L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[killdragon]

Le calme donnait enfin du répit et du repos aux soldats des Saintes Armées . Les fidèles se recueillaient en silence, bercés par le chant à l'unisson des frères et sœurs Teutoniques.

Profitant de l'accalmie temporaire, Kill ferma les yeux un instant, respirant profondément, laissant le chant lui traverser l'esprit. Il était tellement inspiré qu'il commença à fredonner sur le bout des lèvres, répétant les mots presque naturellement.

Puis un chien qui ne semblait pas apprécier cet instant merveilleux vînt aboyer en chœur, enfin à sa manière...

Monseigneur Killdragon ouvrit les yeux, et chercha où pouvait bien se trouver l'animal, mais de là où il se trouvait, il ne pouvait le voir, ce qui sembla l'agacer visiblement.

Il aperçut le Cadet Tadeus qui venait prendre ses ordres.

Ah! Cadet Tadeus, vous tombez bien, trouvez-moi ce chien et emmenez-le un peu plus loin s'il vous plaît, je ne voudrais pas qu'il gâche la cérémonie...

Killdragon chercha ensuite du regard le Premier Maréchal, mais ne parvînt pas à l'apercevoir. Il se dit qu'il allait se remettre en selle, tout en observant les blessés qui se faisaient soigner de leurs blessures dues à l'empressement de la foule.

Un coup d'œil furtif au balcon lui permit d'apercevoir le sourire de la Cardinale Connétable: décidément cette cérémonie resterait un moment inoubliable pour les fidèles qui avaient eu l'honneur et la joie de la partager.
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Premier Maréchal de la Garde Episcopale.Vidame de Bretagne.

[Tadeus]

Toute la foule de fidèle venait de commencer à prier, au son d'un ordre militaire que Tadeus reconnut comme l'Ordre des Chevaliers Teutoniques, un ordre très respecter puisqu'il avait en charge de la protection d'une relique mais aussi ils s'étaient distingués plusieurs fois au services de l'église. Seul les aboyements d'un chien venait perturber se moment de reccuelliement, l'Aspirant Vidame avait donné l'ordre à Tadeus de trouver le chien et de le faire partir de la basilique, Tadeus salua Monseigneur Killdragon et commenca ses recherches. Ce n'était pas facile car il y avait énormement de monde devant la Basilique il du même à plusieurs reprise faire attention car il y avait des fidèles qui priait à genou.
Après environ une demi heure de recherche Tadeus fini par retrouver le chien il était à côté d'une mère et de ses deux enfants, le chien aboyait car il semblait qu'il voulait attirer l'attention de la famille sur lui et que les enfants jouaient avec lui, pour Tadeus celai était incompréhensible ce moment était fait pour se recceulir pas pour jour avec un animal. Tadeus prie l'animal malgrès que la famille proteste, Tadeus se tourna vers eux.

"Ce chien perturbe la cérémonie, je vais le faire sortir du parvis de la Basilique et il vous attenderas à l'exterieur."

Malgrès de ce que venait de dire Tadeus la famille protesta encore plus, il semblait évident qu'ils ne voulaient pas laissé leurs animal seul.

"Je vous propose une solution un de vos enfants ou vous même accompagnait cet animal et rester avec lui."

La famille sembla se calmer et l'aine de la famille accompagna Tadeus et le chien hors du secteur de la Basilique. Une fois sa mission remplis Tadeus retourna vers le parvis de la Basilique en attendant d'autre ordre tout en surveillant la foule des fidèles.
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[Arwen]

La Cérémonie commença avant qu'elle aie su où elle pouvait s'installer. Elle fut très surprise de voir si peu de considération entre les uns et les autres dans un lieu aussi saint. En tout cas elle ne se sentait pas du tout à sa place, peut-être fallait-il faire partie de l'ordre pour être accepté en fait, à quoi bon faire tant d'invitations alors.

Elle s'avança rapidement pour s'assoir à la première place qu'elle vut libre et tant pis si ce n'est pas là qu'elle devait être c'était toujours mieux qu'en plein passage.

