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angelo de montemayor



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MessagePosté le: Dim Juil 06, 2014 9:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Nomination de Palladio à la charge de Scripteur du Saint-Office.



    Nous, Angelo de Montemayor, Chancelier du Saint-Office ,

    Annonçons la nomination de Palladio

    à la charge de Scripteur du Saint-Office .

    Fait à Rome le sixième jours du mois de Juillet de l’an d’Horace MCDLXII, sous le pontificat de Sa Sainteté Innocentius.






Code:
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[list][img]http://img191.imageshack.us/img191/7313/6xux.png[/img]


[color=#009900]
[b][size=18]Nomination de Palladio à la charge de Scripteur du Saint-Office.[/size][/b][/color]


[b]Nous, Angelo de Montemayor, Chancelier du Saint-Office , [/b]

Annonçons la nomination de [color=#009900][b]Palladio

[/b][/color] à la charge de [b]Scripteur du Saint-Office [/b].

[i]Fait à Rome le sixième jours du mois de Juillet de l’an d’Horace MCDLXII, sous le pontificat de Sa Sainteté Innocentius.[/i]



 [img]http://i689.photobucket.com/albums/vv252/Senhordeleiria19/Igreja/angeloseloa.png[/img]

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angelo de montemayor



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MessagePosté le: Mer Juil 09, 2014 11:49 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




Congregationis Sancti Officii.

Canonisation de Saint Paul Aurélien, dit Pol de Léon .

De Nous, Son Eminence Angelo de' Montemayor, Chancelier de la Congrégation du Saint-Office, en Union avec le Sacré Collège de la Curie Romaine et au nom de la Sainte Eglise Aristotélicienne,

Nous déclarons, après examen approfondi par le Cénacle des Théologues et l'analyse de la Sainte Curie, la véracité et la rigueur de l'hagiographie de Saint Paul Aurélien, dit Pol de Léon composée par Soeur Else.

Par conséquent, nous déclarons, après examen que ce fidèle de l'Eglise a bien porté à un niveau héroïque les vertus aristotélicienne, sa canonisation. Il est donc à présent considéré comme un Saint et pleinement participant de l'Eglise triomphante.

Puisse-t-il intercéder pour nous auprès du Très-Haut pour nous inciter à suivre le même chemin de Sainteté qui fut le sien.







Citation:
Hagiographie de Saint Paul Aurélien, dit Pol de Léon



Paul Aurélien (en breton Paol Aorelian) est le patron de la ville de Saint-Pol-de-Léon (Kastell Paol), et l'un des sept saints fondateurs de Bretagne. Il est généralement représenté accompagné d’un petit dragon, par plaisanterie et référence à l’épisode de Dagon de l’île de Batz. Ci-après est contée son histoire, telle que rédigée à sa mort par un moine de ses amis :


A l’heure de la mort de mon ami Pol de Léon, cette plume peut-être consolera mon cœur désolé. C’était un grand homme, assurément, qui me sauva de bien des maux, et si quelque chose peut apaiser encore ma souffrance, c’est bien son souvenir.

Naissance et jeunesse

Paul Aurélien – ainsi le nomma-t-on à sa naissance – vit le jour aux alentours de 490 sur l’Île de Bretagne. Fils d’un guerrier et aîné d’une fratrie nombreuse, il était destiné à la carrière des armes. Dès son jeune âge, cependant, il montra un goût hors du commun pour l’étude et la religion. Il ne consentait à combattre qu’un jeune chien turbulent, judicieusement prénommé Dragon, qui pillait la maisonnée et terrorisait le voisinage. Dans l’innocence de la jeunesse, il crut que l’on pouvait combattre un animal en lui opposant les conseils de Christos. Plus tard, Pol eut souvent l’occasion de me raconter combien je lui rappelais ce molosse, non seulement par mon nom, mais par ma conduite. Je dois dire qu’il avait raison.

Le père de Pol, averti du comportement de son fils, en rit d’abord et le morigéna bien, car il ne faut point traiter les bêtes comme des hommes ; mais il vit aussi que l’enfant avait beaucoup à donner, et consentit à confier son éducation à un monastère. Il fit on ne peut mieux.

Education et premiers pas en tant que clerc

Pol put ainsi s’adonner en toute quiétude à l’étude des textes sacrés et à la pratique de la vertu. Il eut pour condisciples Samson, Brieuc et Malo, et tissa avec eux une solide amitié qui devait porter, plus tard, bien des fruits.

Arrivé à l’âge d’homme, il émit le souhait de fonder un tout petit monastère loin de tout, avec deux ou trois frères pour unique compagnie. Son supérieur, cependant, qui le connaissait bien et savait son goût de la solitude, le mit en garde. Il lui prouva nettement que son projet ressemblait à un ermitage : or, la vie retirée n’est pas bonne pour les hommes. Pol Aurélien plia devant la justesse de cette raison. Hier encore, après toute une vie de bienfaits, il associait encore son vieux maître à ses prières et le remerciait de l’avoir gardé de son erreur.


Le départ en Bretagne, la digue

Il ne prit jamais goût aux honneurs. Jugeant un jour sa mission accomplie, il refusa de revêtir le vert des évêques, et insista auprès du roi pour être libéré de sa charge. Il souhaitait se joindre à un groupe de prêtres en partance pour l’Armorique, et continuer là-bas sa mission. Marc'h lui en accorda la permission à contrecœur. Pol gagna donc la côte, et, en attendant le bateau, séjourna une semaine dans le monastère où sa sœur était abbesse. Il usa de ce temps pour faire construire aux moniales une digue protégeant l’édifice menacé par les eaux. C'était bien peu de temps, en vérité, pour un si grand et si solide ouvrage, et je m'étonnai de cette prouesse lorsque Pol me la raconta. Mais il sourit modestement, et me rappela qu'avec l'aide de Dieu, les choses les plus étonnantes peuvent être accomplies.


Ayant gagné par bateau l’île d’Ouessant, les voyageurs y édifièrent un petit oratoire afin que le Très Haut ne fut pas oublié en cette terre alors pauvre et peu peuplée. Mais Pol Aurélien se souvint du conseil de son ancien supérieur, et vit qu’ils ne devaient pas s’attarder plus longtemps dans cette solitude. Il laissa donc l’un de ses compagnons sur place avec les habitants, et les autres reprirent la mer. Le second débarquement eu lieu sur les côtes du Léon, dans un petit village dont le nom s’est perdu. Ils y bâtirent une église. C’est ce village qu’on appelle aujourd'hui communément le village de Pol, en l’honneur du très vertueux homme qui en fut le curé.

La clochette

Pendant la construction de l’église, Pol Aurélien reçut la visite des pêcheurs, qui apportaient un gros poisson pris au rivage pour le déjeuner des travailleurs. Quelle ne fut pas leur surprise lorsqu'ouvrant le ventre de l'animal ils trouvèrent une petite cloche. Paul Aurélien se pencha pour l'examiner, et sourit :
    « Cette cloche, dit-il aux pêcheurs, me parait toute semblable à celles que le roi Marc’h possédait, et dont on se servait pour appeler les convives à dîner. Comme je lui priai de m’en donner une, en gage d’amitié, lorsque je le quittai, il me la refusa. La voici, ou bien c’est un hasard signifiant, et je vous appelle tous à partager notre repas. »

Je ne sais ce qu’il voulut dire par ce mot, ni même s’il manquait une clochette au dîner du roi Marc’h ce soir là, mais je sais que Pol aurait invité les pêcheurs à manger avec eux même sans cet événement.

Le seigneur de l’île de Batz

Il y avait sur l’île de Batz un seigneur mal aimé, grand et fort, et si vorace qu’il pouvait dévorer tout un bœuf en un repas. C’est du moins ce qu’on en disait. On disait aussi qu’il transperçait volontiers tous ceux qui se dressaient sur son chemin, cruel qu’il était, colérique, orgueilleux, jaloux de ses richesses et de sa pauvre puissance. En vérité, il méritait fort bien son surnom de « dragon ». J’ai honte de le dire ; car ce seigneur, c’était moi, et nul n’osait m’affronter.

Pol l’osa. Contre le conseil des gens du Léon, il se présenta seul et sans arme face à Dagon de l’île de Batz. Surpris de son audace, et sûr de ma force, je le laissai entrer. Que pouvait cet homme simple, portant une étole en guise d’épée, et un livre en guise de bouclier, contre moi qui aurais su le tuer à main nue ? En vérité, il pouvait beaucoup.

Je ne sais combien de temps il me parla. Nous oubliâmes, je crois, de boire et de manger. Quand nous ressortîmes, mes gens s’écartèrent sur notre passage, non plus de crainte, mais de stupeur ; car je suivais docilement cet homme maigre et simple, et je portais son étole autour du cou. Et tandis que je parcourais mon domaine, mes yeux s’ouvrirent sur tout le mal que j’avais causé. Pol me mena jusqu’au rocher le plus au nord de l’île, et sur mon souhait profond, me donna le baptême. Je voulus quitter Batz et le suivre, mais il me l'interdit. J'avais encore bien des choses à accomplir, dit-il, avant de me permettre de choisir ma voie, car j'avais beaucoup de mal à réparer. Je restai donc, et bâtis sur son conseil un monastère.

Le séculier et le régulier

Lui non plus ne menait pas encore la vie qu'il se serait choisi, même s'il le méritait bien davantage que moi. Il disait souvent : le temps n'est pas encore venu. Avec l’aide de ses vieux amis Samson, Brieuc et Malo, ainsi que d'un certain Tudy dont il fit la connaissance, Pol Aurélien résolut en effet de répandre dans la région une foi solide, et pour cela de prêcher et d’agir pour le bien de tous. Ils s’éparpillèrent donc aux quatre coins des pays d'ici.

Mais bien qu’il se soit débarrassé de son penchant pour la solitude, le désir d’une vie monastique ne l’avait pas quitté. Lorsqu’il vit que l’édifice tenait bon, et qu’il trouva quelqu’un pour s’occuper de l’église de sa ville, il se retira donc dans le monastère de Batz où je le rejoignis bientôt.

Ma bougie s’éteint, et le jour se lève, tandis que je termine cette histoire de mon guide et ami. Je sais déjà qu’il ne fera pas le choix de revenir : sa vie fut bien remplie. J’entends nos frères moines rire, en murmurant que le vieux dragon veillera son vainqueur six jours encore, et je rirai avec eux, si je le peux, en hommage. Et lorsqu’il sera temps, je leur conseillerai de faire enterrer les restes mortels de Pol non pas ici, à Batz, mais dans la ville qu’il aimait. Je crois bien que c’est ce qu’il aurait voulu.


Rédigé par Dagon, moine de l'île de Batz, en l'an 594, et traduit par la Sœur Elisabeth Kermorial en août de l'an 1461



Appendice

On a cru bon de préciser l'épisode de la digue que Pol Aurélien fit construire aux moniales, juste avant son départ de Grande Bretagne. Dans une lettre adressée à son saint frère, la sœur de Pol, la mère Abbesse Sicofolla, a écrit :
    Sais-tu, cher frère, que nous rions encore du mot que te dit notre sœur Gwenna : « On ne fait pas travailler les filles » ? Elle en rit elle-même, et répète souvent que tu as eu raison de la contredire, et de nous associer à cet ouvrage miraculeux. Il remplit merveilleusement son office. En vérité, il faut parfois rappeler aux femmes qu’elles valent autant que les hommes. Loué soit Christos, pour l’avoir fait.

Il convient également de produire quelques mots d'une lettre que Pol reçut du roi Marc'h, peu de temps après l'épisode de la clochette, et qui confirme la supposition de Dagon :
    J'ai eu bien tort, mon ami, de te refuser le dernier présent que tu me demandais. J'étais trop fâché de te voir partir, et je te présente mes excuses. Du reste, le Très Haut m'en a puni, dirait-on, car il manque désormais une cloche à mon service.

Les sources rapportent encore ce mot de Pol, adressé selon certaines à la moniale qui refusait de construire la digue, et selon d'autres à Dagon de l'île de Batz désirant le suivre juste après sa conversion :
    « On ne fait pas toujours ce qu’on veut, enfin, quoi, à la fin. »


Reliques : la clochette de Marc'h, conservée dans l'église de Saint Pol de Léon, ainsi que l'étole mise au cou de Dagon, conservée dans le monastère de Batz.

Fête : 12 mars.

Thèmes de prêche :
- le devoir et les convenances personnelles
- le refus de l'ermitage
- la rédemption des méchants, à l'exemple de Dagon

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angelo de montemayor



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MessagePosté le: Sam Juil 12, 2014 11:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




      Nomination au Cenacle des théologues
      Soeur Else est nommée théologue du Saint Office Romain


    Nous, Angelo De' Montemayor, cardinal de la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine , au nom des théologues réunis en Cénacle, devant le Très Haut et sous le regard d’Aristote le Prophète,

    Annonçons :

    La nomination de Soeur Else au poste de Théologue du Saint Office Romain. Cette promotion, eu égard de l'excellent travail qu'elle a fourni en tant que scripteur, a été jugée amplement méritée par les théologues réunis en Cénacle.

    Ad majorem Dei gloriam

    Fait à Rome, le XII du mois de juillet de l’an de grâce MCDLXII de Notre Seigneur






Code:
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[img]http://img191.imageshack.us/img191/7313/6xux.png[/img]
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[b][i]Soeur Else est nommée théologue du Saint Office Romain[/i][/b][/color][/list]

[i]Nous, Angelo De' Montemayor, cardinal de la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine , au nom des théologues réunis en Cénacle, devant le Très Haut et sous le regard d’Aristote le Prophète,[/i]

[b][i]Annonçons :[/i][/b]

La nomination de [color=#28434F][b]Soeur Else[/b][/color] au poste de Théologue du Saint Office Romain. Cette promotion, eu égard de l'excellent travail qu'elle a fourni en tant que scripteur, a été jugée amplement méritée par les théologues réunis en Cénacle.

[i][b][color=#28434F]Ad majorem Dei gloriam[/color][/b]

Fait à Rome, le XII du mois de juillet de l’an de grâce MCDLXII de Notre Seigneur

[img]http://i689.photobucket.com/albums/vv252/Senhordeleiria19/Igreja/angeloseloa.png[/img]


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Teagan
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MessagePosté le: Lun Aoû 18, 2014 10:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




Congregation of the Office of the Saints

Canonisation of Patrick Of Ireland


I his Eminence Teagan, Cardinal Roman elector, Vice Chancellor of the Saints Office, in Union with the Sacred College and on behalf of his Holiness Pope Innocent VIII,

We declare following his canonization that the faithful Patrick by his virtues and miracles is declared a Saint of the Aristotelian Church and that we therefore affirm his participation in the Church triumphant.


Teagan




Citation:




Congrégation de l'Office des Saints

Canonisation de Patrick d'Irlande



J'ai son Eminence Teagan, électeur de Cardinal romain, vice-chancelier de l'Office des Saints, en Union avec le Sacré-Collège et pour le compte de sa Sainteté le pape Innocent VIII,

Après sa canonisation, nous déclarons que le fidèle Patrick par ses vertus et ses miracles est déclaré Saint de l'église aristotélicienne et que nous affirmons donc sa participation dans l'Église triomphante.

Teagan






Citation:

Hagiography of St. Patrick
patron saint of Ireland




His Birth and Early years

St Patrick was born in the year 415.

He was born in the north of England near the Irish border, his father was a deacon and his mother was a simple farm maiden. From his mother he acquired the traits of humbleness,and from his father he acquired great courage as he witnessed his father's preaching to violent pagans in the then wild lands of the north, in which he converted into the faith.

Despite this, his father was a successful shepherd and managed to do his duty to the church, family, and town in equal measures.

Patrick was proud of his father and wanted to follow his footsteps, but unfortunately a band of slave traders took him away.

Slavery

At the age of 16 a band of Celtic raiders took him and the people of his town as slaves to work the fields of Ireland. He did this for 6 years, witnessing first hand the atrocities and falsities the people of Ireland were subject to, no greater atrocity than his own slavery.

It was during this time that Patrick became enlightened and thought of some of his greatest ideas and developed his conviction to end the misery of the people.

One day, as he was reading some sermon from his father’s book when a shamrock fell from his cloak and landed on the page. It neatly landed in the middle of 3 words, such that each of its leaves ended at a word. One leaf pointed to the word God, another leaf pointed towards the word Aristotle and the third pointed toward the word Christos.

Looking at this, Patrick took it as a sign and a way to convert the pagans. These pagans worshiped the shamrock as they saw it as a lucky token. Now Patrick had a way to link it to his faith.

Closing the book, he pressed it hard so that the page remained stained with the green colour of the shamrock.
Patrick was to stain all his works that way, with a shamrock surrounded by god, Christos and Aristotle.

Patrick also realized that the shamrock was also a reflection of the lessons of life his father taught him, of devotion to Church, to family and to the community.

Patrick eventually escaped.

One night he dreamed of a boat that was waiting to take him away. While guiding his sheep past a beach the next morning he met an old man with a boat offering passage to Gaul.
Taking nothing but his green (like the shamrock) cloak a white staff he used to help herd the sheep, some seeds of the shamrock, and a shepherd’s bell, Patrick boarded the boat and headed to Gaul.

His time in Gaul

Patrick spent much time at various monasteries. These were frustrating times for Patrick as he was a man of action, preferring to learn from example and listening while working rather than sitting and reading.
While his father had taught him well, the north of England and Ireland were vast distances away from the centres of learning in Rome and Gaul in which Patrick had learned so much. The people had wandered far since the fall of Oanylone, and it was easy for them to fall foul of false suggestions. No descendents of Noam made it to Ireland, meaning the spark of the true faith did not reach the far island.

While in Gaul, Patrick had a vision of a man coming to him. The man was carrying a shamrock, and some Irish whisky. He held a letter, the heading of which read “the voice of the Irish.” After drinking the whisky, Patrick could hear the sounds and voices of the people of Ireland, They were calling to him “come and walk among us Patrick, we have a need of you.”

This prompted Patrick into action, he had books written, all embossed with Shamrocks, that he will use to spread the faith in Ireland. He had a cloak made to look like it was made of shamrocks. This was another idea of his to help him blend in with the pagans. As a Shepherd he wore a green cloak to blend in with the grass, This allowed the sheep to rest peacefully as there were no bright colours to confuse them.

He traveled to Rome and met the Pope Leon. The Holy Father saw that he was genuine in his beliefs and appointed him as missionary to Ireland in 458. Also at that time, he was consecrated as bishop.


Arrival back in Ireland

On his arrival back in Ireland, Patrick started to preach daily about the life of Aristotle and Christos. He told many stories to the people as they rested after their toil in the fields, and most days he assisted the people with their work and told tales to keep their spirits up. As he walked, his shepherd’s bell would ring, like a shepherd tending to the flock of the Lord.

But he did not have much luck converting them. They listened to him and tolerated him as they could see from his cloak, his staff and his bell that he meant no harm.

One day as he was preaching in a typically cold and frozen paddock overlooking the sea, he was set upon by a band of pagans. These pagans bore the symbol of a serpent on their cloaks and shields.
The Serpent Pagans were the largest of the pagan clans in Ireland, They had been established in the past by settlers from the fall of Oanylone who had witnessed the deaths of many of their family and friends to the snakes which were plentiful in the lands on the way to Ireland.
In many nights that came a snake would come and one of the folk would die to the snakebite.
Finally they crossed the sea to Ireland, and found no snakes. Not understanding the link, they started worshiping the serpent as a god.

