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Arnarion
Cardinal

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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:01 pm Sujet du message:

Citation:

Dura Lex Sed Lex*

Dominus Vobiscum*

Par la présente, tenons à réaffirmer et à maintenir notre mise sous interdit à l'encontre de messire Johnson de Réaumont Kado'ch. Celui-ci s'étant dressé contre l’Église après une interdiction formelle émanant de son représentant en terres Lorraine et refusant de se rétracter et de faire pénitence. Nous lui signifions encore une fois que s'il le demande et accepte son erreur, nous lèverons immédiatement sa mise sous interdit et lui permettrons par conséquent de relier avec la communauté des fidèles.

Néanmoins, signifions aux fidèles de Lorraine que messire Johnson de Réaumont Kado'ch, en actions et en paroles, s'étant plusieurs fois rebellé contre sa hiérarchie et ses décisions item s'étant constitué mauvais exemple, s'est montré indigne de demeurer un pasteur du troupeau de Dieu. Ainsi, actons son éviction de sa charge de diacre de Vaudémont.

Item et dans la continuité, ledit messire n'étant plus clerc de Lorraine, et conformément aux caractéristiques du Chapelain issu du Statut de la Préfecture aux Chapelles Internationales dont nous faisons copie ici, Signifions par la même, l'éviction dudit Johnson de sa charge de Chapelain de Ligny. Nous encourageons dès à présent les seigneurs de Ligny à rechercher un nouveau Chapelain. Nous nous ferons un plaisir de les aider dans cette tâche.

Citation:

En cas d'ordres religieux et militaires et familles nobiliaires on peut demander comme Chapelain, un clerc intérieur à l' ordre ou à la famille, même si celui-ci n'est pas résident dans le Diocèse dont la Chapelle fait partie, avec accord nihil obstat de l'Évêque ou d'un supérieur. Le clerc dépend alors de l'Évêque, ou supérieur, du Diocèse sous lequel la Chapelle tombe.

Pax Vobis* !

De notre main rédigé, signé et scellé au Palais épiscopal de Toul, le Septième jour du septième mois de l’An de Dieu Mil quatre et cent soixante et trois.

Monseigneur Arnarion de Valyria-Borgia
Évêque de Toul
Vice-Primat du Saint-Empire
Recteur de la Congrégation de Sainct-Thomas

*La Loi est dure, mais elle est la Loi/Dieu soit avec vous/La paix soit sur vous

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:02 pm Sujet du message:

Citation:

Nous sommes étonnés de voir que certaines personnes de bonne volonté se disant réformées de la Sainte Église aient élu domicile en l’église nancéienne ces derniers jours. Un église étant un bâtiment religieux ouvert à tous, il n'est en aucun cas interdit à quiconque d'y pénétrer au respect du dogme romain et de la Loi fondamentale de Lorraine.

Un rappel de la sorte ne venant jamais seul, nous tenons à souligner que dans une église aristotélicienne ne se célèbre que le vrai culte aristotélicien et que toute autre forme de culte ou assemblée d'une autre religion est assimilé à de la profanation.

La Lorraine possédant, nous en sommes certains, de nombreuses salles ouvertes au public, nous sommes d'autant plus marri que ces derniers aient élu domicile en des lieux romains.
Il est bien dommage que le seul moyen qu'ait la Réforme pour se donner une raison d'existence en Lorraine soit de se positionner continuellement en opposition à Rome afin d'apporter de la substance à leur légitimité.
A sans cesse user de la provocation pour la provocation, les réformés ne démontrent là qu'à quel point ils ne peuvent dépasser leur dépendance existentielle à la Sainte Église. Il est surprenant que, à la lumière de leur propre texte dont l'article 10 de la foi en la restauration de l'Arsitotélité 'Les dîmes et autres privilèges du clergé sont illégitimes...le lieu « église », ne pouvant pas être supprimé, il se perpétue de fait, mais n’a pas de valeur". Nous leur posons la questions suivante: pourquoi, alors que leurs préceptes mêmes considèrent que les églises sont lieux illégitimes, éprouves-t-il le besoin de venir y pratiquer un culte, reniant par là même, un des préceptes qui forme les piliers de leur communauté?

Aussi, nous serions extrêmement reconnaissants que ces derniers en viennent à s'assembler en leurs endroits dédiés et qu'ils laissent les lieux de la vraie Foy de laquelle ils ont décidé sciemment de se séparer, en paix. Evidemment, nous tenons à leur souligner que les portes ne leur sont jamais closes et qu'ils peuvent revenir s'assembler dans toutes les églises de Lorraines et même notre cathédrale de Toul si ça leur chante, dès qu'ils auront abjuré leurs hérésies et seront devenus ou redevenus Aristotéliciens romains.

