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L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Forum RP de l'Eglise Aristotelicienne du jeu en ligne RR Forum RP for the Aristotelic Church of the RK online game 
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MrGroar

Inscrit le: 28 Mai 2006 Messages: 6481 Localisation: Bourges (Berry), Chambéry (Savoie)
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Posté le: Sam Jan 22, 2011 3:35 pm Sujet du message: |
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| J'aimerais juste dire une chose: les Saintes Armées combattent en Savoie depuis le 13 décembre 1458 pour libérer Annecy du joug du gouvernement de la république réformée de Genève. Conflit hautement religieux et non purement politique comme certains aiment à le dire. Il n'y a donc pas de récupération du tout. Vous pouvez d'ailleurs demander aux représentants officiels de la Savoie si votre esprit n'arrive pas à comprendre tout cela. |
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Hagden

Inscrit le: 18 Juin 2008 Messages: 537
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Posté le: Sam Jan 22, 2011 4:09 pm Sujet du message: |
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Je ne vois là qu'une façon de faire de ceux que l'Eglise combat... Ils n'ont aucune sorte de retenue et aucune limite, même dans le ridicule qu'ils affichent, pour tenter de justifier leurs injustifiables agissements, dont ceci n'est qu'un exemple, parmi hélas tant d'autres... Ils sont lassant à force, je me demande comment ils ne se lassent pas eux-mêmes... à force... _________________

Montbazon-Navailles, Ritter et Seneschall de l'Ordre Teutonique |
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thrandhuil
Inscrit le: 23 Aoû 2007 Messages: 296 Localisation: Bretagne
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Posté le: Sam Jan 22, 2011 6:02 pm Sujet du message: |
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Si ce combat est religieux, il s'arrêtera à Genève.
S'il est politique, c'est la Confédération Helvétique qui sera couverte de sang.
Puissiez vous avoir raison, Eminence! |
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Giscard Invité
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Posté le: Dim Jan 23, 2011 12:43 am Sujet du message: |
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Un beau jeune homme blond comme les blés, tout de bleu vêtu se rendit à Rome pour y faire publier une remarque sur la nature de l'Homme, auprès d'un athée surnommé Pierro Diavolo par ces détracteurs, et ce bien qu'il fût respectueux en la présence d'hommes d'Église et ouvert aux pensées jugées hétérodoxes. Le jeune serviteur blond était d'origine helvète et l'on avait l'habitude de le faire passer pour réformé, bien qu'il fût pire que cela. Il se plaisait à rédiger des courriers et dessiner des affiches de toutes sortes, et ne manquait aucune occasion.
Il passa furtivement devant une lettre écrite avec soin, laquelle portant une signature qui le fit sourire. Ainsi donc il restait des rousses qui n'avaient pas été jugées comme sorcières... il sourit en pensant à sa maîtresse. Il lui semblait reconnaître quelques expressions qui lui étaient propres, mais aurait-elle osé publier un tel écrit à Rome sans l'en avoir informé ? Il en doutait un peu, mais se rappelant que la femme avait un tempérament fougueux, il commença à penser que ce courrier était bien d'elle. Mais il n'était pas venu pour ça, il avait des choses importantes à faire.
Aussi contourna-t-il la foule un mince sourire aux lèvres et se rendit chez Pierro. L'homme vivait dans les faubourgs crasseux de Rome, ceux où se côtoient la pauvreté et les mauvaises mœurs. Giscard passa près d'une maison pour catins pour s'y rincer l'œil quelques minutes, mais les femmes du sud lui semblaient plus poilues et moustachues à côté des femmes blondes de son pays qui l'avaient pu collectionner jadis. Plus loin, il passa devant une petit maison, celle de curés défroqués dont l'étage était rempli de dépravés amateurs de chèvres. Il frissonna se disant que certains étaient véritablement complétement fous. Soudain, il reconnut la petite maison de planches de l'athée, laquelle possédait une profonde cave secrète où il imprimait et recopiait de nombreux textes. Il frappa à la porte selon le code convenu par le maître de maison et on l'invita à entrer. La femme qui lui ouvrit la porte, n'était pas l'épouse de Pierrot mais sa fille, une magnifique brune aux yeux bleus, qui bien vite coupa court à tous les préjugés du jeune homme concernant les filles du sud. Mais pas le temps de jouer les charmeur et de l'inviter pour une petite partie de voltige nocturne, il devait voir Pierrot. Il descendit dans la cave où il le rejoignit affairé à imprimer des écrits réformés. Une fois le parchemin confié à l'athée, Giscard prit le temps de boire une petite choppe de bière et de partager quelques nouvelles venues d'Empire. Avant de partir, il plaqua la jeune brune contre un des murs de la maison, déposa sur ses lèvres un ardent baiser et en profita pour lui passer la main dans le décolleté. Riant aux éclats tandis qu'elle le repoussait avec vigueur en le houspillant comme un enfant, il rejoignit la rue remplie d'immondices et regagna son auberge.