As the Druids approached, Patrick took out his white staff, raised it at the Druids and started reciting the stories of Christos. At that moment the sun appeared from behind the clouds and shone straight at the druids. Patrick spoke so powerfully and tapped his Staff loudly on the ground in time with his chanting, that many of the Druids were mesmerized. The Beating of the Staff, created so much noise, and aided by the sunshine, a large ice-shelf snapped off, taking many of the druids with them. The rest fled the lands, and those who witnessed started telling the story of the loud noises that kept the snakes away.

After the people had heard of the event, he found it easier to convert them. He ordained many priests, divided the country into dioceses, held Church councils, founded several monasteries and continually urged his people to show greater devotion to Aristotle, Christos and God.

Everywhere he planted his staff, an Ash tree would grow, and this would form the basis of the garden for the monastery and church.

The people would listen for his bell and await to hear the truth he spread.

The Snake Venom

During his wanderings in Ireland, Patrick would sometimes come to a stronghold of the pagans. These pagan strongholds, celebrated their beliefs by drinking the most strongest, sharpest, and bitter tasting ale or whisky. The pagans called this drink snake venom. And all who could drink it were accepted into the hierarchy and given high positions.
Many tried to drink it, but most spat it out, with their eyes watering and their noses running, much like the effects of the bite from the snake.

Patrick would approach these strongholds and challenged the local leader of the snake pagans to a drinking contest. The person who could drink the most snake venom would be the winner.

And Patrick would then pause, would say a Prayer to Christos, Aristotle and God to bless the drink and proceed to outdrink the pagan. Patrick would still be drinking while the local Pagan leader would be on the floor passed out, and sometimes dead.

Those who watched were amazed, and started believing that by blessing the snake venom as Patrick had done, they too could drink more.

Before leaving, Patrick would then gather up all the "snake venom" and set it on fire, destroying all of it. It is why today the ales and whisky of Ireland are the finest in the world.

It is also why The Irish like to bless their drinks before consuming them.


His Death

Patrick survived all the dueling with the pagans. His Ash Staff and his bell lent him both courage and strength. His cloak of shamrocks helped the people see that he was just like them.
He passed away in the County of Down in 17 march 493. The town was later renamed Downpatrick in his honour.

Relics
While unfortunately his cloak of shamrocks has long disappeared, some relics remain

The Ash Staff remains at his burial Site in Downpatrick
The Bell remains in Killkenny where he had his vision of the boat.

There are 2 texts that survived.

One tells the tales of the battles with the Snake Pagan Worshipers.

Another tells tales of the establishment of the churches and the importance of Christos.

Famous sayings

Citation:
For each petal on the shamrock.
This brings a wish your way
Christos, Aristotle, and God
For today and every day.

Citation:

Don't follow the snake
For it is fake,
Follow Christos,
For he has kissed us.


Patronage: Shepherds, Preachers, Brewers, Ireland
Feast Day: March 17

Translated from the ancient languages into English by His Eminence Teagan





Citation:
Hagiographie de saint Patrick
saint patron de l'Irlande





Sa naissance et les premières années

St Patrick est né en l'an 415 dans le nord de l'Angleterre, près de la frontière irlandaise. Son père était un diacre et sa mère était une simple fille de ferme.
De celle-ci, il a acquis l'humilité, et de son père, un grand courage après avoir été témoin de la violence des païens contre l’évangélisation que celui-ci menait pour les convertir à la foi et dans les contrées alors sauvages du nord. Malgré cela, son père engrangeait les succès et réussit à remplir ses devoirs envers l'Eglise, sa famille et sa ville, sans en négliger aucun. Patrick était fier de son père et il voulut suivre ses traces, mais, malheureusement, une bande de trafiquants d'esclaves le capturèrent.

L'esclavage

À 16 ans, un groupe de Celtes le prirent, ainsi que les gens de sa ville et en firent des esclaves pour travailler dans les champs d’Irlande. Il fit cela pendant 6 ans, témoin de première main des atrocités et des méchancetés dont les Irlandais ont fait l'objet, pas plus atroces cependant que son propre esclavage.
C'est durant cette période que Patrick perfectionna sa pensée et développa ses plus grandes idées pour mettre fin à la misère du peuple.
Un jour, comme il lisait un sermon du livre de son père, un trèfle tomba de son manteau et atterrit sur la page, chacune des feuilles désignant trois mots en particulier. Une feuille souligna le mot Dieu, une autre feuille le mot d'Aristote et la troisième Christos. Patrick y vit un signe et un moyen de convertir les païens. Ces païens adoraient le trèfle car ils le considéraient comme un symbole de chance. Maintenant, Patrick avait une idée sur la façon de le relier à sa foi. Fermant le livre, il le serra fort pour que la page s’imprègne de la couleur verte du trèfle. L’idée de Patrick était de colorer toutes ses œuvres de cette façon, avec un trèfle entouré de Dieu, Christos et Aristote.
Il s’aperçut aussi que le trèfle lui avait inspiré une réflexion sur la vie que son père avait menée au service de l’Église, de la famille et de la communauté.

Patrick finit par s'enfuir. Une nuit, il rêva qu'un bateau l’attendait pour l'emmener. Tout en guidant son troupeau devant une plage le lendemain matin, il rencontra un vieil homme qui lui offrit de le faire passer en Gaule. Ne prenant rien d'autre que son manteau vert (comme le trèfle), un bâton blanc dont il se servait pour guider les troupeaux de moutons, quelques graines de trèfle et une cloche de berger, Patrick monta à bord du bateau et se dirigea vers la Gaule.

Son séjour en Gaule

Patrick passa beaucoup de temps dans divers monastères. Ces séjours étaient frustrants pour Patrick car il était un homme d'action, préférant apprendre de l'exemple et de l'écoute tout en travaillant plutôt que s'asseoir et lire.
Alors qu’il pensait que son père lui avait délivré un très bon enseignement, il prit conscience que le nord de l'Angleterre et l'Irlande étaient à de très grandes distances des centres culturels de Rome et de France et que ses connaissances étaient dépassées. Le peuple avait tant erré depuis la chute d’Oanylone, et il lui avait été si facile de tomber sous le coup de fausses suggestions. Aucun des descendants de Noam n’ayant fait de séjour en Irlande, l'étincelle de la vraie foi n'avait pas atteint l'île lointaine. Il apprit donc beaucoup de son exil.

Alors qu'il était en France, Patrick eut la vision d'un homme qui venait à lui. L'homme portait un trèfle et du whisky irlandais. Il tenait une lettre dont le titre était : "la voix de l'Irlande." Après avoir bu du whisky, Patrick put entendre les sons et les voix du peuple d'Irlande qui l’appelaient: "Venez et marchez parmi nous Patrick, nous avons besoin de vous. " Cela incita Patrick à l’action. Il se mit à écrire des livres avec en relief des empreintes de trèfle, qu'il utilisa pour répandre la foi en Irlande. Il avait un manteau qui donnait l’apparence d’avoir été conçu avec des trèfles. C’était une de ses idées pour confondre les païens. Comme un berger, il portait un manteau vert pour se fondre dans l'herbe afin que les moutons se reposent en paix car il n'y avait pas de couleurs vives pour les apeurer. Il se rendit à Rome et rencontra le pape Léon. Le Saint-Père vit qu'il était sincère dans ses convictions et le nomma missionnaire en Irlande en 458. Toujours à cette époque, il fut consacré évêque.

Son retour en Irlande

A son retour en Irlande, Patrick commença à prêcher au quotidien la vie d'Aristote et de Christos. Il raconta beaucoup d'histoires aux gens après leur labeur dans les champs, et la plupart du temps, il aidait les gens dans leur travail et racontait des histoires pour les aider à garder le moral. Comme il marchait, sa cloche sonnait, comme un berger qui guide le troupeau du Seigneur. Mais il n’eut pas beaucoup de succès. On l'a juste écouté et toléré car on pouvait voir à son manteau, sa personne et sa cloche qu'il ne voulait aucun mal aux gens.

Un jour qu'il prêchait dans un enclos ouvert à tous vents et où régnait un froid intense à cause de la proximité de la mer, il fut attaqué par une bande de païens. Ces païens portaient le symbole du serpent sur leurs manteaux et des boucliers. Ils appartenaient à l’un des plus grands clan païens d'Irlande. C’étaient des descendants de colons venus d’Oanylone dans le passé, colons qui avaient été les témoins de la mort de plusieurs de leurs parents et amis tués par des serpents qui étaient abondants dans les terres qu'ils avaient parcourues pour arriver en Irlande. Aussi ces colons rêvèrent-ils, durant de nombreuses nuits, qu’un serpent venait et qu’ils mouraient tous de ses morsures. Mais, quand ils arrivèrent en Irlande, les serpents avaient disparus. Ne comprenant pas ce mystère, ils crurent que le serpent était un dieu et commencèrent à le vénérer.

Un jour que les païens approchèrent de lui, Patrick prit son bâton blanc, le leva vers eux et commença à raconter la vie de Christos. A ce moment, le soleil apparut de derrière les nuages et darda directement ses rayons sur eux. Patrick parlait avec tant de force et frappait si fort le sol avec son bâton pendant qu’il chantait qu'ils furent nombreux à être comme hypnotisés. Les mouvements du bâton créaient tant de vibrations, qu’aidé par eux et le soleil, un large morceau de glace se rompit, en emportant nombre d'entre eux dans sa chute. Les autres fuirent la contrée et bientôt l'histoire de la fuite des Serpents fut connue de tous.

Après que les gens eurent entendu parler de l'événement, il lui fut plus facile de les convertir. Il ordonna alors beaucoup de prêtres, divisa le pays en diocèses, tint de nombreux conciles, fonda plusieurs monastères et continuellement exhorta son peuple à montrer la plus grande dévotion pour Aristote, Christos et Dieu.
Partout où il plantait son bâton, un frêne apparaissait, ce qui devait constituer la base des jardins des monastères et des églises. Partout les gens guettaient le son de sa cloche et étaient impatients de l’entendre propager la vérité.

Du venin de serpent

Au cours de ses pérégrinations en Irlande, Patrick tombait parfois sur des bastions de païens. Dans ces endroits, ils célébraient leurs croyances en buvant les bières et whiskys les plus forts, les plus corsés et les plus amers. Ils appelaient ces boissons "venin de serpent". Tous ceux qui pouvaient le boire étaient acceptés dans la hiérarchie et on leur offrait de hauts postes. Beaucoup tentaient de le boire, mais la plupart le recrachait, avec des yeux larmoyants et le nez coulant, comme s'ils avaient été mordus par un serpent.
Patrick entrait dans ces bastions et proposait au chef local des païens un concours de boisson. Celui qui pourrait boire le plus de "venin de serpent" serait le vainqueur. Patrick faisait une pause, disait une prière à Christos, Aristote et à Dieu, bénissait la boisson et s'appliquait ensuite à boire plus que le païen. Patrick était encore à boire que le chef local était étendu sur le sol, évanoui, parfois même mort. Les témoins de ces duels étaient fascinés. Ils commençèrent à croire qu'en bénissant le venin de serpent comme l'avait fait Patrick, ils pourraient en boire davantage eux aussi.
Mais avant de les quitter, Patrick faisait rassembler tous les flacons et fioles et mettait le feu, détruisant toute la boisson. C'est pourquoi les bières et whiskys irlandais sont aujourd'hui les meilleurs du monde.

C'est aussi la raison pour laquelle les Irlandais bénissent leurs boissons avant de les consommer.

Sa Mort

Patrick a survécu à tous les duels avec les païens. Son bâton de frêne et sa cloche lui prêtèrent à la fois courage et force. Son manteau de trèfles le faisait accepter par tous comme l'un des leurs. Il est décédé dans le comté de Down le 17 mars 493. La ville a été rebaptisée en son honneur Downpatrick.

Reliques

Alors que, malheureusement, son manteau de trèfles a disparu depuis longtemps, quelques reliques existent encore, notamment son bâton de frêne, sur le lieu de sa sépulture, à Downpatrick, et sa cloche, à Killkenny, là où il a eu la vision du bateau.

Deux textes ont également survécu. Le premier raconte les batailles avec les adorateurs païens du serpent. L'autre raconte la création des églises et l'importance de Christos.

Citations célèbres
Citation:
Pour chaque pétale d'un trèfle
Il y a un signe sur votre chemin :
Christos, Aristote, et Dieu
Pour aujourd'hui et chaque jour.


Citation:
Ne suivez pas le serpent
Car il est faux,
Suivez Christos
car il nous a embrassés.


Patronage : les bergers, les prédicateurs, les brasseurs, l'Irlande
Fête : 17 Mars

Thèmes de prêche :
- Conversion.
- De l'origine des bénédictions de boulasse en Irlande.

Traduit des langues anciennes en anglais par Son Eminence Teagan, puis en français par Monseigneur Pie de Valence, évêque de Langres




Enriique a écrit:
Hagiografía de San Patricio
Santo Patrón de Irlanda.



Su Nacimiento y Primeros Años


San Patricio nació en el año 415.
Nació en el norte de Inglaterra, cerca de la frontera irlandesa, su padre era diácono y su madre era una simple soltera de granja. De su madre había adquirido los rasgos de humildad, y de su padre adquirió un gran valor ya que fue testigo de la predicación de su padre a los paganos violentos en las tierras salvajes y luego del norte, en la que se convierten a la fe.
A pesar de esto, su padre era un pastor exitoso y logró cumplir con su deber a la iglesia, la familia, y la ciudad en partes iguales.
Patricio estaba orgulloso de su padre y quería seguir sus pasos, pero lamentablemente una banda de traficantes de esclavos se lo llevó.

Esclavitud

A la edad de 16 de una banda de asaltantes celas lo tomaron a él y a la gente del pueblo como esclavos para trabajar los campos de Irlanda. Lo hizo durante 6 años, siendo testigo de primera mano de las atrocidades y falsedades del que pueblo de Irlanda fueron objeto, no mayor atrocidad que su propia esclavitud.
Fue durante este tiempo que Patricio se iluminó y algunas de sus más grandes ideas se fueron desarrollando con la idea de poner fin a la miseria de su pueblo.
Un día, mientras leía algún sermón del libro de su padre un trébol cayó de su manto y se posó en la página. Este aterrizó perfectamente en el medio de 3 palabras, de tal manera que cada una de sus hojas terminaba en una palabra. Una hoja se refirió a la palabra Dios, otra hoja apuntando hacia la palabra de Aristóteles y la tercera apunta hacia la palabra Christos.
Mirando esto, Patricio lo tomó como un signo y una forma de convertir a los paganos. Los paganos adoraban al trébol como ellos lo veían, como un símbolo de suerte. Ahora Patricio tenía la forma de conectarlos a su fe.
Cerrando el libro, lo apretó con fuerza en forma que cada página quedó manchada con el color verde del trébol.
Patricio fue a manchar todas sus obras de esa manera, con un trébol rodeado de Dios, Christos y Aristóteles.
Patricio también se dio cuenta de que el trébol es también un reflejo de las lecciones de la vida que su padre le enseñó, de la devoción a la Iglesia, a la familia y a la comunidad.
Patricio escapó finalmente.
Una noche soñó con un barco que lo estaba esperando para llevárselo. A la mañana siguiente, mientras pastan sus ovejas en frente de una playa, se encontró con un anciano que le ofreció un viaje en barco a Francia.
Tomando nada más que su manto color verde (como el trébol) un bastón blanco que se utiliza para ayudar a rebañar a las ovejas, algunas semillas de trébol, y la campana de un pastor, Patricio subió a la barca y se fue a Francia.

El Tiempo en Gales

Patricio pasó mucho tiempo en diferentes monasterios. Eran tiempos frustrantes para Patricio porque era un hombre activo, prefiriendo aprender y escuchar en el trabajo, en lugar de sentarse y leer.
Su padre le había enseñado bien, pero el norte de Inglaterra e Irlanda eran distantes y lejos de los centros de aprendizaje en Roma y Francia, donde Patricio había aprendido mucho. El pueblo se había apartado mucho de la Oanilonia caída, y era fácil para ellos ser víctimas de falsas enseñanzas. Tenían creencias descendientes de Noame en Irlanda, lo que significa que la chispa de la verdadera fe no había llegado a la isla lejana.
En Gales, Patricio tuvo una visión de un hombre que se acercaba a él. El hombre llevaba un trébol y un poco de whisky irlandés. Llevaba una carta, cuyo título era "La voz de los irlandeses". Después de beber el whisky, Patricio comenzó a oír los sonidos y las voces de la gente de Irlanda. Ellos lo llamaban, "Ven y camina en medio de nosotros Patricio, te necesitamos."
Esto llevó a Patricio a ponerse a trabajar. Tenía todos los libros escritos en relieve, con los tréboles, que fue utilizado para difundir la fe en Irlanda. Había un manto que parecía estar hecho de tréboles. Era otra idea para ayudarse a mezclarse con los paganos. Como un pastor que llevaba una capa verde para confundirse con la hierba y las ovejas. Esto le permitió descansar en paz porque no había colores brillantes.
Él fue a Roma y se reunió con el Papa León. El Santo Padre, vio que su fe era sincera y le hizo misionero en Irlanda en 458. En esta ocasión, fue consagrado obispo.

De Vuelta en Irlanda

A su regreso a Irlanda, Patricio empezó a predicar cada día de la vida de Aristóteles y Christos. Él dijo muchas historias a la gente mientras ellos descansan de sus labores en el campo, y la mayoría de los días los ayudó con su trabajo y siempre contaba historias para levantar el ánimo. Cuando caminaba su campanilla sonaba, como un pastor que conduce al rebaño del Señor.
Pero no tuvo mucha suerte en convertirlos. Ellos lo escuchaban y le toleraban porque vieron su capa, su bastón y una campanilla de que era una buena persona.
Un día, mientras estaba predicando en un frío estable y congelado cerca del mar, fue atacado por una banda de paganos. Estos paganos llevaban el símbolo de una serpiente en sus capas y escudos.
Las Serpientes paganas eran las más grandes del clan pagano de Irlanda, creado en el pasado por los colonos de la Oanilonia caída que había presenciado la muerte de muchos de sus familiares y amigos sólo por algunas serpientes que eran abundantes en las tierras de Irlanda.
En muchas noches una serpiente venía y la gente moría a causa de la mordedura de serpiente.
Sin comprender el vínculo, comenzaron adorar a la serpiente como un dios.
Tan pronto como llegaron los druidas, Patricio sacó su bastón blanco, y lo sostuvo frente a los druidas empezando a recitar las historias de Christos. En ese momento el sol se asomó entre las nubes e iluminó directamente a los druidas. Patricio habló con tanta fuerza, golpeando el bastón que cayó al suelo al mismo tiempo que la mano, que muchos de los druidas fueron hipnotizados. Los golpes de la vara, que creó mucho ruido, con la ayuda del sol, hicieron que un gran iceberg se rompiera, llevándose muchos de los druidas. El resto huyó, y los que sobrevivieron comenzaron a contar la historia de los ruidos fuertes que mantenían las serpientes a distancia.
Después de que la gente había oído hablar del caso, le resultó más fácil convertirlos. Ordenó a muchos sacerdotes, dividió al país en diócesis, los consejos de la Iglesia, fundada en poder de varios monasterios y continuamente instó a su pueblo a mostrar una mayor devoción a Dios, Christos y Aristóteles.
A donde quiera que plantara su báculo, un fresno crecería, y esto sería la base del jardín para el monasterio y la iglesia.
La gente oía su campanilla a la espera de escuchar la propagación de la verdad.