Faict au Palais épiscopal de Toul, le dix-neuvième jour du neuvième mois de l'an de Dieu mil quatre cent soixante-trois.

*le Seigneur soir avec vous/**La paix soit sur vous

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:02 pm Sujet du message:

Citation:

Car nul n'est au dessus de la Parole du Très Haut

À la Curia de la Sainte Eglise Romaine et Aristotélicienne.
Au peuple de la Lorraine
À ceux qui peuvent lire ou entendre, .

Salutations,

Considérant l'infinie obligation que nous avons envers Notre Créateur et Notre Peuple, qui nous ont confié la lourde tâche de diriger le Saint Empire et après consultation avec les membres du Conseil impérial, Nous ne pouvons que nous alerter de l'action menée ces derniers jours au sein de la province de Lorraine où le gouvernement actuel s'en prend à des prélats romains.

En effet, nous avons appris avec consternation et indignation que l'évêque de Toul avait été mis en procès par le pouvoir temporel pour une décision ayant pleinement attrait à ses charges spirituelles. En effet, Monseigneur Arnarion de Valyria-Borgia s'est vu imposer de prendre la douloureuse décision de sanctionner un de ses subalternes pour avoir contrevenu directement à une directive s'opposant à un appel au meurtre envers l'archidiacre de Toul par des réformés notoires.

Le gouvernement lorrain a alors décidé de mettre en procès pour haute trahison l'évêque sous couvert de la Loi fondamentale qui régit les décisions prises à l'encontre des libertés temporelles dans la province. Cependant, alors que la Lorraine se targue de se faire le chantre de la séparation des pouvoirs temporels et spirituels, cette dernière n'a pas hésité à mêler les genres pour s'en prendre à un respectable représentant de notre Sainte Eglise Romaine et Aristotélicienne.

Nous ne pouvons que condamner de la manière la plus rigoureuse et assurer de notre soutien plein et entier l'Eglise Romaine dans cette regrettable affaire qui montre à tous en ce jour la face hérétique d'une province adepte de la trahison et de la manipulation par la propagande. Rien ne peut jamais justifier d'user de telles artifices politiques pour brider la Vraie Foi au sein des provinces des Royaumes. Il était malheureusement prévisible qu'après avoir trahi son suzerain, la Lorraine s'en prenne désormais à son guide spirituel que se doit d'être l'Eglise de Rome. Nous avons craint cette dérive depuis des mois et en avons fait part maintes et maintes fois. Nous sommes attristés de voir que dans cette cascade d'évènements qui se perpétuent en Lorraine, notre vision s'est avérée légitime.

Nous espérons que Rome verra enfin dans notre main tendue dans cette affaire, toute la bonne volonté et l'esprit de concorde du Saint Empire Romain, toujours droit et fidèle au côté de Son Eglise contre toutes les formes d'hérésie, de tyrannie et de malversations qui tiraillent Ses Fidèles.

Ssigné et scellé au Palais Impérial de Strasbourg le 21 septembre MCDLXIII.

Archchancellor of the SRING

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:03 pm Sujet du message:

Citation:

Office de la Bishop Broadcasting Cathedral

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:04 pm Sujet du message:

Citation:

Office de la Bishop Broadcasting Cathedral

Ici Toul. Les Lorrains parlent aux Lorrains !

Salut !

Tous les jours, je vous l'ai promis, je célèbre la Sainte Messe pour tous. Tous les jours, j'implore le Seigneur Très Haut et Tout Puissant afin qu'il intercède pour la Lorraine et pour vous. Tous les jours, je vous l'ai promis, je m'évertue à combattre l'hérésie et la tyrannie.

Nous avons été mis au courant d'un procès pour trahison intenté à une citoyenne allemande ayant acheté massivement du pain sur le marché toulois au supposé bénéfice des armées impériales. Nous aimerions que l'on nous explique comment l'on peut peut assimiler l'achat de 55 miches de pains qui ne permettraient pas même de nourrir une seule armée en une seule journée au ravitaillement d'armées arrivées 7 jours plus tard. De même, il faudrait nous expliquer comment peut-on juger de traître à une organisation quelqu'un qui n'en est pas membre. La situation montre ici à quel point ce procès, comme le nôtre, est instrumentalisé pour servir la propagande malveillante des réformés et aristotéliciens corrompus au pouvoir, faisant soudain effet de manche d'un simple délit remontant déjà à une semaine et qui sort soudain des placards poussiéreux du Palais de justice.

Nous sommes cependant triste d'apprendre qu'une de ces armées impériales qui campait dans l'obscurité des remparts touloises a heurté une milicienne. Celle-ci, croyant que ladite armée avait des velléités belliqueuses, s'est jeté dans une bataille qui n'avait pas de raisons d'être. La preuve en est que ce jour même, l'armée s'est retirée pacifiquement de la ville sous nos yeux, sans s'en prendre de quelque manière que ce soit, à notre mairie.Toutes nos prières vont ce jour à la victime et à son prompt rétablissement.

