L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Rehael]

C'était au tour du gonfanon de la Garde épiscopale et pontificale Romaine d'être hissé.



Rehael avait lui même servi très longtemps dans la GE en tant que Premier Aumônier et Premier Magistrat, années qui étaient restés gravées dans sa mémoire. Aussi, il avait un pincement au coeur en prononcant les paroles suivantes :

J'appelle a présent à me rejoindre Son Eminence Cyril Kad d'Azayes, Préfet et représentant de la Garde épiscopale et pontificale Romaine, ainsi que tout les membres de la GE ayant participés à la croisade !

[gbe_gratien]

Gratien avait obtenu permission pour se rendre à Rome. Il reconnut de nombreux soldats du très Haut.

Puis, il aperçut la garde épiscopale. Il se dirigea vers eux. Il reconnut Mgr Uriel qu'il salua d'un amical sourire. Il était toujours heureux de revoir son ancien maître de pastoral. Que de temps avait passé ... cela lui semblait une éternité.

Il attendit alors la suite des événements dans son uniforme impeccable de capitaine épiscopal.
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Gratien du Bas Ermitage dict GBE - Garde épiscopale - Aspirant-vidame du Diocèse de Besançon - Franche-Comté

[Melian]

Melian reçut sa médaille à son tour, puis l'accolade du Maistre, avant de s'en retourner à sa place aux côtés de son époux. Elle souriait, mais son regard était perdu dans le vague.

Une fois qu'elle fut assise, ses prunelles noires fixèrent un point imaginaire devant elle. Comment ne pas repenser à tous ces blessés, au fracas de la bataille, mais aussi aux injures et aux mauvais traitements divers qu'ils avaient subis...

Elle secoua la tête, s'efforçant de se concentrer sur la suite de la cérémonie alors que leurs Frères et Sœurs de la Garde Episcopale et Pontificale se voyaient récompensés à leur tour.
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[xena]

xena se rendit à la chapelle sous les ordres de son vidame.
Vêtue de son plus bel uniforme d'aspirant-lieutenant, elle entra , se signa et salua tous ses fréres et soeurs.
Elle aperçue le capitaine gratien, le salua avec un salut militaire et un large sourire.
Puis, se rangea aux côtés de ses fréres et soeurs en écoutant attentivement la céremonie
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[Eavan]

Eavan était là. Droite comme un I. Elle avait salué les prises de paroles. Il fallait de telles prises de parole. Pour que surtout aucun d'entre eux, aucun des milites des SA, aucun, ne se sente abandonné des siens, qu'aucun ne pense n'être qu'un pion, qu'un pantin, qu'aucun ne pense que ses mérites n'en soient pas. Elle était émue, la jeune femme, de suivre cette cérémonie. L'Anjou n'avait pas été une mince affaire. C'était le moins que l'on puisse dire. Ce coup d'éclat des Saintes Armées avait aussi gravé beaucoup de noms des leurs dans le marbre des stèles. Trop, il y en avait toujours trop de ces gravures là.
La Vidame controlait depuis quelques instants déjà des vagues d'émotion aux souvenirs d'Anjou. Un nom et un visage s'imposaient : Lorinil, sergent de Montélimar. Un milites fidèle. Jusqu'à la mort pourrait elle maintenant ajouter à son grand regret. Mais la jeune femme ne céderait pas à son émotion. Parce que d'abord, tout ceux qui la pensait de pierre ne comprendraient pas un tel épanchement, et qu'ensuite, si l'heure était au souvenir il était aussi au sentiment d'accomplissement.

A ses cotés les gardes provencaux. Et l'étendard de la Vidamie, qui jouait avec les couleurs filtrant des vitraux. Si aujourd'hui Eavan était droite et fière, c'était d'eux, de ses gardes, pas des vitraux, même si elle avait relevé la superbe de l'architecture et de la verrerie de la Chapelle comme à chaque fois qu'elle y mettait les pieds d'ailleurs. Et lorsque le Préfet fut appelé à son tour et la Garde avec lui, la jeune femme était prête à emboiter le pas aux autres milites estampillés GE.
Ils avaient tous soufferts durant les combats, comme les autres frères et soeurs des SA. Mais si cette cérémonie était une reconnaissance de leur mérite et un devoir de mémoire attendus, ce n'était pas l'Anjou qui hantaient les nuits de la provençale, mais plutot Genève et ses problèmes quotidiens.
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[Cassiel]

La jeune femme avait reçu un message de Monseigneur Cagi, la pauvre était alitée depuis déjà quelques jours, elle était blessée suite a de vif combat. Elle n'avait pas quitté son lit depuis trop faible et couverte de diverses blessures. Elle était fort surprise en voyant la missive qu'on lui avait envoyé et se demandait bien pourquoi elle allait recevoir une récompense. La jeune femme était tellement surprise, elle n'avait fait que ce qu'on lui avait demandé.