El Veneno de Serpiente

Se dice que durante sus viajes por Irlanda, Patricio, una vez que llegó a una bastión de los paganos. En este bastión celebraban sus creencias paganas bebiendo más fuerte y agudo, y la cerveza repugnante mezclada con whisky amargo. Los paganos llamaron a esta bebida "Veneno de Serpiente". Todos los que podían beber fueron aceptados en la jerarquía, y se les dio altos cargos.
Muchos trataron de beber, pero la mayoría la escupió en los ojos irritados y la nariz, al igual que los efectos de la mordedura de la serpiente.
Patricio llegaba a estos fuertes y pondría en entredicho el líder local de los paganos a un concurso de beber. La persona que bebe más veneno de serpiente sería el ganador.
Patricio, en una pausa, decía una oración a Dios, Aristóteles y Christos bendiciendo la bebida para luego proceder a beberlo con goce de sueldo. Patricio era capaz de beber más y más, mientras que el líder Pagano cayó desmayado al suelo, y, poco después, murió.
Los asistentes quedaron asombrados y comenzaron a creer que, bendiciendo el veneno de serpiente, al igual que Patricio, también ellos habrían sido capaces de beber más.
Antes de salir, Patricio, se recogió todo el "Veneno de Serpiente" y empezó un fuego, destruyendo todo. Es por esta razón que hoy en día las cervezas y whiskies irlandeses son los mejores del mundo.
Es por esta razón que los irlandeses bendicen sus bebidas antes de comer.

Su Muerte

Patricio sobrevivió al encuentro con los paganos. Su bastón personal y la campana le daban tanto coraje y fuerza. Su manto de tréboles ayudó a la gente que le mostraba que él era como ellos.
Él murió en el Condado de Down el 17 de marzo de 493. La ciudad fue posteriormente rebautizada en su honor Downpatrick.

Reliquias

Aunque lamentablemente la capa de tréboles ha desaparecido hace mucho tiempo, algunas reliquias se han conservado.
Su bastón se conserva en el lugar de enterramiento en Downpatrick.
La campana se almacena en Killkenny, donde tuvo una visión de la embarcación.
Hay dos textos que han sobrevivido.
Se cuenta la historia de las batallas con el culto pagano.
Otro cuenta las historias de la creación de las iglesias y la importancia de Christos.

Dichos Famosos

Citation:
"Cada pétalo del trébol.
Llevan un signo de su fe:
Christos, Aristóteles, y Dios
Hoy y todos los días”.


Citation:
"No sigas a la serpiente
Porque es falsa,
Sigue a Christos,
Porque te ha besado”.


San Patricio es el Santo Patrón de los Pastores, Predicadores, Cerveceros e Irlanda.
Su fiesta se celebra el 17 de Marzo.

Names of the translators (Teagan + Enriique)

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Dernière édition par Teagan le Mer Aoû 20, 2014 7:45 pm; édité 1 fois
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Teagan
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MessagePosté le: Lun Aoû 18, 2014 10:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Teagan a écrit:
Citation:





I his Eminence Teagan, Cardinal Roman elector, Vice Chancellor of the Saints Office, in Union with the Sacred College and on behalf of his Holiness Pope Innocent VIII,

We declare following his canonization that the faithful Patrick by his virtues and miracles is declared a Saint of the Aristotelian Church and that we therefore affirm his participation in the Church triumphant.

Teagan




Citation:








J'ai son Eminence Teagan, électeur de Cardinal romain, vice-chancelier de l'Office des Saints, en Union avec le Sacré-Collège et pour le compte de sa Sainteté le pape Innocent VIII,

Après sa canonisation, nous déclarons que le fidèle Patrick par ses vertus et ses miracles est déclaré Saint de l'église aristotélicienne et que nous affirmons donc sa participation dans l'Église triomphante.

Teagan






Citation:

Hagiography of St. Patrick
patron saint of Ireland






His Birth and Early years

St Patrick was born in the year 415.

He was born in the north of England near the Irish border, his father was a deacon and his mother was a simple farm maiden. From his mother he acquired the traits of humbleness,and from his father he acquired great courage as he witnessed his father's preaching to violent pagans in the then wild lands of the north, in which he converted into the faith.

Despite this, his father was a successful shepherd and managed to do his duty to the church, family, and town in equal measures.

Patrick was proud of his father and wanted to follow his footsteps, but unfortunately a band of slave traders took him away.

Slavery

At the age of 16 a band of Celtic raiders took him and the people of his town as slaves to work the fields of Ireland. He did this for 6 years, witnessing first hand the atrocities and falsities the people of Ireland were subject to, no greater atrocity than his own slavery.

It was during this time that Patrick became enlightened and thought of some of his greatest ideas and developed his conviction to end the misery of the people.

One day, as he was reading some sermon from his father’s book when a shamrock fell from his cloak and landed on the page. It neatly landed in the middle of 3 words, such that each of its leaves ended at a word. One leaf pointed to the word God, another leaf pointed towards the word Aristotle and the third pointed toward the word Christos.

Looking at this, Patrick took it as a sign and a way to convert the pagans. These pagans worshiped the shamrock as they saw it as a lucky token. Now Patrick had a way to link it to his faith.

Closing the book, he pressed it hard so that the page remained stained with the green colour of the shamrock.
Patrick was to stain all his works that way, with a shamrock surrounded by god, Christos and Aristotle.

Patrick also realized that the shamrock was also a reflection of the lessons of life his father taught him, of devotion to Church, to family and to the community.

Patrick eventually escaped.

One night he dreamed of a boat that was waiting to take him away. While guiding his sheep past a beach the next morning he met an old man with a boat offering passage to Gaul.
Taking nothing but his green (like the shamrock) cloak a white staff he used to help herd the sheep, some seeds of the shamrock, and a shepherd’s bell, Patrick boarded the boat and headed to Gaul.

His time in Gaul

Patrick spent much time at various monasteries. These were frustrating times for Patrick as he was a man of action, preferring to learn from example and listening while working rather than sitting and reading.
While his father had taught him well, the north of England and Ireland were vast distances away from the centres of learning in Rome and Gaul in which Patrick had learned so much. The people had wandered far since the fall of Oanylone, and it was easy for them to fall foul of false suggestions. No descendents of Noam made it to Ireland, meaning the spark of the true faith did not reach the far island.

While in Gaul, Patrick had a vision of a man coming to him. The man was carrying a shamrock, and some Irish whisky. He held a letter, the heading of which read “the voice of the Irish.” After drinking the whisky, Patrick could hear the sounds and voices of the people of Ireland, They were calling to him “come and walk among us Patrick, we have a need of you.”

This prompted Patrick into action, he had books written, all embossed with Shamrocks, that he will use to spread the faith in Ireland. He had a cloak made to look like it was made of shamrocks. This was another idea of his to help him blend in with the pagans. As a Shepherd he wore a green cloak to blend in with the grass, This allowed the sheep to rest peacefully as there were no bright colours to confuse them.

He traveled to Rome and met the Pope Leon. The Holy Father saw that he was genuine in his beliefs and appointed him as missionary to Ireland in 458. Also at that time, he was consecrated as bishop.


Arrival back in Ireland

On his arrival back in Ireland, Patrick started to preach daily about the life of Aristotle and Christos. He told many stories to the people as they rested after their toil in the fields, and most days he assisted the people with their work and told tales to keep their spirits up. As he walked, his shepherd’s bell would ring, like a shepherd tending to the flock of the Lord.

But he did not have much luck converting them. They listened to him and tolerated him as they could see from his cloak, his staff and his bell that he meant no harm.

One day as he was preaching in a typically cold and frozen paddock overlooking the sea, he was set upon by a band of pagans. These pagans bore the symbol of a serpent on their cloaks and shields.
The Serpent Pagans were the largest of the pagan clans in Ireland, They had been established in the past by settlers from the fall of Oanylone who had witnessed the deaths of many of their family and friends to the snakes which were plentiful in the lands on the way to Ireland.
In many nights that came a snake would come and one of the folk would die to the snakebite.
Finally they crossed the sea to Ireland, and found no snakes. Not understanding the link, they started worshiping the serpent as a god.

As the Druids approached, Patrick took out his white staff, raised it at the Druids and started reciting the stories of Christos. At that moment the sun appeared from behind the clouds and shone straight at the druids. Patrick spoke so powerfully and tapped his Staff loudly on the ground in time with his chanting, that many of the Druids were mesmerized. The Beating of the Staff, created so much noise, and aided by the sunshine, a large ice-shelf snapped off, taking many of the druids with them. The rest fled the lands, and those who witnessed started telling the story of the loud noises that kept the snakes away.

After the people had heard of the event, he found it easier to convert them. He ordained many priests, divided the country into dioceses, held Church councils, founded several monasteries and continually urged his people to show greater devotion to Aristotle, Christos and God.

Everywhere he planted his staff, an Ash tree would grow, and this would form the basis of the garden for the monastery and church.

The people would listen for his bell and await to hear the truth he spread.

The Snake Venom

During his wanderings in Ireland, Patrick would sometimes come to a stronghold of the pagans. These pagan strongholds, celebrated their beliefs by drinking the most strongest, sharpest, and bitter tasting ale or whisky. The pagans called this drink snake venom. And all who could drink it were accepted into the hierarchy and given high positions.
Many tried to drink it, but most spat it out, with their eyes watering and their noses running, much like the effects of the bite from the snake.

Patrick would approach these strongholds and challenged the local leader of the snake pagans to a drinking contest. The person who could drink the most snake venom would be the winner.

And Patrick would then pause, would say a Prayer to Christos, Aristotle and God to bless the drink and proceed to outdrink the pagan. Patrick would still be drinking while the local Pagan leader would be on the floor passed out, and sometimes dead.

Those who watched were amazed, and started believing that by blessing the snake venom as Patrick had done, they too could drink more.

Before leaving, Patrick would then gather up all the "snake venom" and set it on fire, destroying all of it. It is why today the ales and whisky of Ireland are the finest in the world.

It is also why The Irish like to bless their drinks before consuming them.


His Death

Patrick survived all the dueling with the pagans. His Ash Staff and his bell lent him both courage and strength. His cloak of shamrocks helped the people see that he was just like them.
He passed away in the County of Down in 17 march 493. The town was later renamed Downpatrick in his honour.

Relics
While unfortunately his cloak of shamrocks has long disappeared, some relics remain

The Ash Staff remains at his burial Site in Downpatrick
The Bell remains in Killkenny where he had his vision of the boat.

There are 2 texts that survived.

One tells the tales of the battles with the Snake Pagan Worshipers.

Another tells tales of the establishment of the churches and the importance of Christos.

Famous sayings

Citation:
For each petal on the shamrock.
This brings a wish your way
Christos, Aristotle, and God
For today and every day.

Citation:

Don't follow the snake
For it is fake,
Follow Christos,
For he has kissed us.


Patronage: Shepherds, Preachers, Brewers, Ireland
Feast Day: March 17

Translated from the ancient languages into English by His Eminence Teagan





Citation:
Hagiographie de saint Patrick
saint patron de l'Irlande






Sa naissance et les premières années

St Patrick est né en l'an 415 dans le nord de l'Angleterre, près de la frontière irlandaise. Son père était un diacre et sa mère était une simple fille de ferme.
De celle-ci, il a acquis l'humilité, et de son père, un grand courage après avoir été témoin de la violence des païens contre l’évangélisation que celui-ci menait pour les convertir à la foi et dans les contrées alors sauvages du nord. Malgré cela, son père engrangeait les succès et réussit à remplir ses devoirs envers l'Eglise, sa famille et sa ville, sans en négliger aucun. Patrick était fier de son père et il voulut suivre ses traces, mais, malheureusement, une bande de trafiquants d'esclaves le capturèrent.

L'esclavage

À 16 ans, un groupe de Celtes le prirent, ainsi que les gens de sa ville et en firent des esclaves pour travailler dans les champs d’Irlande. Il fit cela pendant 6 ans, témoin de première main des atrocités et des méchancetés dont les Irlandais ont fait l'objet, pas plus atroces cependant que son propre esclavage.
C'est durant cette période que Patrick perfectionna sa pensée et développa ses plus grandes idées pour mettre fin à la misère du peuple.
Un jour, comme il lisait un sermon du livre de son père, un trèfle tomba de son manteau et atterrit sur la page, chacune des feuilles désignant trois mots en particulier. Une feuille souligna le mot Dieu, une autre feuille le mot d'Aristote et la troisième Christos. Patrick y vit un signe et un moyen de convertir les païens. Ces païens adoraient le trèfle car ils le considéraient comme un symbole de chance. Maintenant, Patrick avait une idée sur la façon de le relier à sa foi. Fermant le livre, il le serra fort pour que la page s’imprègne de la couleur verte du trèfle. L’idée de Patrick était de colorer toutes ses œuvres de cette façon, avec un trèfle entouré de Dieu, Christos et Aristote.
Il s’aperçut aussi que le trèfle lui avait inspiré une réflexion sur la vie que son père avait menée au service de l’Église, de la famille et de la communauté.

Patrick finit par s'enfuir. Une nuit, il rêva qu'un bateau l’attendait pour l'emmener. Tout en guidant son troupeau devant une plage le lendemain matin, il rencontra un vieil homme qui lui offrit de le faire passer en Gaule. Ne prenant rien d'autre que son manteau vert (comme le trèfle), un bâton blanc dont il se servait pour guider les troupeaux de moutons, quelques graines de trèfle et une cloche de berger, Patrick monta à bord du bateau et se dirigea vers la Gaule.

Son séjour en Gaule

Patrick passa beaucoup de temps dans divers monastères. Ces séjours étaient frustrants pour Patrick car il était un homme d'action, préférant apprendre de l'exemple et de l'écoute tout en travaillant plutôt que s'asseoir et lire.
Alors qu’il pensait que son père lui avait délivré un très bon enseignement, il prit conscience que le nord de l'Angleterre et l'Irlande étaient à de très grandes distances des centres culturels de Rome et de France et que ses connaissances étaient dépassées. Le peuple avait tant erré depuis la chute d’Oanylone, et il lui avait été si facile de tomber sous le coup de fausses suggestions. Aucun des descendants de Noam n’ayant fait de séjour en Irlande, l'étincelle de la vraie foi n'avait pas atteint l'île lointaine. Il apprit donc beaucoup de son exil.

Alors qu'il était en France, Patrick eut la vision d'un homme qui venait à lui. L'homme portait un trèfle et du whisky irlandais. Il tenait une lettre dont le titre était : "la voix de l'Irlande." Après avoir bu du whisky, Patrick put entendre les sons et les voix du peuple d'Irlande qui l’appelaient: "Venez et marchez parmi nous Patrick, nous avons besoin de vous. " Cela incita Patrick à l’action. Il se mit à écrire des livres avec en relief des empreintes de trèfle, qu'il utilisa pour répandre la foi en Irlande. Il avait un manteau qui donnait l’apparence d’avoir été conçu avec des trèfles. C’était une de ses idées pour confondre les païens. Comme un berger, il portait un manteau vert pour se fondre dans l'herbe afin que les moutons se reposent en paix car il n'y avait pas de couleurs vives pour les apeurer. Il se rendit à Rome et rencontra le pape Léon. Le Saint-Père vit qu'il était sincère dans ses convictions et le nomma missionnaire en Irlande en 458. Toujours à cette époque, il fut consacré évêque.

Son retour en Irlande

A son retour en Irlande, Patrick commença à prêcher au quotidien la vie d'Aristote et de Christos. Il raconta beaucoup d'histoires aux gens après leur labeur dans les champs, et la plupart du temps, il aidait les gens dans leur travail et racontait des histoires pour les aider à garder le moral. Comme il marchait, sa cloche sonnait, comme un berger qui guide le troupeau du Seigneur. Mais il n’eut pas beaucoup de succès. On l'a juste écouté et toléré car on pouvait voir à son manteau, sa personne et sa cloche qu'il ne voulait aucun mal aux gens.

Un jour qu'il prêchait dans un enclos ouvert à tous vents et où régnait un froid intense à cause de la proximité de la mer, il fut attaqué par une bande de païens. Ces païens portaient le symbole du serpent sur leurs manteaux et des boucliers. Ils appartenaient à l’un des plus grands clan païens d'Irlande. C’étaient des descendants de colons venus d’Oanylone dans le passé, colons qui avaient été les témoins de la mort de plusieurs de leurs parents et amis tués par des serpents qui étaient abondants dans les terres qu'ils avaient parcourues pour arriver en Irlande. Aussi ces colons rêvèrent-ils, durant de nombreuses nuits, qu’un serpent venait et qu’ils mouraient tous de ses morsures. Mais, quand ils arrivèrent en Irlande, les serpents avaient disparus. Ne comprenant pas ce mystère, ils crurent que le serpent était un dieu et commencèrent à le vénérer.

Un jour que les païens approchèrent de lui, Patrick prit son bâton blanc, le leva vers eux et commença à raconter la vie de Christos. A ce moment, le soleil apparut de derrière les nuages et darda directement ses rayons sur eux. Patrick parlait avec tant de force et frappait si fort le sol avec son bâton pendant qu’il chantait qu'ils furent nombreux à être comme hypnotisés. Les mouvements du bâton créaient tant de vibrations, qu’aidé par eux et le soleil, un large morceau de glace se rompit, en emportant nombre d'entre eux dans sa chute. Les autres fuirent la contrée et bientôt l'histoire de la fuite des Serpents fut connue de tous.

Après que les gens eurent entendu parler de l'événement, il lui fut plus facile de les convertir. Il ordonna alors beaucoup de prêtres, divisa le pays en diocèses, tint de nombreux conciles, fonda plusieurs monastères et continuellement exhorta son peuple à montrer la plus grande dévotion pour Aristote, Christos et Dieu.
Partout où il plantait son bâton, un frêne apparaissait, ce qui devait constituer la base des jardins des monastères et des églises. Partout les gens guettaient le son de sa cloche et étaient impatients de l’entendre propager la vérité.

Du venin de serpent

Au cours de ses pérégrinations en Irlande, Patrick tombait parfois sur des bastions de païens. Dans ces endroits, ils célébraient leurs croyances en buvant les bières et whiskys les plus forts, les plus corsés et les plus amers. Ils appelaient ces boissons "venin de serpent". Tous ceux qui pouvaient le boire étaient acceptés dans la hiérarchie et on leur offrait de hauts postes. Beaucoup tentaient de le boire, mais la plupart le recrachait, avec des yeux larmoyants et le nez coulant, comme s'ils avaient été mordus par un serpent.
Patrick entrait dans ces bastions et proposait au chef local des païens un concours de boisson. Celui qui pourrait boire le plus de "venin de serpent" serait le vainqueur. Patrick faisait une pause, disait une prière à Christos, Aristote et à Dieu, bénissait la boisson et s'appliquait ensuite à boire plus que le païen. Patrick était encore à boire que le chef local était étendu sur le sol, évanoui, parfois même mort. Les témoins de ces duels étaient fascinés. Ils commençèrent à croire qu'en bénissant le venin de serpent comme l'avait fait Patrick, ils pourraient en boire davantage eux aussi.
Mais avant de les quitter, Patrick faisait rassembler tous les flacons et fioles et mettait le feu, détruisant toute la boisson. C'est pourquoi les bières et whiskys irlandais sont aujourd'hui les meilleurs du monde.

C'est aussi la raison pour laquelle les Irlandais bénissent leurs boissons avant de les consommer.

Sa Mort

Patrick a survécu à tous les duels avec les païens. Son bâton de frêne et sa cloche lui prêtèrent à la fois courage et force. Son manteau de trèfles le faisait accepter par tous comme l'un des leurs. Il est décédé dans le comté de Down le 17 mars 493. La ville a été rebaptisée en son honneur Downpatrick.

