans la faiblesse"
Cabinet du Cardinal

[Tymothé de Nivellus]

[Tymothé de Nivellus]

[Landry.]

Landry est là, Landry est motivé. Il se planque depuis quelques jours de peur de croiser sa marraine originelle, tout ça parce qu’il a accepté d’en avoir une autre. En même temps elle lui a proposé gentiment au bout de trois minutes de connaissance, il pouvait pas refuser et lui faire de la peine, pas après avoir développé un lien aussi fort et solide. Du coup il est bien content de sortir et bien soulagé que tout ça soit bientôt derrière lui.

Il est donc là entouré d’un tas de personnes non identifiées pour l’instant. Des gens style Alix, Axel_baccard, Thiberian, Polonius, Kenny, ou encore Abasael. Mais c’est même pas sûr !

Une chose est sûre, tous ceux qui doivent être là sont là, on peut commencer.

[Alexa]

Après un grand bal au Château de Pierre Scize qui avait amené une animation inhabituelle. Alexa était venue avec la famille Baccard. Baccard et Devirieux réunis comme à la belle époque. Rien ne pouvait lui faire plus plaisir.

Alix ... elle souriait chaque fois qu'elle pensait à elle. Led en capitaine de soule, Angelyque et Adrienne sa mère faisant assaut d'élégance sur le terrain. Phelim bien sûr, que toutes les femmes ou presque bouffaient des yeux qui prenait Alix sur ses épaules et, le moment venu, il la prenait, elle se mettait en boule et lui, il la lançait sur l'équipe ennemie et ça marchait ... enfin pas toujours. Quel âge avait-elle maintenant ? 15 peut-être moins. Elle n'avait pas pensé à le lui demander pendant le voyage.

Son ami Tymothe qui était de Briançon lui aussi, allait officier. La quintuple cérémonie allait commencer. Elle s'assit près d'Alix sans un mot, juste un sourire, elles avaient pu échanger pendant le voyage jusqu'à Rome et Alexa avait pu découvrir la jeune fille telle qu'elle était devenue. Alexa - Alix deux noms très proches en plus. Quand Thiberian vint lui demander, elle pensa ne jamais trouver le temps nécessaire pendant ses mandats de gouvernance. Mais il était impossible non seulement de dire non à Thiberian mais en plus elle serait vraiment fière d'avoir ce lien avec la jeune fille. Pourquoi ? Mais parce que les chiens ne font pas des chats et que la jeune fille promettait .... surtout une Baccard dont la famille a pour emblème le loup. Et puis le temps, elle allait le trouver et effectivement, elle était là. Sa Garde Ducale l'avait suivie mais se montrait discrète.
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[kenny.castel.vilar]

La délégation Tourangelle était arrivée à Rome. Oui, tous ceux venant de ce Duché étaient tous ou presque tous partie en même temps pour tous se retrouver au baptême des Baccard. Pas un, ni deux, mais cinq ! Sans doute un numéro gagnant !

La jeune femme, et fiancée de l'un des baptisés, avait pris le temps de se reposer et de se pomponner pour l'événement. C'était un moment très attendu pour la Castel Vilar, car à la fin de ce baptême, les choses sérieuses pouvaient enfin commencer. Vêtue d'une robe bleue, elle s'enfonça dans la nef pour venir s'installer au plus proche qu'elle le pouvait, ne sachant pas si sa place était sur le même banc que son fiancée ou un peu derrière, dans le doute, elle prit une place et si elle était amenée à se déplacer, alors elle le ferai.

Pour l'heure, il ne restait plus qu'à attendre.

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Dame de Maroncères

[axel d'irissarri]

Axel était là, en matriarche fière de sa couvée. la route jusqu'à Rome avait été in-ter-mi-na-ble. Un véritable pèlerinage qui avait intérêt à compter dans le décompte spirituel qu'elle devrait un jour présenter au gardiens des portes.
Heureusement la compagnie avait été bonne, entre ses enfants , et ses amies, cela avait été un long mais bon moment.
Il n'y avait plus qu'à attendre que le plus gros baptème du siècle commence

[Walan]

On ne l'avait pas prévenu. Si si. Bon, Thiberian lui avait écrit pour lui demander d'être parrain, tout ça. Par contre, il ne lui avait pas dit qu'en fait c'était la moitié de la famille qui allait être baptisée à la chaîne, avec du coup autant de parrains et marraines. Sans compter les invités. Du coup, au lieu de la petite cérémonie plus ou moins intimiste que le brun s'était imaginé, paf, c'était le grand truc. Le grand truc à Rome. A Rome !