On fit venir une couturière pour lui faire un uniforme plus ample étant donné que la pauvre était couverte de pansement. On l'aida ensuite à s'habiller et on fit venir une carriole pour lui permettre de se rendre sur les lieux qu'on lui avait mentionné. Des membres de l'équipe soignante l'avait accompagné et l'assistaient pour soulager ses douleurs et s'occuper de ses blessures.

Une fois arrivée à destination, on la conduisit sur les lieux où des médailles étaient déjà distribuées. Elle entendit le nom du défunt mari de sa soeur et eu un pincement au coeur à l'annonce de ce dernier. Elle alla donc prendre place là où on lui dit d'aller et attendit calmement tout en écoutant la cérémonie. Déjà le Cardinal faisait l'appel des gardes, elle alla prendre place auprès de ses frères et soeurs gardes, elle ne voulait surtout pas montrer sa faiblesse, après tout elle était une battante. La jeune Sergent s'aligna donc avec les autres et se tient debout de son mieux.

[Kad]

C'est d'une inclinaison de la tête que le cardinal remercia l'Ordenskaplan Teutonique Monseigneur Graoully de cette proposition qui tombait à pique. Prenant le bras de son confrère, il lui indiqua de la crosse épiscopale, nichée en sa main libre, le regroupement des gardes épiscopaux. Ayant rejoint son contingent, il parcouru d'un regard satisfait ses honorables confrères et consœurs puis vint se placer aux côtés de Monseigneur Cagi, son estimé second, et non en tête de cortège. Le Préfet n'avait rejoint que tardivement le front angevin dans les armées croisées du Bourbonnais-Auvergne et de la Bourgogne en raison d'une retraite prolongée. Nul n'ignorait que son adjoint, Monseigneur Cagi, avait géré l'essentiel de la mobilisation pour le compte de la Garde Épiscopale.

Marchant au pas, la troupe rejoignit Son Éminence Tibère de Plantagenet, son vieux confrère de la Garde Episcopale, devenu désormais son supérieur hiérarchique a sein de la Congrégation des Saintes Armées. Le Préfet des Vidames de s'incliner non sans émotion.

Éminence, Garde Épiscopale toujours à vos ordres, pour vous servir.
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[Rehael]

Rehael vit s'avancer son cousin Kad d'Azayes, avec qui il avait fait les 400 coups, du temps ou ils étaient tout deux en poste en Languedoc et même encore bien après. Il murmura :

On se fait une bouffe après la cérémonie ?

Il s'avisa que Cagi, qui s'était avancé à côté de Kad, le regardait d'un drole d'air. Il se reprit alors :

Puisse cette médaille symboliser toute la reconnaissance des Saintes Armées envers la Garde épiscopale, dont les bardes et ménéstrels chanteront encore longtemps l'héroïsme en Anjou !

Sur ces mots, Rehael s'approcha de Kad puis saisit la médaille que lui tendait le garde pontifical et lui agrafa, avant de lui donner l'accolade, et de faire de même pour le Préfet Adjoint, Monseigneur Cagi .



Le second garde pontifical déroula un nouveau parchemin, et prononca d'une voix forte la liste des gardes épiscopaux décorés de la médaille de la croisade.
Ils défilèrent un à un devant le Cardinal, celui ci leur agrafant à chacun solenellement la médaille avant de leur donner l'accolade.

[Graoully]

Bras dessus bras dessous, les deux évêques remontèrent alors la nef pour se joindre aux membres de la GE. Chacun appuyé sur sa crosse, les soutanes traînant quelque peu par terre, nul doute que Messeigneurs Kad et Graoully devaient faire impression dans cette chapelle Milites Dei.

Arrivé devant le Plantagenêt, il se tint un pas derrière le cardinal Kad pour que celui-ci puisse recevoir sa médaille. Il entendit alors la remarque de Rehael, et sourit.