Reliques

Alors que, malheureusement, son manteau de trèfles a disparu depuis longtemps, quelques reliques existent encore, notamment son bâton de frêne, sur le lieu de sa sépulture, à Downpatrick, et sa cloche, à Killkenny, là où il a eu la vision du bateau.

Deux textes ont également survécu. Le premier raconte les batailles avec les adorateurs païens du serpent. L'autre raconte la création des églises et l'importance de Christos.

Citations célèbres
Citation:
Pour chaque pétale d'un trèfle
Il y a un signe sur votre chemin :
Christos, Aristote, et Dieu
Pour aujourd'hui et chaque jour.


Citation:
Ne suivez pas le serpent
Car il est faux,
Suivez Christos
car il nous a embrassés.


Patronage : les bergers, les prédicateurs, les brasseurs, l'Irlande
Fête : 17 Mars

Thèmes de prêche :
- Conversion.
- De l'origine des bénédictions de boulasse en Irlande.

Traduit des langues anciennes en anglais par Son Eminence Teagan, puis en français par Monseigneur Pie de Valence, évêque de Langres




Enriique a écrit:
Hagiografía de San Patricio
Santo Patrón de Irlanda.





Su Nacimiento y Primeros Años


San Patricio nació en el año 415.
Nació en el norte de Inglaterra, cerca de la frontera irlandesa, su padre era diácono y su madre era una simple soltera de granja. De su madre había adquirido los rasgos de humildad, y de su padre adquirió un gran valor ya que fue testigo de la predicación de su padre a los paganos violentos en las tierras salvajes y luego del norte, en la que se convierten a la fe.
A pesar de esto, su padre era un pastor exitoso y logró cumplir con su deber a la iglesia, la familia, y la ciudad en partes iguales.
Patricio estaba orgulloso de su padre y quería seguir sus pasos, pero lamentablemente una banda de traficantes de esclavos se lo llevó.

Esclavitud

A la edad de 16 de una banda de asaltantes celas lo tomaron a él y a la gente del pueblo como esclavos para trabajar los campos de Irlanda. Lo hizo durante 6 años, siendo testigo de primera mano de las atrocidades y falsedades del que pueblo de Irlanda fueron objeto, no mayor atrocidad que su propia esclavitud.
Fue durante este tiempo que Patricio se iluminó y algunas de sus más grandes ideas se fueron desarrollando con la idea de poner fin a la miseria de su pueblo.
Un día, mientras leía algún sermón del libro de su padre un trébol cayó de su manto y se posó en la página. Este aterrizó perfectamente en el medio de 3 palabras, de tal manera que cada una de sus hojas terminaba en una palabra. Una hoja se refirió a la palabra Dios, otra hoja apuntando hacia la palabra de Aristóteles y la tercera apunta hacia la palabra Christos.
Mirando esto, Patricio lo tomó como un signo y una forma de convertir a los paganos. Los paganos adoraban al trébol como ellos lo veían, como un símbolo de suerte. Ahora Patricio tenía la forma de conectarlos a su fe.
Cerrando el libro, lo apretó con fuerza en forma que cada página quedó manchada con el color verde del trébol.
Patricio fue a manchar todas sus obras de esa manera, con un trébol rodeado de Dios, Christos y Aristóteles.
Patricio también se dio cuenta de que el trébol es también un reflejo de las lecciones de la vida que su padre le enseñó, de la devoción a la Iglesia, a la familia y a la comunidad.
Patricio escapó finalmente.
Una noche soñó con un barco que lo estaba esperando para llevárselo. A la mañana siguiente, mientras pastan sus ovejas en frente de una playa, se encontró con un anciano que le ofreció un viaje en barco a Francia.
Tomando nada más que su manto color verde (como el trébol) un bastón blanco que se utiliza para ayudar a rebañar a las ovejas, algunas semillas de trébol, y la campana de un pastor, Patricio subió a la barca y se fue a Francia.

El Tiempo en Gales

Patricio pasó mucho tiempo en diferentes monasterios. Eran tiempos frustrantes para Patricio porque era un hombre activo, prefiriendo aprender y escuchar en el trabajo, en lugar de sentarse y leer.
Su padre le había enseñado bien, pero el norte de Inglaterra e Irlanda eran distantes y lejos de los centros de aprendizaje en Roma y Francia, donde Patricio había aprendido mucho. El pueblo se había apartado mucho de la Oanilonia caída, y era fácil para ellos ser víctimas de falsas enseñanzas. Tenían creencias descendientes de Noame en Irlanda, lo que significa que la chispa de la verdadera fe no había llegado a la isla lejana.
En Gales, Patricio tuvo una visión de un hombre que se acercaba a él. El hombre llevaba un trébol y un poco de whisky irlandés. Llevaba una carta, cuyo título era "La voz de los irlandeses". Después de beber el whisky, Patricio comenzó a oír los sonidos y las voces de la gente de Irlanda. Ellos lo llamaban, "Ven y camina en medio de nosotros Patricio, te necesitamos."
Esto llevó a Patricio a ponerse a trabajar. Tenía todos los libros escritos en relieve, con los tréboles, que fue utilizado para difundir la fe en Irlanda. Había un manto que parecía estar hecho de tréboles. Era otra idea para ayudarse a mezclarse con los paganos. Como un pastor que llevaba una capa verde para confundirse con la hierba y las ovejas. Esto le permitió descansar en paz porque no había colores brillantes.
Él fue a Roma y se reunió con el Papa León. El Santo Padre, vio que su fe era sincera y le hizo misionero en Irlanda en 458. En esta ocasión, fue consagrado obispo.

De Vuelta en Irlanda

A su regreso a Irlanda, Patricio empezó a predicar cada día de la vida de Aristóteles y Christos. Él dijo muchas historias a la gente mientras ellos descansan de sus labores en el campo, y la mayoría de los días los ayudó con su trabajo y siempre contaba historias para levantar el ánimo. Cuando caminaba su campanilla sonaba, como un pastor que conduce al rebaño del Señor.
Pero no tuvo mucha suerte en convertirlos. Ellos lo escuchaban y le toleraban porque vieron su capa, su bastón y una campanilla de que era una buena persona.
Un día, mientras estaba predicando en un frío estable y congelado cerca del mar, fue atacado por una banda de paganos. Estos paganos llevaban el símbolo de una serpiente en sus capas y escudos.
Las Serpientes paganas eran las más grandes del clan pagano de Irlanda, creado en el pasado por los colonos de la Oanilonia caída que había presenciado la muerte de muchos de sus familiares y amigos sólo por algunas serpientes que eran abundantes en las tierras de Irlanda.
En muchas noches una serpiente venía y la gente moría a causa de la mordedura de serpiente.
Sin comprender el vínculo, comenzaron adorar a la serpiente como un dios.
Tan pronto como llegaron los druidas, Patricio sacó su bastón blanco, y lo sostuvo frente a los druidas empezando a recitar las historias de Christos. En ese momento el sol se asomó entre las nubes e iluminó directamente a los druidas. Patricio habló con tanta fuerza, golpeando el bastón que cayó al suelo al mismo tiempo que la mano, que muchos de los druidas fueron hipnotizados. Los golpes de la vara, que creó mucho ruido, con la ayuda del sol, hicieron que un gran iceberg se rompiera, llevándose muchos de los druidas. El resto huyó, y los que sobrevivieron comenzaron a contar la historia de los ruidos fuertes que mantenían las serpientes a distancia.
Después de que la gente había oído hablar del caso, le resultó más fácil convertirlos. Ordenó a muchos sacerdotes, dividió al país en diócesis, los consejos de la Iglesia, fundada en poder de varios monasterios y continuamente instó a su pueblo a mostrar una mayor devoción a Dios, Christos y Aristóteles.
A donde quiera que plantara su báculo, un fresno crecería, y esto sería la base del jardín para el monasterio y la iglesia.
La gente oía su campanilla a la espera de escuchar la propagación de la verdad.

El Veneno de Serpiente

Se dice que durante sus viajes por Irlanda, Patricio, una vez que llegó a una bastión de los paganos. En este bastión celebraban sus creencias paganas bebiendo más fuerte y agudo, y la cerveza repugnante mezclada con whisky amargo. Los paganos llamaron a esta bebida "Veneno de Serpiente". Todos los que podían beber fueron aceptados en la jerarquía, y se les dio altos cargos.
Muchos trataron de beber, pero la mayoría la escupió en los ojos irritados y la nariz, al igual que los efectos de la mordedura de la serpiente.
Patricio llegaba a estos fuertes y pondría en entredicho el líder local de los paganos a un concurso de beber. La persona que bebe más veneno de serpiente sería el ganador.
Patricio, en una pausa, decía una oración a Dios, Aristóteles y Christos bendiciendo la bebida para luego proceder a beberlo con goce de sueldo. Patricio era capaz de beber más y más, mientras que el líder Pagano cayó desmayado al suelo, y, poco después, murió.
Los asistentes quedaron asombrados y comenzaron a creer que, bendiciendo el veneno de serpiente, al igual que Patricio, también ellos habrían sido capaces de beber más.
Antes de salir, Patricio, se recogió todo el "Veneno de Serpiente" y empezó un fuego, destruyendo todo. Es por esta razón que hoy en día las cervezas y whiskies irlandeses son los mejores del mundo.
Es por esta razón que los irlandeses bendicen sus bebidas antes de comer.

Su Muerte

Patricio sobrevivió al encuentro con los paganos. Su bastón personal y la campana le daban tanto coraje y fuerza. Su manto de tréboles ayudó a la gente que le mostraba que él era como ellos.
Él murió en el Condado de Down el 17 de marzo de 493. La ciudad fue posteriormente rebautizada en su honor Downpatrick.

Reliquias

Aunque lamentablemente la capa de tréboles ha desaparecido hace mucho tiempo, algunas reliquias se han conservado.
Su bastón se conserva en el lugar de enterramiento en Downpatrick.
La campana se almacena en Killkenny, donde tuvo una visión de la embarcación.
Hay dos textos que han sobrevivido.
Se cuenta la historia de las batallas con el culto pagano.
Otro cuenta las historias de la creación de las iglesias y la importancia de Christos.

Dichos Famosos

Citation:
"Cada pétalo del trébol.
Llevan un signo de su fe:
Christos, Aristóteles, y Dios
Hoy y todos los días”.


Citation:
"No sigas a la serpiente
Porque es falsa,
Sigue a Christos,
Porque te ha besado”.


San Patricio es el Santo Patrón de los Pastores, Predicadores, Cerveceros e Irlanda.
Su fiesta se celebra el 17 de Marzo.

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MessagePosté le: Sam Oct 18, 2014 3:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




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Citation:





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MessagePosté le: Sam Oct 25, 2014 4:41 am    Sujet du message: Répondre en citant



Citation:

    Congregation Holy Office

    Scolopius-Zénon is made Prefet at the Holy Office


We, Cardinal Teagan of Chard, Cardinal of the Holy Roman and Aristotelian Church, in our capacity of Chancellor of the Congregation of the Holy Office, in front of the Most High and under the sight of Aristotle the Prophet,

Are announcing

The appointment of Scolopius-Zénon as Prefet of the Holy Office. He receives the task of assisting the chancellors with the management of the Holy Office.

Blessings of Jah be with you

Written at Rome, the XXIV of the month of October, on Friday, as we celebrate the life of the Archangel Raphaella, the year of grace MCDLXII of Our Lord


Teagan
Chancellor of the Holy Office





Citation:

    Congrégation du Saint-Office

    Scolopius-Zénon faite le préfet au Saint-Office


Nous, Cardinal Teagan de Chard, le cardinal de l'époque romaine et aristotélicienne Sainte Eglise, dans notre capacité de chancelier de la Congrégation du Saint-Office, en face du Très-Haut et sous le regard d'Aristote le Prophète,

annonçons

La nomination de Scolopius-Zénon comme préfet du Saint-Office. Il reçoit pour mission d'aider les chanceliers de la gestion du Saint-Office.

Bénédictions de Jah soit avec vous

Écrit à Rome, le XXIV du mois d'octobre, le vendredi, alors que nous célébrons la vie de la Archangel Raphaella, l'an de grâce de Notre-Seigneur MCDLXII.


Teagan
Chancelier du Saint-Office

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MessagePosté le: Dim Nov 02, 2014 2:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Teagan a écrit:



Citation:

    Congregation Holy Office

    Fabrizio is made Theologian at the Holy Office


We, Cardinal Teagan of Chard, Cardinal of the Holy Roman and Aristotelian Church, in our capacity of Chancellor of the Congregation of the Holy Office, in front of the Most High and under the sight of Aristotle the Prophet,

Are announcing

The appointment of Fabrizio as Theologian of the Holy Office. He receives the task of assisting the Office with the validation and preservation of the Dogma.

Blessings of Jah be with you

Written at Rome, the III of the month of November, as we celebrate the life of Saint Hubert, the year of grace MCDLXII of Our Lord


Teagan
Chancellor of the Holy Office





Citation:

    Congrégation du Saint-Office

    Fabrizio théologien du Saint-Office


Nous, Cardinal Teagan de Chard, le cardinal de l'époque romaine et aristotélicienne Sainte Eglise, dans notre capacité de chancelier de la Congrégation du Saint-Office, en face du Très-Haut et sous le regard d'Aristote le Prophète,

annonçons

La nomination de Fabrizio comme théologien du Saint-Office. Il reçoit la tâche d'aider le bureau avec la validation et la préservation du dogme.

Bénédictions de Jah soit avec vous

Écrit à Rome, le III du mois de novembre, alors que nous célébrons la vie de Saint Hubert , l'an de grâce MCDLXII de notre-Seigneur


Teagan
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MessagePosté le: Lun Déc 08, 2014 1:04 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





Nomination de Nastyna à la charge de Scripteur du Saint-Office.



Nous, Gregy, Vice-chancelier du Saint-Office ,

Annonçons la nomination de Nastyna

à la charge de Scripteur du Saint-Office .

Fait à Rome le deuxième jour du mois de Décembre de l’an de grâce MCDLXII, sous le pontificat de Sa Sainteté Innocentius.





Code:
[quote]
[list][img]http://img191.imageshack.us/img191/7313/6xux.png[/img]


[color=#009900]
[b][size=18]Nomination de Nastyna à la charge de Scripteur du Saint-Office.[/size][/b][/color]


[b]Nous, Gregy, Vice-chancelier du Saint-Office , [/b]

Annonçons la nomination de [color=#009900][b]Nastyna [/b][/color] à la charge de [b]Scripteur du Saint-Office [/b].

[i]Fait à Rome le deuxième jour du mois de Décembre de l’an de grâce MCDLXII, sous le pontificat de Sa Sainteté Innocentius.[/i]



 [img]http://i689.photobucket.com/albums/vv252/Senhordeleiria19/Igreja/angeloseloa.png[/img]

[/list]
[/quote]

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MessagePosté le: Lun Déc 08, 2014 1:06 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





Nomination de Pie II à la charge de Scripteur du Saint-Office.



Nous, Gregy, Vice-chancelier du Saint-Office ,

Annonçons la nomination de Pie II

à la charge de Scripteur du Saint-Office .

Fait à Rome le deuxième jour du mois de Décembre de l’an de grâce MCDLXII, sous le pontificat de Sa Sainteté Innocentius.





Code:
[quote]
[list][img]http://img191.imageshack.us/img191/7313/6xux.png[/img]


[color=#009900]
[b][size=18]Nomination de Pie II à la charge de Scripteur du Saint-Office.[/size][/b][/color]


[b]Nous, Gregy, Vice-chancelier du Saint-Office , [/b]

Annonçons la nomination de [color=#009900][b]Pie II [/b][/color] à la charge de [b]Scripteur du Saint-Office [/b].

[i]Fait à Rome le deuxième jour du mois de Décembre de l’an de grâce MCDLXII, sous le pontificat de Sa Sainteté Innocentius.[/i]



 [img]http://i689.photobucket.com/albums/vv252/Senhordeleiria19/Igreja/angeloseloa.png[/img]

[/list]
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MessagePosté le: Mer Déc 17, 2014 2:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Citation:

    Congregation Holy Office

    Cannonisation of Bertrand de l'Isle


We, his Cardinal Teagan, Chancellor of the Congregation of the Holy Office, together with the Holy College of the Roman Curia and on behalf of the Holy Church Aristotelian,
declare, after consideration by the Cenacle of Theologians and analysis by the Holy Curia,

    The truthfulness and the rigor of the hagiography of researched and composed by David Bertrand

    This faithful one of the Church has demonstrated to a heroic levels the Aristotelian virtues,

and thus his canonization.

He is therefore now considered as a Saint and a full participant of the Church triumphant.

May he intercede and encourage us to serve the Most High so that we follow the same path of Holiness which was his.

Blessings of Jah be with you


Written at Rome, the XVII of the month of December, the year of grace MCDLXII of Our Lord



Teagan
Chancellor of the Holy Office





Citation:

    Congrégation du Saint-Office

    Canonisation of Bertrand de l'Isle


Nous, son cardinal Teagan, chancelier de la Congrégation du Saint-Office, avec le Saint-Collège de la Curie romaine et au nom de l'Église Saint-aristotélicienne,
déclarer, après examen par le Cénacle de théologiens et de l'analyse par le Saint-Curie,,

    La véracité et la rigueur de l'hagiographie de recherche et la composition par David Bertrand

    Ce fidèle de l'Eglise a démontré un niveau héroïques les vertus d'Aristote,

et donc sa canonisation.

Il est donc maintenant considéré comme un saint et un participant à part entière de l'Église triomphante.

Peut-il intervenir et nous encourager à servir le Très-Haut afin que nous suivons le même chemin de la sainteté qui était la sienne.

Bénédictions de Jah soient avec vous.


Rédigé à Rome, le XVII du mois de Décembre, l'an de grâce de Notre Seigneur MCDLXII



Teagan
Chancelier du Saint-Office





Teagan a écrit:
The Saint Office Presents:

French and English translations.