Heureusement, sa jambe était à peu près remise, si bien qu'elle ne le faisait plus trop souffrir. Il pouvait tenir debout sans douleur pendant un moment, et il avait même pu chevaucher un peu sur la route. Un peu... le reste du temps, il avait piaffé dans le coche, en bougonnant qu'on aurait quand même pu faire ça dans une chapelle du coin.

Mais il avait fini par arriver. Découvrant du même coup la ville éternelle, manquant de s'y perdre, tentant de communiquer pour trouver son chemin alors qu'il ne parlait pas un mot d'italien et que ce n'est pas avec son latin mal maîtrisé qu'il ferait comprendre quoique ce soit. Une auberge peuplée de gens compréhensibles plus tard, et le chevalier se présentait dans la basilique. La bonne basilique, n'est-ce pas ? Oui, il y avait quelques têtes connues. Ouf.

[valeryane]

Quand Valeryane donne une promesse ou quand elle accepte d'être marraine c'est acté, rien ni personne ne pourra la compromettre dans sa décision. Elle sera la Marraine de bouchon Landry le fils de ses amis Thiberian et Axel.

C'est fièrement qu'elle se pointe apercevant Axel déjà présente la brune avance d'un pas décidé vers son amie et "bouchon" Landry elle aime bien l’appeler Bouchon pourquoi aucune idée simplement parce qu'il est attendrissant et sympathique.

Donc voila un arrêt devant la petite assemblée et un ..

Bonjour à tous, je ne suis pas en retard j'espère ?.

voila voila le grand jour est arrivée faut baptiser ce bouchon qu'il entre dans la famille Aristotélicienne.
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[Riwenn]

Parrain. Par Dieu. Pardiac.

Riri avait faict la route jusque-là. Et ce n'estait là pas un hasard. En effet, il estait attendu. D'un savoureux mélange mélangiste, il avait échangé avec le futur baptisé avant d'accepter de le parrainer dès son entrée dans le monde merveilleux de l'Aristotélisme. Comme incarnation de la fidélité aristotélicienne, qu'il avait ardemment défendue par le passé, qui demeurait ancrée en son cœur et son estre malgré les turpitudes qu'il pouvait y avoir en interne comme en externe, ce prince de Rome serait donc de la partie.

Ce ne serait pas un jeu, sinon iceluy que le Très-Haut plaçait sur la route de chaque créature qu'il avait créée, elle qui devait, peu importe son genre, peu importe son apparence, trouver la meilleure voie per vivre sa vie terrestre dans le but d'atteindre au plus près la perfection divine avant de partir vers le Paradis Solaire. N'estait-ce pas ainsi per tot estre humain en tot cas ? Riri le pensait, sincèrement. Il vivait en homme aussi pieux que possible, avec l'amour de son dieu qu'il partageait avec le monde. Davantage ces dernières années d'ailleurs puisque, en dehors de sa famille, il le partageait dans tote sa profondeur possible avec les gourgandines les plus belles et plantureuses des bordels de France et de Navarre. Il n'y avait pas de mal à se faire du bien après tot. Et à en faire, du bien. Owi ! Voilà l'écho des jeunes donzelles en pamoison qui hululaient bruyamment sous le ciel sombre illuminé de sa lune, alors que l'ancestre profitait de leurs lunes. Bref.

Lo Vielh avait donc faict la route, accompagné de deux gardes. Il avait laissé Embardée au soin d'un domestique. Ce baudet royal, aussi fort qu'il pouvait tenir à lui, l'aurait ralenti à n'en point douter. Sa grande sortie serait donc per une autre fois. Cet événement vit donc arriver l'Altesse romaine, Riwenn, vestu de circonstance.



