L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Olivier le Page]

Sans parler que le Camerlingue est actuellement résident provençal.
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Olivier, Page de Mortain.

[Chevreux]

Père Tibere, permettez moi d'intervenir rapidement face à votre dernier commentaire.

Pour avoir pu discuter avec SE Ingeburge, il y a tout de même quelques temps, il m'est apparu clair que beaucoup de choses sont dites à son sujet qu'elle n'est même pas au courrant.

Je ne peux dire si les propos que vous dites sont véridictes ou non, n'ayant pas été là au moment où cette déclaration a été prononcée. Ma vision à l'époque était une vision Impériale, étant à ce moment Capitaine des Armées de Franche Comté, l'une des régions qui compose le Saint Empire.

Ce que je veux dire est qu'il ne faut pas accuser sans vérifier ses sources.
Vous parlez d'avoir "appris que..."
Par les mêmes méthodes, j'avais appris que SE Ingeburge avait monté une armée et était entrée en terre Provencale.

Or, SE Ingeburge a prêté serment de ne jamais porter les armes.
Pourquoi aurait-elle monté une armée.
Elle sait très bien que si une internvention militaire est requise, pour la défense de notre Très Sainte Église Aristotélicienne, nous, les Ordres Militaro-relitieux de la Congrégation des Saintes Armées, seront là pour soutenir cette décision.

Donc, je vous demande de démontrer vos propos par des preuves et non juste des ouïes dires.

Il y a suffisamment de désinformation dans cette affaire, comme dans la majorité des affaires de ce genre pour se laisser prendre à ce jeu qui est -- soit dit en passant -- l'un de jeu préféré des adeptes de la bête sans nom.
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Nolite haud magni facere imbecilliorem vobis.
Ne sous-estimez pas plus faible que vous !

[Tibere]

Mes respects Hochmeister Chevreux. Mes sources sont on ne peut plus sures et je n'avance jamais rien à la légère.
Je tiens cette vérité de SE Ingeburge en personne qui s'est exprimée à ce sujet ce 20 avril en gargotte de Bourgogne, voulant répondre à un fat qui insulte à tort et à travers les habitants loyaux de mon duché.
Voici ses propos que je rapporte de mémoire sans erreur aucune :

"(...) Et que savez-vous de l'indépendance de la Provence? Dites-moi, cela m'intéresse fort car voyez-vous, je fais partie de la douzaine personnes l'ayant votée.(...)"

Interloqué, j'ai demandé une explication, mais SE est très occupée et je comprends fort bien qu'elle ait autre chose à faire que de répondre à un petit curé de Bourgogne. Voici pourquoi je porte l'affaire en place d'Aristote.
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[Kehl]

La réponse est simple mon père. L'église est neutre parce qu'elle est incapable de se mettre d'accord sur une position quelconque. Voilà ce que cachent les grandes tirades et les déclarations grandiloquentes sur la paix. Je crois que la plupart des prélats non impériaux se contrefichent de la Provence, et que c'est juste le plus facile de faire passer ce désintérêt pour de la neutralité. Mais il est évident que certains prélats sont plus qu'engagés, à titre personnel. Entre l'ancien camerlingue, l'archevêque de guerre, le connétable, les Gênois, les prélats des régions italiennes, même si le primat du saint empire et l'archevêque de Besançon se disputent un peu leurs postes respectifs, pour que l'église paraisse avoir d'autres sujets de préoccupation, c'est tout sauf neutre, dans l'empire.

[Feue Ecaterina]

[Tibere]

Comment Tibère avait-il pu laisser passer cette annonce ? Il comprenait mieux pourquoi il voyait déambuler dans les rues de Rome et jusqu'à cette place monseigneur Richelieu, portant autour du cou une pancarte en signe de contrition.
La décision était tombée et le prélat était sanctionné. C'était une bonne chose donc.
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[Armoria]

Il avait repris du service, le messager - et du poil de la bête, après avoir nourri de nombreuses craintes quant à la vie de sa maîtresse, et accessoirement, la pérennité de son emploi. Ce jour, il avait reçu ordre d'afficher les notes prises par un scribe en Provence, lors du... repentir de l'archevêque-guerrier. Notes dans lesquelles certains passages avaient été soulignés, voire annotés. Lesquels ? Bah, il n'en savait rien, lui...