En effet, les armées de nos frères aristotéliciens sont en Lorraine pour venir bouter hors de notre belle province les hérétiques français qui ont pris le pouvoir et qui, tels Belial, prince-démon de l'orgueil, ont soufflé insidieusement à l'oreille d'une partie de notre noblesse avide de pouvoir et de la préservation de ses titres. Ces derniers, succombant ainsi aux vils susurrements de la Créature sans nom qui a pris son corps en la Réforme, se sont ainsi détournés de leur nature et de leur mission première confiée par le Très-Haut et révélée par Aristote : « Leur courage n’a pas d’égal, et ils donneraient leur vie, sans hésitation, pour la conservation de la communauté, ou pour défendre leur foy qu’ils placent en très haute estime». (Aristote, Dialogue XI, le Songe).

La présence actuelle des armées aristotéliciennes et impériales représente toutefois un répit salutaire pour les inquiétudes rencontrées envers des armées réformées souhaitant s'en prendre à l’Église en Lorraine. Remercions d'ailleurs les armées du Saint Empire Romain Germanique qui apporte son soutien à la Sainte Église aristotélicienne romaine, dont son Évêque, berger parmi les loups est mis à mal dans l'accomplissement de son sacerdoce divin confié par le Très-Haut, révélé par Aristote et confirmé par Christos "Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent." (Aristote, Dialogue XI, le Songe). Or, comment la Cité, composée à la fois en toute concorde du pouvoir temporel et du pouvoir spirituel, peut-elle s'épanouir pleinement quand une menace place sur elle et ses institutions ?

Que Dieu Tout-Puissant nous guide en ces heures fatidiques, car la Lorraine est sienne avant tout contre ces réformés français venus il y a de cela quelques mois à la demande de l'hérésiarque reine Angélyque de France pour annexer en sous-main notre territoire à ce voisin friand d'expansionnisme.

Tenez bon, la libération est proche ! Ne faiblissez pas si proche du but !

De notre main rédigé, signé et scellé au Palais épiscopal de Toul, le Troisième jour du dixième mois de l’An de Dieu Mil quatre et cent soixante et trois.

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:05 pm Sujet du message:

Citation:

Office de la Bishop Broadcasting Cathedral

Salut !

Tous les jours, je vous l'ai promis, je célèbre la Sainte Messe pour tous. Tous les jours, j'implore le Seigneur Très Haut et Tout Puissant afin qu'il intercède pour la Lorraine et pour vous. Tous les jours, je vous l'ai promis, je m'évertue à combattre l'hérésie et la tyrannie.

C'est avec surprise et chagrin que nous prenons connaissance des propos portés à notre encontre par l'actuel duc de Lorraine. Ce dernier prétend avec véhémence que nous appelons au massacre et à la violence.

Or, s'il est vrai que nous avons appelé au rassemblement, il n'a jamais été question d'un appel à la violence, mais une exhortation à la prière et à assumer une opposition politique et idéologique aux ennemis de Dieu en Lorraine. Nous tenons à lui rappeler qu'avant même cette déliquescence nous avons toujours œuvré pour la concorde et le dialogue, avec la France, avec l'Empire et avec Rome. Nous tenons à lui remémorer que ces tentatives ont toutes échouées par le manque d'ouverture de son parti et par les manigances de sa religion prétendument réformée.

Par la suite, s'il avait été entouré de bons aristotéliciens et s'il en était un lui-même, alors il aurait su qu'au contraire d'encourager aux armes et au sang, à louer la mort et le chagrin, nous avons fortement prié pour lui et les siens, en demandant sans cesse à nos ouailles de retenir leur coups, car même en étant de turbulents enfants, ils restent les créatures du Très-Haut. Qu'il sache que malgré ses insultes envers nous, nous ne cesserons de prier et d'espérer son retour sur le Droit Chemin.

S'il se sent concerné par le fait que des armées réformées veulent s'en prendre à notre diocèse lorrain de Toul, nous ne pouvons que l'inviter à remettre en question sa vision et son implication dans l'affaire en cours. Jamais nous n'avons pu évoquer la moindre participation des armées lorraines dans les dangers encourus par notre Évêché, car nous sommes sûr que la Lorraine ne saurait se retourner contre Dieu. Nous constatons au contraire que ledit duc de Lorraine aime tellement Dieu, l’Église aristotélicienne et ses structures canoniques, qu'il se fait le garant de sa sécurité en s'en faisant lui-même le propriétaire. Nous ne pouvons que le remercier de ce si noble geste.

