L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[neocor]

Humble, Neocor écoutait le Camerlingue, qui donnait le départ de la cérémonie... Du bout des lèvres, il ponctuait les phrases du Cardinal Aaron... L'homme était grand dans sa foi, et celà se voyait...

Seigneur, fait de moi un artisan de paix.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi vivre dans l’amitié Aristotélicienne.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je sois à la hauteur de ma tâche.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je vive dans la dignité.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi grandir dans ton amour.
Seigneur nous t’en prions…
Accueil nos ancêtres, nos familles et nos compagnons partis à ta rencontre.
Seigneur nous t’en prions…
Seigneur, exauce nos prières, prend-nous dans ton amour, fait nous vivre dans ta grandeur, pardonne nos offenses...
Seigneur, exauce-nous. Amen.

[Chevreux]

Le bruder regardait à l'avant de la basilique et vit monseigneur Aaron s'installer à l'autel, ce qui indiquà que la cérémonie allait commencer.

La Hochmeisterin Aurore n'était toujours pas revenue.
Cela commençait à l'inquiéter.
Que se passait-il ? Les membres de l'Ordre étaient là, sauf le Grand Maistre.

Il se questionnait à savoir s'il quittait la basilique pour aller auprès de l'hochmeisterin, étant le porte étandard, il devrait le faire.

Mais il fallait aussi qu'il demeure dans la basilique, d'autant plus que le Gross Hospittler de l'Ordre, son frère MrGroar, serait appelé à être de la cérémonie.

En bref, son esprit commençait à être confus et il ne savait plus quoi faire, sans faire d'éclats qui pourraient nuire d'une façon ou d'une autre à la cérémonie ou à l'Ordre.

Il devait rapidement prendre une décision... Mais laquelle ?

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Ne sous-estimez pas plus faible que vous !

[Hobb]

Le Wärter Hobb se retourna vers l'entrée pour voir si la Hochmeisterin Arakiriman revenait. Il ne savait pas exactement ce qui se passait. Il jeta un regard à chacun des membres de l'Ordenskreis, la cérémonie allait commencer.
Aussi discrètement que pouvait être un Teutonique portant chasuble et cape blanche frappées de la croix et tenant son casque au bras, Hobb se rendit vers l'entrée de la Basilique, il voulait savoir si son aide était attendue.
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Curé de Genève Maire de Genève (5 jours) - Dit "48%" ! Prince de Lausanne, Baron de Saltara

[Thomas de Clérel]

Le Duc de Berry attendait le début de la cérémonie, il observait les personnes présentent, beaucoup de monde, notamment une jolie jeune femme qui semblait de haute noblesse, mais tant de testes inconnues, norf de norf…

C’est alors qu’arriva ce cher frère Roger que tous les berrichons connaissaient et appréciaient. Le Duc prit la peine de se lever et d’accueillir le vieil homme chaleureusement, et lui répondit qu’il avait bien reçus son allégeance pour les terres de Vierzon, que c’était grande peine pour lui de voir le Vicomté de Vierzon réduit par l’Hérauderie en une simple seigneurie et qu’il espérait que le vieux moine serait présent à la cérémonie d’allégeance de la noblesse berrichonne pour faire son allégeance en personne.

La cérémonie commença, le jeune Duc arrêta de discuter pour l’écouter pieusement et silencieusement.
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(d'ailleurs le cœur est plus gros !)

[Izidore]

Izidore arriva en retard a cause d'un traité qu'il était entrain de négocier depuis quelques jours et dont les termes étaient difficiles à coucher sur le papier.
Il croisa Aurore aant de rentrer avec une autre personne mais elles ne les virent pas. Il entra et là vit une petite agitation de quelques membres de l'Ordre.

Pax Vobiscum mes frères, que se passe t-il donc ici ? L'agitation semble régner ... Et que faire Aur ... Notre Hochmeisterin dehors ? Elle à l'air troublée ?
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[Hobb]

Le Wärter Hobb croisa le Erster Botschafter Teutonique Izidore, il lui expliqua ce qu'il avait vu et entendu, puis lui dit d'un ton très bas en s'assurant que personne n'entende :

-"Mon Frère je sors parler à la Hochmeisterin Arakiriman, il m'en faut savoir plus sur ce qui se passe. Elle doit revenir. Je m'en veux je n'étais pas à ses côtés..."

