L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Rehael]

Le Camerlingue et Connétable repris place sur l'estrade qui avait été dressée au bord du Tibre, juste devant la grande croix aristotélicienne qui avait été dressée.

L'espace était noir de monde. Des gens en armes de tout horizons et de tout pays, à l'image de l'immense mouvement aristotélicien qui s'était levé pour combattre l'hérésie et mettre à bas celui qui voulait détruire tant l'Eglise que le Royaume. Tout ces gens étaient unis par les épreuves qu'ils avaient traversés : c'était des frères d'armes.

Il pris la parole d'une voix forte.

Mes chers frères et soeurs, fils et filles,

Je ne vais point reprendre un long discours que j'ai déjà eu l'occasion de faire à plusieurs reprises. Il m'importe simplement de vous remercier chaleureusement, tous et toutes, pour votre bravoure. Sachez que vous avez impressionnés le monde entier.

Vous tous, issus de tant de pays et de provinces différentes, êtes désormais des frères d'armes, et cette croisade a créé un immense mouvement de solidarité entre les royaumes et les provinces aristotéliciennes. Des ponts ont été dressés que rien ne pourra plus détruire. Vous tous vous êtes levés pour vous opposer à la tyrannie et pour faire triompher le bien et la justice.

Vous avez, par votre foy et votre abnégation, triomphés de l'hérésie et mis à bas l'hérétique Eusaias. Celui-ci pensait pouvoir tous vous détruire, et c'est vous qui avez prouvés au monde qu'a chaque fois que le Mal tentait de détruire le Bien, des hommes et des femmes de bonne volonté se mobiliseraient pour lutter. Vous avez été capable de soulever des montagnes et vous avez gagnés. Félicitations à tous.

Gloire et honneur aux croisés !

Il s'interrompit un instant, puis appela les premières personnes à traverser la haie d'honneur des gardes pontificaux et à venir monter sur l'estrade.

J'appelle Trixolas, Alexandre Olund, et tout les combattants bourguignons !



The Camerlengo and Constable picked up on the stage that had been erected on the banks of the Tiber, just before the great Aristotelian cross that had been erected.

The space was packed with people. People in all walks of arms and any country in the image of the great Aristotelian movement that had risen to combat heresy and bring down those who would destroy both the Church and the Kingdom. All these people were united by the trials they crossed: they were brothers in arms.

He spoke in a loud voice.

My dear brothers and sisters, son and daughters,

I will don't take the point a long speech I had the opportunity to do several times. It just important for me to thank you very much, everyone, for your bravery. Know that you have impressed the world.

All of you from so many different countries and provinces are now brothers in arms, and this crusade has created a huge movement of solidarity between the kingdoms and provinces Aristotelian. Bridges have been prepared that nothing can destroy. You all have risen to oppose tyranny and for the triumph of good and justice.

You, by your faith and your sacrifice, triumphing of heresy and taken down the heretic Eusaias. It thought it could destroy you all, and it is you who have proven to the world that whenever the evil trying to destroy the good, the men and women of good will mobilize to fight. You were able to move mountains and you have earned. Congratulations to all.

Glory and honor to the crusaders !

He paused a moment, then called the first people to cross the guard of honor of the Papal guards and come up on the stage.

I call Trixolas and Alexandre Olund, and all Burgundy fighters

[Makcimus.]

Ils étaient là les Teutoniques... L'Ordensmarschall n'avait pas voulu que les Teutoniques soient tous rassemblés ensemble les uns à coté des autres.. Non, c'était bien une cérémonie en l'honneur des Sanctes Armées et des croisés en leurs ensembles.

Alors, tous étaient mélangés... Comme en les armées Saintes ou ils avaient été tous ensembles, les Santiagos, aux cotés des Templiers ... Les gonfanons teutoniques aux côtés de celui des chevaliers francs et dans une autre lance c'était l'inverse des Templiers avec des Francs ... Unis... Rassemblé... Mélangés étaient les Sanctes Armées et après tout c'était très bien ainsi.


