L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[JackDaniel's]

Le Prévôt de l'Ordre des chevaliers francs arriva sur la place d'Aristote. Il venait directement de la citadelle franche, escorté de deux gardes. Invitation y avait été envoyée par ses frères teutonniques et il paraissait naturel d'y répondre positivement. L'évènement avait eu son effet: une foule de fidèles s'étaient réunis pour cette occasion. Il salua avec respect ses frères et écouta avec attention le discours du bibliothécaire teutonnique. L'histoire était parfaitement contée, et lorsque la relique apparut, Jack entreprit une prière et récita le Credo.
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[Deminerve]

Deminerve, alors qu'il essayait de répondre à Arwen fut légèrement bousculé par plusieurs gardes se croyant au-dessus des autres. Il ne manqua pas de leur faire part de son mécontement. Comment osaient-ils le bousculer? Pour un rien, ils renversaient aussi une Comtesse.

Je suis venu voir la Sainte Relique, pour avoir fait quelque chose de plus que feu Fra_Diavolo. Il en serait très jaloux le pauvre. Ma Suzeraine, Inge, ça m'étonnerait de la voir ici, mais elle était bien venue à Avignon au banquet de l'Indé alors que personne ne s'y attendait! En plus, elle est toujours entourée de trop de gens: quand elle me cherche, plusieurs personnes lui parlent ce qui l'empêche d'avancer...

Il regarda un peu les différentes personnes, aperçu au loin une tête connue qu'il ne souhaita pas appeler. Il écouta ensuite le discours et se sentit touché par un nouvel élan de foi, rien de plus.

Tout ça pour ça...
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Sacristain de Toulon.

[Edwige60]

Edwige ballottée dans la foule entendit soudain des beuglements bien connus.

Val est sans doute dans le secteur

Essayant de se diriger dans cette direction elle ne tarda pas a apercevoir la cape rouge et l'accompagnant la haute silhouette de tchantches
ils s'éloignaient en sens inverse.


eh, tchantches! Valdoise! Attendez moi!
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Aplanos

[Lulue]

Une invitation qui l’avait à la fois surprise et ravie.
L’Ordre des Teutoniques avait invité l’Ordre Royal de la Dame Blanche à l’Ecu Vert à une exposition particulière… pour ne pas dire rarissime.
Lucie ressentait une certaine fierté de voir leurs ordres se lier petit à petit.

C’est donc tout naturellement que les Blanches répondirent à l’invitation.
Le temps de trouver quelques volontaires et voilà le petit groupe en partance pour Rome.
Elles arrivèrent alors que la place se noircissait, à un rythme terrifiant, de monde.
Chercher discrètement du regard celui qu’elle fuit depuis quelques temps, ou son Ecuyer.

Entendre enfin sa voix résonner.
Nouveau sentiment de fierté de le voir ainsi.
Ecouter et observer religieusement…
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[Haerindor]

Haerindor entonna à la suite des Teutoniques et de son parrain Hagden la devise de l'Ordre:


DEUS MANUM DUCIT!



Il rayonnait de joie et de fierté de connaître ces hommes, d'être présent en ce jour avec eux, de protéger et de pouvoir contempler la plus sainte des Heiligen Reliquien, le crâne du Père de l'Eglise Aristotélicienne. Il leva haut l'étendard frappé de la croix noire, comme pour l'emplir de la lumière solaire.
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[Chevreux]

[Place d'Aristote]

L'Ordensmarschall se tenait bien droit sur sa monture.
C'était la première fois qu'il pouvait entrer ainsi à Rome sur son cheval, car il avait toujours mis pied à terre en arrivant jusqu'à tout récemment.

Devant lui, son parrain, ami et frère Chevalier, l'Hochmeister Izidore, dégageant une prestance digne d'un grand chef.

À ses côté, son ami, et frère Chevalier, le Ritter Ramon, avec tout autant de prestance.