Les chants teutons commencèrent, elle écouta silencieusement, ne pouvant pas particper, ne connaissant pas. Elle observait tous ces hommes et femmes réalisant qu'en fait il s'agissait d'un cercle très fermé contrairement à l'idée qu'elle s'en était faite par ses amis. La Cérémonie était par eux et pour eux surement, elle se demandait vraiment ce qu'elle faisait là.
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[*Bombadil*]

Thomas Bombadil avait suivi la procession du balcon des bureaux de Primatie. Cela lui avait permis de ne rien raté de l'arrivée du crâne d'Aristote en place du même nom, sans avoir à supporté la foule.
Par contre, pour ce qui était d'assister à la cérémonie, il allait fatalement devoir se déplacement jusqu'à la basilique Saint Titus.
L'évêque de Langres, et Troisième Vice-Primat de France sortit donc des bureaux de la primatie, et prit le chemin de la basilique se frayant comme il le pouvait un passage à travers la foule et les gardes, jouant de temps à autre de sa crosse épiscopale pour se ménager l'espace nécessaire à sa progression.
Arrivée au parvis, il se présenta aux gardes en faction afin qu'ils puissent s'assurer qu'il faisait bien partie de la liste des invités...
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Cardinal vieilli en fut de chêne

[cagi]

Cagi était toujours face a la foule, la plupart des gardes avaient rejoint le parvis de la cathédrale et contenaient la foule qui poussait toujours. Il apercevait la capitaine Frédéric qui avait l'air de boiter, les cadets nouchka et Mathis, l4aspirant vidame Breton, monseigneur Killdragon était au prise avec un chien ce qui le fit sourire, et il apercevait de nombreux uniformes de la garde aux alentours. Le Saint crâne avait disparu derrière les grandes portes de la basilique, il s'était engouffré lentement accompagné du chant des chevaliers Teutoniques et des dignitaires qui suivaient recueillis.

Il chercha du regard le maréchal Mun, il se demandait s'il pouvait maintenant laisser entrer une parti de la foule en la cathédrale afin que le peuple puisse assister a la cérémonie. Il cria aux autres gardes présents.

Quelqu'un a vu notre maréchal?
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[Bender.B.Rodriguez]

[Dans la Basilique]

Le prêtre faisait face aux divers religieux présents et aux membres de son ordre. Devant lui, à quelques pas de l'autel central, se trouvait la Sainte Relique sur laquelle il posa furtivement son regard.

Elle était puissamment gardée par une garde rapprochée constituée des Ritters de l'Ordre ainsi que par les Garde Episcopaux. Nul doute que celui qui voudrait s'en emparer aurait bien du mal et serait à coup sûr rapidement maitrisé.

Le Gross Hospittler tourna son regard vers son frère de sang, le Wärter Gustavev et vit avec contentement que celui-ci zieutait fréquemment sur le Saint Crâne. On ne pouvait pas le changer, il était tout dévoué à la garde de cette prophétique relique et il le faisait avec Foi et dévouement.

Le religieux décida d'attendre encore un peu car pour que les derniers invités arrivent, il allaient devoir traverser la foule de badauds massée sur la Place d'Aristote et ensuite, traverser les cohortes de fidèles rassemblés devant la basilique pour enfin, montrer patte blanche aux gardes épiscopaux chargés de réguler les entrées. Bref, un vrai parcours du combattant, ce à quoi, tout comme lui, les religieux n'étaient guère préparés...
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[frère roger]

Le vieux roger était dans son coin calme et silencieux. il attendait impatiemment la suite.
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EVEQUE IN PARTIBUS D'HELIOPOLIS

[Ingeburge]

Le chemin entre le palais pontifical et la Basilique Saint Titus était assez court et quand, comme Ingeburge, on est propriétaire des clés de la cité papale, il est assez aisé de circuler rapidement et à l'abri des regards.

C'est ainsi que le Connétable de Rome put aisément rejoindre l'édifice majeur de l'aristotélicisme sans risquer d'être dérangée ou arrêtée.

La presse devant le lieu saint était grande, chacun avait encore en mémoire l'image plus ou moins distincte du Saint Crâne d'Aristote et chacun voulait prolonger ce moment de grande ferveur en assistant à l'office organisé autour de la précieuse relique.

Ingeburge y assisterait aussi et à plusieurs titres. En tant que cardinal en charge des Saintes Armées bien évidemment. En tant que hospittlerin aussi même si son assiduité était aussi éclatante qu'un chiffon couvert de suie. Mais elle était surtout là en tant que fidèle.