Ensemble, avec les croisés ils avaient combattu et ensemble ils fêtaient leur victoire... Ensemble ils envoyaient avec les autres nationalités un message clair à tous ceux osant défier la Très Sainte Église Aristotélicienne... Vous ne pouvez pas faire ce que vous voulez avec Son Église... Vous ne pouvez pas prêcher le mal, car forcément nous ne vous laisserons pas faire.

Aussi Makcimus serra la main de sa fille en entendant le discours de Son Éminence Rehael. Un coup de coude au Reiter Brage qui était a sa dextre. Nul doute qu'ils pouvaient être fiers de ce qu'ils avaient accompli. Un murmure se propagea parmi la foule... Des gens allaient être mis à l'Honneur et nul doute que les Bourguignons avaient obtenu ce privilège.
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[maxifred]

max écouta le discours de son Éminence Rehael ,lorsqu'il décida d appeler les bourguignons en premier.
Se demandant s il devait aller en premier ou attendre que des personnes montent et lui suivrait par la suite.
Max regarda autour de lui , se dit bon allez , j y vais , il se dirigea
vers l estrade en passant devant la haie d honneur des gardes pontificaux.
Max n avait jamais vu ça il était impressionné mais il ne pouvait , ne devait pas le montrer.Pourtant aillant servit durant 4 années dans l OST de Bourgogne , il aurait dut en avoir l habitude.

Max monta les marches de l estrade une a une , puis se présenta devant , son Éminence , alors il mit un genou au sol et inclina la tête .

Votre Eminance ,je suis a votre service

max resta avec un genou au sol et tête baissé
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[Aorine]

Aorine releva la tête reconnaîssant la voix si familière de Maxi
Il était devenu un grand ami important pour elle, l' idée de ne plus le voir lui faisait mal
Il l'avait aider à avancer grâce à lui et à Istar elle était arrivée à la fin de cette croiade
Et la c était le moment de la séparation
Tout le monde rentraient chez eux...
D un côté qu y avait-il de réjouissant à cela...

Elle le regarda tout en gardant sa place
Elle voulait ce remplire encore de sa présence
Encore un peu...
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[acar]

À l'unisson, tous marchaient en Rome... Le vieux chevalier d'Isenduil, avait grand plaisir d'estre là... Ce jour estait aussi esmouvant que le fut cette dernière croisade contre les sbires du Sans-Nom...

Marchant aux mesmes pas que son espousée, ils avancèrent, tant bien que mal, tant la presse estait environnante, tant les mains se lesvaient pour estre sérrées...

À mieux y regarder, l'on voyait facilement les dommages de guerre... Bras en escharpe, jambes boiteuses, mains fracturées...

Mais ce jour, chacun redressait la voute de son dos pour desfiler fièrement devers le Carmelingue et Connestable, Son Esminence Réhael, chef supresme de cette croisade.

Orsan avait peiné pour ce voyage romain et s'est l'esprit contrarié qu'iscelui avait rejoint son aimée... Le vieux et fidesle compagnon avait prit de l'asge et avait subit plusieurs assauts, ces six derniers mois... La vie de ce roy maudit, en somme, par qui tout avait commencé...

Les Chevaliers Francs avaient esgalement donnés et les corps avaient aussi souffert, mais ceci valait autant pour les fiers Teutoniques, les nobles Templiers, les courageux Santiago, les irresductibles de la Garde Episcopale, sans oublier les valeureux de l'Ordre du Saint Esprit.

S'est alors que le Carmelingue prit parole... Il serra alors doucement la main de sa femme, elle qui avait tant donnée pour nous esviter le pire, chaque jour...
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[Firielle]

Répondant à l'invitation générale faite par le cardinal Rehael, la blonde ayant été à la pointe de cette guerre mêlant son Comté à la croisade, se rendit à Rome pour une cérémonie d'hommage.

Elle vit des têtes qu'elle avait croisé durant les combats, des personnes avec qui elle avait combattu, trancher du royaliste au nom de la foi et de la liberté.

La duchesse prit place au sein de l'assemblée en feignant l'anonymat.