Quelques heures plus tard, il put contempler le travail des petites mains, non seulement Pierrot était excellent imprimeur mais en plus il était doté d'un excellent réseau d'afficheurs. Sur un mur on put ainsi lire ceci :
| Citation: | De la vraie nature de l'Homme
L'Homme est un être rempli de désirs et de passions que l'Église considèrent bien souvent comme nocifs et devant être bridés, mais depuis longtemps l'Homme a bien compris que certains individus avaient besoin d'être guidés et encadrés dans une certaine mesure. C'est pourquoi, il a su très tôt que certains comportements mettraient la survie de l'humanité toute entière et l'ordre des sociétés en danger. Rapidement il a créé des règles d'organisation et des sanctions à l'encontre de ceux qui tenteraient de nuire à ces sociétés et donc à l'avenir de l'humanité.
Or, cette capacité à se prendre en charge est bien souvent oubliée de l'Église aristotélicienne. Le libre-arbitre est jugé comme nuisible et incompatible avec la Foy, peut-être parce qu'il conduit irrémédiablement l'Homme à s'interroger sur le bien fondé des choses ou sur le danger qu'elles peuvent représenter, et à s'opposer à ce qu'ils considèrent comme injustifié.
Peut-être se fonde-t-elle, parce qu'Aristote considérait que l'intellect, ou plus exactement la vie selon la raison, était de nature divine et que les Hommes étaient des êtres irréfléchis, néanmoins il leur reconnaît aussi un côté noble qu'ils doivent s'efforcer d'écouter si ils veulent accéder à l'éternité. Il reconnaît à l'Homme, en particulier l'Homme politique la capacité à discerner le juste et le bon. L'Homme serait donc un être doté de raison à l'image de Dieu ? Pour Christos les choses sont plus claires, l'Homme est doté de raison et c'est à travers elle qu'il comprend sa Foy. Et c'est ainsi qu'il dit à ses disciples : « La raison et le mysticisme permettent tous deux de comprendre Dieu, chacun d'eux se retrouvant dans chacun de nous. A vous de trouver votre chemin vers le Très Haut en vous inspirant de la raison d'Aristote et de mon mysticisme. »
Dès lors l'on remarque que l'Église aristotélicienne s'est éloignée de cette vision, se réservant la faculté d'user de Raison afin d'imposer ce qu'elle considère comme l'absolue vérité sur les choses du monde, et ce en ne tenant même pas compte de la vraie nature de l'Homme. Celle d'un être qui par sa capacité de parole et sa faculté de réflexion s'est hissé au-dessus des autres créatures, a su aussi entendre et ressentir au fond de son cœur les choses relevant du divin.
Ainsi tous les individus devraient pouvoir forger leur pensée avec le temps, comme jadis l'eût fait Aristote, en observant les choses et en se trouvant confronter à de nouvelles problématiques. Or si on lui dicte sa manière de se comporter, il perd cette capacité. Le monde dans lequel il vit n'est plus qu'une chose immobile qui lui devient peu à peu étrangère.
Les Hommes rejettent les institutions qui souhaitent leur imposer une vision unique du monde et des choses. Ils souhaitent participer à la vie publique et à l'évolution de leurs sociétés, car comme l'écrivit Aristote, d'une part « l'humanité est donnée à l'Homme en puissance » et de l'autre « ainsi pour vivre hors de la cité il faut être soit une bête, soit Dieu. »
Les Hommes ne tolèrent plus qu'on les considère comme des êtres faibles à qui l'on ne peut jamais faire confiance, incapables de discerner le bien du mal. Ils découvrent enfin qu'ils peuvent être capables d'user de raison pour vivre leur Foy, ou encore changer leur monde en usant de raison et sans pour autant se détourner du mystique.
C'est pourquoi je ne crois pas que l'hostilité envers l'Aristotélicisme mettent réellement en péril ses fondements. Non, si certains s'opposent à cette institution appelée Église et à ceux qui règnent sur elle, ce n'est pas parce que les textes religieux ne sont plus entendus par les Hommes, c'est parce que le pouvoir religieux qui s'est créé autour est devenu sourd. Il n'a pas su évoluer et prendre en considération la vraie nature de l'Homme. Elle a voulu se hisser entre Dieu, les prophètes et les saints, et l'humanité toute entière, non plus comme un simple guide, mais comme un organe pouvant imposer, sanctionner et se mêler des affaires temporelles.
Mais l'Homme reprend peu à peu ses droits, son droit à la Foy et à la Raison, son droit à la justice et son droit d'agir en citoyen.