Le haume sous le bras, il ne pouvait s'empêcher de jeter un regard sur la foule, ce regard qu'un chef militaire a toujours. Il savait qu'une bonne garde était présente, mais il savait aussi qu'il y aurait toujours un trouble fête quelque part pour tenter l'impossible.

Le cortège était là pour montrer à toute la communauté Aristotéliciennt le Saint Crâne de son prophète, Aristote. L'Ordre Teutonique en avait la garde, et lui, en tant qu'Ordensmarschall, devait tout faire pour protéger cette Sainte Relique. L'Ordre n'avait que très rarement laissé sortir cette relique des murs de la commanderie pricipale de l'Ordre. Il y avait bien eu quelques âmes perdues qui avaient tenté de la dérober mais sans succès. La première fois ce fut lors du grans déménagement de l'Ordre, de sa commanderie originale à Thorens, là où se trouve la commenderie actuelle. Une autre fois fut lorsqu'un voleur s'introduisit dans la commanderie. Ce dernier avait finalement été obligé de rendre la relique avant de se retrouver dans un cachot. Depuis, la relique avait toujours été en sécurité. Aujourd'hui, tout l'ordre était là, et la relique au centre de tous. Il était impossible qu'un homme sain d'esprit tente de s'en approcher sans se retouver sous la pointe de plusieurs dizaines d'épées Teutoniques, sans parler de celles de la Garde Épiscopale. Et il y avait toujours les membres religieux de l'Ordre, le Gross Hospittler et les Ordenskaplans, qui marchaient aux côté de la charette où se trouvait le Saint Crâne. Nul Aristotélicien n'était en droit de porter une arme contre ses hommes qui vouent leur vie au service de Dieu.

L'Ordensmarschall avançait donc toujours, ne faisant qu'un avec sa monture, suivant l'étendard de l'Ordre et son Hochmeister, vers la Basilique où une cérémonie devait avoir lieu.

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Ne sous-estimez pas plus faible que vous !

[domi2309]

le sergent Domi avait eu fort à faire.
Mais grâce à quelques aides tout, c'etait bien passé et les chevaux de l'escorte et de la Garde avaient trouvé Eden ou se reposer.
La majorité car certains ne se seraient pour rien au monde séparer de leur monture.
Dés que le dernier cheval eut rejoint son lieu de repos, le sergent rejoignit la place bondée et se mit aux ordres du Capitaine Frédéric afin de rendre hommage à la Sainte Relique.
Il rendit rapport au Capitaine:
Tous les chevaux ont été conduits en lieu sûr, et j'ai placé quelques gardes afin de leur offrir protections et qu'ils ne manquent de rien, sans aller à l'excès.
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[/url] En le Très haut nous croyons.

[Lemoine de Bourbon]

[place d'aristote]

Lemoine qui était membre de l'ordre teutonique,mais pas bien haut dedans,mais bon,il aimait cet ordre,c'était une famille pour lui,il connaissait la plus part des membres,Lemoine était assez loin derriére le crane,mais on devait respecte les rangs de chaque membre et c'était un honneur d'étre ici,il marcha au pas,comme quand il était soldat,c'était le bon temps
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[Mun Von Frayner]

Tonnerre s'arrêta à côté de Nomade et Kill resta sur son destrier en faisant un salut militaire.
Tout semble se dérouler à merveille Maréchal, veuillez excuser mon absence, j'étais allé renseigner cette dame... à vos ordres.
Acquiesçant d’un signe de tête l’arrivée de Monseigneur Kill.
Restons sur nos gardes Monseigneur la foule est si dense qu’une brebis galeuse pourrait s’y être perdue.
Regardant à nouveaux au loin, Mun reconnu bon nombre de ses frères et amis de l’Ordre Teutonique les saluant un à un se souvenant de sa première rencontre avec le Grand Maistres lorsqu’il avait pris ses fonctions de Premier Maréchal, ils avaient vraiment fière allure le blanc immaculé et cette croix noire,…

Lorsque le Warter Gustavev entra sur la place
Pax Vobiscum a vous mes Frères et Sœurs
Intérieurement Mun murmura Pax Vobiscum mon frère.
Resserrant les rennes de Nomade, tout en abaissant son encolure, qui avait vu les chevaux l’empêchant de trottiner sur place.
La vois du Warter était forte et claire, la foule agitée il y a quelques instant essayant de trouver une place de chois se tu un frisson parcoura le dos de Mun, comme si le temps venait de s’arrêter tous attendant le discours lorsque le parchemin se déroula.