Toutefois, nous désirons lui poser directement une question à laquelle, nous espérons une réponse honnête. Un Réformé qui exhorte la Sainte Église de Dieu à sanctionner un descendant des Apôtres, qui assure son travail de protection de la Seule et Unique Foi aristotélicienne au sein de son Diocèse espère-t-il vraiment une improbable réponse positive de Rome ou n'a-t-il pas juste pour but que de se trouve excuse pour enfoncer plus encore profondément sa province dans l'hérésie en se cherchant des moyens de briser le lien sacré et officiel entre cette dernière et la Très sainte Institution de Dieu sur Terre ?

Nous l'encourageons cependant à surveiller ses paroles lorsqu'il parle de « chantres de la décadence impériale ». Nous sommes sûrs qu'il na pas voulu médire sciemment sur le bon peuple de Lorraine qui prenait soin de nos terres bien avant sa venue et de celle des ressortissants français hérétiques ou aristotéliciens corrompus. Nous demandons donc aux Lorrains de lui pardonner ce dérapage.

Car il est toujours nécessaire lorsqu'on prétend être pédagogue et instituteur, de répéter sans cesse les mêmes choses, nous soulignons derechef que les armées impériales n'ont pas de velléités contre leurs frères lorrains. Contrairement aux assertions du duc Amédée, il important de redire ici que l'Empire n'est pas l'ennemi de la Lorraine, mais bien son suzerain légitime devant Dieu et devant les hommes, dépossédé de ses terres sur lesquelles il a reçut la mission sacrée de veiller.
Il est exténuant de constater la propagande malhonnête et grossière dont use et abuse une petite frange de la population dont nombre ne sont Lorrains que depuis quelques mois, pour prétendre le réel désir profond de la population de se perdre loin de ses frères aristotéliciens et impériaux.

Nous relevons enfin que ce dernier se permet de parler d'identité de la Lorraine. Il nous permettra en toute bonne foi qui l'anime et qui le constitue, de lui demander de quelle identité parle-t-il alors que la sienne, ces dernières années, fut des plus changeante. Parle-t-il de son identité savoyarde de naissance, helvète, provençale, française ou finalement, depuis peu, Lorraine ? Tant de facettes laissent à s'interroger sur la réelle personnalité de notre duc actuel qu'il magnifie tant alors qu'il érode peu à peu la réelle identité lorraine pour la façonner à l'image qu'il a tant cherché à imposer lors de ses pérégrinations identitaires et malheureuses à travers les provinces des différents royaumes.

Nous prions Dieu de le bénir dans sa bienveillance et Sa miséricorde, car il reste néanmoins Son polisson dissipé que nous nous efforçons d'éduquer.

Que Dieu Tout-Puissant nous guide en ces heures fatidiques, car la Lorraine est sienne avant tout contre ces réformés français venus il y a de cela quelques mois à la demande de l'hérésiarque reine Angélyque de France pour annexer notre territoire à ce voisin friand d'expansionnisme.

De notre main rédigé, signé et scellé au Palais épiscopal de Toul, le Quatrième jour du dixième mois de l’An de Dieu Mil quatre et cent soixante et trois.

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:05 pm Sujet du message:

Citation:

Office de la Bishop Broadcasting Cathedral

Cest une fleur de Lorraine,
De la vieille Lorraine qui sourit,
Car c'est la fleur du retour,
Du retour des beaux jours !

Peuple de Lorraine ! Aristotéliciens !

Salut !

Vous avez pu entendre en ce milieu de journée, le chant du cuivre qui dépassait par-delà les plaines et les vallées de la Lorraine, se répercutant à travers les villes et villages, et tous, vous avez pu l'entendre, de Nancy à Vaudémont, de Toul à Épinal, au détour des lacs et des forêts de notre belle province. N'ayez pas peur ! Car ce sont les cloches des églises de Lorraine qui sonnent l'heure de la libération !

Pour nous, bon peuple de Dieu, cette libération est avant tout Aristotélicienne !

La menace hérétique est écartée pour le moment, en fuite, face aux forces impériales. Cette menace qui se paraissait du masque de la légitimité, de la liberté et de l'ouverture et qui par détour cherchait à installer insidieusement la Réforme au sein d'une Province aristotélicienne, cette menace qui s'évertuât à opprimer l’Église de Lorraine en lui retirant honteusement ses droits, la coupant court dans l'exercice de son devoir. Elle qui s'évertuât à la déraciner de sa bonne terre de Lorraine, exposant les âmes des croyants à la fange du Sans-nom. C'est elle, enfin, qui fomenta la venue en notre province de nombre de ses enfants venus d'ailleurs pour assouvir sa mainmise, qui interpellèrent ses prêtres et ses diacres et qui profana l'église nancéienne, empêchant la Sainte Messe d'être donnée à toute une population.