L'ange helvète |
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bourrike

Inscrit le: 11 Mai 2008 Messages: 442 Localisation: contre les réformés, tout contre
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Posté le: Dim Jan 23, 2011 11:15 am Sujet du message: |
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Et là, on put voir l'évêque de Genève, bien placée pour savoir exactement de quoi il s'agissait, exploser de rire, nerveusement bien sur
Cela faisait plusieurs années qu'elle supportait plus ou moins bien selon les périodes la mentalité de pas mal d'helvètes
et là, elle lisait la manifestation de leur mentalité
Elle prit donc la parole, expliquant aux différents intervenants ce que ses propres yeux avaient constaté.
"je vais donc vous dire ce qui se passe chez nous
d'abord les Lions de Judas, réformés de tous poils.
Envoyaient-ils un réformé couard tenter d'évangéliser pour la réforme les terres aristotéliciennes? et alors, c'était la marque de la liberté. LEUR liberté, parce que quelques semaines avant, ils ne se gênaient pas, cromwell le premier, pour me menacer de procès si je ne mentionnais pas sur l'église du village qu'ils l'ont depuis longtemps reculée hors des murs de Genève.
Ils ont fait main basse sur la cathédrale bâtie, comme chacun le sait, avec les deniers de Rome et des fidèles aristotéliciens.
Mais eux ont le droit
le droit de menacer corporellement la sacristaine de la ville, au point que celle-ci a fini par demander dérogation au non port d'armes tellement elle se sentait menacée.
Et quand ils envoient un de leurs suppôts venir salir la foy des Savoyards, et que le Duc de Savoie fait mine de vouloir leur répondre par les mêmes arguments, alors ils montent une armée et envahissent la Savoie.
Et vous pensez qu'ils en font quoi de leur Sacro-Sainte liberté là?
Vous ne trouvez pas qu'elle ne s'applique qu'à eux?
Parce que les Savoyards n'ont pas voulu de la réforme, on les envahit, les annexe, les affame?
et tout cela paraît juste à certains?
Il est où le libre arbitre quand on donne comme choix au peuple "rejoins nous ou meurs de faim"?" _________________
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Giscard Invité
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Posté le: Dim Jan 23, 2011 4:14 pm Sujet du message: |
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Le jeune homme passa sa main dans sa magnifique chevelure blonde et écouta la femme parlait, considérant là qu'il ne devait s'agir que d'une harpie romaine comme tant d'autres. Il aurait pu l'ignorer et ignorer ses propos, mais la tentation de lui répondre était trop forte. Il ne put résister bien longtemps.
Dame, mes respects.
Plus hypocrite, on faisait difficilement, mais le jeune homme considérait qu'il fallait toujours faire semblant d'être poli avec les femmes, religieuses ou pas, laiderons ou non. Il s'avança un peu plus d'elle et inclina la tête, avant de lui offrir son plus beau sourire et de lui tenir ce langage.
Je suis helvète, Madame, ma mère était une laïque genevoise et mon père un curé comtois, alors permettez que je critique votre position et vous expose mon point de vue.
Il fit une pause et poursuivit :
Vous dîtes que les réformés ont arraché des mains aristotéliciennes, la cathédrale de Genève, je le sais, tout le monde le sait. Mais Dame, permettez-moi de vous rappeler que seuls des religieux se sont opposés à cette confiscation, nulle part je n'ai vu les fidèles aristotéliciens genevois, se précipiter en masse pour récupérer leur cathédrale. C'est bien malheureux de perdre ainsi son lieu de culte, mais ce n'est pas comme si vous étiez à la rue. De plus, un jour ou l'autre, il faudra prendre en considération le fait que vous n'êtes pas majoritaire et que comme c'est le cas en politique, l'opposition, la minorité est bien souvent malmenée.
Que vous vous sentiez menacée je peux le comprendre aisément, mais ne croyez-vous pas que c'est ce que ressentent aussi les réformés lorsqu'ils sont minoritaires dans certaines provinces impériales ou françaises ? Bien sûr que si et eux aussi sont menacés physiquement. Vous vivez votre aristotélicisme à Genève, de la même manière que réformés peuvent vivre leur Foy dans d'autres contrées, oppressés, chassés, maltraités, attaqués...
Ensuite, je vais me permettre de revenir sur vos propos concernant la Savoie. Que vous considériez comme suppôt un réformé allant tenter de convaincre des aristotéliciens de rejoindre la Réforme, je le conçois très bien, puisque vous êtes un membre de l'autorité romaine et considérez que la Réforme est l'oeuvre de la Créature sans Nom.