Ne pas se laisser distraire cherchant du regard les Dignitaires et les gardes.
Tous étaient là surveillant et à leur poste le jeune cadet Mathys qu’il ne connaissait que très peu, incorporé, il n’y avait pas si longtemps, avait déjà le cœur d’un Garde Episcopal .
Un léger sourire apparu sur les lèvres de Mun très prometteur celui là.

Le Premier Maréchal continua son tour d’horizon du regard cherchant certaines personnes, il savait son ami et mentor, depuis le départ de Pictavius, le préfet très occupé à bon nombre de tâches administratives qui le tenait enfermé dans sa cellule depuis plusieurs jours personne n’osant le déranger. Kad avait toujours été pour lui présent l’aidant souvent dans ces décisions et un guide spirituel aussi important que son oncle Uter.
Voyant le Capitaine Fabrizio se retourner vers le dignitaire qui venait d’arriver Mun reconnu le Lieutenant Amory, la garde était vraiment une grande famille et quand on y entrait, il était difficile de la quitter.

S’est à ce moment que les rayons du soleil qui venaient éclairer la place se reflétèrent vers le ciel des cris sortirent de la foule qui se resserra pour former une masse noire se dirigeant vers la lourde charrette.
La voila je vais vous laisse l’admirer
Le Saint Crane, involontairement Mun dit ses mots puis se signa baissant la tête en signe de respect et de recueillement fessant tourner nerveusement la bague que Elou et lui avait échangé lors de leur mariage.

Tête basse levant les yeux un reflet argenté attira son regards comme si le soleil avait touché un objet métallique plissant les yeux un léger pfff
s’échappa d’entre ses lèvres qui s’étaient entrouverte voyant la personne se faufiler dans la foule.
Relevant la tête tout en regardant Kill,
La Bretagne est là Monseigneur l’Aspirant Major Gwanelle
accompagnant ses mots d’un signe dans la direction.
Efficace nos sœurs.
Ayant vu l'Aspirant Capitaine se faufiller dans la foule

(HRP mon dernier poste désolé je n'ai plus de connexion dés demain et pour une durée inconnue Msgr Kill se chargera de la suite)
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[Landyves]

Un jeune homme, à la garde épiscopale, s’était porté tout naturellement volontaire pour la mission qui incombait à l’ensemble de l’institution. Il ne pouvait que répondre présent puisqu’il s’était pleinement engagé dans les actions entreprises par la garde.
Cette fois-ci, il s’agissait apparemment de surveillance et de protection de la relique qui serait exposée à la vue de tous sur une place qui pouvait contenir bien du monde, observation faite par le blondinet lorsqu’il se retrouva au lieu dit.

Comme pour chaque cérémonie, il avait revêtu l’armure des grands jours et suivait les ordres des supérieurs. Après tout, il n’était pas là pour réfléchir mais bel et bien pour exécuter. On l’envoyait là où on voulait le voir, il y allait sans prononcer de paroles inutiles, il faisait son travail, et il essayait de le faire au mieux … Parce qu’il fallait tout de même avouer que d’avoir les deux yeux ouverts ne permettait pas de se focaliser sur toutes les altercations qui pouvaient dégénérer ni ne permettait de reconnaître toutes les personnes susceptibles de vouloir s’en prendre à la relique.
Par chance, Yves n’était pas le seul garde rattaché à cette charge, il n’avait d’ailleurs jamais vu la garde se déplacer de telle sorte. Tous perchés sur leur monture, ils avaient fière allure, aussi bien les femmes que les hommes.
Mais une légère appréhension se faisait tout de même sentir. Le début de cette journée était particulièrement prometteur, mais hormis les paroles prononcées par les instances cléricales, le languedocien restait constamment aux abois.