Souvenez-vous, Aristotéliciens de Lorraine, qu'il faut tendre la main à ceux de nos frères qui, croyant bien agir, se sont laissés étourdir par la fausse parole d'un camp alors au pouvoir et se clamant légitime. Soyez miséricordieux comme Christos sur la Croix ! Que nulle haine, que nulle vengeance n'anime votre cœur.

Les armées impériales ne sont pas ennemies, elles ne cherchent qu'à restituer la Lorraine qui a été honteusement arrachée à son juste propriétaire. Une fois la situation calmée et le territoire pacifié, elles se retireront, laissant alors les Lorrains choisir de leur destin cette fois, d'une manière noble et légitime.

Ces armées impériales, ce sont vos frères aristotéliciens qui sont entrés en guerre pour la Lorraine, qui se sont battus et qui ont versé leur sang pour vous délivrer. Souvenez-vous que ceux qui ont déclenché cette guerre, cette effusion de sang, ceux qui vous trompèrent et volèrent la Lorraine à l'Empire décidant pour vous un destin qui les arrangeaient eux et qui se sont dissimulés sous le voile de l'innocence, ce sont ceux qui sont actuellement en déroute !
Grâce à eux, la Lorraine peut de nouveau recommencer à respirer, car aujourd'hui, en cette heure, en ce moment où je rédige ces lignes, le règne de la tyrannie a prit fin.

Mais le combat n'est pas finit. Notre lutte ne s'achèvera que lorsque l'ennemi qui prétend diriger le destin de tout un peuple et s'arroge le droit de parler en son nom et au nom de Dieu sera définitivement anéanti. Lorrains ! Il est temps pour vous de prendre conscience de votre force ! Rejetez l'envahisseur venu d'ailleurs pour vous asservir. Reprenez en main votre province. Poursuivez le combat ! Pour Dieu ! Pour la Lorraine !

Ah, il voulait couper la tête du dragon ! Et bien, c'est la tête du lion qui est tombée !

[center]VIVE LA LORRAINE ARISTOTELICIENNE ![/center]

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:07 pm Sujet du message:

Citation:

A Messire de Réaumont Kadoc'h,
d'Arnarion de Valyria, Evêque de Toul, Vice-primat du CESE, Recteur de la Congrégation de Sainct-Thomas

J'ai bien pris acte de vos doléance qui sonnent comme une attaque, malgré ce que vous pouvez dire ou faire. J'en suis fort peiné et déçu de votre part. Si cela n'en est pas une, pourquoi placarder vos propos en place publique, alors que mon bureau a toujours été ouvert et moi-même toujours à l'écoute de mes ouailles ?

Le fait est, messire, que depuis que vous êtes parti pour vos pérégrinations orientales et abandonné toutes vos charges pastorales à votre discrétion pour votre grand voyage, bien des choses ont changé en Lorraine. Il est normal qu'il faille vous éclairer à nouveau.

Laissez-moi vous dire que votre successeur Undersea a laissé le diocèse dans un état lamentable à la fois spirituellement et pastoralement. Depuis ma nomination, voilà seulement quatre mois,je me suis évertué à remplir de nouveau toutes les cures à l'aide des bonnes volontés présentes dans la Province prêtes à s'investir dans le seul et véritable chemin de Dieu. Je me suis ainsi donné comme point d'honneur à nommer pour chaque paroisse au moins un diacre local, issu de celle-ci et à même de pouvoir répondre à leur besoins.
Sachez, messire de Réaumont, que le reproche que vous me faîtes à propos d'Epinal est maladroit, puisque j'ai nommé un curé, Karel, qui n'a certes pas réapparu depuis que je l'ai nommé, malgré de nombreuses tentatives de rappel à l'ordre. Mais même dans ce cas, vous devriez savoir, c'est le diacre d'Epinal, Caton d'Acoma qui aurait dû remplir cette charge. L'Epinal d'avant votre apparition soudaine était ainsi pourvue. Depuis ma venue, toutes les paroisses, tous les sacrements et toutes les messes sont données. De plus, je m'attache à célébrer la messe tous les jours sans exception en la cathédrale de Lorraine, priant pour chacuns sans distinction de patrie, d'appartenance, d’obédience et même, de religion. Votre attaque désinformée contre moi est aussi vide que vaine.

Si le ouailles d'Epinal se sentent délaissées, nous sommes tout ouvert à former personnellement un des fidèles de la paroisse Notre-Dame des Cierges afin qu'il officie en tant que Diacre. Ce serait bien au contraire, un réel plaisir de voir de nouvelles vocation au sein de notre Diocèse.