Mais quant à vous laissez dire que le Duc de Savoie a fait mine de répondre par les mêmes arguments, je demeure perplexe, si pour vous employer une armée pour mettre à mal une pauvre poignées de réformés venus tenter de recruter de nouveaux fidèles, alors votre conception de la réponse est particulière. Ce fut une réponse disproportionnée et qui d'ailleurs ne colle pas avec les valeurs de l'Eglise Aristotélicienne, car sans vouloir vous manquez de respect Madame, il m'a semblée entendre que la prise des armes n'était justifiée qu'en dernier recours, lorsque les mots ne suffisent plus. Ici, je ne crois pas qu'il y ait eu une discussion ou encore que l'Eglise ait usé de son Verbe pour repousser l'envahisseur réformé. Une armée a tué des citoyens genevois sans véritables justifications et c'est tout.
Alors après il est facile de dire que la Savoie a été envahie et martyrisée. Mais à ma connaissance, la Savoie a commencé les hostilités en utilisant des moyens guerriers pour tenter de venir à bout de la Réforme qui gagnait son territoire. En attaquant des citoyens genevois, en connaissant leur mentalité, ils auraient dû se douter que cet acte ne resterait pas impuni. Les savoyards n'ont pas voulu de la Réforme ? Vous devriez plutôt dire : les savoyards n'ont pas voulu d'une guerre, d'une invasion et enfin d'une annexion ? Ce serait plus juste. Car certains savoyards n'ont pas attendu l'arrivée de réformés pour se convertir à la Réforme. Aussi je crois que certains ont oublié quelques petites choses ; lorsqu'une province prend la décision de tuer des ressortissants étrangers, il faut s'attendre à des représailles.
Cette annexion ne fut pas juste, elle fut légitime, car c'était la guerre. Quant à affamer la population, des amis savoyards ne m'ont pas dit qu'ils souffraient de la faim, ils m'ont dit que les mines se portaient bien et que le marché était assez organisé. Et puis entre nous, la grande majorité de la population d'Annecy n'a pas eu l'air de trouver la présence de Genève déplaisante, puisque visiblement les genevois sont restés assez longtemps sans être chassés. Comme toujours Madame, c'est la lassitude de la grande majorité des populations pour la vie publique qui conduit à laisser faire les pires attrocités et ce d'où qu'elles viennent.
Oui, certains ont raison de dire qu'il s'agit d'une guerre avec un fond religieux, mais c'est assez simple de dire ça alors que vous savez comme moi, que Genève n'est pas une ville comme les autres, son modèle politique diffère des autres modèles politiques de nos contrées et sa religion aussi. Dès lors, dire qu'il s'agit d'une guerre de religion ou d'une guerre politique c'est presque obligé. C'est aussi ce que doivent penser les réformés genevois lorsqu'ils voient des aristotéliciens amoureux des modèles monarchiques débarquaient chez eux, vous ne croyez pas ?
Il croisa les bras et attendit qu'on daigne lui répondre. Il savait les romains plus prompts à se lamenter qu'à débattre. Le débat avait tendance à toujours tourner autour des mêmes choses et jamais aucun d'eux ne reconnaissait ses erreurs. |
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Hobb

Inscrit le: 17 Fév 2008 Messages: 3285 Localisation: Genève et Thorens /Savoie
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Posté le: Dim Jan 23, 2011 6:58 pm Sujet du message: |
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Le Hochmeister Teutonique Hobb, Commandeur des Armées Croisés venait prendre ses ordres pour lancer la croisade contre la République Réformée de Genève.
Comme son titre le permettait il traversa la Place d'Aristote à Cheval.
Il entendit Monseigneur Bourrike répondre à un quidam que Hobb pourra qualifier de drôle après l'avoir entendu lui.
-" Dominus Vobiscum Monseigneur Bourrike. Je constate que vous allez bien mieux. Si vous voulez profiter de mon escorte pour remonter vers la Savoie à nouveau réunie, libérée de la tyrannie des Réformés et de leurs alliés brigands."
Puis il s'adressa au drôle.
-" Ce que vous dites est entaché de mensonges, vous êtes un fumiste.
Les Etats responsables et soucieux du bien de leur peuple, ne s'acoquinent pas à des brigands.
Les prétextes de La République Réformée de Genève sont fallacieux. Se sont toujours les mêmes. Cette victimisation ne marche plus.
Des preuves de la malveillance des Réformés qui brigandent, comme ce Sancte encore un jour avant la nouvelle année pour prélever l'impôt réformé, voilà la vérité.
Ses propos sont ceux des fourbes réformés et des sbires du Lion de Juda.
Pour la Savois j'y étais alors que commençaient les bruits de cliquetis de l'Armée de Genève. J'ai croisé certains réformés qui répandaient leurs mensonges à Annecy.
Les provocations de ceux là ont été orchestrées par Izaac et Cromwell.
Tout endoctrinement par des réformés est fausse religion et contre le pouvoir des peuples libres.
