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[RP] Funérailles de Mymy Von Ahlefeldt-Oldenburg
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Epsonstylus



Inscrit le: 30 Aoû 2008
Messages: 1343
Localisation: Franche-Comté

MessagePosté le: Lun Déc 08, 2008 2:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Appuyée fébrilement contre Sabotin, Epson mumura le Credo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.
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Håkon



Inscrit le: 18 Jan 2008
Messages: 987
Localisation: Nevers, Rome, Amboise, Auxerre, ...

MessagePosté le: Lun Déc 08, 2008 6:13 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Avec toute la communauté des fidèles assemblés en nombre pour les funérailles de Mymy, il récita le credo.

Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Chevalier du Danemark et de Norvège, Chapelain de la paroisse nobiliaire de Dourdan & grand-prieur de l'abbaye de l'Ouÿe
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Farnor



Inscrit le: 02 Fév 2007
Messages: 81

MessagePosté le: Lun Déc 08, 2008 7:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dans une grande tristesse, Farnor recite le Credo , il savait Monseigneur Mymy au soleil

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.

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AsdrubaelVect



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Messages: 232
Localisation: Bourgogne

MessagePosté le: Lun Déc 08, 2008 10:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est assez affecté que le Duc vint en compagnie de son épouse et de la petite Esyllt à Rome pour assister aux funérailles de l'ancienne archevêque de Lyon ; aujourd'hui remplacée par la sœur de la défunte.
Il l'avait assez peu connue, mais un certain lien s'était créé lorsqu'il l'avait sauvée. En effet, à la suite de sa lâche agression par les lions de judas, il avait été le premier à la retrouver, en compagnie d'Arilan, tous deux avaient été laissés pour morts sur une route aux abords de Dijon. Et lui, étant à cette époque Général de Bourgogne, les avaient transportés jusqu'à Dijon pour qu'ils soient soignés...
Il se rappellerait toujours de cette rencontre pour le moins bouleversante, deux prélats massacrés sur l'autel de la violence de ces hérétiques. Même s'il haïssait déjà profondément les lions, voilà qui n'avait fait qu'aggraver le constat : il fallait tous les éliminer.

Vêtu de la couleur du deuil éternel, d'une longue houppelande brodée et fourrée de velours. Avant d'entrer, il sourit à Morgwen et lui caressa très discrètement le ventre rebondi.

Ils remontèrent la nef jusqu'à une place ni trop proche de l'autel ni trop lointaine. Il avait expliqué à Esyllt pendant le trajet ce qui allait se passer dans la basilique, pour qu'elle se tienne calme.

Le Duc écouta alors la cérémonie, arrivé juste avant que celle-ci ne commence.
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Forth_With



Inscrit le: 22 Jan 2008
Messages: 616

MessagePosté le: Lun Déc 08, 2008 11:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Discret comme toujours. Forth ignorait les travers de la représentation, de la personne qui se montrait aux autres et surtout en de pareils cas. Il aimait se retrouver seul avec lui même et se recueillir. Il ne connaissait que peu Monseigneur Mymy. Tout ce qu'il savait d'elle était le fait qu'elle fut l'archevêque de Lyon durant une partie du temps où il se trouvait au séminaire de Lyon justement.

Et pour cela lui fut suffisant pour venir. Car il connaissait et comprenait la peine que certains avaient. De plus il voulait aussi représenter par la même son rôle d'Ambassadeur et même si normalement il aurait dût le faire pour les funérailles de membres du temporel il ne se priva pas.

Ainsi il était là, auprès d'un pilier de la Basilique, silencieux. Tellement que même Monseigneur Uter Pendragon ne le vit pas ou tout cas c'est ce qu'il eut l'impression.