Les affaires temporelles et les constantes attaques contre l’Évêché et l’Église de la part des réformés et d'autres aristotéliciens que vous avez bien connu m'empêchent de mener à bien les affaires de mon diocèse, et je ne cesse de condamner cela dans la plus grande fermeté, quitte à me faire haïr pour une supposée « prise de partie » qui est aussi ridicule que fausse.
Car messire de Réaumont, ce sont vos anciennes ouailles qui ont mis un Évêque en procès pour haute trahison pour une action spirituelle et qui politisent voilà assez longtemps mon discours. Allez-vous donc les soutenir ? Force est de constater que ce sont pour la plupart vos anciennes ouailles qui contestent l'autorité légitime du diocèse et l'action de son Évêque qui ne fait que le devoir que lui confié la Très Sainte Église Apostolique et Romaine qui l'a elle-même reçue de Dieu par Christos.

J'ai bien lu votre citation. S'il est si contesté, pourquoi me citer le passage d'un texte dont la légitimité n'est pas pleine et entière ? Je vous prierai de me citer des textes pertinents et reconnus afin de donner du volume à vos propos creux et vides qui, je le sais, émanent moins de vous que ceux qui ont fait appel à vos services. Nonobstant la légitimité de ce texte, j'avoue ne pas trop voir la comparaison entre les philosophes-rois qui sont cités et ma pauvre personne. Si je suis – et je le reconnais volontiers – et aristocrate et prêtre, je ne me place ô grand jamais à l'écart de mes citoyens. Bien au contraire, chaque jour que Dieu fait, j'officie en notre cathédrale en toute humilité pour partager la parole du Très-Haut avec mes ouailles. Je n'hésite jamais à me rendre en place publique pour « philosopher » ou « méditer » sur le sens des textes sacrés avec ceux qui le souhaitent.

Actuellement en Lorraine, l'unité, le respect et l'amour d'autrui sont en berne, je le déplore et le condamne comme j'ai dès le départ condamné en cela l'appel au meurtre envers un des représentants de l’Église. C'est bien l'inimitié et l'appel à la violence de certains Lorrains non sanctionnés et couverts par le pouvoir temporel qui a initié toutes ces tensions avec l’Église. Mon but est et a toujours été sur ce dossier de protéger les hommes et leur sécurité non pas par la force et agressivité de sanctions temporelles mais simplement par une réprimande spirituelle temporaire le temps que les fautifs reconnaissent leur égarement et en fassent pénitence. Dans toute cette affaire, je n'ai agis qu'en bon père de famille, préférant envoyer au coin un enfant récalcitrant plutôt que d'appliquer une sanction corporelle à ce dernier. Perçevant votre vision des rapports humains, je suis donc assez surpris du parti que vous prenez dans toute cette affaire.

Enfin, même si ce texte est controversé, je suis touché de constater qu'il appui ma vision de l’Église. La preuve en est que chaque jour j'ouvre mes offices à chacun et que « ces nombreuses assemblées » ont toujours été là « pour inciter le peuple à examiner les choses divines, ce qu'elles nous enseignent, les discuter et contester » et qu'effectivement, je met un point d'honneur à me rendre en place publique « à la rencontre des fidèles porter partout la parole divine. »

Ce serait avec plaisir que je vous accueillerais dans mon bureau pour discuter plus avant à cœur ouvert.

Pax Vobis.

Rédigé et signé en la cathédrale de Toul, avant la célébration de l'Office divin.

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:07 pm Sujet du message:

Citation:

Afin que cette trop longue guerre cesse
Afin de trouver une issue viable pour tous
Parce que tel est le devoir du Clergé

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:08 pm Sujet du message:

Citation:

Mgr. Arnarion

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:09 pm Sujet du message:

Citation:

De la concorde Aristotélicienne

Salut !

Tenons en ce jour à saluer les démarches entreprises par les deux camps en vue de l'élaboration d'une trêve. Celle-ci souligne la volonté générale de sortir d'une guerre qui n'a que trop duré et le souhait d’œuvrer de concert afin de déboucher sur la paix. Qu'il nous soit permis d'espérer à présent de voir le verbe s'opposer au fer et la raison à la bestialité.

Malgré les insultes et les mauvais traitements dont elle a été victime en Lorraine par une partie de la population, l’Église à l'image de Dieu dont elle est l'institution en ce monde, ne saurait se montrer autrement que dans le Pardon et l'accueil. En conséquence, nous, Évêque de ce diocèse, tenons à pardonner à tous ceux qui par leurs actes ou par leurs paroles ont pu intentionnellement ou non s'en prendre à notre Très Sainte Mère l’Église. Qu'il sache par la présente que nous leur tendons une main de concorde et d'ouverture pour les accueillir à nouveau au sein de Sa maison. Nous esperons qu'ils sauront la saisir et avancer main dans la main pour le bien des Lorrains.