Que l'on se saisisse de ce manant et qu'il soit traîné dans un cul de basse fosse. Je reviendrais lui remettre les oreilles dans le sens de la marche à mon retour de Genève.
Retour que j'espère vainqueur ! Car les Gentils c'est nous !"
Le Teutonique, remis son heaume à tête de molosse anglois d'où pendaient 7 plumes de paon, attribut réservé des Hauts Dignitaires.
Il portait la cape blanche frappée de la croix noire sur ses épaules.
Le milites tenait, de la main senestre, les rênes de son misaudor Wotan qu'il avait acquis après la mort de son destrier Tapfer devant les remparts d'Angers, alors que lui même fut gravement blessé. _________________

Curé de Genève Maire de Genève (5 jours) - Dit "48%" ! Prince de Lausanne, Baron de Saltara |
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Notwen

Inscrit le: 29 Mar 2008 Messages: 30
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Posté le: Dim Jan 23, 2011 7:13 pm Sujet du message: |
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Notwen entendit parler de Genève, s'approcha, et sursauta en entendant autant d'erreurs.
- Pardonnez-moi jeune homme, je vis depuis fort longtemps à Genève, on dit même que je serais la plus ancienne des Aristotéliciens de Genève, et le respect qu'on doit à la vérité m'oblige à vous reprendre :
| Giscard a écrit: | | Vous dîtes que les réformés ont arraché des mains aristotéliciennes, la cathédrale de Genève, je le sais, tout le monde le sait. Mais Dame, permettez-moi de vous rappeler que seuls des religieux se sont opposés à cette confiscation, nulle part je n'ai vu les fidèles aristotéliciens genevois, se précipiter en masse pour récupérer leur cathédrale. | Vous n'avez jamais du venir à Genève, jeune homme.
Je vous y invite, la cathédrale vous est ouverte, je m'y recueillerai en votre compagnie si vous le souhaitez.
En effet, nous les Aristotéliciens genevois, nous recueillons dans la cathédrale régulièrement, comme tous les Aristotéliciens des royaumes.
Qu'est-ce qui vous fait croire le contraire ?
Vous dites que seuls des religieux se sont opposés à une confiscation.
1) Il n'y a eu aucune confiscation, bien au contraire : un accord qui satisfaisait tous les fidèles.
2) Un religieux, ou plutôt un juriste religieux, a refusé d'officier dans la cathédrale, et a dit des messes en solitaire ailleurs, pendant que nous tous, les Aristotéliciens genevois, continuions à prier dans la cathédrale.
| Citation: | | un jour ou l'autre, il faudra prendre en considération le fait que vous n'êtes pas majoritaire | C'est vite dit.
Ce sont surtout les réformés qui ne sont pas majoritaires à Genève. Tous les voyageurs qui y passent s'en rendent bien compte.
| Citation: | | Vous vivez votre aristotélicisme à Genève, de la même manière que réformés peuvent vivre leur Foy dans d'autres contrées, oppressés, chassés, maltraités, attaqués... | J'ai vécu mon aristotélicisme à Genève depuis ma naissance, et jamais je n'ai été oppressée, ni chassée, ni maltraitée.
Attaquée, oui, par des croisés il y a 2 ans et par des Savoyards depuis 7 ou 8 mois.
| Citation: | | Que vous considériez comme suppôt un réformé allant tenter de convaincre des aristotéliciens de rejoindre la Réforme, | De qui parlez-vous ?
La guerre a commencé quand les Savoyards ont assassiné des MA venant livrer du poisson commandé par la mairesse de Chambéry.
Vous, quand vous commandez un vêtement à votre tailleur, vous n'assassinez pas son livreur, j'imagine ?
| Citation: | | si pour vous employer une armée pour mettre à mal une pauvre poignées de réformés venus tenter de recruter de nouveaux fidèles, | Pas une poignée : Deux hommes venant livrer une charrette de poisson.
C'est contre ces deux hommes, honorablement connus, que le Duc de Savoie a envoyé ses troupes il y a de ça 7 ou 8 mois.
Il les a ensuite mis en procès pour avoir attaqué son armée. Il faut oser.
| Citation: | | lorsqu'une province prend la décision de tuer des ressortissants étrangers, il faut s'attendre à des représailles. | C'est là l'une des rares choses exactes que vous disiez, jeune homme.
| Citation: | | Quant à affamer la population, des amis savoyards ne m'ont pas dit qu'ils souffraient de la faim, ils m'ont dit que les mines se portaient bien et que le marché était assez organisé. | Exact aussi : je suis moi-même venue approvisionner le marché d'Annecy, notamment en vêtements dont il était incroyablement dépourvu.
