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[RP] Jousting Tournament: Camp Site
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Ines..



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MessagePosté le: Lun Juin 28, 2021 6:49 pm    Sujet du message: [RP] Jousting Tournament: Camp Site Répondre en citant



Outside the city of Rome, a wide field was opening up. The first tents of some of the participants had been pitched there. The area had been properly set up to accommodate all of them, and their entourage, as the knights must be assisted in putting on and taking off their armour, keeping their horse in good condition, always refilling the wine jug... Which is essential, by the way. And who knows, also organise a small evening party, when the tournament is over. Or look after the wounded. Or all at the same time.

What is clear is that if someone dies, there will be more than one priest to pray for his soul.

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Queen of Navarre | Princess of Ischia di Castro | Duchess of Billy | Child of Castile | Countess of Tafalla | Baroness Palatine of St John Lateran | Lady of Bressolles
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Constance Elyse DC



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MessagePosté le: Mar Juin 29, 2021 8:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant


Campement Von Frayner Del Casalièr

Les premières fois sont toujours cruciales pour donner la meilleurs expérience possible et la meilleur impression possible. C'est donc les ressources de mes deux autres fiefs qui ont été mobilisées afin d'offrir à mon champion la meilleur expérience possible. Une première fois pour lui, une première fois pour moi et une première fois pour tout l'équipement que j'ai rassemblée. Avec le temps et les différents tournoi, il y aura des ajustements, des améliorations, mais globalement, ce sera toujours la même chose.

Voici comment sont donc disposés les éléments du petit campement parcouru par un Joanet trop content d'être ici après la monotonie de l'Irlande et par tous les italiens que j'ai due embaucher. La plus grande tente abritera le cheval de Milor et tout ce qu'il faut pour les soins de celui-ci. Juste à la gauche la tente de mon Champion contenant un bon lit, une bassine pour se laver, une table avec deux chaises et ce qu'il faut pour les soins, si nécessaire. J'ai espoir que Papas pourront venir en cas de besoin, puisqu'ils sont à Rome. Enfin, sur la droite, ma tente composé des mêmes meubles que celle de Milor, augmenté d'un autre lit pour Carlòta. Les gardes et employés dormiront à la Villa d'Azayes, qui n'est pas très loin de toute façon.

Une dernière tente comporte tout ce qui est nécessaire pour jouter. J'ai fait fabriquer une armure toute neuve pour lui. Dans cette tente, il y a ce qu'il faut pour réparer l'armure, dans le pire des cas et là, c'est mon oncle Tacitus qui s'en chargera. Avec les lances, dont la vieille de Papas, tout est prêt. Ne manque plus que le cheval et le Champion.

En attendant, sous un parasol, je prend une gorgée de l'Eau de Vergèze que j'ai fait venir ici, accompagné de quelques tranches de concombre et de crème fraîche assaisonnée de poivre.

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Son Excellence Monseigneur Constance Élyse Von Frayner Del Casalièr, Comtesse Palatin de St-Jean de Latran, Évêque d'Orléeans, Évêque Sine Cura du Puy en Velay
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Milor



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Messages: 24

MessagePosté le: Mer Juin 30, 2021 6:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

Campement Von Frayner Del Casalièr

Milor l'écuyer arrivait sur site.
Le champion de la dame von Frayner Del Casalier n'eut aucun mal à trouver le campement . Tout était déjà en place, monté et organisé. Il se contenta de conduire sa monture dans l'enclos prévu pour elle et alla saluer Constance-Elyse. Il irait ensuite tester son armure et l'équipement qui va avec.


- Mes respects, dame Constance. Me voici arrivé à votre campement. Il est très confortable et bien organisé au demeurant.

On n'était pas ici pour les vacances mais bien pour des joutes; Milor ne tarderait pas à aller s'entrainer sur un mannequin, histoire de garder la forme physique.
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Constance Elyse DC



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MessagePosté le: Jeu Juil 01, 2021 5:10 am    Sujet du message: Répondre en citant

Campement Von Frayner Del Casalièr

En voyant mon Champion arriver, je sourie largement. Il a fier allure à arriver ainsi sur son cheval. Pour le style, à mon sens, il vient d'avoir des points gratuits. Les mots qu'il dit sont flatteur, des points supplémentaire? Pas cette fois.

