L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Rubeus.hagrid]

Rubeus, qui venait d'arriver après un long... long voyage, chercha du regard quelqu'un qui puisse l'aiguiller dans ce dédale de couloir.

Il vit "L'Eglise du Royaume de France" et se dit que c'était sûrement là.

Il attendit patiemment son tour...
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Rubeus Hagrid

[Lorenzo_cosini]

Lorenzo qui vit un visiteur s'approcha de lui et dit.

« Bien le bonjour, mon ami, comment puisse vous aider ? »
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Solo hay un Dios y Aristoteles y Christos son sus profetas

Cuando te anuncian la muerte del rey de Francia

[Rubeus.hagrid]

Rubeus sursautta.

Bonjour ! Je suis Rubeus et je cherche à déposer un courrier angevin pour Sa Sainteté ou quelqu'un qui pourrait lui transmettre...
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Rubeus Hagrid

[Rubeus.hagrid]

Rubeus se reprit aussitôt...

Excusez moi mais c'est plus une annonce ducale et archiducale plutôt qu'un courrier en fait...
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Rubeus Hagrid

[Lorenzo_cosini]

« Ah, vous pouvez me le donner, je vais le transmettre au Consistoire. Il y a beaucoup d’insultes dedans ? Ce sont des vieux messieurs les cardinaux et quelquefois fragiles de cœur... »

Il se disait que la probabilité que ce soit quelque chose de positif était aussi élevé que celle de voir un Marocain donner raison à un Algérien, mais bon, on savait jamais…sur un malentendu ?

« Mais vous ne voulez pas un rafraîchissement ou quelque chose ? Vous devez être fatigué du long chemin. J’ai préparé du thé dans mon bureau. »

Ce n’est pas parce que c’est l’émissaire de l’ennemi qu’on ne peut pas être courtois. En plus, il a l'air sympathique Rubeus, le gars à vous proposer de monter sur une moto et partir pour des aventures magiques.
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Solo hay un Dios y Aristoteles y Christos son sus profetas

Cuando te anuncian la muerte del rey de Francia

[Rubeus.hagrid]

Rubeus leva un sourcil d'étonnement...

Des insultes ? Mais pourquoi donc des insultes ?

Il se gratta ensuite la tête...

Bref... Non pas d'insulte... Pourquoi les Cardinaux du Consistoire en sont friands ? Moi pas trop en fait...

Pour le reste, pourquoi pas oui... Je ne serai pas contre un thé...
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Rubeus Hagrid

[Lorenzo_cosini]

Lorenzo amène donc son cher invité dans un petit bureau où du thé était déjà en train de bouillir. Il l’invita à prendre place et lui servit du thé en disant.

« Oh, il ne sont pas particulièrement friands, mais ils ont leur…disant propre manière de voir les choses. Certains sont très faciles à travailler avec, d’autres exigent de vous une certaine flexibilité intellectuelle. »

Il ajouta.

« Donc, quel message voulez-vous adresser à la Curie ? Je vais le donner au Consistoire qui va le remonter au Saint-Père. »
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Solo hay un Dios y Aristoteles y Christos son sus profetas

Cuando te anuncian la muerte del rey de Francia

[Rubeus.hagrid]

Rubeus remercia son hôte et lui glissa le parchemin tout en prenant ce thé qui avait l'air très agréable...

Voici...

[Lorenzo_cosini]

Eh ben, l’eau coule donc toujours vers le bas. Il lut de travers, mais bon, ce n’était rien de bien surprenant. C’était même rassurant.

« Merci beaucoup pour ce document. Je vais l’amener au Consistoire. Entre temps, dégustez votre thé ! »
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Solo hay un Dios y Aristoteles y Christos son sus profetas

Cuando te anuncian la muerte del rey de Francia

[Rubeus.hagrid]

Rubeus sourit à Lorenzo et continua à profiter de son thé...
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Rubeus Hagrid

[Rubeus.hagrid]

Rubeus était parti car s'il avait attendu, cela aurait duré une éternité.
Il prit donc le même chemin et attendit qu'on vienne vers lui.
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Rubeus Hagrid

[Pie de Valence]

Le cardinal de Valence, qui passait par là, lut le papier déposé. Son véritable auteur était-il Vladimir l'Enigme, Joseph Stagnant, Léon Trottinait ou Jean-Luc Mélangeons ? Il hésitait.

Sans prendre la peine de prendre la plume, il tailla en pièce directement ce tissu d'incohérence comme seul un régime totalitaire pouvait en pondre.