Imaginez que ce duché laisse ses habitants sans chemise ni braies pour se vêtir.
| Citation: | | certains ont raison de dire qu'il s'agit d'une guerre avec un fond religieux, | Ah ?
Assassiner des livreurs de poisson serait un acte religieux ?
Notre religion n'a jamais prôné l'assassinat, c'est contraire aux principes aristotéliciens.
Nous, Aristotéliciens genevois, aurions aimé que l'Eglise ramène les Savoyards à la raison et au respect des valeurs aristotéliciennes.
Il n'est d'ailleurs pas trop tard. _________________ Notwen de la Concorde aristotélicienne pour un monde de Paix et de Fraternité,
Doyenne de la Faculté de Théologie à l'Université de Berne
http://chrrserk.xooit.com/t3237-Guide-comment-etudier-efficacement-en-Voie-de-l-Eglise.htm |
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Giscard Invité
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Posté le: Dim Jan 23, 2011 7:55 pm Sujet du message: |
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Le jeune homme se tourna vers le teutonique.
Fumiste... Ah c'est ainsi que vous considérez ceux qui ne sont pas d'accord avec vous et que vous souhaitez faire taire ? Et bien messire comment voulez-vous qu'on vous respecte après avoir montré tant de haine à mon égard, tandis que je n'ai absolument pris parti pour personne ? Je n'ai donné ni raison ou tort à Genève, ni donné raison ou tort à l'Eglise. Qui êtes-vous pour vous permettre d'interdire aux gens de débattre en place publique ? Inutile de vous présenter, votre costume parle pour vous et hélas en mal ! Sur ce bon combat !
Priant pour que l'animal croisé meurt avant le début des combats à genève, il se tourna vers une genevoise qui s'adressait à lui. Il lui sourit et la salua comme l'on doit saluer une belle jeune femme, s'inclinant respectueusement devant elle.
Vous me reprenez mais vous semblez ne pas m'avoir bien écouté, si je puis me permettre, vous dîtes :
| Notwen a écrit: |
En effet, nous les Aristotéliciens genevois, nous recueillons dans la cathédrale régulièrement, comme tous les Aristotéliciens des royaumes.
Qu'est-ce qui vous fait croire le contraire ? |
Dame, je n'ai jamais dit le contraire, jamais, je ne sais pas d'où vous sortez cela.
Quant au terme confiscation, je l'ai utilisé, car c'est comme une confiscation que l'autre Dame semble percevoir le fait que les réformés utilisent la cathédrale. Pour ma part je sais très bien qu'un simultaneum a été proposé, pour que les deux communautés puissent partager le lieu de culte et y faire leurs rassemblements selon des jours choisis. Je sais aussi que le religieux que vous citez refusait d'officier dans la cathédrale sans doute parce qu'il considérait que cette dernière avait été souillée par la présence réformée.
Il ajouta :
| Notwen a écrit: | | De qui parlez-vous ? La guerre a commencé quand les Savoyards ont assassiné des MA venant livrer du poisson commandé par la mairesse de Chambéry. Vous, quand vous commandez un vêtement à votre tailleur, vous n'assassinez pas son livreur, j'imagine ? |
Ah mais Madame vous ne m'avez pas écouté. La personne qui a parlé en premier lieu de suppôt tentant de convertir à la Réforme, c'est cette Dame...
Montrant d'un signe de tête l'autre femme.
Je lui ai moi aussi demandé de qui elle parlait, parce que je sais pertinemment que le Duc de Savoie n'a pas tué des prédicateurs réformés, mais des marchands. Et que c'est de là qu'est parti la guerre, du fait que la Savoie ne veuille pas s'excuser vis à vis de ce massacre gratuit, notamment.
| Notwen a écrit: | | Assassiner des livreurs de poisson serait un acte religieux ? Notre religion n'a jamais prôné l'assassinat, c'est contraire aux principes aristotéliciens. |
Vous savez comme moi qu'avec l'Eglise aristotélicienne tout prend une qualification religieuse. Ces livreurs de poissons étaient considérés comme réformés, alors les assassiner est un acte politique mais aussi religieux, puisqu'il s'agit à la fois d'un acte impliquant un duché et une république, mais surtout des acteurs aristotéliciens et réformés. Vous savez ce qu'on dit de ces marchands de poisson ? Qu'ils sont réformés et qu'ils ne font pas que transporter du poisson mais aussi les idées de la Réforme, c'est un point de vue que certains aristotéliciens partagent et le pouvoir politique savoyard aussi, mais ce n'est pas le mien cependant.
Haussement d'épaules.