Puisse le peuple de Lorraine grandir dans la Foi et l'Espérance

De notre main rédigé, signé et scellé au Palais épiscopal de Toul, le Dix-septième jour du dixième mois de l’An de Dieu Mil quatre et cent soixante et trois.

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:10 pm Sujet du message:

Citation:

De l'entente cordiale en Lorraine

Salut !

Constations et félicitons hier encore l'ouverture d'un dialogue entre les deux partis belligérants qui débouchera, ainsi que nous le prions et l’espérons fortement, sur une paix solide et durable pour le bien des peuples.

La Lorraine d'avant guerre était déjà de longue date en proie à la querelle intestine sur fond de conflit politique et religieux, et le lorrain, tiraillé entre les opinions divergents, quittait à contre cœur sa terre natale ou s'affrontait lui-même, et chacun pensait et pense encore parler au nom de tout un peuple.

La situation, loin d'être réglée par la promesse de la fin de la guerre entre l'Empire et la France, ne saurait déboucher sur quelque chose de bien sans le dialogue inter-parti. Sans ce dialogue nécessaire, ces événements se dérouleront encore et encore en s'empirant toujours plus.

Aussi, mû par l'amour de la paix et de la concorde au sein du peuple lorrain, nous exhortons chaque parti à tendre la main à l'autre afin de rétablir le dialogue qui seul participera à redresser la situation lorraine. Pour se faire, appelons chaque lorrain, de souche ou non, noble et moins noble, légitime ou illégitime, aristotélicien ou réformé, à venir s'exprimer dans un lieu public sans être inquiété du moindre harcèlement physique ou verbal dû à ses opinions.

Ainsi, invitons ceux qui le souhaitent à se rendre en la nef de la cathédrale de Saint-Étienne de Toul (Rp:Cathédrales en Lorraine) à partir du 20 octobre, fête du bienheureux Sénèque, afin qu'ils se réunissent en une assemblée générale sous le regard de Dieu où ils pourront en toute sérénité porter leur parole.

Puisse Dieu mener la Lorraine sur la voie de la Concorde

De notre main rédigé, signé et scellé au Palais épiscopal de Toul, le Dix-huitième jour du dixième mois de l’An de Dieu Mil quatre et cent soixante et trois.

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:10 pm Sujet du message:

Citation:

De l'usurpation de Besançon

La paix soit sur vous

Nous tenons à vous informer avec tristesse et indignation de la prise et l'usurpation de la cathèdre de Besançon par les armées de Namaycush Salmo-Salar, général de France, maître de la Memento Mori.

Ces gens ne sont pas sans savoir qu'user du fer contre Dieu et Ses représentants sur terre est un acte infâme qui ne fait que confirmer la route qu'ils ont prise. Qu'elle soit située en terres impériales ou en terres françaises, cette cathèdre relève de la Sainte Église Universelle qui la gère au Nom de Dieu. Ces gens ne sont pas non plus sans savoir que déloger une représentant de Dieu, légitime et consacré, de son office nommé par Dieu lui-même au travers de Sa Sainte Église pour nommer un usurpateur non consacré et non choisi par Dieu, revient à dicter ses volontés au Tout-Puissant Lui-même.
Qu'un général se permette de salir de ses bottes et rayer le sol de son sabre Sa maison en plus d'en chasser son gardien est un acte ignoble et abject, que nous ne saurons que condamner de la manière la plus ferme.

L'accumulation d'insultes, d'outrages et de blasphèmes ces temps-ci envers l’Église qui, dans sa bonté, n'a pas souhaité agir la première dans l'optique d'offrir une seconde chance à ses fils récalcitrants, a laissé penser à certains qu'ils pouvaient agir en toute impunité contre elle. Ils ont tort. Le coup de crosse est long à venir, mais il frappera, qu'ils en soient assurés.

Ce qu'il s'est passé en Franche-Comté, n'est que l'aboutissement de ce contre quoi nous luttons en Lorraine. Et il est bien triste que nous soyons accusés à tort de crier dans le désert contre un ennemi imaginaire. Qu'ils sachent désormais que nos craintes sont fondées et bien réelles.

Il y a des chances qu'après celle de Besançon, la cathèdre de Toul soit de nouveau menacée, par ce général lui-même ou par d'autres, enhardis par ce coup d'éclat. Que les ennemis, déclarés de l’Église, tapis dans l'ombre et évoluant au-delà de la Franche-Comté sachent que nous sommes vigilants, et que même si nous venons à être délogé, nous ne cesserons de les combattre.

Même si nous condamnons l'action d'un général français, nous savons que ce blasphème n'a pas pour source un ordre émanant de la France en elle-même qui ne saurait porter atteinte à l'intégrité de sa Sainte Mère l’Église. Ainsi, nous ne saurons porter le blâme sur elle.