Ceci n'est que le stricte minimum et beaucoup de chose m'ont été fournis par mes parents. À moi seule, je n'aurais jamais eu les moyens de tout ceci. Prenez juste la forge par exemple. Je ne pouvais pas embaucher un forgeron et louer tout son équipement sans me ruiner. C'est que ça vaux une petite fortune se genre de personnel et d'équipement. J'ai la chance que mon oncle soit forgeron et qu'il ait l'habitude des armures. Et Joanet, que tu voit là, c'est ma nounou!

En disant ça je regarde l'Joanet en question et je sourit très très largement. Il se fait de plus en plus vieux, mais je l'aime comme ça.

Il est revenu d'Irlande il y a peu et à fui mes parents pensant qu'il pourrait se reposer un peu en venant me voir.

Je rit doucement alors qu'il me nargue avec des grimaces.

La famille, c'est essentiel dans ce genre de circonstance. D'ailleurs. Est-ce que votre frère va concourir aussi?

C'est alors seulement que je réalise qu'il est encore debout devant moi. Roh, je suis une telle ingrate! Je me lève et lui indique l'autre chaise sous le parasol.

Prenez place quelques instant et prenez un verre. Je vous suggère un peu de mon hydromel pétillante. Il y a des petits fruits qui y macère depuis ce matin. C'est frai, léger et ça vous donnera de la force!
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Son Excellence Monseigneur Constance Élyse Von Frayner Del Casalièr, Comtesse Palatin de St-Jean de Latran, Évêque d'Orléeans, Évêque Sine Cura du Puy en Velay
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Runy



Inscrit le: 28 Juin 2021
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MessagePosté le: Jeu Juil 01, 2021 2:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Traquenard

C'est ce qu'avait pensé Runy quand son CousiIIIiiin ChéEériii lui avait présenté sa participation aux joutes de l'Eglise.

J'ai besoin de toi Runy.
Bon jusque là, tout va bien elle s'attendait donc à lui rendre un service et ça lui faisait grandement plaisir.
Chuis là ! Réponse logique puisque en effet, elle se tenait devant lui.
Je dois avoir un champion pour les joutes romaines.
Et c'est là que ça se corse. Mais Runy ne peut pas refuser grand chose à son parent, elle l'adore le cureton : un amour d'homme, généreux drôle et tout. Ca l'empêche pas de paniquer.
Eing' ? Et elle est bien présente cette petite lueur d'affolement qui clignote dans les GrisNuages qui lui mangent le visage.
Avec le cheval et tout ? C'est où ?
Et voilà comment cette histoire a commencé.

Tente de la famille De Nivellus


La Blanche jette son trognon et croque dans le dernier bout de pain en observant la tente enfin dressée fièrement, drapeau au faîte et claquant au vent. Les gaillards embauchés à la va-vite sont repartis satisfaits en faisant claquer des bourses pleines d'écus.
Bô va s'en j'ter un ou deux l'Gros Firmin ?
Toâ qui rinch' ?
Da oui pich' toâ en r'tour dis- moâ bin !

Runy recule maintenant de quelques pas pour une vue d'ensemble : un « chez-eux » temporaire, un peu pâlichonne aux côtés de tentes fastueuses -voire frisant le clinquant et pas du meilleur goût - qui l'entoure. L'endroit grouille déjà de jouteurs certainement de grande naissance pour bon nombre, accompagnés bien souvent de famille et amis, d' écuyers, de valets et autres serviteurs. Ici et là, des ménestrels montrent leurs talents en jouant quelques notes, des gens du spectacle animent de leur expertise pour la plus grande joie des petits et des grands. Des marchands font le tour, annonçant leurs produits à grandes voix, qui des légumes de leur terre, qui des fruits de leur verger, qui des poules encore debout. L'un d'entre eux ose même les agneaux et ma foi, il trouve preneur.De gigantesques feux seront allumés bientôt pour des ripailles gargantuesques. Des tonneaux de vin sont roulés frénétiquement pour rejoindre les tentes. Des damoizelles ont finement pensé à venir vendre des fleurs, augurant peut-être ainsi de rencontres courtoises.
Plus loin, autour de la carrière, se montent en ce moment même – et couvrant parfois tous les autres bruits - des échafauds qui seront scindés en loges et gradins puis richement parés de blasons, de tapis chatoyants d'écussons et de banderoles, de pavillon et de bannières. A l'heure des combats, chaque rideau se lèvera pour laisser paraître des Dames et des Messires encourageant leur champion. Les Dames accrocheront aux lances des Chevaliers un voile ou une écharpe que ces derniers récupéreront pour les appendre à l'endroit qui leur plaira et ils seront alors redevables d'une victoire.