Les deux hommes de son escorte jetèrent un rapide coup d'œil aux alentours, la voie était libre. Le temps de poser un voile de dentelles sombres sur ses cheveux et Ingeburge fit son entrée par l'une de ses portes dérobées dont personne ou presque ne connaissait l'existence. Elle déboucha donc, hiératique et concentrée, mains jointes et yeux fixés sur le dallage, au niveau de la croisée du transept et alla directement prendre place au premier rang réservé aux empourprés. Elle s'agenouilla sur son prie-dieu en attendant le début de l'office. Les deux gardes pontificaux se placèrent tout près, restant debout dans la nef latérale.
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Morte deux fois en trois jours, vise le triplé

[Guiguil51]

Guiguil, avait souhaité assister le plus longtemps possible au spectacle, et encore sous le coup de l'émotion, était resté là, sans bouger. Au bout de plusieurs minutes, la foule se fit plus pressante autour de lui, et les cris de joie et d'allégresse parvenaient de tous côtés. Voyant que le court chemyn qu'il devrait parcourir pour entrer en la basilique était noir de monde, il prit son courage à deux mains, et commença sa traversée du désert. Bousculé, les pieds endoloris, il avançait lentement mais surement. Il voyait tout comme lui des membres du clergé essayer de traverser cette marée humaine.

Il sentit alors qu'il arrivait enfin près des portes de la basilique une main le pousser violement dans le dos. Faisant un bon en avant, il atterrit courbé sur ses deux jambes devant le vidame de Bordeaux et les frères tenant l'entrée. Il se redressa et rajusta sa tenue. Et dit comme si de rien n'était.

Bonjour mes frères quel beau temps pour une promenade, n'est-il pas ? Vous attendez quelqu'un ?
Je vous souhaite bon courage et vous laisse faire vos bons offices.

Le Prieur de la Garde fit un large sourire entendu et entra en la basilique.

Il y avait déjà du monde, et du beau. Et comme à chaque fois, il hésitait entre les bancs du clergé de Bourgogne et ceux de la GE. Ne pouvant se scinder en deux, Il opta pour ceux de la GE. Avançant vers une place libre, il croisa son Evesque, Bombadil, aperçut Ingeburge, et juste avant de prendre place, il fit un signe de la main à Bender, afin de saluer son frère de Lyon qui officiait.

Il était émerveillé de voir le sérieux régnant en ce lieu, le partage et l'unité, le rassemblement des gardes. Deux des forces de l'Eglyse. Les deux ordres étaient unis pour une seule chose : Le Saint Crâne et tendaient pour sa parfaite protection.
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Charmant diocèse recherche Curés pour s'occuper avec soins de ses paroisses.

Monsignor Guillaume de Lyseuil - Primo Cappellano della Guardia Episcopale e Pontificia romana.

[Frédéric Von Frayner]

Sur le parvis de la basilique

Rassuré sur le sort de l'enfant, Frédéric se rendit compte qu'il boitait quand le cadet Mathis l'aida à avancer vers la basilique.
Il ne savait plus très bien entre la cheville et le poignet ce qui le faisait le plus souffrir.

Un banc était en vue et tombait fort à propos.

Capitaine, souhaitez-vous autre chose ou puis-je recevoir de nouveaux ordres ?

Ca va aller Mathis, merci à vous.
Allez donc vous mettre sous les ordres de Monseigneur Cagi. Il faut filtrer les entrées.
Je regarde ce que j'ai et je vous rejoins.
Le capitaine dégagea son mollet douloureux du bas qui le recouvrait.

Alors qu'approchaient du banc l'aspirant capitaine Eavan et le major Gwanelle soutenant une vieille dame, un chant rempli de ferveur et entonné par les Teutoniques s'éleva sur la place, imposant naturellement le silence dans la foule.
Frédéric en frissonna, tellement toutes ces voix étaient chaudes, vibrantes. Une prière quand elle était chantée, atteignait plus facilement le coeurs des fidèles et par la ferveur de chacun n'en devenait que plus forte, plus puissante.
Il resta un moment subjugué par ce chant, dans un état second, ne sentant même plus les douleurs.

C'est le capitaine Eavan qui le sortit de sa fervente léthargie.
Capitaine, auriez vous un ennui avec un cheval ?

En effet, capitaine... Un cheval m'a bousculé alors que je tentais d'aider une petite fille.
Le muscle a été choqué, peut être écrasé mais ca ira.....

Il serra les dents alors qu'il remontait de ses deux mains le bas sur son mollet violacé et du le lacher de la main gauche dont le poignet le lançait.
Arffffffffffffffffffff !!!
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Baron de DounouxAspirant Vidame
IG : Frederic*Guillaume

[Fabent]

Fabent arriva tant bien que mal en retard jusqu'a l'entrée de la Basilique.
Il commença a joué des coudes tenant sa hallebarde en main toujour sous son uniforme, il arrivait enfin à la porte
Il repera quelque uns des gardes qu'il connaisait.
Il reconnu le capitaine Fréderic qui ce trouvait sur un banc et d'autre et alla en leurs directions.
Bonjour Capitaine!
Je reste ici ou je rentre dans la Basilique aider les autres?
Il regardait le Capitaine attendant ces ordres.

