L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[MyriamLaGrande]

Myriam qui était retournée à la prière, releva à nouveau la tête pour écouter un homme s'était approché, qui de plus n'avait aucune agressivité. Elle était certe blessée du fait qu'elle ne puisse prier dans un lieu Saint. La perte de son baptême était comme une foudre qui s'était abattue sur elle.

Elle avait voulut demander pardon pour les gestes qu'elle ignorait qui lui avait value une excommunication à elle et deux de ses frères, surtout qu'ils n'avaient jamais renié le Très Haut.

Les yeux chargés de larmes, Myriam se signa tout en regardan l'homme, puis se relevant, lui dit, la voix brisée.

Je n'ai pas saisi votre nom, mais il me semble vous avoir déjà vu par le passé.

Si je suis d'accord pour sortir, c'est bien que votre gentillesse et la douceur avec laquelle vous l'avez fait mérite que je m'exécute.

Le Très Haut vous récompensera j'en suis certaine. Vous avez l'âme d'un vrai Aristotélicien Messire.

Myriam se releva doucement, retira la main du pommeau de son épée, puis dévisageant le garde qui baignait dans son agressivité, Myriam passa et quitta la Basilique.

Elle avait eût au moins un peu de temps pour demander pardon, et de faire ses Adieux à ce lieu Saint dans lequel elle ne mettrait plus les pieds. Mais une chose était certaine, elle n'allait pas vivre comme une autre excommuniée. Elle continuerait à garder la flamme du Très Haut dans son coeur et continuer d'aider les plus démunis et ceux qui et ceux qui sont abusé par plus fort qu'eux. l'Ordre tu Temple lui aura toujours appris une chose que les représentants de l'église ne sauront jamais apprendre à qui que se soit, et cela était l'amour de son prochain, le don de soi ainsi que le respect de la vie d'un être humain.

Marchant dans les corridors tout en étant dévisagée, Myriam baissa la tête et sortit de ce lieu injuste....... Le Très Haut se chargera d'eux en temps et lieux Pensa Myriam

(HRP: J'ai ignoré le post du joueur de Pictavius qui agit sur mon pero sans ma permission, et celui du joueur de Gandalf......pour continuer ou le rp en était lorsque je me suis couchée hier soir, soit avec le post de Bouboule. Merci joueur de Bouboule Fin HRP)

[Guigui145]

La Basilique était plongée dans un calme absolue, l'encens venant chatouiller les narines de Guigui, et le laissant sans voix. Le sourire aux lèvres, il pria le Seigneur afin de le remercier de tous les bienfaits sur la Terre, puis regarda avec admiration le cortège de chanoines, suivant le Cardinal Lorgol. Le Curé posa ensuite son regard un peu partout afin de saluer quelques personnes qu'il pouvait connaître comme par exemple Vincent.diftain ou encore UterPendragon. Un chant se fit ensuite entendre, et bizarrement, Guigui connaissant celui-ci, il décida de le chanter depuis sa place, en même temps que ses Frères. Il aimait ces cantiques.. il aimait le Seigneur.. il aimait ses Élus.
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Guigui145 d'Arhome.
Notable Voix de l'Eglise...
Évêque de Toul

[Aaron]

Dans la sacristie, le cardinal Aaron enfila une aube blanche et une chasuble pourpre. Aidé d’un acolyte, il ajusta son habit et sa calotte. Le prélat, coquet, aimait que tout soit parfait, gracieux et élégant. Il finit par placer autour de son coup la croix pectorale, puis s’avança vers la porte par laquelle le camerlingue était passé quelques minutes avant lui.

Suivit uniquement de son secrétaire, toujours à ses côtés depuis son accession au cardinalat, l’archidiacre de Rome fit son entrée dans le chœur de la basilique sous le chant mélodieux de l’assistance.

Il prit place dans un des fauteuils de velours rouge près de l’autel alors que son suivant alla se placer dans les stalles. Regardant la coupole, il posa ensuite son regard, vide, sur l’autel, attendant le début de l’office.