Il va me refiler quoi le Cousin ? se questionne Runy en soulevant la lourde toile qui sert de porte, espérant y trouver du monde.

Vous êtes là ?
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Dernière édition par Runy le Sam Sep 17, 2022 11:54 pm; édité 6 fois
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Tymothé de Nivellus
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MessagePosté le: Mar Juil 06, 2021 11:55 am    Sujet du message: Répondre en citant

Tente de la famille De Nivellus


Tel un romain, couché comme un pacha sur un sofa dans la tente, Tymothé bouffa du raisin et quelques fruits...

"Alors Runy, pas trop stressée?"
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Père Tymothé de Nivellus | Cardinal-Evêque de Saint Trufaldini à la Porte Latine | Cardinal-Camerlingue de Rome et Chancelier de la Chambre Apostolique | Archevêque Sine Cura d'Avignon | Vicomte d'Andenne
"La puissance de Dieu donne toute sa mesure dans la faiblesse"

Cabinet du Cardinal


Dernière édition par Tymothé de Nivellus le Ven Juil 09, 2021 4:08 pm; édité 1 fois
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Runy



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MessagePosté le: Jeu Juil 08, 2021 2:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tente de la famille De Nivellus



Aussitôt à l'intérieur, elle repère le Cousin Chéri qui a complètement investi les lieux avec nonchalance. Et appétit puisqu'il gobe dans une attitude de romain proche de César, une magnifique grappe de raisin du terroir.
Runy s'arrête à droite de l'entrée qu'elle a réservée pour se défaire de ses bottes et ainsi ne pas trop saloper le magnifique tapis sur lequel trône une double méridienne sur laquelle trône un Tym très à son aise.


Le bonjour mon cousin !
Une botte encore en main, regard surpris.
Comment tu dis ? « C'est très C ?
L'incrédulité de la donzelle vient se matérialiser en une moue perplexe : son cousin a parfois des expressions qu'elle peine à comprendre.
La botte est cavalièrement balancée dans le coin et Runy s'apprête à ôter la deuxième, tout en faisant le tour de la tente enfin aménagée. Tout au fond à droite elle aperçoit la longue table où s'entasse déjà quelques pains, des fruits, des cruchons et quelques plats recouverts de tissu : des charcutailles et des viandes blanches cuites que la Blanche a commandé en ville. La peau des gonades qu'elle a payé, alors si le saucisson n'est pas au goût, ça va chi...

Non voyons pourquoi ? J'ai plus peur à un premier rendez-vous galant qu'à l'idée d'une bonne baston.
Portant aux pieds uniquement ses bas, elle approche de Tym et lui claque un baiser sur le front, lui chipe un grain de raisin et repère en même temps les fûts et des bouteilles sous la grande table.
Un sourire satisfait, les invités auront de quoi se mettre sous la dent et dans le gosier.
Dans la partie gauche, l'attend son armure et pas n'importe quelle armure : une armure de joute, avec des renforts aux endroits stratégiques : le maître a ajouté quelques éléments, des arrêts de cuirasse sur le plastron et des supports de lance fixés sur la dossière, permettant ainsi une aide efficace au soutien du poids de la lance par l´ensemble. Une main traîne sur le fer, la Blanche est ravie bien que la protection qu'elle couve des yeux ne soit pas de la première fraîcheur. Elle s'en offrira une toute neuve si jouter lui plaît. Tout à côté, un râtelier offre de très longues lances, des boucliers, deux ou trois épées et quelques armes blanches plus petites mais tout aussi mortelles.
Elle se retourne vers Tym

Comment trouves-tu l'endroit  ?
Elle embrasse de son regard gris clair l'ensemble de son domaine éphémère et soulève le rideau faisant coin à gauche de l'entrée principale : un lit de camp, un baquet pour ses nombreux bains et quantité de malles y ont été déposées.Au pied du lit, un tapis de fourrure à tête d'ours. Ici, une petite coiffeuse avec un miroir et un tabouret rustique. Un fauteuil aussi, pour un peu de confort.. Et là-bas, dans un coin, derrière un paravent, un seau d'aisance bien planqué.
Elle a rejoint le cureton et prend place à ses côtés après avoir délicatement repousser ses jambes qui prennent toute la place.