Voyons éminence, pas ici !
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[Kad]

C'est le sourire aux lèvres que l'Azayes accueillit la proposition de Son Éminence Tibère. Il était vrai que leurs disponibilités ne coincidant pas toujours, voici désormais bien longtemps qu'il n'avaient eu l'occasion de se réunir autour d'un copieux festin. Les orgies Romaines savaient revêtir moult formes plus surprenantes les unes que les autres. Après avoir opiné à l'invitation, le Préfet se montra désireux de rassurer l'Ordenskaplan Teutonique, jouant sur un quiproquo volontaire :

Certainement pas ici, Monseigneur. Nous n'allons pas souper dans la basilique, il y fait bien trop frais.

Il reçu l'accolade avec plaisir, attendit que Monseigneur Cagi et chacun des gardes soient décorés à leur tour, une mélancolie indescriptible le saisissant à l'évocation des médailles décernées à titre posthume. La guerre comme le temps leur avait retiré de bien éminents confrères, militaires chevronnés ou en devenir. Demeurant silencieux, il ne prit la parole, laissant à son fidèle adjoint l'opportunité de revenir sur cette mobilisation et le rôle de la Garde Épiscopale. Monseigneur Cagi avait œuvré efficacement au cours de cette campagne, s'érigeant bel et bien comme une pièce indispensable du dispositif, s'il était encore utile de le démontrer...
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[Graoully]

Voulant rétorquer à la blague de Kad, l'abbé agrippa de la main un bout de la soutane de Kad et la releva de quelques centimètres une fraction de secondes, découvrant alors les chausses cardinalices. Souriant, il glissa aux deux cardinaux.

En effet, les courants d'air sont ici nombreux !
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[kevindesflandres]

Le Vidame de Besançon se rendit à la Chapelle Milites Dei vêtu de son uniforme de cérémonie. Il se mit au garde à vous aux côtés de ses frères et sœurs fier d'appartenir à cette famille qu'est la Garde Épiscopale.

Il se souvint alors de toutes les mobilisations auxquels il avait participer fier de défendre l'Église et tous les fidèles.

[cagi]

Marchant dans les pas de SE Kad, Cagi l.e suivi jusqu'aux abords de l'autel ou attendait Rehaël

Le préfet-adjoint se demanda quelques instants ce que voulaient dire les regards entre le préfet et SE Réhaël, puis voyant les œillades complices il comprit que ces deux la se connaissaient bien et qu'ils devaient avoir un passé commun.

Il reçu l'accolade et prit fièrement la médaille que on lui tendait, s'adressant au cardinal il prit la parole.

C'est une grande fierté pour moi se servir l'église Aristotélicienne et de défendre ses valeurs a travers le Royaume et au delà.

Puis se tournant vers les bancs et regardant plus particulièrement le groupe de garde qui attendait de venir chercher leur médaille.

Je voudrai surtout vous dire combien je suis fier des gardes épiscopaux, oui vous mes frères et sœurs, qui servent tout les jours avec abnégation, qui passent beaucoup de temps loin de leur foyer, faisant passer leur foi avant leur famille et amis au péril de leur vie.
C'est aujourd'hui pour moi l'occasion de vous dire merci, merci de vous battre courageusement pour nos valeurs.

Le préfet-adjoint sourit aux gardes présents et embrassa l'assemblée du regard. De nombreux frères et sœurs des OMR étaient présent également, ils avaient servi cote a cote en Anjou et ailleurs, il en reconnaissait plusieurs, de vaillants soldats.
Une grande joie empli le cœur de Cagi d'être en ce lieu en compagnie d'hommes et de femmes courageux. Il se recula, faisant signe aux gardes d'approcher afin de recevoir leur juste récompense.

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[viviemoi]

vivie arriva très en retard , elle était loin et en mission , elle eut la missive de Mgr Cagi et fit de suite demi tour pour Rome
elle arriva enfin , épuisée mais présente salua avec respect puis se faufila honteuse près de ses supérieures

[xena]

c'est avec grande émotion que xena regarda se dérouler les décorations.

Quand arriva le moment d'être décorée, xena fut emprise d'une énorme émotion. Elle put se contenir et reegarda ses collégues se faire décorés.

Elle écouta attentivement les paroles de ses supérieurs et approuva les paroles de monseigneur cagi. Mais plkus encore que cette décoration, xena fut fière de son engagement et fière de pouvoir servir l'eglise aristotélicienne.
Pour elle, cette médaille n'est que le commencement de son engagement dans la garde. Une décoration qui donnera surement du bon morant et du courage pour la campagne en Savoie.
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