Citation:
Hagiographie de Bertrand de l'Isle

Chapitre 1 : L'enfance et la jeunesse de Bertrand de l'Isle

Bertrand était fils d'Aton, seigneur de L'Isle en Gascogne, et de Gervaise, donc petit-fils du comte de Toulouse, Guillaume Taillefer. Issu de la noblesse, Bertrand fut élevé avec tous les jeunes nobles de son temps, dans le cliquetis des armes, et adoubé chevalier. Jeune chevalier, il voyage avec quelques hommes sous ses ordres. Fervent croyant, il fait souvent escale dans des monastères et des abbayes. Au cours de chacune d'elles, il prit et lit. Il découvre ainsi des textes méconnus ou oubliés parmi lesquels les écrits du prophète Aristote, ceux de Saint-Grégoire de Naziance et de Saint-Orgène ou encore le fameux prêche de Nedjaef qu'il serait le premier à enseigner plus tard. Cette jeunesse faite d'érudition et de voyage transforme l'homme qui ne porte plus d'arme et devient diacre puis aumonier de l'ost comtal. Sa vocation nait à cette période dont il dira plus tard : « Les voyages obligent l'homme à s'ouvrir au monde et ainsi la Création divine façonne l'homme. Il est vivement souhaitable que les jeunes gens partent sur les routes avec de vertueuses intentions, c'est la meilleure éducation qu'ils puissent recevoir. »

Chapitre 2 : Un évêque attentif aux besoins de ses fidèles qui participe à la vie de la cité

De retour à Toulouse, un avenir prestigieux lui est promis au sein de la noblesse mais c'est un autre choix que fit le jeune Bertrand de L'Isle en demandant à l'évêque de Toulouse, Izarn , son admission dans le chapitre de la cathédrale. Il choisit ainsi de répandre la Foy plutôt que le Sang. Il prêche et lit encore et toujours. Proche des gens et de leurs préoccupations, il est aimé de beaucoup. La réputation du jeune chanoine dépasse rapidement les limites du pays toulousain et à la mort de leur évêque, Auger en 1083, le clergé et le peuple commingeois vinrent lui proposer l'épiscopat. Voyant là un signe divin, il accepte et rejoint le pays de Comminges. Ainsi le nouveau berger des fidèles commingeois ne se désintéresse pas des problèmes quotidiens de son troupeau, surtout à l'époque où les mauvaises récoltes, les sécheresses, les épidémies et les famines sont monnaie courante. Il est préoccupé de la nourriture de ses ouailles et attentif à leur bien-être matériel. Ainsi, il bénit les pièges d'un chasseur, il remplit les filets d'un pêcheur de la Neste, dans une autre vallée, il rend productif un noyer stérile. Puis traversant un champ cultivé, il libère les paysannes de leur pénible tâche en désherbant définitivement la récolte, enfin, entré dans une auberge, il remplit de vin le tonneau de l'hôtelier.
Il participera donc à redonner vie à la ville antique et en relever les ruines, à attirer une population jeune et dynamique, à favoriser les échanges et la circulation des monnaies, rendre la justice. Toute la ville s'identifie à l'évêque au point de prendre son nom, comme l'épouse adopte le nom de son mari. Toute au long de sa vie, Bertrand n'a cessé de prêcher que l'homme sage doit participer à la vie de la cité, révélant à qui voulait l'entendre le Songe d'Aristote sur la Cité Idéale.

Chapitre 3 : Bertrand, l'évêque des voyageurs

Le diocèse de Comminges était étendu et traversé de nombreuses vallées. Bertrand qui était un homme robuste le parcourait inlassablement, voyageant de village en village, de vallée en vallée. Il n'aimait pas voyager seul. Aussi appréciait-il de se joindre à des groupes de voyageurs rencontrés à l'occasion d'une visite dans une taverne ou sur le marché. Il appliquait à la lettre les recommandations que St Grégoire de Naziance fait à Athénaïs et les enseignait à ses compagnons de route.
Lors de ses voyages, il partageait toujours le repas avec ses compagnons du moment. Il faisait toujours la même prière avant de manger :

Citation:
Ô Très-Haut,
Toi qui nous donne la chance de partager ce repas
Bénis ceux qui le partagent et accorde leur Ta divine protection
Fortifie-nous des enseignements d'Aristote et de Christos
Fais de la Sagesse et de l'Amitié nos compagnons de route.
Que les rencontres que nous ferons soient placées
Sous le signe du Partage et de la Charité.
Amen


Chapitre 4 : Bertrand, l'évêque des brigands

Aimé, respecté et populaire, l'évêque de Comminges était souvent consulté en cas de litige. De nombreux brigands furent donc soumis à son jugement. Le premier d'entre eux fut Jodel, il avait détroussé de riches personnes sur la route de Tarbes. Le malfaiteur fut donc mené devant l'évêque. Celui-ci aurait pris la parole ainsi :
Vous venez m'enquérir pour porter le jugement de cet homme. Comment te nommes-tu ?
-Jodel !
-Pourquoi es-tu là ?
-Parce que j'ai volé cet homme.
-Pourquoi as-tu commis ce geste ?
-Je n'ai pas de quoi me nourrir, la vie est chère et cet homme a tant d'argent qu'il ne sait plus quoi en fait.
-Je comprends mais cette attitude ne t'apportera rien de bon, tout au mieux un peu d'argent mais aussi beaucoup d'ennuis.
Rends à cet homme ce que tu lui as pris, prie et viens me voir tous les jours, je ferai mon possible pour te trouver du travail.
"
Chaque jour l'homme vint voir l'évêque. Il pria avec lui et travailla à l'église. Il remboursa l'argent qu'il devait à l'homme volé mais continua à venir la rencontre de l'évêque de chaque jour. Après une année, l'évêque l'invita à manger et au cours du repas, les deux hommes eurent cette conversation :
Comment te sens-tu Jodel ?
-Bien, très bien. Grâce à vous Monseigneur.
-Grâce à toi. Toi seul est responsable de ton changement avec l'aide du Très-Haut.
-Oui mais votre présence près de moi est essentielle pour moi.
-Cette présence, c'est ce que l'on appelle l'amitié. L’Amitié est la plus grande des richesses si elle est sincère et véritable. Il faut la vivre pleinement au point d'en faire son point faible comme le disait le très saint Grégoire.

Le repas se poursuivit et alors que les hommes allaient se séparer, Bertrand dit à son ami :
Jodel, va. Prends la route, tes fautes sont pardonnées. Ne brigande plus. Reviens me voir si tu le souhaites et n'oublie jamais ce que tu as vécu ici.
-Monseigneur, je ne briganderai plus. Je vous remercie pour votre pardon. Je veux mieux connaître les écrits saints à vos côtés.
-Ce n'est pas moi qui te pardonne, c'est le Très-Haut. Il pardonne à ceux qui renoncent aux vices pour chercher la vertu. Tu veux étudier les écritures. C'est tout à ton honneur. Alors va, prends la route de St Liziers, rejoins Muret et enfin Toulouse. Rends-toi au séminaire de ma part et étudie. Travaille aussi. Partage avec tous ceux que tu croiseras et donne quelque chose aux pauvres que tu croiseras. Si tu n'as rien de matériel que tu puisses donner, alors donne ton plus beau regard, ta plus douce parole.


Sur ces mots, Jodel prit la route. On dit que de nombreux brigands vinrent ensuite en Comminges, à la rencontre de l'évêque Bertrand et du pardon. A tel point que la ville fut surnommée la ville des brigands. Quant à Jodel, il étudia et devint un fin connaisseur des écritures, enseignant à son tour au séminaire de Toulouse.

Chapitre 5 : Fin de la vie terrestre et patronage

L'évêque de Comminges mena ainsi une vie pieuse, tournée vers les autres et l'amitié. Âgé, ses forces l'abandonnaient davantage chaque jour. Il passait de plus en plus de temps dans sa cathédrale à prier. Il ne dormait plus, passant ses nuits à prier le Très-Haut.
Un beau matin de dimanche, le sonneur de cloches entra dans la cathédrale et découvrit l'évêque agenouillé dans le chœur, son cœur ne battait plus mais son visage rayonné, souriant, détendu. Il ne faisait pas de doute : Bertran, évêque de Comminges avait rejoint le Paradis solaire.

Plus tard, Saint Bertrand de Comminges devint le saint patron de la ville dont il fut évêque. Il est aussi l'un des saints patrons du comté d'Armagnac et Comminges et le saint patron du Comminges. Enfin, de part son étude de la vie de Saint-Grégoire de Naziance, il est un des saints mineurs de l'ordre grégorien qui le considère comme le premier grégorien de l'histoire.

Citations célèbres
-Priez le Très-Haut et vivez votre foy dans l'amitié véritable et quotidienne.
-Les seules armes sont les enseignements d'Aristote et de Christos. Dépose ton épée et ton bouclier, écoute les Prophètes et prie le Très-Haut, c'est ainsi que tu vaincras.
-Il n'y a pas de brigands qui ne méritent le Pardon de ses crimes, pas un seul homme sur Terre qui puisse les juger ; Dieu seul le peut.

Reliques

-Son sarcophage est conservé dans l'église paroissiale de Saint-Bertrand de Comminges.
-Le bâton de marche que le Saint avait sculpté lui-même avec la devise de Saint-Grégoire de Naziance "Chacun a son point faible ; moi c'est l'amitié." est conservé dans la crypte du monastère grégorien d'Argentat.

Prières à Saint Bertrand de Comminges


Citation:
Prière des Commingeois
Ô Sent-Bertran,
De ton coeur si grand
Protège tes amis
Fais lever le semis
Pousser le bon grain
Donne-nous du bon pain
Accorde nous ta protection
et ton immense pardon.
Bénis les Commingeois
Fais-les vivre dans la Joie.
Amen


Citation:
Prière des Voyageurs
Ô Saint Bertrand,
Éloigne de nous des brigands
Accompagne-nous sur les routes
Préserve-nous de toute déroute
Fais de notre voyage
Un heureux présage
Amen

Citation:
Prière des brigands
Bertrand patron des brigands
Ton pardon est grand
Guide vers la vertu
Nos âmes perdues
Enseigne-nous l'Amitié
Apprends-nous les Vérités
Fais de nous des hommes nouveaux
Fidèles du Très-Haut
Amen


Citation:
Prière des Grégoriens à Sent-Bertran
Ô Sent-Bertran
Dont la Foy fut grande
Premier fidèle à Saint Grégoire
Éclaire-nous dans le noir
Apporte-nous l'espoir.
Mets au coeur de nos vies l'Amitié,
Le Partage et la Charité
Amen


Fête : le 6 octobre




Citation:
Hagiography of Bertrand de l'Isle

Chapter 1: Childhood and Youth of Bertrand de l'Isle

Bertrand was the son of Aton, Lord of the Isle in Gascony, and Gervaise, and was therefore the grand-son of the Count of Toulouse, Guillaume Taillefer. Thus being born into nobility, Bertrand was raised with all the young nobles of his time, learnt the way of arms and was knighted. As a young knight, he travelled with a few men under his command. He was a fervent believer, and he often would stopover in monasteries and abbeys. In each of these, he would try to read and learn. He would therefore often view texts long forgotten or unsung including the writings of the prophet Aristotle, those of St Gregory of Naziance, and St. Origène or the famous sermon of Nedjaef which he would be the first to teach later. This youth spent studying and travelling transformed the man and he would no longer bear arms but become a deacon and later chaplain of Comtal. His vocation had been born in this period and he later said: "Travel compel man to embrace the world as God's creation and which man shapes. It is highly desirable that young people go on the road with virtuous intentions, it is the best education they can receive. "

Chapter 2: A bishop attentive to the needs of the faithful by participating in the life of the city

Back in Toulouse, a prestigious future is promised within the nobility but it is another choice that made the young Bertrand de l'Isle ask the Bishop of Toulouse, Isarn, for admission to the cathedral chapter. He thus chose to spread the faith rather than blood. He continues to preach and reads more and more. He became close to the people and their concerns, and is loved by many. The reputation of the young Canon quickly spreads beyond the borders of the toulousain country and with the death of their Bishop, Auger in 1083, the clergy and the people of Comminges came to propose him for the episcopate. Seeing this as a divine sign, he accepted and joined the county of Comminges. Thus the new shepherd of the commingeois faithful attends to the daily problems of his flock, especially at the time of bad harvests, drought, epidemics and famines are commonplace. He is concerned about the food of his flock and attentive to their material well-being. Thus he blessed the pitfalls of a Hunter, a fisherman from Neste he fills his nets, he makes productive a sterile walnut. And then crossing a farmer's field he frees the farmers in their difficult task of weeding the harvest, and finally, entering and Inn he fills with wine the the barrels of the hotelier.
He therefore participated in breathing new life into the ancient city and rebuilding the ruins, to attract a population young and dynamic, to promote exchanges and the movement of currencies, and make justice. The whole town identifies itself with the Bishop, and takes his name, much like a wife adopts her husbands name. All through his life Bertrand continued to preach that the wise man must participate in the life of a city, and he revealed to all who would listen the Dream Aristotle had of the ideal city.


Chapter 3: Bertrand, Bishop of travelers

The diocese of Comminges was large and crossed many valleys. Bertrand was a robust man and travelled tirelessly, travelling from town to town, from valley to valley. But He did not like travelling alone. He liked to join touring groups that he would meet during a visit to a tavern or at the market. He applied to the letter the recommendations that St Gregory Nazianzen had written to Athénaïs and taught his companions this same principles.
During his travels, he always shared meals with his companions at the time. And he would always say the same prayer before eating:


Citation:
O Most High,
You who gives us the chance to share this meal
Bless those who share and give them Thy divine protection
Strengthen within us the teachings of Aristotle and Christos
Spread the Wisdom and Friendship among our companions.
so that our encounters will be well received
Under the sign of sharing and charity.
Amen



Chapter 4: Bertrand, Bishop of robbers

Loved, respected and popular, the Bishop of Comminges was often consulted in cases of dispute. Many robbers were therefore subject to judgment. The first of them was Jodel, he had robbed rich people on the road to Tarbes. The thief was then brought before the bishop. He reportedly spoke thus:

You have asked me to bring judgement on this mand. What is your name?
Jodel!
-Why are you here?
Because I stole from this man.
-Why did you commit this act?
I do not have enough to feed me, life is expensive and this man has so much money that he does not know what to do with it all
-I understand, but this attitude will bring nothing good to you, at best a little money, but it will bring a lot of trouble.
Give this man back what you took from him, pray and come to see me every day, I will do my best to find you a job. "

Every day the man came to the bishop. He prayed and worked with him at the church. He paid the money he owed to the man he stole it from but continued to come meet the bishop each day. After a year, the bishop invited him to eat and during the meal, the two men had this conversation:
How do you feel Jodel?
Good, very good. Thanks to you my lord.
-Thanks to you. You alone are responsible for your change with the help of the Most High.
Yes, but your presence near me is essential for me.
-This presence is what we call friendship. Friendship is the greatest wealth if it is true and correct. We must live it fully to the point of making her weak point in the words of holy Gregory.

The meal continued and just as the men were about to go their ways, Bertrand said to his friend:
Jodel, VA. Hit the road, your sins are forgiven. Do not rob any more. Come see me if you like and never forget what you have learned here.
My lord, I steal no more. Thank you for your forgiveness. I want to better understand the sacred writings with you.
-It's not me who forgives, it is the Most High. He forgives those who renounce vices to seek virtue. You want to study the scriptures. That is very honourable. So go, take the road to St Liziers, and finally Toulouse and the seminary where I studied. You must also work and share with everyone you meet and give something to the poor that you will meet. If you have nothing of material that you can give, give your best intentions, offer to work and speak calmly.


With these words, Jodel took the road. It is said that many brigands came to Comminges then, to meet the Bishop Bertrand and seek forgiveness. So much so that the city was known as the city of brigands. As for Jodel, he studied and became a connoisseur of writing, becoming a teacher in the seminary in Toulouse.

Chapter 5: End of the earthly life and patronage

The Bishop of Comminges led a pious life, devoted to helping others and friendship. As he got old, his strength failed more every day. He spent more and more time in his cathedral praying. He could not sleep, so he spent his nights praying to the Almighty.
On a beautiful Sunday morning, the bell ringer entered the cathedral and found the bishop kneeling in the chancel, his heart had stopped beating, but his face was beaming, smiling and relaxed. There was no doubt: Bertrand, Bishop of Comminges had joined the Solar Paradise.

Later, Bertrand became the patron saint of the city where he was bishop. He also became one of the patron saints of Armagnac and Comminges County. Finally, because of his study of the life of St. Gregory of Nazianzus, he is a saint of the Gregorian order which considered him to be the first Gregorian in history.

Famous Quotes

Citation:
-Pray to the Almighty and live your faith in true friendship everyday.

Citation:
-The only weapons are the teachings of Aristotle and Christos. Put Away your sword and your shield, listen to the prophets and pray to the Most High, that is how you will win.

Citation:
-There are no brigands who don't deserve forgiveness for their crimes, there is not one man on Earth who can judge them; Only God can.


Relics

-His sarcophagus is kept in the parish church of Saint-Bertrand of Comminges.
-A walking stick that the Saint had carved himself with the motto of St. Gregory Nazianzen "Everyone has their weak point, mine is friendship." is preserved in the crypt of the Gregorian monastery in Argentat.

Prayers to Saint Bertrand of the Commingeois


Citation:
Prayer of the Commingeois
Oh Saint Bertrand,
With Your heart so big
Protect your friends
Nourish the seedlings
Polish the grain
So that we may have good bread
Give us your protection
and your great forgiveness.
Bless the Commingeois
and help them live in Joy.
Amen




Citation:
Prayer of the Travellers
O Saint Bertrand,
Keep the robbers away,
Accompany us on the road
and protect us from any troubles
Make our travel
A happy one
Amen



Citation:
Prayer for the robbers
Oh Bertrand, patron of robbers
Your forgiveness is great,
Guide to Virtue
Our souls which are lost
Teach us Friendship
Teach us the Truths
Make us new men
Worshipers of the Most High
Amen




Citation:
Gregorian prayer to Saint Bertrand
Oh Saint Bertrand
Who has such great Faith,
As Premier faithful to Saint Gregory
Enlighten us in the dark
Bring us hope.
Put at the heart of our lives
Friendship, Sharing and Charity
Amen



Feast: October 6

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Teagan
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not enough active things

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Gregy



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MessagePosté le: Lun Jan 19, 2015 9:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




Congregationis Sancti Officii.

Opening the trial on Canonization of the Blessed Wilgefortis Torretta-Granitola.

Us, His Eminence Gregy, Vice-Chancellor of the Congregation of the Holy Office, Deputy His Eminence Teagan legitimate Chancellor of the Holy Office, declare:

- The coterie of theologians had voted the proposition of Canonization of the Blessed Wilgefortis Torretta-Granitola
- Have sought and obtained the prior consent of the Sacred College of the Roman Curia for the opening of the trial Canonization of the Blessed Wilgefortis Torretta-Granitola
- The opening of the trial Canonization of the Blessed Wilgefortis Torretta-Granitola will start the day XXI of January, the year MCDLXIII for a period of seven days.
- That the universality of faithfuls will decide on the holiness of the Blessed Wilgefortis Torretta-Granitola after 7 days
- A majority of 7/10 is required to validate the canonization of the Blessed Wilgefortis Torretta-Granitola and add his name to the list of Saints of the Aristotelian Church.
- That the Blessed Wilgefortis Torretta-Granitola remain Beate Church Aristotelian if a majority of 7/10 was not reached.

Written at Rome, the XIX of January, the year MCDLXIII

On behalf of the Holy Church Aristotelian,
His Eminence Gregy, Holy Office of the Vice-Chancellor






Citation:


Congregationis Sancti Officii.

Ouverture du procès en Canonisation de la Bienheureuse Wilgeforte de Torretta-Granitola.

De Nous, Son Eminence Gregy, Vice-Chancelier de la Congrégation du Saint-Office, suppléant Son Eminence Teagan légitime Chancelier du Saint Office, déclarons:

- le cénacle des théologues a voté la proposition de Canonisation de la Bienheureuse Wilgeforte de Torretta-Granitola
- avoir demandé et obtenu l'accord préalable du Sacré Collège de la Curie Romaine pour l'ouverture du procès en Canonisation de la Bienheureuse Wilgeforte de Torretta-Granitola
- l'ouverture du procès en Canonisation de la Bienheureuse Wilgeforte de Torretta-Granitola à partir du jour XXI de Janvier, de l'année MCDLXIII pour une durée de sept jours.
- que l'universalité des fidèles devra statuer sur la Sainteté de la Bienheureuse Wilgeforte de Torretta-Granitola après cette période de 7 jours
- qu'une majorité de 7/10 sera nécessaire pour valider la Canonisation de la Bienheureuse Wilgeforte de Torretta-Granitola et ajouter son nom à la liste des Saints de l'Eglise aristotélicienne.
- que la Bienheureuse Wilgeforte de Torretta-Granitola restera Bienheureuse de l'Eglise Aristotélicienne si une majorité de 7/10 n'était pas atteinte.