Adishatz salua-t-il la foule ̶e̶n̶ ̶d̶é̶l̶i̶r̶e̶, reconnoissant la plupart des visages qu'arboraient les convives présents. Quelque peu surprenamment, comme les noces d'Ysa quelques jorns plus tost, cet événement rassemblerait une partie de la famille La Duranxie. Ce qui n'estait pas per lui déplaire à dire vrai. Revoir des membres de son cocon familial estait totjorn un plaisir. D'autant plus lorsque le mélangisme faisait qu'il devenait le parrain d'un esprit anciennement duranxien.
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Héraldique européenne

[Pierre Augustin]

Je suis tellement heureux, je crois bien qu'aujourd'hui c'est le plus beau jour de ma vie.
Toute ma famille est réunie pour MON baptême.
Oui non parce qu'ils sont plusieurs à s'être greffés et à être venus pour se faire asperger d'eau, mais que tout le monde soit bien au clair avec ça au départ c'est MON baptême!
Ben quoi c'st moi le bébé de la famille non?
Bref je suis surexcité depuis le départ et je passe de l'un à l'autre comme un papillon en pleine frénésie de collecte de nectar. Je me prends des shoots de bonheur et d'amour familial. Je ne suis qu'amour et félicité.

Le voyage jusqu'à Rome a été long mais quel pied bon sang. Ca fait des semaines, des mois , des années même que je n'ai pas pu passer autant de temps avec mes ainés alors je profite de chaque instant.
Nous sommes tous descendus dans un hôtel que nous avons privatisé pour l'occasion, tout le monde s'affaire et nous donnons l'impression d'être une grande compagnie joyeuse et bruyante. Que d'aucun ne se permettrait d'appeler Un joyeux bordel! Le jour du baptême se fait attendre mais enfin il est là, direction la basilique. Chacun part lorsqu'il est prêt et nous arrivons tous au compte goutte. Je suis comme traversé par le courant puissant de la Durance.

A présent il me faut patienter, attendre que tous soient réunis pour que le Cardinal puisse nous faire entrer dans la grande famille des aristotéliciens.
Je me pends au jupon de ma Précieuse Maman, pour essayer de passer le temps. Enfin je me pends à son jupon... Etant donné que je fais une demi tête de plus qu'elle bientôt c'est elle qui se pendra à mon veston...

[Alix.B]

On aurait pu croire que le trajet passé à visiter les différentes voitures du convoi baptismal avait au moins un peu entamé l’énergie de l’adolescente. Mais à la voir papillonner entre les futurs parrains de toute la smala Baccard dans sa tunique blanche ceinturée d’une cordelette brute il était facile de deviner que son excitation était à son comble.
Moins pour la cérémonie qui l’attendait que pour le joie de voir réunis en cette cité splendide autant de montagnards agissant comme en terrain conquis. La présence de Pierre-Augustin qu’elle n’avait pas suffisamment revu à son goût aurait suffi à son bonheur et elle passa la tenue du petit dernier en revue avec tendresse. Comme il était grand… Ses traits prenaient de la Précieuse et de l’Impétueux tandis que son caractère doux lui donnaient des airs de grand garçon rêveur qu’elle souhaitait protéger peut-être plus encore que son aîné.
Si la louvette vouait un amour inconditionnel à sa famille, tout dauphinois par le seul mérite de sa qualité compatriote se retrouvait à graviter dans la sphère de la famille par extension. Bon là il y avait aussi du gratin non-dauphinois, mais puisqu’ils allaient se retrouver liés à un membre de sa famille, elle les trouva d’office fort sympathiques.

Sur les premiers bancs se tenaient donc les futurs baptisés et leurs parrains. Alix se tenait près d’Alexa pour recueillir ses conseils, mais à vrai dire elle avait quelques difficultés à se concentrer. Elle n’avait toujours pas aperçu celui que son père avait choisi pour cette mission.
Légèrement stressée, elle prit la main de sa marraine dans la sienne et serra doucement. Où était Charlemagne ?

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[Thiberian]

L'objectif de la mission était simple : faire baptiser tous les Baccards ne l'étant pas encore d'un seul trait, et directement à Rome parce que bon...Soit on fait les choses bien, soit on les fait pas au bout d'un moment !

Et puis c'était le bon moment pour voyager ! Un voyage paradisiaque à Rome, cette ville antique, magnifique et touristique que le covid de ses morts vous empêche de visiter à présent ! Et ben vos persos eux ils peuvent ! C'est pas classe ça sérieux ?
Allez, faisons nous plaisir dans le respect de la distanciation rolistique, mettez des masques au bout de vos doigts et jouons comme des confini euuu confinés.