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Patriarche in Partibus d'Alexandrie

[bouboule]

Alors que sa conciliation n'avait pas d'autre but que de montrer qu'il etait la en train de prier et qu'il pouvait etre un homme bon, bouboule fut surpris de voir qu'elle avait en fait abouti et que la Dame sertait d'elle meme et sans faire d'esclandre.

Voila qui donnait a reflechir...Lui qui d'ordinnaire etait sans complaisance et plutot adepte de la métode forte, quelques simple paroles de conciliations ( certains diront quelques compliments mielleux, mais a vrai dire le resultat seul compte ) parvenait a faire aussi bien que les armes.

Et puis il y avait eu le compliment de cet excommunié aussi :

Le Très Haut vous récompensera j'en suis certaine. Vous avez l'âme d'un vrai Aristotélicien Messire.


Tous cela etait vraiment etrange et il en etait presque a remettre en question la manière dont il avait mené sa vie jusque la...

Arff ! décidement mes poussés de prière ne me reussise pas !
j'en ressort avec plus de question que qu'a l'entrée !
heureusement que cela ne m'arrive pas si souvent...

Sur ces mots il sorti de l'Eglise, se disant que pour se remettre les idées en place il allait faire fouetter un ou deux gueux en sa baronnie de Challes.
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sauvé des eaux

[thorin_ll]

Le jeune chevalier de l'église entra dans la basilique Sainte Titus. Il était là pour prier et représenter son ordre une dernière fois. Thorin était soulagé du calme enfin retrouvé et la prière et le receuillement ne pouvait être qu'une bonne chose pour permettre à la cité céleste de retrouver son calme et sa cérénité. Il alla s'assoire à côté de ses frères et attendit le début de l'office.
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Mort, Veille à jamais sur les francs et leur citadelle,

[Hans]

Trop rarement à Rome, retenu qu'il l'était par les obligations dans sa province, Hans avait pour une fois tenu à se rendre à la basilique pour se recueillir et assister à l'office dominical.

Il remarqua la présence de Monseigneur Pictavius, ainsi qu'une certaine confusion semblait régner dans cette partie de l'édifice religieux, mais ne s'y attarda pas et préféra aller rejoindre sa place pour suivre la cérémonie.

A la garde depuis quelques mois, suffisament même pour en être devenu l'un des Haut Dignitaires, le Premier Intendant était encore loin de connaître l'ensemble du clergé ou des membres des Saintes Armées.
Le Premier Intendant salua donc d'un discret et poli signe de tête les personnes qu'il avait déjà croisé auparavant, mais resta un peu à l'écart, et s'installa en bout de banc, sur un côté de la basilique.
Ses pensées étaient encore régulièrement tournées vers la Touraine et sur le futur de son duché mais il espérait retrouver un peu de quiétude en ces lieux.

[Otto bismarck]

Après que les fidèles et les clercs sont installés, l’Evêque d’Orléans fit son entrée avec les deux Cardinaux pour débuter la messe dominicale dans cette basilique richement décorée. Il y avait beaucoup de monde en ce premier dimanche de mars, en effet le jour du Seigneur rappelait aux fidèles leurs obligations envers le Très Haut et venaient lui rendre Grâce. Tous se levèrent en se signant au passage de la procession qui se dirigeait vers l’autel en portant haut le Livre des Vertus. Une fois arrivés devant le Chœur, les officiants s’inclinèrent avec respect devant le les instruments liturgiques soigneusement disposés sur la table, afin de rappeler combien ils sont dévoués et dévolus au service de l’Eglise de Christos et Aristote. Dans cette Basilique dédiée à Saint Titus, fondateur du Saint Siège, la foi était grande et les fidèles ici rassemblés venaient professer leur attachement à la Sainte Eglise Aristotélicienne Apostolique et Romaine. Le cortège, après s’être incliné et signé, s’avança derrière l’autel pour débuter la cérémonie. Chacun prit place tandis que les choristes grégoriens s’installaient pour chanter à la Gloire de notre Seigneur Dieu. Tout était en ordre pour offrir au Très Haut une cérémonie digne de ce nom.

Lorsque que tout le monde fut prêt, l’Evêque d’Orléans fit signe au chef de Chœur de lancer le Kyrie Eleison, afin de demander au Seigneur de faire miséricorde aux pécheurs rassemblés. Le titre de ce chant signifiait en Grec « Seigneur prend pitié ». Avec le Kyrie Eleison, c’était une manière de rendre hommage à la langue d’Aristote en chantant à sa gloire avec le dialecte d’usage en son temps.