Je n'ai que deux chevaux Tym, faut espérer qu'ils ne seront pas trop malmenés ! Autrement tu devras te débrouiller pour m'en trouver je te préviens.
Elle lui sourit. Les deux Jutland, de race Danoise, sont au pré, pas loin, gardés par un homme de main qu'elle paye grassement. Le cheval autant que l'armure, doit être bichonner et surveiller de près. Sans une bonne monture, l'homme n'est rien qu'un fantassin sans grande valeur.
Après tout, c'est ton nom qui est en jeu mon vieux !
J'ai invité plein de monde, j'espère qu'ils vont pouvoir venir …

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Dernière édition par Runy le Ven Juil 16, 2021 7:12 pm; édité 1 fois
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Tymothé de Nivellus
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MessagePosté le: Ven Juil 09, 2021 4:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tente de la famille De Nivellus



"Tu veux dire: c'est notre nom qui est en jeu!
Mais tu vas y arriver, j'en suis convaincu. Il faudrait voir la tête des autres candidats. peut-être qu'il y a un colosse, on peut lui mettre de la poudre à chiasse dans son eau, il sera au latrine et déclarera forfait peut-être ^^
Oups, non, on ne va pas tricher, tu lui mettras une bonne raclée! Il aura trop confiance en lui, c'est ce qui le perdra... j'en suis sûr!
Mais je vais déjà envoyé quelqu'un pour trouver des bons chevaux, on ne sait jamais..."


Comment trouves-tu l'endroit?

"Ben, mise à part le fait qu'ils aient un peu radiné sur les raisins et les vins, je pense que ça va, il y a pire comme situation!"

Réflexion d'un petit poids

"J'me demande c'est quoi le cadeau si on gagne?, enfin... si tu gagnes..."
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Arturus



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MessagePosté le: Ven Juil 16, 2021 12:30 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[Sur la route de Rome]


Tous les chemins mènent certainement à Rome, centre du monde connu et de l'Aristotélité, néanmoins, Rome, ce n'est pas la porte à côté. Pour s'y rendre depuis son fief enclavé dans les Pyrénées, le jeune comte devait organiser un voyage de plusieurs semaines, prévoir les étapes et anticiper les aléas. Cette fois, ce ne serait pas un cortège en grandes pompes comme lors de son hommage au Louvre. L'Infant serait accompagné d'une escorte plus modeste, composée de chevaliers béarnais ou castillans, assortie de quelques valets et d'intendants. Si la première partie de l'expédition s'avéra relativement calme, le jeune homme se montra légèrement nerveux alors que se profilait la silhouette familière de Lyon en amont du Rhône. Pour cause, il devait y rejoindre le cortège d'Anne de Cassel, à qui il avait proposé de faire chemin ensemble jusqu'à la Ville Éternelle. Inattendu ? Peut-être. Toutefois, la jeune dame de Wahagnies avait fait bonne impression à l'Infant quelques mois auparavant, au Louvre, le conduisant peut-être impulsivement à lui proposer de se retrouver dans un cadre différent.

La rencontre se déroula assez simplement aux abords de Lyon, au jour et à l'heure convenus. Courtois mais assez réservé, le premier échange fut assez sommaire. Ce n'était que plus tard dans la journée, alors qu'ils chevauchaient sur les bords du Rhône, que le jeune homme approcha sa monture pour se mettre au niveau d'Anne.


« Mi dona. » Arthur adressa un salut courtois ainsi qu'un fin sourire à Anne. « Acceptez-vous que je chevauche à vos côtés ? »

La robe immaculée du destrier contrastait avec l'austérité apparente de l'Infant, vêtu de noir comme à son habitude. Néanmoins, tout endeuillé qu'il était, sa tenue élégamment rehaussée démontrait un certain attrait pour un luxe discret. Il dévisagea la jeune femme alors qu'elle lui répondait. Que dire maintenant ? Lui demander comment s'était passé son voyage depuis la Flandre ? Lui dire qu'il attendait avec impatience cette rencontre ? Déverser des banalités ? Malgré l'impétuosité, la nervosité sous-jacente, il émanait du jeune homme un calme et une certaine assurance, du moins l'espérait-il.