[jewak13]

Après avoir écouté attentivement le Général Mun Von Frayner, Jewak reboutonna son costume un peu gêné car il s'était dépêché de venir sur la place et avait donc négligé un peu sa tenue pour ne pas arriver en retard...

Puis il se dirigea à l'endroit qui lui avait indiqué traversant la foule et arrivant devant le détachement du Capitaine Frédéric et de Monseigneur Cagi, il dit en toussotant légèrement pour signaler sa présence :

- hhhmmm...bonjour Monseigneur Cagi, bonjour mon Capitaine ! C'est Messire Mun Von Frayner qui m'envoie ici afin que vous me disiez ma mission à accomplir pour aider au mieux.

Puis il se recula légèrement en position du garde à vous, attendant patiemment les consignes pour agir.

[Graoully]

Le père Graoully, éreinté après un voyage de plusieurs jours, arriva place d'Aristote non sans un certain soulagement. Il était venu à l'invitation de son archevêque, et savait bien qu'il retrouverait des têtes connues de l'archidiocèse de Lyon là où il se trouvait maintenant. Voyant que la place d'Aristote était encerclée de gardes, il s'approcha de l'une des entrées étroitement surveillée pour décliner son identité à son interlocuteur, peu importait le grade, le père Graoully en sachant pas comment on reconnaissait tel ou tel gradé. Il lui semblait néanmoins qu'il avait affaire à un soldat, et décida donc de l'appeler comme tel, quitte à se faire reprendre.

Bonjour soldat, je suis le père Jean de Graoully. Je viens tout spécialement de Lyon pour admirer cette relique, pourrais-je passer ?

Le père Graoully attendit la réponse de son interlocuteur.
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[fouine]

La fouine perdue dans cette foule ne retrouvait plus ses amis de la Noblesse noire. Il les chercha en vain, mais comment faire. Tant pis, il regarderait seul le cortège et se recueillera seul.
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aspirant noble noir

[Bender.B.Rodriguez]

Le Gross Hospittler avait pénétré la place d'Aristote avec ses frères et sœurs de l'ordre, dans la ferveur et la solennité dégagée par cet historique moment.

Il ne s'agissait pas seulement de la fierté d'appartenir à ce glorieux ordre, mais aussi l'importance de laisser à tous la possibilité de voir la Sainte Relique d'Aristote.

Bender était le chef religieux de l'Ordre, responsable du dogme et nécessaire garde-fou à tout ordre militaro-religieux. Son rôle était clair, éclairer et guider ses frères et sœurs combattants dans la lumière du Très Haut, à l'aide des messages des prophètes et dans le respect du Droit Canon.

Il s'arrêta au commandement de l'Hochmeister Izidore et regarda dans la foule pour voir s'il parvenait à distinguer quelques visages connus et fit quelques sourires discrets à l'attention de ceux qu'il connaissait.

L'ordenskaplan Bender écouta avec émotion le discours juste et historique du Wärter Gustavev, il en convint, ce dernier était un excellent orateur. Cette histoire et la présence de cette relique au sein de la place qui portait le nom du prophète donnait une saveur particulière à ces instants, Bender pouvait sentir une foi indéfectible partagée par tous ceux présents.

Il observa attentivement Gustavev monter sur la carriole et découvrir au grand jour la relique du Saint Crâne, il l'avait déjà vu certes, mais là voir ici lui conférait une émotion hors du commun.

A la fin du discours du Wärter de l'Ordre, il cria avec les siens :

- DEUS MANUM DUCIT !

Une légère appréhension monta en lui lorsqu'il s'imagina la foule ensérer la Sainte Relique...
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[Haerindor]

Haerindor entendit le Père Jean de Graoully s'adresser, sans succès, à un Garde Episcopal plongé dans ses pensées. Il s'avança alors, portant toujours l'étendard de l'Ordre:

"Venez avec moi, mon Père, la Sainte Relique est libre d'accès à tous."
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