[mili_cia]

Une cérémonie se préparait il était tend de se dépêcher ce dirigeant vers Rome une fois arrivé elle entre dans l’église se signe regardée le monde qui y avait beaucoup qu'elle connaissait, elle se mit sur un banc puits écouté ce qui ce passé
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[Quentin]

Après avoir installé sa tente au campement des croisés et avoir revêtu un vêtement d'apparat, le milites de l'ordre de Santiago alla rejoindre ses frères et soeurs d'armes à la cérémonies qui était donnée par le Cardinal Connétable en leur honneur.
Il se mêla aux autres, heureux de voir tous ceux avec qui il avait passé tous ces mois de mobilisation. Un sacré lien les unissait tous à présent et peu importe l'Ordre qu'ils représentaient, ils étaient avant tout des soldats faisant partis des Saintes Armées et combattaient tous pour la même cause.
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[Lewyne]

Dans ses pensées, Lewyne continuait de se rappeler des combats en Bourgogne. Epaule déboîtée, cuisse gauche transpercée, le procès, la prison et les rats... Elle s'en était bien sorti. Elle regarda la foule continuer de grossir. D'autres aussi avaient dû souffrir.

Elle constata que beaucoup se trouvaient en tenues d'apparat. Une chance qu'elle ai eu le temps pour sa part de troquer ses vêtements de voyage par des habits propres et présentables qu'elle avait placés dans son bagage pour la route. Elle s'était vêtue en toute simplicité avec du certifié 100% Joinvillois : Chemise blanche, braies rouges retenues par une ceinture en cuir, ainsi que les bottes noires offertes par sa marraine dans un temps lointain pour son baptême. Pour compléter le tout un chapeau rouge trônait sur sa tête. Le soleil du sud qui tapait fort en cette saison elle connaissait et elle voulait éviter l'insolation.

Vint le temps du discours qu'elle écouta et alors qu'elle pensait rester parmi tout ces gens incognito à suivre la cérémonie, voici que les combattants Bourguignons étaient appelés à monter sur l'estrade. Elle avait combattue, elle était Bourguignonne...

Coup d'œil sur Trixolas puis vers l'estrade. Elle observa le courageux Maxifred se lancer. Mais quant à elle, elle sentait ses jambes s'ankyloser... Elle agita un peu sa jambe gauche, puis la droite... Et c'est avec le bas du corps qui lui semblait d'une consistance de guimauve qu'elle s'avança vers l'estrade et se plaça pas loin de Maxifred, l'imitant en ployant le genou au sol. Et par politesse elle dit, d'une petite voix qu'elle voulait la moins tremblante possible :

- Bonjour Eminence.

[Trixolas]

Trixolas n'eut pas le temps de s'avancer plus en direction d'Aristokoles que déjà le cardinal Rehael débuta son discours.
Un discours court et simple mais qui toucha le joinvillois plus que de raison, faisant remonter en lui les souvenirs de ce triste hiver 1461.

A l'annonce de son nom, il resta figé quelques instants, le visage empreint de surprise.
Puis il vit Max braver la foule et s'avancer en direction de l'estrade, bien vite suivi de Lewyne, sa forgeronne préférée et accessoirement maire de sa ville natale.
Il leur emboita le pas et, un peu intimidé, chose suffisamment rare chez lui pour le noter, il les imita en posant un genou à terre devant le cardinal.

Eminence.

[kaoticgroup]

la route fut longue pour arriver jusqu’à Rome.

moins longue que la croisade , mais le plaisir était la de retrouver ses compagnons d'armes.

Kaotic serra de nombreuses mains et ecouta le discours qui avait déjà commencé
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[CastelOrAzur]

Rome Rome Rome…

Comme s’il n’était pas déjà las après les semaines passés passées à Dijon, puis à Auch, le Ritter Teutonique devait frôler sa Provence natale pour se taper la cité éternelle !