L’indépendance sous contrainte : la farce du soi-disant libre Archiduché d’Anjou, proclama-t-il en préambule.

Le merveilleux Archiduché d’Anjou serait un territoire libre, affranchi des chaînes du pouvoir monarchique et du joug religieux. Mais à bien lire cette déclaration tonitruante, on découvre une liberté qui n’a de libre que le nom.

Tout d’abord, les Angevins prétendent refuser un roi et un maître, mais imposent une Archiduchesse élue comme figure dominante. Qu’on se le dise : changer de titre ne supprime pas le principe d’autorité. Remplacer la monarchie par une structure où le pouvoir reste centralisé sous une seule personne, voilà une contradiction majeure. L’Anjou se targue d’être affranchi, mais l’ombre du despotisme plane sur lui. En effet, sous prétexte de libérer le peuple des élites, on centralise le pouvoir dans les mains d’une figure unique, créant une oligarchie déguisée. Comme souvent, l’illusion d’une élection populaire masque une manipulation des masses, comme cela a été observé dans les régimes totalitaires où les dirigeants étaient élus mais jamais contestés, faute de liberté de pensée et de liberté d'expression.

Car, quelle est cette indépendance qui se défend à coups de bottes ? Une déclaration qui revendique la souveraineté tout en menaçant de chasser quiconque ose la remettre en question ? Mais n’est-ce pas précisément une approche tyrannique ? Liberté ne signifie pas exclusion, et le rejet brutal des opposants relève davantage du dogmatisme que du respect démocratique.
Cette posture autoritaire rappelle tristement, encore une fois, les régimes totalitaires, où la liberté de pensée et d’expression est systématiquement étouffée comme jadis en Soviétie : sous couvert de libérer les masses, on y imposait une pensée unique, où toute divergence était considérée comme une menace à l’ordre établi. L’Archiduché d’Anjou, en menaçant de bannir ceux qui contestent son indépendance, adopte une logique similaire. La critique et le débat, pourtant essentiels à une société démocratique, sont ici remplacés par la répression et l’exclusion.
Bien mieux, cette rhétorique agressive et les menaces de bannissement rappellent les purges politiques, où les opposants étaient systématiquement éliminés. L’idée de chasser « à coups de bottes dans le séant » ceux qui osent troubler l’indépendance est une rhétorique qui s’inscrit dans une logique de persécution et de contrôle totalitaire. Cette approche ne laisse aucune place à la diversité d’opinions, un pilier fondamental des sociétés libres.
En somme, cette déclaration d’indépendance n’est pas une ode à la liberté, mais une démonstration éclatante d’un pouvoir autoritaire déguisé. Elle emprunte au soviétisme son étouffement des libertés de pensée et d’expression, et à d’autres régimes totalitaires ses méthodes de contrôle et de répression. Derrière les beaux discours, c’est un système oppressif qui se met en place, où la liberté n’est qu’un mirage.

De plus, cette déclaration mélange politique et religion, un autre trait commun aux régimes totalitaires. Or, comment ne pas voir, ici, cet amalgame entre politique et religion qui saute aux yeux ?
L’un des éléments les plus troublants de cette déclaration est la manière dont l’Église est enrôlée de force dans un projet politique. Historiquement, l’Église n’a pas pour mission de gouverner les États, mais d’accompagner les fidèles dans leur foi, indépendamment des régimes et des ambitions territoriales. Or, dans l’Archiduché d’Anjou, cette indépendance fondamentale est bafouée sous prétexte de garantir la liberté religieuse.
Le rôle du nouvel Évêque d’Anjou, désigné par le peuple, pourrait sembler anodin, mais en réalité, il place l’Église sous un contrôle politique. Loin d’être une autorité spirituelle indépendante, il devient un rouage dans la mécanique du pouvoir. Cette intrusion rappelle des périodes sombres où les régimes totalitaires cherchaient à instrumentaliser la religion pour asseoir leur domination. La fusion entre le pouvoir temporel et spirituel est une atteinte directe à la nature même de l’Église, qui ne doit jamais être une force gouvernante mais un guide pour les âmes.