Puis au moment où l'on devait réciter le credo il le fit tranquillement par quelques mots à peine articulés.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Hobb



Inscrit le: 17 Fév 2008
Messages: 3285
Localisation: Genève et Thorens /Savoie

MessagePosté le: Lun Déc 08, 2008 11:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le Bruder Hobb récita le Credo :

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Eldwin



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Messages: 1876
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MessagePosté le: Mar Déc 09, 2008 12:55 am    Sujet du message: Répondre en citant

Assis sur un banc dans le fond de la cathédrale, Eldwin assistait, attentif et concentré, aux funérailles de l'ancienne archevêque de Lyon, bien qu'il ne l'eut jamais vu et connu. Néanmoins pour son service au sein de l'Eglise et pour le Très-Haut elle méritait la reconnaissance et l'hommage de tout le peuple aristotélicien. Cet hommage se devait d’être d’autant plus grand qu’elle avait perdu la vie en défendant la Vray Foy contre les infidèles ! Il récita donc le credo en chœur avec l’assemblée quand il fut entonné.
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Cristòl



Inscrit le: 09 Déc 2008
Messages: 1

MessagePosté le: Mar Déc 09, 2008 3:19 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le Coms de Lengadòc était là, mais bien davantage par son statut d'Hospitalier, comme l'avait été Monseigneur Mymy von Alhefeldt, que par sa charge régalienne.
Pieux, comme toujours, il récita avec une poignante sincérité son crédo, en même temps que toute la nombreuse assemblée.


-« Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen. »

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verty



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Messages: 1733
Localisation: Rennes.

MessagePosté le: Mar Déc 09, 2008 9:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

Mgr Verty récita avec ferveur le credo:

"Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle."

AMEN
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Kad



Inscrit le: 20 Sep 2006
Messages: 6405
Localisation: Evêque In Partibus de Tibériade

MessagePosté le: Mar Déc 09, 2008 4:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Informé que les funérailles de feue Monseigneur Mymy se tiendraient en la basilique Saint Titus, l'archevêque provençal se joignit à la foule venue adresser un dernier adieu au défunt prélat. L'un des plus anciens clercs de l'Église avait trouvé la mort dans des circonstances dramatiques... Nombreux étaient ceux qui pleuraient son trépas.

Sans un mot, le primat de France prit place et récita le credo entonné par Monseigneur Aymé :


    Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
    Créateur du Ciel et de la Terre,
    Des Enfers et du Paradis,
    Juge de notre âme à l'heure de la mort.

    Et en Aristote, son prophète,
    le fils de Nicomaque et de Phaetis,
    envoyé pour enseigner la sagesse
    et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

    Je crois aussi en Christos,
    Né de Maria et de Giosep.
    Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
    C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
    Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
    Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

    Je crois en l'Action Divine;
    En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
    En la communion des Saints;
    En la rémission des péchés
    En la Vie Eternelle.

    AMEN

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sabotin



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MessagePosté le: Mer Déc 10, 2008 12:25 am    Sujet du message: Répondre en citant

Sabotin baissa la tête se remémorant la mort d'êtres chers des années au paravent. Debout à côté d'Epson il se mit à réciter le Credo :

Je crois en Dieu,
le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.

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Sabotin de la Marche di Césarini
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UterPendragon



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Messages: 11630

MessagePosté le: Mer Déc 10, 2008 10:23 am    Sujet du message: Répondre en citant

Dans un ultime souffle, Aymé prononça un "Amen" qui réaffirmait à lui seul toute sa croyance en Dieu, toute sa croyance en Sa Justice, qui saurait montrer à Mymy le chemin du paradis. Il profita de l'occasion pour saluer Kad, d'un léger hochement de la tête. Ceci fait, la croix de sa main s'éleva à hauteur de son cou, au-dessus du cercueil.

Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tien, Tout-Puissant.
Et l'assemblée de répondre :
Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’et la tienne, Tout-Puissant.
A nouveau, les présents murmurèrent :
Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.
Les présents dirent alors, en réponse à la déclaration d'Aymé :
Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Toi qui n'est qu'Amour, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’ami qui nous est cher.
Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.

Amen



Après ces derniers mots, un instant de recueillement avait pris la place de la longue déclaration. Une jeune femme, tout de blanc vêtu, et les cheveux d'un roux éclatant, s'avança, et alluma chaque cierge autour du coffre de bois encore ouvert où était désormais posé le corps de Mymy...

L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de notre amie, qu'elle la conduise maintenant au Royaume de Dieu !


Sur l'autel, Aymé avait déposé une belle médaille, cyan, mais près d'elle se trouvaient aussi une médaille noire et verte. Saisissant les trois, Aymé les déposa, de la plus foncée à la plus claire, sur le buste de Mymy... Retenant un léger haut le cœur, il loua les parfumeuses de lui avoir redonné une odeur convenable.

Mymy, nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et Christos, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle.