Il avait toujours eu un faible pour l’Italie. Cependant, il n’était pas franchement d’humeur touristique. Mais le patron avait dit – ou plutôt hurlé : « présence obligatoire ». Donc, le Provençal était là. Au milieu de ses Frères et Sœurs, le trajet avait semblé, il dût l’avouer, légèrement moins pénible que prévu.

Une fois sur place, l’Arlésien se désolidarisa des autres Teutoniques et se mêla à la foule. Dès qu’il capterait le regard de son neveu de Cardinal, il ne manquerait pas de le saluer.

Mais déjà SE Rehael prit la parole marquant le début de la cérémonie…

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- Mateù 'Castel' de Sabran -

[Riwenn]

Firielle n'estait point seule. Elle estait accompagnée de son époux qui lui aussi faisait en sorte de rester anonyme dans l'assemblée.

Chef d'armée, il avait aidé à sa manière mais avait dû faire retraite loin de sa patrie.

Il n'estait pas toujours d'accord avec les décisions prises par Rome mais il ne reniait en rien le faict que les Sainctes Armées leur avaient esté d'une grande aide.

Rome devait évoluer, et cette évolution estait déjà en marche.

Le vieux coms prit place près de sa tendre aimée et attendit la suite de l'événement.




Firielle wasn't alone. She's with her husband who try to be anonymous in the middle of the crowd

As an army chief, he helped as he could but has had to retreat far from his land.

He wasn't always okay with the decisions of Rome but he couldn't deny the great help of the Saint Armies.

Rome had to evolve, and this evolution was already started.

The old count sat next to his tender love and waited for the continuation of the journey.

[catcarai]

La General Catcarai Amansabueyes seguia atentament la cerimònia. Asseguda a prop de Nicolino y del seu comandant i amic Sir_Santi no es perdia cap detall. Tothom escoltava en silenci i mirava atent com els nomenats s'acostaven a l'altar. Sens dubte tots ells havien fet història, realment era un moment emocionant per a tots.


La General Catcarai Amansabueyes seguía atentamente la ceremonia. Sentada cerca de Nicolino y de su comandante y amigo Sir Santi no se perdía ningún detalle. Todo el mundo escuchaba en silencio y miraba atento como los nombrados se acercaban al altar. Sin duda todos ellos habían hecho historia, realmente era un momento emocionante para todos.


La Général Catcarai Amansabueyes attentivement suivait la cérémonie. Assise près de Nicolino et son commandant et ami Sir_Santi elle ne se perdait aucun détail. Tout le monde écoutait calme et regardait  attentif comme les candidats s'approchaient au autel. Certainement ils avaient tous l'histoire, c'était vraiment un moment passionnant pour tous.

[Alexandre.Olund]

Il attendait, silencieux, les bras croisé. Sa tête n'avait bougé que pour laisser son regard passer du sol au ciel, ne semblant pas réellement s'intéresser au monde l'entourant. Ce n'est que lorsque le Cadinal pris la parole que le Sombre baissa son regard sur l'estrade, l'air las comme à son habitude. Il avait observer le Pourpré, écoutant son discours avant de hausser un sourcil à l'invitation à rejoindre l'estrade. Observant la haie se formant il grommela légèrement, lui qui aurait préféré rester seul dans son coin, il repasserait. Il avait pris soin de laisser passer ceux qu'il avait pu voir de loin, ne souhaitant s'exposer en premier.

Avançant finalement il traversa le passage formé par la garde pontificale, montant lentement les marches pour arriver en haut de l'estrade. Observant les hommes à genoux il poussa un soupir, ennuyé. Qui avait donc eût l'idée de leur dire de poser genoux au sol ? Lui qui se serait contenté d'une inclinaison du buste se retrouvait là face à un dilemme. Soit il s'inclinait simplement au risque de passer pour un fainéant et de montrer un manque de respect qui n'en serait pourtant pas un, soit il faisait l'effort de poser genoux au sol, adoptant là une position qu'il haïssait par dessus tout. C'est cependant le second choix qui fut retenu alors qu'il laissa son genoux droit prendre appui au sol, baissant légèrement la tête, sans mot dire.
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