« Connaissez-vous Rome ? »

La question n'était pas innocente car Arthur avait séjourné de longs mois durant dans la Ville Éternelle et dans plusieurs cités du nord de l'Italie. Le Prince pouvait alors aisément devenir guide.


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[On the way to Rome]


All roads certainly lead to Rome, the centre of the known world and of Aristotelianism, but Rome is not next door. To get there from his fiefdom in the Pyrenees, the young count had to organise a journey lasting several weeks, plan the stages and anticipate the hazards. This time, it would not be a procession with great pomp and circumstance, as was the case for his tribute at the Louvre. The Infant would be accompanied by a more modest escort, made up of knights from Bearn or Castile, together with a few valets and stewards. If the first part of the expedition proved to be relatively calm, the young man became slightly nervous as the familiar silhouette of Lyon loomed above the Rhône. The reason for this was that he had to join the procession of Anne of Cassel, to whom he had proposed to travel together to the Eternal City. Unexpected? Perhaps. However, the young lady from Wahagnies had made a good impression on the Infant a few months earlier, in the Louvre, perhaps leading him impulsively to propose meeting in a different setting.

The meeting took place quite simply on the outskirts of Lyon, on the day and at the time agreed. Courteous but rather reserved, the first exchange was rather brief. It was only later in the day, as they rode along the banks of the Rhone, that the young man brought his mount up to Anne's level.


« Mi dona. » Arthur addressed a courteous greeting and a fine smile to Anne. « Will you allow me to ride beside you? »

The immaculate dress of the steed contrasted with the apparent austerity of the Infant, dressed in black as usual. Nevertheless, as bereaved as he was, his elegantly enhanced attire showed a certain attraction to discreet luxury. He stared at the young woman as she answered him. What to say now? Ask her how her journey from Flanders had been? Tell her he was looking forward to this meeting? To spill some banalities? Despite the impetuosity, the underlying nervousness, there was a calmness and a certain assurance about the young man, or so he hoped.

« Do you know Rome? »

The question was not innocent, for Arthur had spent many months in the Eternal City and in several cities of northern Italy. The Prince could easily become a guide.
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Son Altesse Royale l'Infant Arthur Fébus de Castelnau-Montmiral
Comte du Béarn
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Alix_du_vivier



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MessagePosté le: Ven Juil 16, 2021 2:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tente de la famille De Nivellus


Des joutes quelle idée, surtout être écuyère...Alix avait dit oui bon d'accord ! Mais franchement elle ne l'avait jamais fait.
En chemin elle fût fatalement accompagnée par une troupe de moustiques qui ne cessait pas de lui montrer son affection.
Piqures des insectes malfaisants, partout oblige du coup. Son époux chevauchait à ses cotés, mais que le chemins de Niort à Rome était long.

Après des lunes et des jours ils aperçurent au loin les bannières qui flottaient aux vents.



Ah enfin nous voilà arrivé, si c'était pas pour Runy et Tymothé, ça c'est sur qu'elle aurait refusé.
Elle sauta prestement de sa jument et se dirigea vers la plus belle des tentes.


Je suis enfin là, pas en retard j'espère . Ne me dites pas qu'ils ont annulé ?

Alix tenait à la main une bouteille de liqueur de roses ainsi qu'un panier de divers fruits pour motiver Runy.

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Cordeilla



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MessagePosté le: Ven Juil 16, 2021 6:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant


    Sur la route de Rome

Depuis les confins des Flandres, Anne de Cassel prépara avec soin les différentes étapes qui la mèneraient à Lyon. Si le point de chute demeure la Très-Sainte & Eternelle ville de Rome, centre névralgique de la Foi & ses plus Saintes Âmes, c’est d’abord au bord du Rhône qu’il lui faut se rendre. Là-bas, l’Infant de Castille l’y attend après invitation. Les déplacements de la flamande se firent en toute discrétion comme l’on croiserait « Madame de », allant visiter & marcher dans les jardins français en compagnie de « Mademoiselle la » par un beau jour d’été. A la seule différence que Mademoiselle de Cassel cheminait avec son intendant & une jeune-fille de la seigneurie qui l’eut supplié de fouler le sol Saint. Une supplication qu’elle accorda en assurant aux parents, paysans de Wahagnies, qu’elle en reviendrait plus grande. A mesure que les étapes approchaient Lyon, Anne s’agitait de quelques questionnements le soir venu sur sa trop grande facilité à avoir répondu par la favorable. Impulsivité ? Certainement. Regretté ? Pas. Quelque chose demeurait dans ses souvenirs & lui rendait le choix plus doux.