Hobb reprit sa marche vers la sortie. Il avait le visage fermé.
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Curé de Genève Maire de Genève (5 jours) - Dit "48%" ! Prince de Lausanne, Baron de Saltara

[Izidore]

Après avoir reçu explication auprès du Warter Hobb Izidore décida de rejoindre sa soeur de Sang et expliqua avec véhémence aux gardes ce qu'il pensait de leur comportement.



Attend Hobb je viens avec toi. Je pense que je peut convaincre notre Hochmeisterin.



Il suivit Hobb et sorti pour retrouver sa Soeur de Sang.
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[Ingeburge]

Ingeburge esquissa un pâle sourire :
_ Vous continuez de vous flatter très cher, je constate que le mariage n'a pas tempéré ce trait de votre caractère... et que vous parlez toujours autant.

Elle fixa le Sombernon de longues secondes et souffla finalement :
_ C'est plus qu'un fâcheux concours de circonstances Votre Grâce, je pleure toujours ma sœur...

Elle détourna le regard, ne voulant pas montrer son émotion et elle ajouta, chuchotante :
_ Je donnerai énormément pour ne pas être ici mais il paraît que j'ai des devoirs... Mais des amis chers à mon cœur vont être intronisés en ce jour, je suis donc venue. J'ai tout de même hâte de voir la fin de ce calvaire.

Les murmures enflant dans les travées la coupèrent. Elle tourna la tête et en comprit la raison : le nouveau Primat de France s'avançait solennellement, vêtu d'une soutane pour le moins curieuse et coiffé de sa mitre d'évêque.
Même si le visage d'Ingeburge n'affichait pas la plus profonde allégresse, elle était heureuse pour cet homme dont elle était devenue proche et qu'elle avait appris à connaître. Elle savait ce qu'il avait à offrir. Il méritait la charge pour laquelle il avait été élu sans la moindre équivoque, il possédait la carrure et le charisme nécessaires à la fonction. Elle ne doutait pas un seul instant que le mandat du Comte du Forez serait actif et fructueux.

Le bel Aaron se leva et ouvrit la cérémonie. Ingeburge tenta de se concentrer sur ce qu'elle entendait.
_ Et cum spíritu tuo.
Elle se laissa glisser sur son prie-dieu :
_ Seigneur, nous t'en prions...
Et joignit les mains, se plongeant dans la prière :
_ Seigneur nous t’en prions...
Sa voix unie à celle de la foule assemblée sous la coupole de la Basilique, elle en appelait au Très-Haut :
_ Seigneur, exauce-nous. Amen.
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Morte deux fois en trois jours, vise le triplé

[acar]

Enclin à la prière, en ce lieu sainct, il s'executa : Seigneur, fait de moi un artisan de paix.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi vivre dans l’amitié Aristotélicienne.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je sois à la hauteur de ma tâche.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je vive dans la dignité.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi grandir dans ton amour.
Seigneur nous t’en prions…
Accueil nos ancêtres, nos familles et nos compagnons partis à ta rencontre.
Seigneur nous t’en prions…
Seigneur, exauce nos prières, prend-nous dans ton amour, fait nous vivre dans ta grandeur, pardonne nos offenses...
Seigneur, exauce-nous. Amen.
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[Kernos]

Un attelage arriva au pas sur le parvis de Saint Titus. Ses portières frappées aux armes du Lyonnais-Dauphiné s'ouvrirent pour laisser passer un homme d'assez grande stature aux atours simples de couleurs noire et sang. Kernos tourna son regard vers la basilique et laissa échapper un soupire admiratif.

Ainsi, c'était cela Rome... impressionnant. Tout aussi impressionnant le déploiement de gardes pontificaux à l'entrée de l'édifice, bah! A tout seigneur, tout honneur, et cela ne manquait pas aujourd'hui: ducs, comtes, prélats, cardinaux, etc... venus de France et d'Empire, mieux valait être prudent.

Kernos confia quelques consignes au cocher puis s'avança à travers la place pour gagner l'entrée de basilique. En s'approchant, il fut surpris par un petit attroupement où prédominaient le blanc et les croix noirs... mmm... l'Ordre teutonique... ils semblaient tous un peu agité quand il passa non loin d'eux pour gagner les portes.

... Seigneur, exauce nos prières, prend-nous dans ton amour, fait nous vivre dans ta grandeur, pardonne nos offenses...
Seigneur, exauce-nous. Amen.

Il se mordilla la lèvre, il était en retard... Il pressa le pas jusqu'au garde en faction, attendant à peine Phelim qui était sur ses talons.