Que Dieu pardonne à ceux qui se seront rendus coupables d'un tel crime.

De notre main rédigé, signé et scellé au Palais épiscopal de Toul, le Dix-neuvième jour du dixième mois de l’An de Dieu Mil quatre et cent soixante et trois.

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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:11 pm Sujet du message:

Citation:

Monseigneur Arnarion de Valyria-Borgia
Évêque de Toul
Vice-primat francophone du Concile épiscopal impérial
Recteur de la Congrégation de Sainct-Thomas

"Caritas in Veritate"*

Levée d'interdit

Nous, Monseigneur Arnarion de Valyria-Borgia, en notre qualité d'Evêque du Diocèse de Toul ;

A qui de droit
A quiconque lira ou se fera lire,

Dominus Vobiscum !

Au vu de l'acte de repentance sincère dont fait preuve le dénommé Johnson de Réaumont Kadoc'h & actant la mortification de ses erreurs qui ont entraîné sa mise sous interdit comme sanction spirituelle par nous attribuée dans l'exercice de notre devoir pastoral, considérons ledit Johnson, comme pénitent.

Ainsi acté et considérant la sanction désormais obsolète, décidons de lever sa mise sous interdit.
En conséquence, ledit Johnson de Réaumont Kadoc'h est réintégré dans la communauté des fidèles et se voit remettre dès lors le droit de recevoir les sacrements distribués par la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine.

Ce dernier devra néanmoins venir se confesser à nous.

Rappelons qu'une mise sous interdit est une sanction spirituelle qui n'a de conséquence que dans la sphère spirituelle et dont le but est de corriger une déviance explicite envers la Sainte doctrine ou le Droit canon qui en découle. Une mise sous interdit écarte celui qui en est frappé de la Communauté aristotélicienne et le prive de sacrements le temps que ce dernier comprenne ses erreurs et fasse preuve de repentance.

Que la grâce de Dieu guide ses pas.

* l'amour dans la vérité
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Arnarion
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Posté le: Sam Fév 19, 2022 2:12 pm Sujet du message:

Citation:

Annonces de la Province de Besançon

Lettre ouverte au Fatum

Moi, Monseigneur Arnarion de Valyria-Borgia, Archevêque Métropolitain de Besançon et Vice-Primat en charge de la zone francophone d'Empire,

A toi, membre du Fatum, vers qui je me tournes, humblement je m'adresse à toi

Sache, enfant de Dieu que ceux qui brandissent le fer, prônent la violence et portent atteinte à la Paix aristotélicienne, ne font que suivre les commandements du Sans-Nom lorsqu'il prône le règne de la violence et la soumission du plus faible par le plus fort. Ils se détournent dès lors volontairement de l'Amour de Dieu, qui donne son vrai sens à la Vie pour suivre le chemin séduisant, facile mais combien plus obscur et sans issue de la Créature.

Sache alors que si tu poursuis en ce sens sans déposer les armes et faire pénitence en réparation du mal que tu as déjà répandu, ton existence n'aura plus aucun sens aux yeux du Tout-Puissant. Au terme de ta vie sans Dieu, tu rejoindra les princes-démons dans l'Enfer lunaire.
Je te vois venir me brandir le mot de la liberté, de la jouissance d'une vie trépidante sans rien devoir à personne, mais combien le cour de ta vie paraîtra triste et vide une fois privée définitivement de la lumière divine ! Le fruit de tes méfaits et le souvenir de ton loisir ne sera que cendre et tes cris déchirants de désespoir ne suffiront pas à calmer la douleur de la damnation éternelle qui t'attend, au sein du véritable mal dont tes actions ici-bas n'en sont que le reflet.

Rappelle-toi, membre du Fatum, ce que l'esclave disait alors à César Impérator sous l'Arc de Triomphe : " Regarde autour de toi, et souviens-toi que tu n'es qu'un homme !" Le temps passe et l'heure tourne. Bientôt, ce sera ton tour, et que diras-tu alors à ton Créateur qui t'as observé toute ta vie durant ?
Je te propose néanmoins une échappatoire. Mon enfant, cesse tes actions malignes, rompt ton commerce avec le Sans-nom sur le champ. Supplie la Miséricorde de Dieu tels un enfant prodigue et fait œuvre de pénitence. La Sainte Église t'ouvre les bras, telle une Mère aimante. Pour toi il n'est pas trop tard. Le Pardon de toutes tes fautes te sera accordé, la Rédemption te sera donnée et le Paradis solaire te sera promis !

Que Dieu te bénisse et illumine ton chemin. Puisse-t-il lever les ténèbres qui te voilent la laideur et la malice du péché.

Je prierai pour toi.

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