[pierroleon]

Chapitrain chargé des reliques de Nîmes, protecteur de la relique du "saint cornichon d'Alais", Pierroléon de Riddermark entra dans la basilique et s'assit près de l'allée centrale pour toucher si possible la relique .

Il avait prévu un petit foulard pour le poser sur le crâne.

Ici, le nonce représentait surtout la comtesse du Languedoc qui lui avait demandé comme une faveur de venir saluer les saints restes d'Aristote.

Pierro n'aimait guère les os...mais bon, si c'est la comtesse qui demande
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Monseigneur Pierroléon de Riddermark + RIP "Quand je vous disais que j'allais pas bien..."
Ancien Vice-Primat de France. Ancien Vice-Préfet à l'Enseignement. Ancien Archevêque métropolitain de Narbonne. Ancien Evêque de Nîmes.

[Gabriel]

On l'avait mis en garde! Sa mère n'était pas contente de le voir partir seul, ainsi, vers Rome. Mais il lui avait rétorqué qu'à 16 ans, il était majeur et n'avait pas à écouter ses consignes, et il avait terminé en lui rappelant les paroles de Christos, et son célèbre "dites au revoir à votre famille".

Pourtant, arrivé à Rome, il dut bien reconnaître que les mises en gardes de sa mère n'étaient peut-être pas dénuées de fondement. Le jeune diacre avait passé des heures à chercher la place d'Aristote, et en arrivant, la foule qu'il avait trouvée était si dense qu'il avait renoncé à l'espoir d'entrapercevoir la relique. Il avait alors suivi le mouvement de foule qui le menait à la basilique Saint-Titus. Là encore, il était totalement perdu. A l'intérieur comme à l'extérieur, des gens chantaient un hymne teuton qui ne le mettait pas vraiment en confiance, et il n'osa même pas demander à qui que ce soit s'il pouvait entrer dans la basilique ou non. Il resta donc ainsi, à contempler une foule plus dense qu'il n'en avait jamais vue.

Malgré tout, pour la première fois de sa vie, le vicomte de Culan se sentait vraiment au centre de monde: au bon endroit, au bon moment; et l'idée d'être entouré d'hommes et femmes qui partageaient sa foi et son ardeur le rendait presque euphorique.
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[Chevreux]

[À l'intérieur de la Basilique]

Le Chevalier Chevreux, Ordensmarschall de l'Ordre Teutonique, s'était avancé vers les premiers bans, en compagnie de son frère et Grand Maître.

Il entendait toujours les cris et les exclamations de la foule à l'extérieur.
Il souria à la pensée que pour une fois, ce n'était pas lui qui devait s'occuper de la sécurité. Cette fois, il était de ceux qui devait être protégé. Mais il conservait toujours un oeil sur le Saint Crâne, car lui, il le protègerait toujours, jusqu'à devoir en mourir s'il le fallait.

Il avait d'ailleurs mis le baudrier en cuir avec l'épée qu'il avait reçu en tant que Chevalier d'Isenduil. C'était la seule épée qu'il s'autorisait à porter dans un lieu Sacré. Il se savait donc prêt à défendre le Saint Crâne peu importe la situation.

Du coin de l'oeil, il vit la Son Eminence Ingeburge s'approcher, entourée de sa garde. Il la regarda et lui fit un signe de salutation de la tête, avant de prendre place sur le ban qui lui était réservé.
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Nolite haud magni facere imbecilliorem vobis.
Ne sous-estimez pas plus faible que vous !

[Mallory]

Un membre de la Garde Épiscopale indiqua à Mallory l'endroit où elle pouvait s'assoir dans l'édifice déjà bondé.

Elle était entourée de parfaits inconnus, mais ces hommes et ces femmes étaient tous animées par ce formidable esprit de chevalerie religieuse et militaire. Leurs actions charitables étaient connues et reconnues au delà des frontières.

Elle aperçut quelques visages familiers, et non des moindres ; son Éminence Ingeburge, le Père Guiguil et le Père Bender, Grand Chapelain de l'Ordre.

Elle était trop loin pour entrevoir distinctement la sainte relique, elle resta donc assise tranquillement et attendit la suite.
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