Une fois le chant terminé, l’Evêque d’Orléans se plaça au centre de l’autel afin de débuter officiellement la messe en suivant la liturgie de la Congrégation de Saint Thomas qui serait de rigueur en ce dimanche. La cérémonie commençait toujours par la bénédiction de l’assemblée par l’un des officiants afin que chacun ait sur lui la Grâce du Très Haut au cours de cette célébration. Monseigneur Otto Bismarck dit avec clarté

In nómine Domini, et Christos, et Aristotelis
Au nom du Seigneur, de Christos et d’Aristote

Amen

Gratia Dei Altissimi Omnipotentis et Prophetarum sit semper vobiscum
La Grâce de Dieu, Très-Haut tout puissant et des Prophètes soit toujours vous

Et cum spiritu tuo
Et avec votre esprit

Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs,

Nous sommes réunis aujourd’hui, dans cette basilique à la gloire de Saint Titus, fondateur de l’Eglise Romaine, pour rappeler au monde, aux fidèles mais aussi à ceux qui voudraient attenter à sa grandeur, l’unité et la continuité de l’œuvre de Christos. Existe-t-il de plus beau message que celui d’une assemblée réunie pour louer la grandeur du Très Haut. En ce Dimanche 2 mars 1456, nous allons professer notre foi inébranlable dans la Sainte Eglise, seule dépositaire de la Parole.

Avant que soit lu un extrait du Livre des Vertus, reconnaissons que nous sommes pécheurs et demandons pardon à Dieu pour cela.

Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sanctis et vobis, fratres, quam peccávi nimis cogitatióne, verbo et ópere. Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa. Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres, oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum.

Amen

Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères que j’ai péché en pensée, en parole, par action et par omission ; oui, j’ai vraiment péché. C’est ma faute, c’est ma faute, c’est ma très grande faute. C’est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous mes frères, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu. Ainsi soit-il.

Monseigneur Otto Bismarck attendit que l'un des cardinal commence la lecture et son homélie
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Evêque in partibus de Damas
Ex Primat de France

[MarcLancien]

Marc écoutait très pieusement la messe dite par monseigneur Otto.

En cette période troublée, il récita intérieurement la demande de pardon.

Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères que j’ai péché en pensée, en parole, par action et par omission ; oui, j’ai vraiment péché. C’est ma faute, c’est ma faute, c’est ma très grande faute. C’est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous mes frères, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu. Ainsi soit-il.
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[Heulynn]

Heulynn écouta religieusement le début de la messe.
Lors du Confiteor, elle pria avec ferveur, confiant au Très Haut, les nombreux défauts qu'elle combattait encore et demandant pardon de sa faiblesse.

Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sanctis et vobis, fratres, quam peccávi nimis cogitatióne, verbo et ópere. Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa. Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres, oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum.

Amen

[UterPendragon]

UterPendragon sourit à Heulynn, puis continua d'écouter la messe.
Il récita ensuite la prière de pardon :

Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères que j’ai péché en pensée, en parole, par action et par omission ; oui, j’ai vraiment péché. C’est ma faute, c’est ma faute, c’est ma très grande faute. C’est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous mes frères, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu. Ainsi soit-il.

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Mort des cardinaux d'Azayes et von Frayner

[neocor]

Il était arrivé avec un leger retard, sa vieille mule ayant donné toutes ses forces... il entra discrètement dans la nef bondée, regardant ça et là quelques visages connus !

L'Abbé de l'OCF, Curé de Chambery, prit place sur un banc et se mit à prier...

[Lorgol]

Les rayons du soleil qui traversaient les vitraux venaient frapper l'autel et révéler le ballet onirique de la fumée d'encens en suspension dans l'atmosphère, ce qui ajoutait au ravissement que procuraient les propos de l'évêque d'Orléans. Le cardinal se recueillit, puis à l'invitation de monseigneur Otto bismarck s'avança pour procéder à la lecture.

Il leva les bras vers le ciel...