D'ailleurs, la notion selon laquelle un évêque garantirait la liberté religieuse montre une incompréhension profonde de la mission spirituelle de l’Église. La vraie liberté religieuse ne se décrète pas sous la houlette d’un pouvoir humain. Elle existe précisément parce que l’État ne s’en mêle pas. En affirmant que cet Évêque veille sur toutes les religions, on ne fait pas preuve de tolérance : on institue un arbitre politique sur les croyances, ce qui va à l’encontre de l’essence même de la foi.
Ce contrôle déguisé est une dérive autoritaire. Si l’Archiduché d’Anjou voulait réellement respecter la liberté religieuse, il se contenterait de garantir un cadre où chacun peut pratiquer sa foi sans ingérence politique, sans qu’aucune autorité civile ne vienne se positionner en régulateur des croyances. Mais ici, la religion devient un outil politique sous prétexte de la protéger, une méthode souvent observée dans les régimes cherchant à modeler la pensée collective.
Mais pourquoi faudrait-il qu’une figure religieuse soit impliquée dans un cadre politique alors qu'elle est censée être neutre ? La vraie liberté de culte réside plutôt dans l’absence totale de supervision politique, dans le respect des croyances sans qu’un quelconque pouvoir les administre. Ici, on ne parle pas de liberté religieuse, mais bien d’un contrôle déguisé sous des airs de tolérance.

En conclusion, la vraie liberté, c’est un droit partagé, pas un privilège accordé selon l’humeur d’un pouvoir qui se drape dans des idéaux creux. Ce texte n’est pas une ode à l’indépendance, mais une démonstration éclatante d’un pouvoir déguisé sous de beaux mots. Derrière la rébellion, c’est un autre système autoritaire qui se met en place, avec ses propres règles, ses propres exclusions, et ses propres maîtres.

Alors, Angevins, êtes-vous réellement libres ou venez-vous simplement de changer de cage ?
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"Le modernisme n'est ni une dérive, ni une horreur, ni une maladie honteuse. C'est le terreau de la rénovation de l'Eglise, la terreur des conservateurs, l'air pur qui vivifiera la foi" (Pie II de Valence)
"On n'est jamais dans le mensonge quand on prêche la paix et l'apaisement, toujours quand on prêche la haine d'autrui" (Pie II de Valence)

[Grimaldi]

Le prétendu Archiduché d'Anjou s'affiche comme un territoire libre, affranchi des chaînes monarchiques et du joug religieux. Pourtant, à y regarder de plus près, cette déclaration tonitruante révèle une liberté qui n'est qu'illusoire.

D'abord, les Angevins se vantent de rejeter un roi et un maître, mais élisent à la place une Archiduchesse comme figure prépondérante. Il est important de noter que changer de titre ne supprime pas le principe d'autorité. Substituer la monarchie par une structure où le pouvoir est concentré entre les mains d'une seule personne est une contradiction flagrante. L'Anjou se vante d'être affranchi, mais l'ombre du despotisme y demeure. Sous prétexte de libérer le peuple des élites, on centralise le pouvoir autour d'une figure unique, créant ainsi une oligarchie déguisée. Comme cela a été observé dans des régimes totalitaires, où les dirigeants étaient élus mais jamais contestés, faute de liberté d'esprit et d'expression, l'illusion d'une élection populaire masque une manipulation des masses.

Quelle est donc cette indépendance défendue par des menaces ? Une revendication de souveraineté qui, en menaçant de chasser quiconque ose la contester, ne s'apparente-t-elle pas à une approche tyrannique ? La liberté ne se confond pas avec l'exclusion, et le rejet brutal des dissidents s'apparente davantage à un dogmatisme qu'à un respect des principes démocratiques. Cette posture autoritaire rappelle tristement les régimes totalitaires, où la liberté d'expression est systématiquement étouffée. Sous couvert de libérer les masses, ces régimes imposent une pensée unique, condamnant toute divergence comme une menace à l'ordre établi. En menaçant d'exiler ceux qui contestent son indépendance, l'Archiduché d'Anjou adopte une logique similaire. Critique et débat, essentiels à une société démocratique, sont ici remplacés par répression et exclusion.

De plus, cette rhétorique belliqueuse et les menaces d'expulsion évoquent des purges politiques, où les opposants étaient systématiquement éradiqués. L'idée de chasser « à coups de bottes » ceux qui troublent l'indépendance s'inscrit dans une logique de persécution et de contrôle totalitaire, laissant peu de place à la diversité d'opinions, un pilier fondamental des sociétés libres. En somme, cette déclaration d'indépendance n'est pas une ode à la liberté, mais une démonstration éclatante d'un pouvoir autoritaire déguisé. Elle emprunte au soviétisme son étouffement des libertés d'expression et de pensée, et à d'autres régimes totalitaires ses méthodes de contrôle et de répression. Derrière les discours enlevés se cache un système oppressif, où la liberté n'est qu'un mirage.