La rencontre fut d’une simplicité qui balaya ces dernières angoisses. Préséance & courtoisie, quelques bons mots & une organisation au moins tout aussi millimétrée ; malgré la réserve qui ne demandait qu’à se briser, Anne accueillit cette fraicheur singulière dont elle n’aurait jamais imaginé ou oser songer. Plus tard, alors que l’ensemble du convoi porté par Castelnau & Cassel cheminait, Arthur vint à sa hauteur.

— Votre Altesse Royale. Anne, dont la silhouette balançait à peine par les pas de sa jument abaissa le visage en laissant naître, ce qui s’apparentait à un rare sourire ces derniers temps. Ce serait un honneur.

Le noir, cette couleur de deuil quittée pour laisser place à sa Majesté Laure d’Orsenac, avait cela de seyant : finement orné de détails, la richesse de l’apparat oubliait l’austérité. Anne s’était prise d’affection pour cette couleur qui reflétait à quelques rares occasions l’étendue de ses biens dont elle aimait préserver la discrétion. Ce jour, habillée de velours rouge orné de pointes d’or, Anne paraît plus fragile au travers sa féminité. Ou peut-être est-ce sa douceur naturelle lorsqu’elle se noie dans les aléas du quotidien qui la recouvre. Observant alors l’Infant, elle sourit doucement & discrètement au questionnement.

— Je ne suis jamais allée à Rome. L’erreur se corrige aujourd’hui, puise Dieu m’en être clément. Peut-être aurais-je le temps de découvrir la Ville Éternelle à la suite des joutes. Et vous, votre Altesse Royale ?

Lorsqu’elle ne regardait pas avec un détail mesuré les traits du Prince, Anne observait devant elle & ajustait ses mains aux rênes pour y dissimuler sa nervosité. Cavalière aguerrie, la monture est nouvellement entre ses mains & mériterait certainement plus de dressage qu’elle n’en eût reçu. Les humeurs de celle-ci majoritairement domptées, Anne ne pouvait défaire un regard d’appréhension lorsque le destrier normand secoue soudainement la tête.

_______________

From the confines of Flanders, Anne of Cassel carefully prepared the various stages that would lead her to Lyon. If the point of arrival was the Most Holy & Eternal City of Rome, the nerve centre of the Faith & its most Holy Souls, it was first to the banks of the Rhône that she had to go. There, the Infant of Castile awaited her after an invitation. The Flemish woman's travels were as discreet as those of "Madame de", visiting and walking in the French gardens in the company of "Mademoiselle la" on a beautiful summer day. The only difference was that Mademoiselle de Cassel was walking with her steward and a young girl from the seigneury who begged her to walk on holy ground. A plea which she granted by assuring her parents, peasants of Wahagnies, that she would return greater. As the stages approached Lyon, Anne was agitated by some questioning in the evening about her too easy response. Impulsiveness? Certainly. Regret? Not regretted. Something remained in her memories & made the choice sweeter.

The meeting was so simple that it swept away these last anxieties. Presence & courtesy, a few good words & an organisation that was at least as meticulous; despite the reserve that was just waiting to be broken, Anne welcomed this singular freshness that she would never have imagined or dared to think of. Later, as the whole convoy carried by Castelnau & Cassel made its way, Arthur came up to her.

- Your Royal Highness. Anne, whose figure was barely swayed by her mare's steps, lowered her face, giving rise to what looked like a rare smile these days. It would be an honour, of course.

Black, the colour of mourning left to make way for her Majesty Laure d'Orsenac, was very becoming: finely decorated with details, the richness of the pomp forgot the austerity. Anne had taken a liking to this colour, which on rare occasions reflected the extent of her possessions, the discretion of which she liked to preserve. On this day, dressed in red velvet with gold tips, Anne appears more fragile through her femininity. Or perhaps it is her natural gentleness when she is drowning in the vagaries of daily life that covers her. Watching the Infant, she smiles softly & discreetly at the questioning.