Fait à Rome, le jour XIX de Janvier, de l'année MCDLXIII
Au nom de la Sainte Eglise Aristotélicienne,
Son Eminence Gregy, Vice-Chancelier du Saint Office


_________________

fides scutum nostrum est,
amor telum nostrum est


Dernière édition par Gregy le Sam Fév 07, 2015 11:09 pm; édité 1 fois
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Gregy



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MessagePosté le: Mar Jan 20, 2015 12:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

Gregy relisait quelques documents avant d'y poser son sceau officiel. Un homme entra avec quelque chose dans la main. C'était une lettre.

- Je suis désolé... vous savez... les baisses d'effectifs de cet été. Nous aurions dû publier cette annonce...

Le vice-chancelier semblait mécontent et l'homme se crût obligé de rajouter:

- C'était avant votre arrivée... mais tout fonctionne bien maintenant.

- Je voie ça. Je vais m'en occuper.


Quelques instants plus tard: l'annonceur public du Saint Office avait fini son travail et on pouvait lire.

Citation:


Congregationis Sancti Officii.

Démission de Marie Clarence.

De Nous, Son Eminence Gregy, Vice-Chancelier de la Congrégation du Saint-Office, suppléant Son Eminence Teagan légitime Chancelier du Saint Office, déclarons:

- avoir pris connaissance d'une lettre de démission de Marie Clarence du poste de Vice-Préfet de l'Office du Cornichon de Saint Théodule présentée à la Congrégation du Saint Office avant notre prise de fonction.
- constater et déplorer le retard pris par notre congrégation dans la publication de sa décision
- accepter la démission de Marie Clarence du poste de Vice-Préfet de l'Office du Cornichon de Saint Théodule.

Fait à Rome, le jour XIX de Janvier, de l'année MCDLXIII
Au nom de la Sainte Eglise Aristotélicienne,
Son Eminence Gregy, Vice-Chancelier du Saint Office


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Gregy



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MessagePosté le: Mer Jan 28, 2015 5:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




Congregationis Sancti Officii.

Cannonisation of Saint Antonio of Plaisance.


Us, His Eminence Gregy, Vice-Chancellor of the Congregation of the Holy Office, Deputy His Eminence Teagan legitimate Chancellor of the Holy Office, declare:

after consideration by the Cenacle of Theologians and analysis by the Holy Curia, the truthfulness and the rigor of the hagiography of Saint Antonino of Piacenza .

the canonization of the faithful of the Church for his exemplary life and the model of Aristotelian virtues he represents all making him one of the saints of our Church.

It serves as an inspiration to those who read and learn .


Written at Rome, the XXVII of January, the year MCDLXIII
On behalf of the Holy Church Aristotelian,
His Eminence Gregy, Holy Office of the Vice-Chancellor






Citation:


Congregationis Sancti Officii.

Canonisation de Saint Antonino de Plaisance


De Nous, Son Eminence Gregy, Vice-Chancelier de la Congrégation du Saint-Office, suppléant Son Eminence Teagan légitime Chancelier du Saint Office, déclarons:

après examen approfondi par le Cénacle des Thèologues et l'analyse de la Sainte Curie, la véracité et la rigueur de l'hagiographie de Saint Antonino de Plaisance.

la canonisation de ce fidèle de l'Eglise pour sa vie exemplaire et le modèle de vertus aristotélicienne qu'il représente pour tous faisant de lui l'un des Saints de notre Eglise.

Qu'il serve d'inspiration à ceux qui liront et apprendront.


Fait à Rome, le jour XXVII de Janvier, de l'année MCDLXIII
Au nom de la Sainte Eglise Aristotélicienne,
Son Eminence Gregy, Vice-Chancelier du Saint Office






Citation:

                Vita, morte e miracoli di Sant'Antonino da Piacenza.




                          I primi anni.

Antonino nacque intorno al 250 d.C. in un villaggio alle porte di Piacenza, da Deodato, di mestiere carpentiere, e Lucrezia, coltivatrice di grano e pescatrice.
Appena nato, ricevette il sacramento del battesimo dal vescovo Giustino e venne allevato dai genitori nei dettami della Chiesa, secondo le virtù.
Quando il fanciullo compì 5 anni la famiglia si trasferì al sicuro delle mura cittadine, essendo le campagne infestate da bande di eterodossi dediti al brigantaggio. Questo permise al giovane Antonino di crescere nell’amicizia della fervente comunità locale, guidata dal nuovo vescovo Marcione.
Nella fucina del padre imparò il mestiere del carpentiere e, grazie alla madre, divenne ottimo contadino e pescatore. In quanto figlio unico, fu il sostegno dei genitori nella loro dignitosa esistenza. La sua abilità nelle arti manuali lo portò a scegliere, una volta cresciuto, la carriera del carpentiere, per collaborare col babbo e per agevolare il nascente mercato del pesce.


Nonostante gli umili natali, Antonino fu un giovane conosciuto ed apprezzato da tutti in città, sia per la sua abilità di artigiano che per la sua devozione. Infatti, appena possibile, diventò diacono del parroco, don Gaio, dimostrando subito l'efficacia del proprio carisma e la bontà della propria fede rendendosi l'artefice di diverse conversioni di parecchi degli eterodossi delle campagne. Al contrario di molti suoi concittadini, egli non considerava quei briganti come folli delinquenti, ma solo pecore del gregge che non avevano trovato la retta via. O l'avevano smarrita presto dopo il loro ingresso nella fede aristotelica.
Citation:
"Non è sul rifiuto del prossimo che si basa la vera Amicizia, ma sull'ascolto e sulla comprensione: solo così la difesa della comunità civile coincide con la difesa della fede."

Questa è una delle sue massime, che la tradizione ha tramandato fino ai tempi nostri.
La sua azione energica e coraggiosa portò Piacenza ad essere, per l'epoca, uno dei luoghi più sicuri, dove la comunità sapeva accogliere e stemperare anche i caratteri più turbolenti.




                        L'attività pubblica.

Nonostante la limpidezza della fede e l'insistenza del clero cittadino, Antonino non prese mai i voti, pur diventando sempre più un punto di riferimento per la comunità dei fedeli. Egli stesso si riteneva troppo sanguigno per incarnare la figura del sacerdote e preferì seguire con esemplarità una vita laica ed impegnata nella città.

Intorno al 275 d.C. si sposò con Aulonia, più giovane di lui di un solo anno e, degna di tanto marito, famosa per la fermezza del carattere e per la devozione. Anch'ella avvezza nel mestiere di carpentiera, aiutò il marito nel lavoro quotidiano, dandogli nel contempo prole numerosa e ben allevata.

Grazie al grande equilibrio della sua vita privata, Antonino poté dedicarsi efficacemente anche all'attività pubblica. Nominato arcidiacono della diocesi di Piacenza, fu il fondatore della prima “Schola Aristotelica” del nord Italia, famosa poi in tutta la penisola per la qualità della sua catechesi e per l'istruzione impartita. A merito dell'opera antoniniana, va ricordato come fu proprio a questa schola che si formò un grande mistico dell'epoca come Eugenio, colui che poi divenne papa col nome di Eugenio I.

La tempra pragmatica di Antonino lo portò pure alla fondazione della Legione Tebea, antica milizia cittadina che provvide alla sicurezza della città e del suo contado. Vanto della comunità piacentina, la Legione fu un fulgido esempio, precursore sui tempi, di milizia aristotelica, guidata da principi di giustizia ed equità e non dallo spietato codice guerriero del tempo.
Ecco cosa pensava:

Citation:
"Se la forza della fede non riesce a convertire le anime degli empi, se proprio non c'è altro da fare, se minacciato dalla prepotenza di ogni tipo d'infedele, il vero fedele può e deve combattere per sé e per la vera fede."

Antonino fu il primo comandante della Legione, che vide succedersi al comando uomini tra i migliori del proprio tempo. La superiorità morale dell'impostazione di questa milizia divenne lampante al mondo proprio nel momento della sua violenta distruzione.

Quando, due secoli più tardi, l'invasore barbaro travolse l'Italia tutta, la città resistette eroicamente all'assalto pagano, ma, soccombente nei numeri, dovette arrendersi alla prepotenza del nemico. La tradizione narra che, radunati tutti i tebei sulla piazza principale, i comandanti barbari ordinarono ai vinti di passare per le armi l'empio, dal loro punto di vista, clero cittadino, motore della resistenza. La piazza risuonò di un grido che divenne storico - “Antonino non vuole!” - che lasciò momentaneamente smarriti gli invasori. La reazione, però, fu feroce. I tebei vennero massacrati uno ad uno, per la loro insubordinazione ai vincitori, ma non ad un solo ecclesiastico venne torto un capello: Antonino non aveva voluto.



                  Pellegrinaggio in Grecia e Terrasanta e martirio.

Nel 295, Piacenza e la regione circostante entrarono in un terribile stato di carestia: la siccità fece perdere innumerevoli raccolti, gli allevamenti videro i propri animali decimati e perfino la pesca nel lago fu molto meno fruttuosa. A causa di ciò, dalle campagne si riversarono in città centinaia di contadini che, rimasti senza sostentamento, andarono alla ricerca di miglior sorte. Questo causò un sovraffollamento tale che finì per esaurire le già provate scorte alimentari. Ben presto lo scontento iniziò a serpeggiare fra la folla affamata, i forni vennero presi d'assalto ed il lago rimase l'unica fonte di sostentamento.

Nel tentativo di aiutare i concittadini ed alleviare la tensione in città, Antonino riuscì a convincere molti dei colleghi carpentieri a vendere barche a prezzo di realizzo, di modo da facilitare la pesca per tutti. Contribuì, con quest'iniziativa e con la potenza delle sue parole, a scongiurare rivolte e ribellioni, riuscendo a traghettare la comunità fino alla fine della carestia, superata totalmente solo nel 298.

Tra le tante iniziative, sia pratiche che spirituali, Antonino fece voto all'Altissimo che, quando fosse finita quella calamità, egli avrebbe organizzato un pellegrinaggio sui luoghi ove vissero i Profeti.
Superata l'emergenza, venne il momento di organizzare il viaggio, cosa che lo tenne impegnato per gran parte del 299. Man mano che la voce si sparse, sempre più persone vollero unirsi a lui: si ebbe così la necessità di organizzare un grande spostamento di massa, cosa, oggi come allora, assai difficile e rischiosa.
Di comune accordo con le autorità municipali e con la benedizione del vescovo, Antonino scelse un reggimento della Tebea per fare da scorta al gruppo dei pellegrini, della cui incolumità egli si fece il garante.


Quando tutto fu pronto, con l'avvento della primavera del 300 la spedizione ebbe inizio. A piedi attraversarono la penisola e raggiunsero il florido porto di Brundisium, in Apulia. Da qui s'imbarcarono e raggiunsero la Grecia, in direzione della prima tappa del loro viaggio: Stagira, città natale del Primo Profeta, Aristotele. Raggiunsero la città sul fare dell'estate e decisero di comune accordo di rimanervi fino alla primavera successiva, di modo da evitare di spostarsi durante l'inverno. Trascorsero i mesi aiutando la comunità locale nella cura dei campi e degli armenti, molto numerosi in quella zona, visitando le antiche chiese della regione ed istruendosi nelle rinomate scuole greche.

Nel Marzo del 301 si rimisero in marcia, destinazione Terrasanta, patria di Christos. Non avendo trovato armatori disposti a trasportarli via mare, decisero di fare il percorso a piedi, seguendo la linea della costa.

Il miracolo dell'acqua dolce.

Capitò così che, durante la calda estate che caratterizza l'Asia Minore, il gruppo si ritrovò a corto di scorte, sia di cibo che d'acqua. Il cibo venne recuperato tramite caccia e pesca, ma l'acqua scarseggiava e non c'erano avvisaglie di fiumi o sorgenti nelle vicinanze del loro accampamento.
Di fronte alla disperazione della sua gente, Antonino rispose con ferma fede, dichiarando che l'Altissimo avrebbe pensato ai suoi figli diletti. Fu così che, in una delle innumerevoli notti passate in preghiera, egli ricevette da Dio un'illuminazione rivelatrice.
Il mattino dopo, Antonino si armò di scure ed andò a cercare il miglior albero possibile e lo tagliò. Ne ricavò il materiale necessario e per tutto il giorno lo lavorò. A sera aveva completato un secchio, necessariamente non cerchiato, quindi si rivolse ai suoi compagni e disse loro: “Tramite questo secchio, che l'Altissimo mi ha ordinato di costruire, tutti noi potremo bere.”.


Tutti si guardarono stupefatti, temendo intimamente che la loro beneamata guida avesse perso il senno. Leggendo l'incertezza nei loro occhi, Antonino non si scoraggiò, ma andò a riempire il secchio a mare, tornando indietro con aria allegra. Prese una coppa e l'immerse nel secchio, bevendo tutta l'acqua d'un sorso. Poi guardò gli altri e bonariamente disse: “Su, abbiate fede!”
Erano tutti incerti sul da farsi, quando un bambino si staccò dalle gonne della madre, si avvicinò al secchio e, immergendovi la testa, bevve a più non posso. “È buona!” esclamò riemergendo.
Subito si levò un grido di giubilo da parte di tutta la folla, che subito si mise ad osannare il nome di Antonino.
“Non è me che dovete ringraziare, ma l'Altissimo, che sempre posa il Suo sguardo sui Suoi figli.” replicò il sant'uomo, provocando subito l'intonazione di un inno di ringraziamento da parte della folla, meravigliata da quello che da qui in avanti sarà conosciuto come "il miracolo dell'acqua dolce" e da quel nuovo modo di trasportare i liquidi.


Fu così che, grazie a quel secchio non cerchiato, il gruppo dei pellegrini ebbe sempre acqua da bere nei momenti di difficoltà, anche nel viaggio di ritorno.
Viaggio di ritorno che intrapresero nella primavera del 303, dopo aver trascorso quasi un anno in giro per la Terrasanta, sui luoghi della predicazione di Christos.
Essendo riusciti a noleggiare una nave, non senza difficoltà, sbarcarono in suolo italico sul finire della primavera e fu sui primi di Luglio che varcarono i confini del contado piacentino. Fu proprio allora, quando tutto sembrava essersi concluso per il meglio, che gli eventi precipitarono.


In assenza di Antonino, il brigantaggio aveva ripreso vigore nelle campagne della pianura Padana e proprio un gruppo di briganti pagani attaccò il gruppo dei pellegrini, a poche miglia dalle mura cittadine.
Avvistati i briganti calare velocemente da un bosco sul fianco dei colli, Antonino raggruppò a sé tutti i tebei, chiamandoli all'estremo coraggio: avrebbero trattenuto quei predoni il tempo necessario a tutti di mettersi al riparo in città, attendendo il rinforzo del grosso della Legione. E così fecero.
La tarda mattinata del 4 Luglio 303 vide un sanguinoso scontro nella piana antistante Piacenza. Antonino, alla testa di 30 valorosi protesse fino al sacrificio estremo il ritorno a casa di più di 300 pellegrini.
All'arrivo della Legione Tebea, uscita a tempo di record dalle mura cittadine al ritorno dei primi pellegrini, restavano sul campo i corpi senza vita di 30 miliziani eroici e coraggiosi. Dall'orrore per quella scena si passò al pianto collettivo quando, nel giro di raccolta dei cadaveri, venne riconosciuto quello di Antonino.


Fu così che da quel giorno, ogni 4 Luglio, Piacenza, eternamente riconoscente, ricorda Sant'Antonino, l'uomo che fece di Piacenza uno dei più importanti crocevia aristotelici del suo tempo, avendo dimostrato che l'amicizia e la saggezza, unendo la religione ed una coorte di valorosi difensori, possono spingere le persone all'estremo sacrificio: morire per proteggere i compagni.


Scritto da padre Fabio Degli Scalzi, detto "Theflyinthenet", vescovo di Piacenza, nell'Anno del Signore 1461.
Translate : Feuilllle, Pie de valence.

Come temi di predica, il redattore a écrit:

- La fede aristotelica deve essere una guida, ma deve anche portare a sé i refrattari di ogni genere.
- È necessario predicare non solo nei luoghi sacri, ma anche fra i gruppi più vili o nelle aree più povere (es.: confraternite di briganti, villaggi sonnolenti, etc.).
- Dove l'ingegno costruttivo umano esiste, è il riflesso di ciò che l'Altissimo ci ha concesso, se Lo sappiamo ascoltare (es.: la fabbricazione dei secchi).




Citation:

                Vie, mort et miracles de Saint Antonino de Plaisance.




                        Les premières années.

Antonino naquit vers 250 ap. J.-C., dans un village aux portes de Plaisance, fils de Deodatus, un charpentier de métier, et de Lucretia, cultivatrice de blé et pêcheuse.
À peine né, il reçut le sacrement du baptême par l'évêque Iustinus et il fut élevé par ses parents dans les préceptes de l'Église, selon les vertus.
Quand le garçon eut environ 5 ans, la famille s'établit derrière les remparts de la ville pour rester en sécurité, parce que les campagnes étaient infestées par des bandes d'hétérodoxes, consacrées au brigandage. Cela permit au jeune Antonino de grandir dans l'amitié de la fervente communauté citadine, dirigée par le nouvel évêque Marcion.
Dans l'atelier de son père il apprit le métier de charpentier et, grâce à sa mère, devint un grand cultivateur et pêcheur. En tant que fils unique, il fut le soutien de ses parents dans leur digne existence. Son habileté dans les arts manuels l'amena à choisir, une fois qu'il fut grandi, la carrière de charpentier, pour travailler avec son père et pour faciliter le marché du poisson naissant.


Malgré ses modestes origines, Antonino fut un jeune homme connu et apprécié par tous en ville, autant que pour son habileté artisanale que pour sa dévotion. En effet, dès que possible, il devint diacre du curé de l'époque, le Père Gaius, démontrant rapidement la profondeur de son charisme et la qualité de sa foi: il entreprit de s'entretenir avec de nombreux hétérodoxes des campagnes.
Contrairement à beaucoup de ses concitoyens, il ne considéra pas ces brigands comme des criminels fous, mais seulement comme brebis du troupeau qui n'avaient pas trouvé le bon chemin, ou qui avaient perdu dès le début la Foi Aristotélicienne.

Citation:
"La véritable Amitié Aristotélicienne n'est pas basée sur le refus du prochain, mais sur l'écoute et la compréhension: c'est seulement de cette manière que la défense de la société civile coïncide avec la défense de la foi."

C'est une de ses maximes, que la tradition a transmis jusqu'à nos jours. Son action énergique et courageuse permit à Plaisance d'être, en son temps, l'un des endroits les plus sûrs, où la communauté sut accueillir et pacifier même les caractères les plus turbulents.



                          L'activité publique.

Malgré la limpidité de la foi et l'insistance des membres du clergé citadin, Antonino ne fit jamais ses vœux, quoiqu'il devint de plus en plus une référence certaine pour la communauté des fidèles. Lui-même se croyait trop exubérant pour incarner la figure d'un prêtre et préféra suivre exemplairement une vie laïque et engagée dans la ville.

Vers 275, il épousa Aulonia, d'un an plus jeune que lui et, digne d'un mari si grand, elle-même célèbre pour la fermeté de son caractère et pour sa dévotion.
Experte en menuiserie, elle aida son mari dans le travail quotidien, tout en lui donnant une progéniture nombreuse et bien élevée.