Par ailleurs, cette déclaration mêle politique et religion, un autre trait commun des régimes autoritaires. Comment ne pas apercevoir cet amalgame entre politique et religion qui saute aux yeux ? L'un des aspects les plus troublants de cette déclaration est la manière dont l'Église est intégrée de force dans un projet politique. Historiquement, l'Église n'a pas vocation à gouverner les États, mais à accompagner les fidèles dans leur foi, indépendamment des régimes en place. Pourtant, dans l'Archiduché d'Anjou, cette indépendance essentielle est compromise sous le prétexte de garantir la liberté religieuse.

Le rôle du nouvel Évêque d'Anjou, élu par le peuple, pourrait sembler anodin, mais en réalité, il soumet l'Église à un contrôle politique. Loin d'être une autorité spirituelle indépendante, il devient un maillon de la chaîne du pouvoir. Cette intrusion rappelle des périodes sombres où les régimes totalitaires cherchaient à instrumentaliser la religion pour asseoir leur domination. La fusion entre pouvoir temporel et spirituel constitue une atteinte directe à la nature même de l'Église, qui devrait être un guide pour les âmes, et non un acteur politique.

D'ailleurs, l'idée qu'un évêque pourrait garantir la liberté religieuse révèle une profonde incompréhension de la mission spirituelle de l'Église. La véritable liberté religieuse ne se décrète pas sous l'égide d'un pouvoir humain, elle existe précisément parce que l'État s'en tient à l'écart. En prétendant que cet Évêque veille sur toutes les religions, on n'affiche pas de tolérance, mais on établit un arbitre politique sur les croyances, en totale contradiction avec l'essence même de la foi.

Ce contrôle déguisé est une dérive autoritaire. Si l'Archiduché d'Anjou tenait véritablement à respecter la liberté religieuse, il se contenterait d'assurer un cadre où chacun pourrait pratiquer sa foi sans ingérence politique, sans qu'aucune autorité civile ne s'immisce dans les croyances. Mais ici, la religion se transforme en instrument politique sous prétexte de défense, une méthode souvent utilisée par les régimes cherchant à façonner la pensée collective.

En conclusion, la véritable liberté est un droit partagé, et non un privilège octroyé au gré d'un pouvoir s'enveloppant dans des idéaux vides. Ce texte ne constitue pas une ode à l'indépendance, mais une illustration frappante d'un pouvoir dissimulé derrière de belles paroles. Sous le vernis de la rébellion se cache un autre système autoritaire, avec ses propres règles, exclusions, et maîtres.

[Pie de Valence]

Le cardinal écouta son confrère et, le moins que l'on puisse dire, c'est que le projet angevin était si clair et si limpide que chacun arrivait aux mêmes constats et aux mêmes conclusions à peu de choses près. Si les Angevins croyaient encore berner quelqu'un avec leur pseudo-discours de liberté et d'indépendance, c'était raté.
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"Le modernisme n'est ni une dérive, ni une horreur, ni une maladie honteuse. C'est le terreau de la rénovation de l'Eglise, la terreur des conservateurs, l'air pur qui vivifiera la foi" (Pie II de Valence)
"On n'est jamais dans le mensonge quand on prêche la paix et l'apaisement, toujours quand on prêche la haine d'autrui" (Pie II de Valence)

[Grimaldi]

Son Éminence Pie de Valence et Grimaldi participants à cette discussion, éclairés par la clarté des arguments, ne pouvaient que reconnaître la supercherie des Angevins. Ce projet, présenté sous le masque séduisant de la liberté, révélait en réalité des ambitions cachées, loin des idéaux proclamés. Chaque mot prononcé était soigneusement choisi pour dissimuler une volonté d'emprise, d'influence, bien plus qu'une véritable quête d'autonomie.

Ce constat commun, partagé par son Éminence et Grimaldi agissait comme un puissant rappel de la nécessité de rester vigilants. Il ne fallait pas se laisser séduire par des discours habiles, mais souvent creux. Au contraire, cette situation appelait à une réflexion approfondie et à une analyse critique des motivations sous-jacentes. En fin de compte, il s'agissait d'une mise en garde contre les promesses alléchantes qui, en réalité, ne faisaient qu'ouvrir la voie à de nouvelles formes de domination.