Mes respects, Kernos Rouvray, Vice-Chancelier du Lyonnais-Dauphiné... et Messire Phelim, Conseiller Ducal et Porte Parole du Lyonnais-Dauphiné
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En deuil éternel de son enfant, Nathanaël

[phelim]

Avant que Phelim n'ait eu le temps de sortir à son tour de l'attelage, le cocher se mit en marche pour obéir aux ordres de Kernos.

Heyyyyyyyy !

Il sauta à terre et maudit l'impatience du conducteur avant de suivre le vice chancelier.
Il nota aussi leur retard, et tandis qu'il laissait le soin à kernos de se présenter et d'obtenir leur droit d'entrée, le porte parole se mit sur la pointe des pieds pour observer les gens qui se trouvaient à l'intérieur.

C'était bien la seule chose qui pouvait l'interessait, car la basilique Saint Titus, il l'avait déjà assez suffisamment vu....
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[Louis1er]

Louis écouta l'homelie du cardinal camerlingue, et dans un receuillement profond, il récita la prière avec toute l'assemblée...

Seigneur nous t’en prions…
Fait moi vivre dans l’amitié Aristotélicienne.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je sois à la hauteur de ma tâche.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je vive dans la dignité.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi grandir dans ton amour.
Seigneur nous t’en prions…
Accueil nos ancêtres, nos familles et nos compagnons partis à ta rencontre.
Seigneur nous t’en prions…
Seigneur, exauce nos prières, prend-nous dans ton amour, fait nous vivre dans ta grandeur, pardonne nos offenses...
Seigneur, exauce-nous. Amen.
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[img]Duc de Bielle

[frère roger]

Le Vieux roger répondit à mi-voix de façon discrète au Duc du berry Thomas de Clérel que son allégeance publique ne pourrait pas se faire en gargotte berrichonne vu son engagement actuel comme diacre et vicaire diocésain en limousin. Par contre, il pourrait plus facilement se déplacer au chateau ducal berrichon si la cérémonie s'y tenait. Roger lui dit aussi qu'il se considérait néanmoins comme seigneur de la Vicomté de Vierzon.
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EVEQUE IN PARTIBUS D'HELIOPOLIS

[Arakiriman]

Elle sourit à Haeven qui avait décidé de partir définitivement. Elle souriait pour cacher sa désillusion de ce qui se passait. Comment après dire au Temple que l'Eglise envisageait toujours de reconsidérer leur cas. Son sang bouillonait toujours intérieurement.

Un mouvement vers l'entrée lui fit tourner la tête. Elle soupira en voyant arriver ses fidèles "lieutenants". Toujours là pour la remettre dans le droit de chemin, elle qui ces derniers temps avait promis de se calmer et de ne plus dire les vérités de front. Mais il était toujours dure de jouer à la diplomatie quand les gens en face ne le faisait pas.
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l'Ordre Teutonique Recrute
Chevalier Légat d'Isenduil

[Kad]

Devant l'autel, aux côtés du Cardinal Camerlingue, son regard embrassa pour la première fois la foule réunie pour assister à la cérémonie. Il reconnu bon nombre de frères et soeurs, clercs ou militaires des Saintes Armes, personnels avec lesquels il travaillait chaque jour depuis plusieurs années, confrères qu'il considérait, bien au delà des simples rapports hiérarchiques, comme des amis. Des fidèles, également, feudataires ayant entrepris le déplacement, anciennes connaissances, mais encore ceux auxquels il était lié par le sang. Une vive émotion le transperça lorsqu'il croisa le regard de sa sœur, qu'il n'avait eu l'occasion de revoir depuis des mois, des saisons.

D'une voix grasse, il reprit la prière de Son Eminence Aaron :

Seigneur, fait de moi un artisan de paix.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi vivre dans l’amitié Aristotélicienne.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je sois à la hauteur de ma tâche.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je vive dans la dignité.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi grandir dans ton amour.
Seigneur nous t’en prions…
Accueil nos ancêtres, nos familles et nos compagnons partis à ta rencontre.
Seigneur nous t’en prions…
Seigneur, exauce nos prières, prend-nous dans ton amour, fait nous vivre dans ta grandeur, pardonne nos offenses...
Seigneur, exauce-nous. Amen.

Il mesurait le poids de chaque mot, le poids des responsabilités, la complexité de la tâche à laquelle il lui faudrait se vouer corps et âme.
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