Remerciant l'excellent équilibre de sa vie privée, Antonino put se consacrer efficacement à l'activité publique. Nommé archidiacre du diocèse de Plaisance, il fut le fondateur de la première "Schola Aristotélicienne" de l'Italie du Nord, célèbre dans toute la péninsule pour la qualité de sa catéchèse et l'éducation donnée. Comme digne de l'oeuvre d'Antonino, on se souvient que c'est dans cette école qu'il se forma un grand mystique de cette période comme Eugenius, qui, plus tard, devint pape avec le nom de Eugene I.

Le tempérament pragmatique de Antonino l'amena également à la fondation de la Légion Thébaine, une milice citadine qui s'occupait de la sécurité de la ville et ses banlieues. Orgueil de la communauté de Plaisance, la Légion fut un brillant exemple, précurseur de son temps, de milice Aristotélicienne, guidée par principes de justice et non par l'impitoyable code guerrier du moment.
Voici ce qu'il pensait:

Citation:
"Si la force de la foi ne réussit pas à convertir lles âmes des impies et s'il n'existe pas d'autre moyen pour les convertir, si surtout leur arrogance menace la vie des croyants, alors le vrai fidèle peut et doit, même si c'est pour défendre uniquement sa personne, défendre la vraie Foi."

Antonino fut le premier commandant de la Légion, qui vit la succession au commandement des meilleurs hommes de son temps. La supériorité morale de l'organisation de cette milice devint évidente à tout le monde à l'époque de sa violente destruction.

Lorsque, deux siècles plus tard, l'envahisseur barbare renversa toute l'Italie, la ville résista héroïquement à l'assaut païen, mais, sa population étant inférieure en nombre, elle fut obligée de se rendre à la tyrannie de l'ennemi. La tradition raconte que, ayant rassemblétous les “Thébains” sur la place principale, les commandants barbares ordonnèrent aux miliciens vaincus de tuer le clergé citadin, mauvais à leurs yeux, car force motrice de la résistance. La place résonna d'un cri qui est devenu historique - “Antonino ne veut pas!” - qui laissa momentanément pantois et éperdus les envahisseurs. La réaction, toutefois, fut féroce. Les “Thébains” furent massacré un par un, en raison de leur insubordination aux vainqueurs, mais pas un seul ecclésiastique ne fut blessé: Antonino n'avait pas voulu.



                  Pèlerinage en Grèce et Terre Sainte et martyre.

En 295, Plaisance et la région environnante subirent une terrible famine: la sécheresse fit perdre des récoltes innombrables, les élevages furent décimés, et la pêche dans le lac fut bien moins fructueuse qu'à l'accoutumée. Pour cette raison, des centaines de paysans, qui avaient perdu leurs moyens de subsistance, se déversèrent sur la ville de la campagne, à la recherche d'un sort meilleur. Cela provoqua une telle surpopulation que les réserves alimentaires, déjà insuffisantes, furent totalement épuisées. Bientôt la faim se transforma en panique puis en colère, et le mécontentement commença à se répandre dans la foule affamée : les fours à pains furent pris d'assaut et il ne resta que le lac comme seule source de subsistance.

Dans la tentative d'aider les concitoyens et soulager la tension dans la ville, Antonino réussit à convaincre nombreux compagnons charpentiers à vendre des bateaux au prix de revient, de manière à faciliter la pêche pour tous. Avec cette initiative et avec sa puissance oratrice, il contribua à prévenir les émeutes et les révoltes, en réussissant à subvenir aux besoins de la communauté jusqu'à la fin de la famine.

Parmi les nombreuses initiatives, à la fois pratiques et spirituelles, Antonino fit un voeu au Très-Haut: il voulait organiser un pèlerinage sur les lieux où les Prophètes vécurent lorsque la calamité serait enrayée.
Passée l'urgence, le moment vint d'organiser le voyage, chose qu'il le tint engagé pour l'année 299. Au fur et à mesure que sa parole se répandait, de plus en plus de gens voulurent se joignaient à lui: il y eut la nécessité d'organiser un grand déplacement de masse, une chose très difficile et risquée à toute époque.
En accord commun avec les autorités municipales et avec la bénédiction de l'Évêque, Antonino choisit un régiment de la Thébaine pour escorter le groupe des pèlerins, et il se fit garant de leur intégrité.


Lorsque tout fut prêt, avec l'arrivée du printemps de l'an 300, l'expédition commença. Ils traversèrent la péninsule à pied et atteignirent le port florissant de Brindes, dans les Pouilles. De là, ils s'embarquèrent et atteignirent la Grèce, en direction de la première étape de leur voyage: Stagire, la ville natale du Premier Prophète, Aristote. Ils atteignirent la ville au début de l'été et ils acceptèrent de rester jusqu'au printemps suivant, de manière à éviter les déplacements pendant l'hiver. Les mois se suivirent, participant et aidant la communauté locale dans le soin des champs et des troupeaux, très nombreux dans cette zone, et en visitant les anciennes églises de la région : ils s'instruisaient aussi dans les célèbres écoles grecques.

En mars 301 ils se remirent en marche, destination Terre Sainte, patrie de Christos. Comme ils ne trouvèrent pas d'armateurs disposés à les transporter par voie maritime, ils décidèrent de faire le parcours à pied, en suivant la ligne de la côte.

Le Miracle de l'eau douce.

Ainsi il arriva que, pendant l'été chaud qu'il caractérise l'Asie Mineure, le groupe se retrouva à manquer de provisions, de nourriture comme d'eau. Ils purent récupérer par la chasse et la pêche de quoi se nourrir, mais l'eau manquait et il y n'avait pas le moindre signe de la présence de fleuves ou de sources dans les parages de leur camp.
Devant le désespoir de ses gens, Antonino répondit avec la fermeté que lui conférait sa Foi que le Très-Haut aurait pensé à ses fils qui l'aimaient. Et une des innombrables nuits passée en prière, il reçut de Dieu une illumination révélatrice.
Le matin d'après cette épiphanie, Antonino s'équipa d'une hache, alla chercher le meilleur arbre possible et le coupa. Il en tira un matériel de coupe nécessaire à ce qu'il devait faire et travailla tout le jour.
Le soir, il avait fabriqué un seau, bien sur non cerclé, donc il s'adressa à ses camarades et leur dit : "Grâce à ce seau, que le Très-Haut m'a suggéré de construire, chacun d'entre nous pourra boire.".


Tous se regardèrent stupéfaits, en craignant intimement que leur bien-aimé guide eût perdu tout bon sens. En lisant l'incertitude dans leurs yeux, Antonino ne se découragea pas, mais il alla remplir le seau à la mer, puis retourna gaiement vers ses compagnons; il prit un verre et le trempa dans le seau, puis but toute l'eau d'une gorgée. Puis il stimula les autres en leur intimant l'ordre de boire, leur disant "Allez, ayez la foi!"
Toutes les personnes présentes étaient dans l'incertitude quant à ce qu'elles devaient faire. C'est alors qu' un enfant se détacha des jupes de la mère, se rapprocha du seau et y plongea la tête : il but jusqu'à se rassasier. "Elle est bonne!", s'exclama t-il en émergeant.
Tout de suite il s'éleva un cri de réjouissance de la part de la foule, qui se mit à clamer avec reconnaissance le nom d'Antonino.
"Vous ne devez pas me remercier , mais remercier le Très-Haut, Qui toujours pose Son regard sur Ses fils.", répéta le saint homme.
Immédiatement, la foule entonna en chœur un hymne de remerciement envers Le Très-Haut, émerveillée de ce que l'on nomma désormais "Le miracle de l'eau douce" , et de ce nouveau savoir-faire facilitant le transport des fluides.


Ainsi, grâce à ce seau non cerclé, le groupe des pèlerins eut toujours miraculeusement de l'eau potable dans les moments de difficulté, et ceci durant tout le voyage de retour.
Ils entreprirent celui-ci au printemps de l'an 303, après avoir passé presque une année en Terre Sainte, sur les endroits de la prédication de Christos. Ils réussirent, non sans difficulté, à louer un navire, puis débarquèrent sur le sol italien à la fin du printemps.
Ils franchirent la frontière du territoire Placentin dès les premiers jours de juillet. Malheureusement, alors tout semblait aller pour le mieux, les choses empirèrent.


En l'absence d'Antonino, le brigandage avait repris toute sa vigueur dans les campagnes de la plaine du Pô. Un groupe de brigands païens attaqua le groupe de pèlerins, non loin des remparts de la ville.Les brigands descendaient rapidement d'un bois situé sur leur côté, et Antonino regroupa les Clercs, et exhorta tous les "Thebains", les motivant à un extrême courage: ils devaient retenir ces pillards le temps nécessaire à la fuite en ville, en attendant le renfort de la Légion.
Et ils firent ainsi.
La matinée du 4 juillet 303 vit un affrontement sanglant dans la plaine en face de Plaisance. Antonino, à la tête de 30 vaillants défenseurs, protégea jusqu'à l'extrême sacrifice le retour à la maison de plus que 300 Pèlerins.
À l'arrivée de la Légion Thébaine, (sortie avec diligence des remparts citadins dès le retour des premiers pèlerins sauvés qui l'alertèrent,) ce fut pour constater dès son arrivée sur le champ de bataille qu'il ne restait que des corps sans vie, ceux des trente Miliciens héroïques et courageux.
L'horreur de cette découverte donna lieu à un deuil collectif quand, au moment du rassemblement des cadavres, les soldats vinrent à reconnaître celui d'Antonino.


Ainsi depuis ce jour, tous les 4 juillet, Plaisance, éternellement reconnaissante, commémore Saint Antonino, l'homme qui fit de cette ville un des plus importants carrefour Aristotélicien de cette époque, ayant démontré que l'amitié et la sagacité, unifiant religion et cohorte de vaillants défenseurs, pouvait pousser les individus au sacrifice suprême: mourir pour protéger ses camarades.


Rédigé par le père Fabio Degli Scalzi, dict "Theflyinthenet", évêque de Plaisance, en l'An du Seigneur 1461.
Traducteur : Feuilllle, Pie de Valence.

Comme thèmes de prêche, l'auteur a écrit:

- La Foi Aristotélicienne doit être un Guide mais aussi ramener à elle les égarés et les hérétiques, de tous ordres et de toutes de classes.
- Il est nécessaire de prêcher aussi bien dans les lieux consacrés qu'auprès des des groupes les plus vils, ou dans les endroits les plus improbables. (exemples fratries de brigands, villages endormis.)
- L'esprit ingénieux des humains est le reflet de ce que le Très-Haut nous a accordé, si nous savons l'écouter (exemple : fabrication les seaux)


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Gregy



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MessagePosté le: Sam Fév 07, 2015 11:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


Congregationis Sancti Officii.

Canonization of the Blessed Wilgefortis Torretta-Granitola.

Us, His Eminence Gregy, Vice-Chancellor of the Congregation of the Holy Office, Deputy His Eminence Teagan legitimate Chancellor of the Holy Office:

- Declare the end of trial on Canonization of the Blessed Wilgefortis Torretta-Granitola started the day XXI of January of the year MCDLXIII
- Swearing on the Book of Virtues to have found no irregularities in the vote or in it count
- Find that the faithful gave 17 positive opinions for 4 negative opinions and a neutral opinion and a majority of 7/10 is reached
- Announce the Canonisation of Wilgefortis Torretta-Granitola and order his hagiography be added to the list of Saints of the Church Aristotelian
Should that his exemplary life and model of Aristotelian virtues she represents be an inspiration for those who read and learn

Written at Rome, the day VII of February of the year MCDLXIII

On behalf of the Holy Church Aristotelian,
His Eminence Gregy, Holy Office of the Vice-Chancellor



Citation:


Congregationis Sancti Officii.

Canonisation de la Bienheureuse Wilgeforte de Torretta-Granitola.

De Nous, Son Eminence Gregy, Vice-Chancelier de la Congrégation du Saint-Office, suppléant Son Eminence Teagan légitime Chancelier du Saint Office,

- déclarons la cloture du procés en Canonisation de la Bienheureuse Wilgeforte de Torretta-Granitola débuté le jour XXI de Janvier, de l'année MCDLXIII
- jurons sur le Livre des Vertus n'avoir constater aucune irrégularité au cours des votes ou de leur décompte
- constastons que les fidéles ont donné 17 avis favorables pour 4 avis défavorables et un avis neutre et qu'une majorité des 7/10 est atteinte
- annonçons donc la Canonisation de Wilgeforte de Torretta-Granitola et ordonnons l'ajout de son hagiographie à la liste des Saints de l'Eglise aristotélicienne
Que sa vie exemplaire et le modèle de vertus aristotélicienne qu'elle représente pour tous faisant serve d'inspiration à ceux qui liront et apprendront.

Fait à Rome, le jour VII de Février, de l'année MCDLXIII

Au nom de la Sainte Eglise Aristotélicienne,
Son Eminence Gregy, Vice-Chancelier du Saint Office







Citation:



    Life of Holy Wilgeforte de Torretta-Granitola



    I. Before her arrival in France – Childhood and education


    We only know a few things about the childhood of Wilgeforte. If it is known that she was from Sicilia, nobody can pretend to know the reasons of her arrival in France. According to Her Eminence Seriella of Bernouville, Wilgeforte explained herself during a confession to His Eminence Jehan Méléagant, who kept the secret with him at his death.
    After several investigations, it seems that the most likely solution is a familial tragedy, which became, passing years, more and more faint. Indeed, Wilgeforte went quite often in the familial castle, during the few holidays she had. But only three persons know the truth : Jehan, Wilgeforte, both dead, and the Creator.

    But let’s see what is proved in the history of Wilgeforte.

    She was from a sicilian noble family, which origins are lost in the mists of time. She had the traditional education of nobles girls in these countries, and learnt art, aristotelism, ancient and modern languages (at the age of sixteen, she was fluent in four languages : Sicilian, French, latin and English). It is also her education that gave her this gift, which was her signature : to stay calm in every circumstances. It is traditional, in theses meridional countries, to consider that a woman, to be faultless, must hide every personal feeling.


    II. Her arrival in France – first steps as a cleric


    Wilgeforte discovered in first the city of Vienna, religious capitale of Dauphiné and Lyonnais duchies.
    We do not know if it is the city, the archbishop Jehan Méléagant, or the deacon Gabriel Cornedrue de Culan which motivated her decision, but Wilgeforte stopped her trip (which would lead her through the kingdom) and settled down in Vienna. It is remarkable that her official address was Vienna all along her ecclesiastic carrier, because her relocation in Avignon could not be achieved before her death.
    Her first official act was to confirm her own baptem by the Deacon Gabriel Cornedrue de Culan.

    Gabriel was then nominated as Genova’s bishop, and let the city of Vienna without any cleric. To solve this problem, Wilgeforte proposed to the Archbishop Jehan to organize regular readings of the Book of Virtues in the church, in order not to let the holy place deserted.

    This simple act has a great importance in the life of Wilgeforte : The archbishop Jehan noticed at this moment all the potential of this newly arrived Sicilian woman. He accepted her offer, and encouraged her to apply for the charge of Apostolic Ambassador. At first, she refused, explaining that she considered not to be strong enough for it, but the insistence of the old cardinal succeeded, and Wilgeforte went to Roma.


    III. Roma – Her quick ascension in the secular hierarchy


    In Roma, Wilgeforte decided to make profit of her stay in the “eternal city”. She offered her services to the Holy Office, and was quickly promoted as writer. She was then be appointed as apostolic ambassador. Few after these two nominations, arrived at the same time, two other events happened : His Eminence Vincent Diftain, Holy Office Chancellor, noticed her and offered her the charge of secretary of the Holy Office Congregation ; and Monseigneur Giacomo Borgia, also known as « Marves », who was master of the Apostolic Nunciature, gave her the charge of apostolic secretary of the French septentrional region.

    This is how the exceptional carrier of Wilgeforte began. The opponents of Wilgeforte always used the argument of this accumulation of charges against her, naming that appeared like a constant will of promotion : « pride ». But they are wrong : Wilgeforte never had any will of advancement in the secular hierarchy. Every time she had a new responsibility, it was because someone asked her to accept it. She told to her kinfolks that she was promoted as Holy Office Prefect without ever being consulted. It is obvious, for the ones who saw her at this charge, that she would never have refused such an offer, but this is certain that she suffered, without showing it - as a noble Sicilian woman -, from this ambition that many of her opponents attributed to her. Even if she had none of it.

    In an extremely short period, Wilgeforte was promoted as : Holy Office’s writer, Dauphiné’s apostolic ambassador, Holy Office’ secretary, apostolic secretary of the french septentrional region, Holy Office theologue, missa inquisitionis, Holy Office Prefect, San Loyats’ villa prefect, and French apostolic secretary.
    It is remarkable that she never neglected her local charges : she was parochial vicar and archdiocesan of Vienna, and also teacher and vice-deanery of Saint Antoine' seminary.


    IV. Her personality


    If her carrier allows us to define who was Wilgeforte, there is one element which defines her in the best way : her temper.
    In an institution mainly composed of French men, the Sicilian woman quickly unsettled by her determined mind and opinions, often borderline. But her gender and her origin do not justify the eternal memories she let to so many men : there was something special & unforgettable about her.

    Wilgeforte never let someone indifferent. Her colleagues, subordinates or superiors, they both could be classified in two categories : the one who adulated her whatever she did, and the ones who hated her, refusing to hear her name. It can be explained quite easily.

    First of all, it is obvious that some french prelates did not suffer the elevation of a sicilian woman, and it is certain that her dynamism, almost hyperactivity, overshadowed some lazy clerics.

    But what pleased and displeased more than anything was the nonconformist temper of Wilgeforte.
    We teach the clerics to be measured and consensual everytime, everywhere.
    Wilgeforte never smiled, always commented everything she has an opinion about - and God knows she had an opinion about almost everything –, and considered that her subordinates were here to do the tasks she defined… This vision had two mandatory consequencies : firstly, Wilgeforte was one of the most powerful clerics the Church ever had ; secondly, at the second Wilgeforte talked to a stranger, he could became her life-time friend or opponent.

    Another side of Wilgeforte’s temper is her coldness, this extreme range she took in every circumstance. A cleric described her this way “Under her iron mask, nobody knew what was the goal of this unpredictable woman, whose power surpassed the one cardinals had, even she was not even a bishop. All around her was an atmosphere made of unlimited admiration, amazement and terror. She was made of another matter than us.”

    Her southern education taught her, as we said, to never let see her intentions and feelings. It was only when she was opening the mouth that we could understand what she had in mind. The contrast between the coldness, the marmoreal attitude, the rudeness and her assertive words was astonishing.

    It is extraordinary to consider the importance of this young women had, who was bishop during a few weeks, and stayed in Roma only a few months. Most people having met her say that they will only forget her at their deaths. Her kindfolks are sure that they will still remember her in Solar Heaven.

    V. Her mysterious end and her first miracle


    During the month of July 1458, a kidnapping ad, and also a ransom were published on the Aristote's Square. These two ads happened at the same moment of the sudden disappearance of Wilgeforte from Roma. The Curia quickly denied this fact, without giving any reason for Wilgeforte's absence. A few days later, a new ad was published, precising that the cardinals did not attend a rendez-vous given for the paiement of the ransom.

    It was only in the middle of September that the Roma's Archdeacon published the official obituary, precising again that the kidnapping's theory was ludicrous, considering that Wilgeforte was died after a long illness. Only a few cardinals know what really happened.