Quant à savoir si il n'est pas trop tard. Madame j'espère comme vous qu'on puisse encore sauver Genève d'un massacre. Mais la Savoie semble refuser pertinemment de reconnaître l'assassinat des marchands, vous savez aussi que l'Eglise aristotélicienne n'a pas terminé la Croisade de l'hiver dernier et surtout vous savez que l'Empire qui se construit à présent aimerait bien voir Genève retourner dans son giron. Alors la paix... même en priant très fort, pas sûr que nous l'obtenions. Ma maîtresse est comme vous, elle espère encore... mais sans doute la connaissez-vous... elle n'est plus en odeur de sainteté en ces lieux, car elle affectionne Genève et prend régulièrement sa défense.
Il se pencha à l'oreille de la genevoise.
Certains romains pensaient d'ailleurs même l'assassiner lors de la crise d'Anjou, et ce bien qu'elle y soit allée dans le but de déloger le conseil ducal en proie à l'angevinisme, c'est du moins une rumeur qui court... |
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bourrike

Inscrit le: 11 Mai 2008 Messages: 442 Localisation: contre les réformés, tout contre
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Posté le: Dim Jan 23, 2011 10:45 pm Sujet du message: |
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Voir arriver les réformés et pseudo réformés à la rescousse la mettait quasi en joie
'Dame Notwen, il faudrait écouter comme il faut avant de répondre à ce jeune homme
Quant au fait que vous soyiez aristotéliciene, peuh, vous êtes une vendue qui désire conserver les avantages de la boulasse In Gratibus, et c'est tout. Je vous ai assez souvent vue à l'oeuvre à soutenir la réforme et ses sbires pour vous connaître comme vous êtes et non comme vous désirez paraître!
Vous vous enrichissez sur le dos du peuple en spéculant à outrance, comportement bien peu aristotélicien, puisque vous profitez de votre prochain, c'est tout ce que vous êtes, un monstre de vénalité vendu au mieux offrant, et à Genève, le mieux offrant, c'est le Lion.
Quant à vous jeune homme, d'après la description que vous me faites de vous même, je présume que vous êtes le fils de gaia et Pons d'Agoult, non? le défroqué et la catin de la réforme?
Ces braves gens qui crachent sur l'église Aristo et se pointent tous les dimanche à la messe In Gratibus car voir s'échapper le moindre profit sonnant et trébuchant leur pèle le ventre?
Eh bien voilà deux jolis exemples de morale Genevoise, vendus l'un et l'autre, qui viennent défendre leurs amis brigands.
Parce que ces mêmes réformés ont quand même demandé l'aide de l'Hydre, jargor, les lunes pourpres, pour envahir la Savoie.
Comportement hautement moral s'il en est n'est-ce pas? Guerre à visée uniquement de défense? mais voyons, et l'appel aux forces truandes de tous poils que vous défendez? une merveille de moralité? aussi? non, un ramassis de truands qui a tout fait pour entrer en guerre et se servir dans les caisses de la Savoie pour s'enrichir
C'est tout ce que ceux que vous défendez sont!!" _________________
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Giscard Invité
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Posté le: Dim Jan 23, 2011 11:24 pm Sujet du message: |
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Le jeune homme éclata de rire aux propos de la religieuse.
Dame, heureusement que l'économie n'est pas aristotélicienne car nous serions bien malheureux à vivre du même salaire et à posséder les mêmes biens. Ce qui fait l'intérêt du marché c'est qu'on y trouve de tout à tous les prix. Vous parlez de spéculation, mais savez-vous que si elle paraît injuste, elle est aussi bien utile ? Figurez-vous que lorsqu'un individu spécule, il gagne de l'argent mais il fait aussi gagner de l'argent à la personne à qui il a acheté le bien sur lequel il a spéculé. Ca permet à deux personnes de vivre.
Il observa les bâtiments autour avant de poser son regard de nouveau sur la harpie.
Le fils de Pons et de Gaïa. Je ris Dame... Non je ne suis pas leur fils, j'ai leur âge ce serait difficile d'être leur fils. Aussi pour votre gouverne, mon père est devenu curé après s'être noyé dans le regard et le décolleté de ma mère. Si cela peut vous rassurer, je suis à leur image, je ne suis pas un modèle de vertu et vous l'aurez remarqué, j'aime mettre mon nez partout, mais surtout sous les jupons des jolies femmes. Mais enfin contrairement à mon père, je ne laisse pas des enfants partout.
Il sourit à nouveau, par pure provocation.
Guerre à visée unique de défense ? Vous savez de quoi vous vous parlez Dame, votre croisade n'est-elle pas une guerre de défense de la Foy aristotélicienne. Quelle hypocrisie ! Quant à l'appel lancé à des gens du Royaume de France et de l'Empire dont la moralité passée n'a pas été contrôlée une merveille de moralité ? Non, un ramassis de soldats sanguinaires qui fera tout pour revenir de la Croisade glorifiés et lavés de tous leurs péchés. |
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Notwen

Inscrit le: 29 Mar 2008 Messages: 30
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Posté le: Lun Jan 24, 2011 3:42 am Sujet du message: |
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Notwen entendit la dame vociférer ses insultes et calomnies...