- I have never been to Rome. The mistake is being corrected today, may God be merciful to me. Perhaps I will have time to discover the Eternal City after the jousts. And you, Your Royal Highness?

When she was not looking at the Prince's features in measured detail, Anne was watching ahead & adjusting her hands on the reins to hide her nervousness. A seasoned rider, the mount is newly in her hands & would certainly deserve more training than she had received. With her moods mostly under control, Anne could not unsee a look of apprehension when the Norman steed suddenly shook its head.
_________________
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Runy



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MessagePosté le: Ven Juil 16, 2021 7:22 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tente de la famille De Nivellus


Non non Tym tu as raison « ON » va gagner ! Parce qu'il s'agit de la famille, pas de Runy toute seule.
Un soupire lui échappe quand même.
Je me demande où est mon …
Pas le temps de commencer son envolée verbale, une voix familière la fait se retourner
Je suis enfin là, pas en retard j'espère . Ne me dites pas qu'ils ont annulé ?

Heyyyyyyy … Cousine Alix !
Comment dire … Runy au niveau de la famille, elle a pas bien fait ses devoirs et à part deux ou trois membres, elle ne connaît pas vraiment les liens de parenté qui lient toute la smala, aussi a-t-elle pris le parti de les nommer « Cousin » ou Cousine ». Voila.
La Blanche se lève donc avec enthousiasme et salue l'arrivante d'une accolade affectueuse, avant de répondre à sa question qui la fait largement sourire.

Et non très Chère, je crois qu'ils n'ont pas annulé sachant que tu devais venir, pas de chance hein ?
Un signe de tête vers Tym, sourire narquois au coin de la bouche.
Pacha Tym est en pleine réflexion comme tu peux le voir.
Alors et cette route ? Longue nan ? Pas de malotrus inopportun caché derrière un buisson ? Tu es venue avec qui ?


Des questions au lance-pierre : pam - pam - pam - pam.
Elle avise entre temps la bouteille et le panier qu'elle devine rempli de bonnes choses à manger.

Je vais te débarrasser, mets-toi à l'aise si tu veux. Tu peux visiter ou te reposer si tu préfères. Et y a de quoi faire une toilette derrière ce rideau, là .
Le menton de Runy s'anime en même temps et lui montre l'endroit privé.
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Assaam



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MessagePosté le: Lun Juil 19, 2021 12:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant


        Tous les chemins mènent à Rome

    La décision avait été prise plus tôt, le noyau dur des Fantastiques prendrait la route pour se rendre à des joutes, à Rome! Rien que ça! Autant dire que le périple allait durer un bout de temps et les connaissant, les membres de la p'tite famille n'allaient pas s'ennuyer. De nouvelles aventures s'ouvraient à eux.
    Ils quittèrent Bertincourt dès qu'ils le purent, il allait bien leur falloir plusieurs semaines pour arriver à destination et ça, notre Assaam n'avait pas eu idée de cela. Mais il avait donné sa parole donc impossible pour lui de faire marche arrière, ils iraient un point c'est tout!

    Et puis, au fond, il avait bien envie de voir ce spectacle auquel il n'avait encore jamais été convié.
    C'est donc ainsi qu'il découvrit de nouveaux horizons, de nouveaux paysages, villages et même pays. Alors comme le dit l'adage, tous les chemins mènent, certes, à Rome mais tous ne se valent pas! Assaam avait fini par se demander si l'itinéraire qu'ils avaient choisi était bien le plus rapide, le plus court surtout mais qu'importe, ils ne pouvaient plus en changer maintenant. Le voyage lui paraissait interminable mais tant qu'il a sa famille proche de lui, tout ne peut que lui aller.
    Ils arrivèrent en Italie quelque peu fatigués mais cela en valait la peine, ce pays est d'une rare beauté et summum pour notre barbu, on y boit et mange divinement et cela valait tout l'or du monde pour notre épicurien Assamesque!

    Enfin, Rome se dessinait devant le regard des Fantastiques. Trouver une auberge devrait être aisé dans une si grande cité, l'envie de prendre du repos se faisait bien sentir désormais et il serait bien temps le lendemain d'aller s'enquérir du lieu des joutes.