    A few days after the publication of the obituary, Wilgeforte made her first miracle, and some said that in a manner, she waited for this a long time, or as if she wanted to deny the cardinals' declarations.

    During Tibère de Plantagenêt's enthronement as new roman constable, a dove poured holy water on Cyril Kad d’Azayes' face, curing him from warts, which afflicted him for many years. As a signature, the dove let a rose between two heraldic lions, as a reproduction of Torretta-Granitola's emblem.

    This event could only occur with the help of God, and this opened our eyes on the holy nature of Wilgeforte, who could not be considered as a simple humain being any more.

    VI. The second miracle – the second rose of Holiness


    On the Thursday, 15th of October 1461, following Horace's calendar, the Avignon's Archbishop was ordained in the Saint Nicolas the Fifth Chapel, by Monseigneur Yvon-Ulrich de Borgia, Archbishop of Lyon and France's primat.
    During the ceremony, all people present have been witnesses of a new miracle of Sainte Wilgeforte.
    The new archbishop had for habits to hide his face with a large hoodie. As an archbishop, he hesitated to remove it, in order to wear clothes worthy of his new rank. He had not decided yet when the ceremony began, and holy Wilgeforte herself helped in his choice. She sent a divine dove, which made the hoodie disappear.
    As during the miracle on Cyril Kad's wart, the dove let a rose between two lions, reproducing the Sainte's symbol.



    VII. She said


To a newly promoted writer, who was wondering about her methods of human ressources management a écrit:
A little whiplash never hurted anyone.

During the funeral of His Eminence Jehan Meleagant a écrit:
Today, a man who did honor to the man died.

To Thomas d'Azayes, when he annonced her the constitution of a file concerning the attribution of a bishopric In Patribus, that she suggested and he refused in the first point : a écrit:
Prrrrt.

To the same, when he arrived in the Holy Inquisition place a few days after the attribution of Bethléem Bishopric a écrit:
Can I do anything for you, dear pensioner ? A card game for your long days ? Some diapers for your incontinence's problems ? A new denture maybe ?

To writers congratulating her for her promotion to Holy Office Prefect a écrit:
Stop talking, brothers. Go back to work, and quickly !

When she learnt about the angevin schism (she was later commissionned by the Inquisition and the Nunciature on this problem) a écrit:
It's gonna be bloody !
(her long stay in Roma made her lose some parts of the education she received younger, as this statement shows it, with a vulgarity that we deplore.)

To the Great Inquisitor, His Eminence Clodeweck de Montfort-Toxandrie, during a visit of Thomas d'Azayes, who arrived with bottles that we suppose be of grape juice a écrit:
A bit of good wipe, Clo ?

To a cleric blaming her for her lack of confidence in human being a écrit:
If you have lived what I lived, you would understand why I give so often the impression of not having faith in humanity. My theological studies and my life let me think that man is more far from divine perfection than we generally believe.


    VIII. They said about her :


Monseigneur Navigius di Carrenza a écrit:
She is a workaholic and a power freak. And we like her this way.

Monseigneur Nathanaël de La Biolle a écrit:
Always capable, although sometimes snappish.

Sister Feuilllle, theologue of the Holy Office a écrit:
Monseigneur Wilgeforte has always been available for answering requests, but what was the most typic was that she always left to people free will, as said in our Dogma ; it means that she never forced someone to take any decision.
Her great neutrality in front of presented texts, her controled range, her knowledge of Dogma and Canonic Law, acted on the Scriptorium as a motor, and allowed to reveal new talents, without being incensing or contemptous.
This rare objectivity opened the Church to a varied enrichment by the Writings, and offered this way to the Kingdom's people what was necessary.

Monseigneur Ennio "Kemnos" Borromeo Pelagio, primat of Holy Empire and Ravenne's Archbishop a écrit:
A great loss. Now, she is certainly looking after the Church that she loved, from the solar Paradise.

Son Excellence Carolum Borja de Agnillo, spanish Apostolic Secretary a écrit:
Wilgeforte was certainly one of the most active and qualified people of the Holy See. Her work and dedication are now rewarded by the solar Paradise.

Son Éminence Cyril Kad d'Azayes a écrit:
Monseigneur is very kind.



Celebration : 21 january




Citation:





    Vita de la Sainte Wilgeforte de Torretta-Granitola



    I. Avant son arrivée en le royaume de France — enfance & éducation


    De l’enfance et de la prime jeunesse de Wilgeforte, nous ne connaissons que peu de choses. S’il est de notoriété publique qu’elle était originaire de Sicile, personne, sauf erreur de notre part, ne peut prétendre connaître le motif de son émigration en royaume de France. Selon Son Éminence Seriella de Bernouville, Wilgeforte se serait exprimée au sujet de ces motifs lors d’une confession que lui accorda feu Son Éminence Jehan Méléagant, lequel emporta le secret dans sa tombe. Après divers recoupements, il s’avère cependant que la piste la plus probable est celle de la tragédie familiale, laquelle finit cependant par se résorber étant donné que Wilgeforte se rendait régulièrement en son castel familial lors des rares vacances qu’elle s’accordait. Mais seules trois personnes détiennent la vérité à tout jamais : feu Jehan, feu Wilgeforte et le Créateur.

    Mais trêve de conjectures, attardons-nous sur ce qui est avéré.
    Wilgeforte était issue d’une famille de nobles siciliens dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Elle reçut l’éducation typique que reçoivent toutes les filles de haute noblesse en ces contrées et fut, dès son plus jeune âge, formée à l’art, à l’aristotélisme et aux langues anciennes et modernes (à seize ans, elle était parfaitement quadrilingue : sicilien, français, latin et anglais). C’est également de son éducation (du moins en partie) que lui provenait ce don qui la caractérisait si fortement : celui de rester de marbre en toute circonstance. Il est en effet de tradition, en ces royaumes méridionaux, de considérer qu’une femme, pour être irréprochable, doit dissimuler tout sentiment personnel.


    II. Son arrivée en le royaume de France — premiers pas en tant que clerc


    La première ville française que Wilgeforte découvrit est Vienne, capitale religieuse des duchés dauphinois et lyonnais. L’on ne sait avec certitude si c’est la ville en elle-même, l’archevêque Jehan Méléagant ou l’alors diacre Gabriel Cornedrue de Culan qui ont motivé sa décision, mais toujours est-il que Wilgeforte interrompit son voyage (lequel devait la mener à travers tout le royaume) et s’installa à Vienne. Il est à noter que son domicile officiel français resta à Vienne du début à la fin de sa carrière ecclésiastique - son déménagement à Avignon n’étant pas encore achevé à sa mort.
    Son premier acte officiel fut de faire confirmer son baptême par l’alors diacre Gabriel Cornedrue de Culan.

    Gabriel ayant été élu évêque de Genève, la ville de Vienne se trouva dépourvue de tout clerc. Désemparée par cet état de faits, Wilgeforte proposa à l’archevêque Jehan d’organiser des lectures du Livre des Vertus dans l’église afin que le saint bâtiment ne soit pas désert.
    Cette simple requête revêt une importance particulière dans la vie de Wilgeforte : c’est en effet à ce moment que Jehan décela l’incommensurable potentiel de la fraîchement arrivée Sicilienne. Il accepta, mais surtout l’encouragea à poser sa candidature au poste d’ambassadrice apostolique. Wilgeforte refusa tout d’abord, expliquant qu’elle ne s’en sentait pas l’étoffe, puis, devant l’insistance du vieux cardinal, accepta et prit la route de Rome.


    III. Rome — sa fulgurante ascension au sein de la hiérarchie séculaire


    Résolue à profiter un maximum de son séjour en la ville éternelle, Wilgeforte offrit ses services au Saint-Office où elle fut bientôt nommée scripteur. Elle fut par la suite nommée ambassadrice apostolique. Très peu de temps après ces deux nominations presque simultanées, deux autres événements se produirent au même moment : repérée respectivement par Son Éminence Vincent Diftain, chancelier du Saint-Office romain, et par feu monseigneur Giacomo Borgia dict « Marves », alors protonotaire de la nonciature apostolique, Wilgeforte se vit offrir les postes de secrétaire de la congrégation du Saint-Office romain et de secrétaire apostolique français septentrionale.

    C’est ainsi que débuta cette époustouflante carrière que nous connaissons tous. Les détracteurs de Wilgeforte lui reprochent sempiternellement cette accumulation de charges et taxent d’orgueil cette constante « volonté » de promotion. Mais c’est précisément dans ce dernier reproche qu’ils se trompent : Wilgeforte n’avait aucune volonté de promotion. À chaque fois qu’elle accédait à une nouvelle responsabilité, c’est parce qu’on lui avait demander de l’accepter. Elle confia à certains proches qu’elle avait été nommée à son poste phare, celui de préfet du Saint-Office romain, sans même qu’on lui ait au préalable demandé son accord. Il est évident – ceux qui l’ont observée à ce poste le savent – qu’elle n’aurait jamais refusé une telle offre, mais il est certain qu’elle souffrait, sans le montrer, de cette ambition qu’on lui prêtait et dont elle était, finalement, totalement dépourvue.

    Dans un laps de temps exceptionnellement court, Wilgeforte fut nommée : scripteur du Saint-Office romain, ambassadrice apostolique en Dauphiné, secrétaire du Saint-Office romain, secrétaire apostolique français septentrionale, théologue du Saint-Office romain, missa inquisitionis, préfet du Saint-Office romain, préfet de la villa San Loyats, secrétaire apostolique française générale.
    Notons que ce n’est pas pour autant que Wilgeforte négligea son investissement local : elle fut nommée vicaire paroissiale et archidiocésaine de Vienne, professeur et vice-doyenne du séminaire Saint-Antoine.


    IV. Sa personnalité


    Si sa carrière est un élément permettant de bien définir Wilgeforte, il en est un qui la définit mieux que tout autre : son caractère.
    Dans une institution composée dans une écrasante majorité d’hommes français, la Sicilienne détonna rapidement par ses prises de position tranchées, souvent à la limite de l’impétuosité. Mais son sexe et son origine ne suffisent pas à justifier l’impérissable souvenir qu’elle laissa à tant d’hommes : il y avait en elle quelque chose d’intrinsèque qui marqua certains à jamais.

    Wilgeforte ne laissa absolument personne indifférent. Que ce soit ses collaborateurs, ses subordonnés ou ses supérieurs, tous pouvaient se classer en deux catégories distinctes : ceux qui l’adulaient quoi qu’elle fasse et ceux qui ne toléraient pas que son nom soit prononcé en leur présence. Cet état de fait s’explique assez aisément.
    Il est tout d’abord évident que certains prélats français ne voyaient pas d’un bon œil la montée en puissance d’une femme sicilienne, et il est tout à fait certain que son dynamisme flirtant sempiternellement avec l’hyperactivité dut faire de l’ombre à certains clercs plongés dans l’acédie.
    Mais ce qui plut et déplut plus que tout fut sans doute le caractère anti-mielleux de Wilgeforte. On enseigne en effet aux clercs – et ceux-ci appliquent fort bien ces leçons – à être mesuré et consensuel en toute occasion. Wilgeforte, elle, ne souriait jamais, ne se privait pas de commenter ce sur quoi elle avait un avis – et Dieu sait le nombre de choses sur lesquelles elle avait une opinion –, considérait que ses subordonnés étaient là pour s’acquitter des tâches qu’elle définissait elle-même, etc. Cette vision des choses eut deux conséquences inéluctables : premièrement, Wilgeforte fut un des clercs les plus efficaces que l’Église n’ait jamais possédé ; deuxièmement, Wilgeforte se faisait un ami ou un ennemi à vie dès le moment où elle adressait la parole à un inconnu.

    Un autre aspect de la personnalité de Wilgeforte est sa froideur, l’extrême distance qu’elle prenait en toute circonstance. Un clerc le décrivit ainsi : « Sous son masque de fer, nul ne savait quel était le dessein de cette femme imprévisible dont le pouvoir dépassait celui de certains cardinaux alors qu’elle n’était même pas évêque. Il régnait autour d’elle une ambiance composée d’admiration sans borgne, de stupéfaction et de terreur. Elle était véritablement faite d’une autre matière que nous. »
    Son éducation sudiste lui avait en effet enseigné, comme nous l’avons déjà dit, à ne jamais laisser entr’apercevoir ses intentions et son ressenti. Ce n’était qu’au moment où elle ouvrait la bouche que l’on comprenait ce qu’elle avait derrière la tête. Le contraste entre la froideur, la dissimulation physique et la rudesse, la péremption de ses propos était saisissant.

    Il est extraordinaire de mesurer l’ampleur de la marque que cette jeune femme qui ne fut évêque que quelques semaines et qui ne fréquenta Rome que quelques mois laissa dans ce monde d’hommes. La plupart des personnes l’ayant côtoyé nous assurent qu’ils ne l’oublieront qu’à leur mort ; ceux qui lui furent intimes affirment, eux, qu’ils s’en souviendront encore au paradis solaire.


    V. Sa fin énigmatique et son premier miracle


    Dans le courant du mois de juillet 1458, une annonce d’enlèvement et une demande de rançon furent affichés au beau milieu de la place d’Aristote. Cette double annonce coïncidait étrangement avec la soudaine disparition de Wilgeforte de la Cité. La curie s’empressa de démentir, sans toutefois préciser les raisons de l’absence de celle qui était au cœur de l’administration romaine. Quelques jours plus tard, un second avis du même acabit fut placardé, précisant en outre que les cardinaux avaient failli à un rendez-vous fixé pour le payement de la rançon.
    Ce ne fut qu’à la mi-septembre que l’avis de décès officiel fut publié par l’archidiacre de Rome, précisant une nouvelle fois que la théorie de l’enlèvement était grotesque, Wilgeforte étant apparemment décédée d’une longue maladie. Seuls certains cardinaux romains très haut placés savent sans doute ce qu’il est véritablement advenu.

    Quelques jours seulement après l’annonce de décès officiel, comme si elle avait voulu dire qu’elle attendait cela depuis longtemps ou comme si elle confirmait le démenti des cardinaux, Wilgeforte opéra son miracle. Lors de l’intronisation de Tibère de Plantaganêt, nouveau connétable romain, une colombe versa de l’eau bénite sur le visage de Cyril Kad d’Azayes, le guérissant par là même d’un mal dont il était frappé depuis des temps immémoriaux : les verrues. Pour signer son acte, la colombe déposa une rose entre deux lions héraldiques, reproduisant ainsi l’emblème des Torretta-Granitola, famille de Wilgeforte.
    C’est cet événement, n’ayant évidemment pu se produire qu’avec le concours du Très-Haut, qui nous ouvrit les yeux sur la sainte nature de celle que nous considérions auparavant comme une simple mortelle.


    VI. Le deuxième miracle – La seconde rose de la sainteté


    Le jeudi 15 août de l'an d'Horace 1461, l'archevêque d'Avignon était ordonné et intronisé dans la chapelle Saint-Nicolas-V par monseigneur Yvon-Ulrich de Borgia, archevêque de Lyon et primat de France. Durant cette cérémonie, l'impétrant, l'officiant et toutes les personnes présentes ont pu être témoin d'un miracle de sainte Wilgeforte.
    Le nouvel archevêque avait pris l'habitude, depuis son adolescence, de cacher son visage par une épaisse soutane à capuche ample. Élu archevêque, il a hésité à la retirer afin d'adopter des habits plus convenables à son statut. Il n'était toujours pas décidé quand la cérémonie a commencé et c'est la sainte Wilgeforte elle-même qui l'y a aidé : elle a envoyé une colombe miraculeuse qui a dissous la capuche. Comme lors du miracle sur la verrue de Cyril Kad, la colombe n'a pas manqué de lâcher une rose entre deux lions, reproduisant l'écu de la sainte.



    VII. Elle a dit


À un scripteur fraîchement nommé s'interrogeant sur ses méthodes de gestion des ressources humaines a écrit:
Un petit coup de fouet n’a jamais fait de mal à personne.

Lors des funérailles de feu Son Éminence Jehan Méléagant a écrit:
Il est mort aujourd’hui un homme qui faisait honneur à l’homme.

À Thomas d’Azayes lorsque celui-ci lui annonça la constitution de son dossier de demande d’attribution d’un évêché In Patribus, constitution suggérée par Wilgeforte et que le lescurien avait tout d’abord refusée avant de céder a écrit:
Prrrrt.

Au même, lorsqu’il se présenta dans les locaux de la sainte inquisition quelques jours après l’attribution de l’évêché In Partibus de Bethléem a écrit:
Je peux vous être utile, cher retraité ? Un jeu de cartes afin d'occuper vos journées ? Quelques couches pour vos problèmes d'incontinence ? Un nouveau dentier ?

À des scripteurs la félicitant pour sa nomination au poste de préfet du Saint-Office romain a écrit:
Assez bavassé, mes frères. Au turbin, et qu’ça saute !

Lorsqu'on lui apprit le schisme angevin (elle fut par la suite commissionnée conjointement par l'inquisition et la nonciature sur cette triste affaire) a écrit:
Ça va chier.
(Son long séjour romain lui fit, sur la fin, perdre quelques parcelles de l'éducation qu'elle avait reçue, comme en témoigne cet aphorisme d'une vulgarité que nous déplorons.)

Au Grand Inquisiteur Son Éminence Clodeweck de Montfort-Toxandrie, lors d’une visite de Thomas d’Azayes, lequel arriva porteur de quelques bouteilles de jus de raisin a écrit:
Un coup de bon rouche, Clo ?

À un clerc lui reprochant son manque de confiance en l'être humain a écrit:
Si vous aviez vécu ce que j’ai vécu, vous comprendrez pourquoi je donne si souvent l’impression de ne pas avoir confiance en l’humain. Tant l’étude théologique que ma vie quotidienne me laissent à penser que l’homme est encore plus loin de la perfection divine que ce que l’on croit généralement.


    VIII. Ils ont dit d’elle


Monseigneur Navigius di Carrenza a écrit:
C'est une workaholic et une maniaque du pouvoir. Et on l'aime comme ça.

Monseigneur Nathanaël de La Biolle a écrit:
Toujours compétente bien que parfois hargneuse.

Sœur Feuilllle, théologue du Saint-Office romain a écrit:
Monseigneur Wilgeforte a été toujours disponible à répondre aux demandes d'informations, mais ce qui la caractérisait le plus à mon avis, c'est qu'elle a toujours laissé le libre arbitre tant prôné par notre Dogme ; c'est à dire qu'elle n'a jamais obligé qui que ce soit à une quelconque décision.
Sa grande neutralité face aux textes proposés, sa distanciation contrôlée, sa connaissance du Dogme et du Droit Canon, ont agi sur le Scriptorium comme un moteur et ont permis de révéler des talents objectivement reconnus, sans être dans l'encensement ou dans le mépris.
Cette rare objectivité a ouvert l'église à un enrichissement varié par les Écrits, et par là même offert au Peuple de tout le Royaume de quoi s'y retrouver.

Monseigneur Ennio "Kemnos" Borromeo Pelagio, primat du Saint Empire et archevêque de Ravenne a écrit:
Une grande perte. Maintenant, elle est certainement en train de veiller sur l’Église qu’elle a aimée depuis Paradis Solaire.

Son Excellence Carolum Borja de Agnillo, secrétaire apostolique hispanique a écrit:
Wilgeforte était sans aucun doute une des personnes les plus actives et les plus qualifiées du Saint-Siège. Son travail et sa dévotion sont à présent récompensés par le Paradis Solaire.

Son Éminence Cyril Kad d'Azayes a écrit:
Monseigneur est bien bonne.



Sainte fêtée le : 21 janvier


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