Dame,
que d'inepties... j'ai toujours été aristotélicienne, alors que vous n'étiez même pas née.
La boulasse In Gratibus ?
Si j'en avais voulu j'aurais postulé pour officier comme curé de Genève, nous en avons si longtemps été privé.
Je mène une vie spéculative, comme toute théologienne aristotélicienne, si ça vous déplaît vous m'en voyez désolée. Mais pas seulement spéculative. Toute l'Helvétie sait que mes actes quotidiens sont :
- faire partager la prospérité à tous nos fidèles genevois,
- maintenir la Concorde entre tous.
Genève est la ville la plus peuplée d'Helvétie, la plus prospère, et il y règne la Concorde. Je vous invite à y venir, vous pourrez le constater de vos yeux.
J'ai toujours préféré la Concorde à la discorde, et la prospérité à la misère.
Je promeus l'une et l'autre autour de nous.
Si vous souhaitez participer, vous êtes la bienvenue.
Se tournant vers le jeune homme :
Pardonnez moi si je vous ai attribué des erreurs que vous n'auriez pas dites, j'avais l'impression que vous acquiesciez aux propos de la dame, justement, en parlant de "confiscation" de la cathédrale.
Vous savez, j'ai contribué à la sauver des flammes quand un brigand l'a incendiée, et à la reconstruire après le drame. Je l'aime, notre Cathédrale ! _________________ Notwen de la Concorde aristotélicienne pour un monde de Paix et de Fraternité,
Doyenne de la Faculté de Théologie à l'Université de Berne
http://chrrserk.xooit.com/t3237-Guide-comment-etudier-efficacement-en-Voie-de-l-Eglise.htm |
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Clodeweck

Inscrit le: 10 Juil 2006 Messages: 6447
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Posté le: Lun Jan 24, 2011 8:53 am Sujet du message: |
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Je me permets d'interrompre votre conversation pour apporter à tous une bonne nouvelle.
La fausse déclaration du Berry ayant été analysée par nos experts en écriture, il se trouve que
- Les fautes d'orthographe
- les problèmes de majuscules
- les fautes de français
- le style "gamin" et certains barbarismes présents sur cette déclaration, nous ont permis d'identifier celui qui en est l'auteur. Nous avions déjà des faux en notre possession du même auteur et il fut facile de les rapprocher. C'est un habitué de ce genre de chose qui pèche par orgueil et se croit souvent plus intelligent que la moyenne...Se croit seulement !
Certains témoignages nous ont permis de le confondre.
Je transmet donc le dossier aux plus hautes autorités dès ce jour.
Voilà une bonne nouvelle ! _________________ Clodeweck de Montfort, pèlerin, prêcheur, homme de foy contre l'adversité.
Quand on a plus rien à prouver, rien à perdre, rien à gagner on peut parler vrai. (Cloclo 1°) |
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Giscard Invité
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Posté le: Lun Jan 24, 2011 9:44 am Sujet du message: |
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Le jeune homme ne put s'empêcher de répondre à la jolie genevoise.
Peut-être auriez-vous du laisser la cathédrale dans l'état où elle était, parce que visiblement la tolérance et la concorde ne sont pas des termes que certains en ces lieux comprennent. Ils mettent tout le monde dans le même panier, au risque de se tromper au sujet des gens, mais ça peu importe pourvu qu'ils démontrent qu'ils ont raison. En tout cas ils vous ont envoyé une sacrée bonne femme pour prêcher la religion aristotélicienne.
Il rit en regardant la religieuse, il adorait les femmes de caractère. Un autre religieux prit la parole, il l'écouta attentivement, ne pouvant s'empêcher de secouer la tête d'un air approbateur à ses propos. De toute évidence et dès le départ, il eût s'agit d'un faux et même sans expertise on l'eût constater. |
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Clodeweck

Inscrit le: 10 Juil 2006 Messages: 6447
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Posté le: Lun Jan 24, 2011 10:03 am Sujet du message: |
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Puisque nous en sommes là, jeune homme, je me présente, père Clodeweck, bien des gens ont la même tenue à Rome. Ceci étant fait je voudrais connaitre ta définition des mots que tu viens d'employer.
- Tolérance et concorde ?
En effet, il semble acquit que pour se comprendre il faut que les mêmes mots aient le même sens pour chacun des locuteurs. _________________ Clodeweck de Montfort, pèlerin, prêcheur, homme de foy contre l'adversité.
Quand on a plus rien à prouver, rien à perdre, rien à gagner on peut parler vrai. (Cloclo 1°) |
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