Le Baccard Crew débarqua à Rome, là où ils passaient l'herbe ne repoussait pas et les gens hurlaient à la mort...En même temps c'est normal à Rome tout est pavé et c'était jour de marché, vous imaginiez quoi bande de nases ?
L'avantage d'une basilique, c'est que c'est tellement badass que c'est pas dur à trouver, sauf qu'à Rome tous les bâtiments sont badass...Mais c'est pas grave parce qu'ils trouvèrent quand même, parce que hey...on est pas des mauvais. En plus l'italien figurez vous que ça ressemble vachement à l'arpitan, ce dialecte franco provençal qu'on parlait dans les montages dauphinoises au XVeme donc ils arrivaient plus où moins à comprendre et se faire comprendre. Même s'il est hors de question que j'écrive italien, faites donc comme si ma narration était automatiquement traduite genre star trek.

L'édifice religieux fut investi par la smala, accompagnées des parrains et de ceux qui avaient voulu se greffer au démarrage du voyage pèlerinage pour tous les âges, payes ton carnage.

A peine arrivé le pater familia chercha du regard pour tenter de voir une soutane pourpre ou rouge, bref le cardinal Nivellus quoi.
Il se dirigea donc vers l'autel en regardant autour de lui, faut dire...C'est grand comme cabanon !

[Polonius]

Polonius avait donc été du voyage. Et quel voyage. Et quelle destination ! Depuis qu'ils étaient arrivés, elle s'était perdue dix fois, vingt fois, mais retournait toujours s'aventurer dans les rues de la Cité Éternelle. Ce matin là, elle était sortie à l'aube, et avait bien failli être en retard à son propre baptême. Mais finalement non, elle n'était pas la dernière arrivée, du moins le lui semblait-il... Et toute gênée qu'elle était dans sa robe du dimanche, manquant de se décrocher une nouvelle fois la mâchoire à force d'éblouissement, elle remonta l'allée centrale pour se diriger vers le petit groupe de Baccard assemblés. Attrapant le bras de Landry, elle s'y accrocha, et murmura à son oreille :

Tout ici est si grand que j'en ai le tournis.

Si sa pauvre mère avait pu voir ça... Elle n'en croyait elle-même pas ses yeux.

[isaure.beaumont]

Il était écrit que les Beaupierre n’honoreraient plus les cérémonies au complet. Quand ce n’était pas Isaure, c’était Octave qui manquait à l’appel. Le couple semblait ne plus jamais paraître ensemble. L’unique invariable de leur équation était la jeune et jolie Clothilde-Aimée qui, en digne représentante de la famille, assistait à tous les événements aux côtés de l’un ou de l’autre.

- Foutremouille, ne pouvait-il pas se faire baptiser à l’église du coin, comme tout un chacun ? Voilà mille an que nous sommes sur la route et nous n’arriverons jamais !

La vicomtesse souleva le rideau pour regarder au travers de la vitre. Le nuage de poussière qui semblait les enrober retomba et elle peut enfin apercevoir les premiers faubourgs romains. Elle soupira, lasse. Leur séjour romain n’avait pas pris la tournure qu’elle avait espéré. Si elle s’était imaginée faire une entrée remarquée au bras de son resplendissant époux, c’était désespérément seule, ou presque, qu’elle s’y présenterait. Son époux, ce grand susceptible, avait refusé de l’accompagner. « Je ne viendrai pas. Je n’ai pas été invité. » Elle avait eu beau faire, rien n’avait eu raison de sa décision. Ni ses suppliques, ni ses lamentations et encore moins ses cris. Elle l’avait pourtant menacé de bouillons maigres, de désert charnel avant de finalement lui promettre monts et merveille, mais rien, non rien, n’avait fait plier l’intransigeant vicomte.

Ce fut donc seulement accompagnée de sa fille que la Beaupierre descendit de sa voiture. Arborant un sourire de circonstance, elle prit la direction de la basilique qui la verrait enfin devenir Marraine.

- Et dire que votre père va manquer cet événement ! Puisqu’il a refusé de nous accompagner, il ne nous reverra pas de sitôt. Saviez-vous qu’il y avait à Rome de veilles ruines antiques ? Nous y séjournerons quelques semaines. Qu’il se languisse, nous n’aurons pas le temps de penser à lui.

Les portes de la Basilique franchies, le silence fut de mise. La vicomtesse se signa et alors que ses yeux s’accoutumaient enfin à la douce pénombre, elle observa les lieux et les présents. Force était de constater qu’Abasael était en retard ! Ne pas accueillir sa précieuse Marraine, en chair et en os, quel toupet !