    Le lendemain, arrivés sur place ils se firent indiquer la tente des Nivellus où ils trouveraient leur hôte Runy. Assaam s'avança près des gardes fichés devant ladite tente afin d'être annoncés.


      Bonjour! Veuillez annoncer notre arrivée, je vous pris. Je suis Assaam, Runy nous a convié...

    Il n'en dira pas plus, laissant le plus maigrichon des deux s'engouffrer dans l'ouverture de la tente.

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Arturus



Inscrit le: 25 Juin 2021
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MessagePosté le: Lun Juil 19, 2021 11:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

    [Sur la route de Rome]


Arthur savoura, l'espace d'un instant, la douce chaleur du soleil, un bienfait qui s'était fait rare ces dernières semaines, tant l'été fut pluvieux sinon nuageux. Pour le Castillan, vivre un été sans soleil, c'était comme vivre une saison en enfer. Il était donc essentiel, pour lui, de profiter du moindre rayon, de la plus menue clarté, de la plus infime brûlure du soleil. Il reporta néanmoins rapidement son attention vers la jeune femme. Alors qu'Anne lui répondait, l'Infant la dévisagea discrètement, détaillant le carmin des lèvres, l'ocre du regard, la finesse du visage.
    « Vous pouvez m'appeler Arthur, dona. Nous ne sommes plus au Louvre, les titres ont peu d'importance entre nous, ici et maintenant. Il n'y a personne à impressionner, personne à flatter. »

Pourtant courtois et très exigeant lorsqu'il s'adressait à autrui, noble ou non, Arthur tenait très peu à fanfaronner avec son titre princier. Il estimait que la noblesse ne venait pas uniquement du sang, mais aussi de l'éducation et des actes. En cavalier aguerri, l'Infant guidait sa monture autant par la pression des genoux que par la bride qu'il tenait fermement d'une main, gardant l'autre nonchalante sur sa cuisse.
    « Il serait fort dommage de jouter à Rome sans prendre la peine d'en visiter certaines ruines ou lieux saints. Pouvez-vous concevoir que nous allons combattre dans les vestiges d'un monument construit par les Romains voici près de quinze siècles ? » L'évocation des antiquités de la Ville Éternelle provoquait toujours un émoi particulier chez le jeune homme. « J'ai vécu quelques mois à Rome par le passé, séjour dont je garde un souvenir insensé, pour ne pas dire indescriptible. Où que vous portiez votre regard, vous ne verrez que des fragments d'histoire, des monuments d'art à profusion. Autant d'ouvrages bâtis par des géants qui vous rendent complètement insignifiants. Et si vous n'êtes pas éblouis par la beauté d'antan, peut-être serez-vous plus sensible à la sainteté de cette cité. »

Le jeune homme brossait un tableau quasi-idéal de la Ville Éternelle, préférant omettre la triste réalité de certains quartiers, la misère des mendiants détonnant avec la profusion de richesses de la noblesse ou la folie religieuse de personnes trop zélées. D'un mouvement presque imperceptible du chef, il chassa ses pensées et posa son regard de jais dans celui d'Anne, à qui il adressa de nouveau un fin sourire.
    « Je n'en connais pas tous les recoins mais je pourrais éventuellement vous servir de guide, si vous le souhaitez. »

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Son Altesse Royale l'Infant Arthur Fébus de Castelnau-Montmiral
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Alix_du_vivier



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MessagePosté le: Mar Juil 20, 2021 7:06 am    Sujet du message: Répondre en citant

Tente de la famille De Nivellus


Un large sourire s'afficha sur son visage, malgré la cascade de questions que Runy s'empressait de lui poser.
Pas folle la guêpe qui reluqua de suite la bonne bouteille à la couleur légèrement ambrée.


Bonjour cousine.

Une fois débarrassée du panier, Alix pu enfin se mettre à l'aise. Un regard à Tym, le séant sur un banc qui trainait dans un coin, elle lui répondit, tout en ôtant ses gants

Oui la route fût longue, mais agréable, et en bonne compagnie, puisque je suis venue avec mon époux qui s'occupe de nos montures. Je vais aller le chercher tout à l'heure, avec toutes ces tentes il risque de s'égarer.
Mais toi raconte tu es prête ?


A peine eut elle fini qu'un homme arriva, regard qui se pose sur lui et attente d'une réponse de l'héroïne de la famille.
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