Au nom du Créateur, d'Aristote et de Christos,

Paix sur vos couches!

Aujourd'hui, mes chers frères et soeurs, nous célébrons la charité, et il me semble que rien n'est plus adapté à cette circonstance que le message de Christos, rayonnant de vérité.

Ecoutez la parole du prophète!

Livre des Vertus, vita de Christos, chapitre IX. Hum...

[sabotin]

Sabotin était assis à côté de son frère Thorin, ils avaient décidé de se rendre ensemble à cet office et représenter l’ Ordre des Chevaliers francs pour marquer leur attachement sans faille à la Sainte Eglise Aristotélicienne.

Une intense conscience de communauté unissait à ce moment tous les coeurs. Sabotin écoutait attentivement l’homélie de Son Eminence Lorgol et mesurait le renouveau des sentiments qu'éveillaient les pensées de ce texte sacré.
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Sabotin de la Marche di Césarini
Chevalier de l'Ordre militaire d'Aristote
Grand Maistre de l'Ordre des Chevaliers francs

[Arilan]

Arilan venait à peine de sortir de sa demeure qu'il entendit sonner les cloches de la Basilique Saint-Titus appelant les fidèles à la messe. Il tapa du pied, il allait être en retard, lui qui chérissait par dessus tout la ponctualité il allait être en retard ! En retard alors que Monseigneur Otto von Bismarck l'avait personnellement invité à cette messe dominicale ! Julia allait l'entendre à son retour, cette étourdie avait perdue dans un armoire sa robe du dimanche et l'avait retardé. Arilan pressa le pas puis voyant qu'il n'allait pas assez vite il ravala sa fierté et sa honte, souleva quelque peu sa soutane et se mit à courir. Quelle honte ! Courir ainsi dans Rome devant tous ces gueux, mais quelle honte ! Il arriva enfin aux abords de la place d'Aristote, il ralentis alors le pas et fut rassuré quand il vit de loin des prêtres rentrés dans la Basilique, il n'était pas en retard c'était très bien. Quand il arriva devant les grandes portes majestueuses de Saint-Titus il fut étonné de voir plusieurs gardes surveillant l'entrée et surtout les personnes qui entraient, Arilan écarta cependant vote ses questions se disant que ce devait être dû à la tension ambiante des derniers jours suite à l'Affaire du Temple. Quand il fut dans la nef c'est avec plaisir qu'il vit de nombreux clercs et fidèles présent. Il vit Leurs Eminences Aaaron et Lorgol ainsi que Monseigneur Otto qui se recueillaient en attendant le début de la cérémonie. Arriva alors un dilemme cornélien. Où et surtout à côté de qui allait-il s'assoir ?! Alors qu'il cherchait quelqu'un son regard fut attiré par un profil familier. Il s'approcha de la personne, saluant au passage certains de ses frères tels Vincent, Uter ou Guigui. Lorsqu'il arriva à la hauteur de l'homme il s'exclama.

Hans, toi aussi ?!

Des regards désapprobateurs se tournèrent vers lui. Confus Arilan s'empressa de s'assoir près de son vieil ami. Et lui chuchota alors.

C'est un réel plaisir que de te voir ici mon cher Hans, ça faisait tellement en plus que nous ne nous étions pas vu !

C'est alors que la cérémonie débuta ne leur laissant pas le temps de plus parler. Arilan écouta avec attention le chant grec qu'il ne connaissait pas puis récita comme tout fidèle le Pardon à Dieu.

Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sanctis et vobis, fratres, quam peccávi nimis cogitatióne, verbo et ópere. Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa. Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres, oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum.

Amen

Lorgol s'avança alors pour lire un passage du Livre des Vertus, de la Vita de Christos, ce choix n'étonnait pas Arilan, bien entendu il était évident étant donné l'appartenance du cardinal à l'Ordre Thomiste.
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[scelet]

Deux hommes gardaient les montures.... Un détachement de la Garde Franche avait escorté les notables de l'Ordre des Chevaliers Francs.
L’entrée s’était faite en ordre, les Francs s'installérent en silence... Scelet, fermant les yeux, joignit les deux mains, il écouta avec ferveur l'homélie de Son Éminence Lorgol.