La corbeille, remplie au fur et à mesure par les arrivants, fut déposée devant le cercueil, remplie de divers bourses d'écus, colliers, bagues, voire même un poulet, apporté par un fidèle lyonnais.

Mymy,nous déposons ces présent sur ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur.

Puis, Aymé se tourna vers l'assemblée, une légère humidité dans le regard. Il était triste, oui, nul n'aurait pu le nier. L'archevêque de Lyon avait été son amie, son prédécesseur, son supérieur hiéarchique, et bien d'autre encore, mais leur rapport avait toujours été celui d'un Frère et d'une Sœur, que l'amitié unissait.

En ce jour, nous rendons hommage à Mymy, celle que nous avons connu, de près ou de loin, mais que chacun de nous aimait à sa juste valeur. Pour certains, c'est une amie, que nous avons perdu ici, la douce amie qui venait nous rassurer, nous réconforter lorsque nous en avions besoin, celle que jamais la colère ne vint envahir. Pour d'autres, c'est une Mère que nous avons perdu, celle qui, attentive, veillait au bonheur de ses ouailles, à leur vertu.

Mais le Tout-Puissant nous appelle, lorsqu'il est l'heure, quand bien même certains hommes ayant sombré dans le péché précipitent cet appel. N'oubliez jamais comment Mymy fut traitreusement assassinée ! Ne l'oubliez pas, car il nous rappelle que notre lutte contre le vice n'est jamais aisée, et le service de l'Eglise loin d'être une sinécure. Mais notre amie a servi avec amour et conviction le Très-Haut et l'Eglise, prions pour le salut de son âme.


A nouveau, Aymé joignit les mains, en signe de prière, et y déposa sa tête. Il implora alors les deux prophètes, les Saints, les Archanges, les Apôtres, d'intercéder auprès de Dieu afin qu'une place au soleil du paradis lui soit gardée.
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Mort des cardinaux d'Azayes et von Frayner
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Ingeburge



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Messages: 9794
Localisation: L'alta città delle città reina

MessagePosté le: Mer Déc 10, 2008 1:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Quand la spirale des malheurs la frappant allait-elle enfin s'interrompre? En cet instant précis, elle ne pensait qu'aux peines successives qui l'avient affectée, rien d'autre ne comptait, aucune joie, aucun espoir. Tout était sombre et sans goût. Elle ne voyait que les pertes qu'elle avait subies.
Tout d'abord, Vitou, son époux tant adoré qu'elle avait perdu quand il avait sombré et avait été excommunié peu de temps après, elle n'avait jamais pu tout lui dire. Ensuite, sa fille qui était née bâtarde car son père n'était rien de moins qu'un renégat aux yeux de l'Eglise quand elle était venue au monde, cette enfant qu'elle avait éloignée d'elle quand elle avait prononcé ses vœux de prêtrise. Et Mymy... Elle ferma les yeux. Et Kreuz, son ami, son modèle, son mentor. Elle l'avait récemment enterré et aujourd'hui elle devait quitter sa sœur adorée.

On avait beaucoup murmuré dans Rome sur les funérailles tardives de Mymy von Ahlefeldt, on avait beaucoup parlé de l'odeur pestilentielle qui devait certainement flotter dans les couloirs du Palazzo di Diana. Et elle était passée hautaine et intouchable, elle avait laissé dire sachant bien que peu de personnes pourraient comprendre.
Quand Mymy avait rendu son dernier soupir, Ingeburge avait fait sortir tout le monde de la chambre de la défunte. Elle s'était allongée près d'elle, lui parlant encore et encore, ne se résolvant pas à accepter que ces yeux clos, ce calme, ce teint pâle trahissaient plus qu'un simple sommeil. La nuit était venue, enveloppant la pièce dans son voile obscur. Elle s'était alors redressée et avait quitté les lieux prenant soin de clore la porte à clé. Elle avait revêtu une mante sombre et avait demandé à deux gardes de l'accompagner. Elle avait traversé tout le Trastevere, le pas sûr et décidé, scahant exactement où elle devait se rendre. Elle était parvenue à destination, grattant l'huis d'une maisonnette aux volets clos et à l'allure peu engageante. Elle y avait rencontré des gens, parlementé, glissé des ducats et s'était finalement entendue avec ses interlocuteurs. Et elle avait parcouru le chemin en sens inverse, soulagée que l'idée qui avait germée dans son esprit était réalisable. Elle était alors retournée auprès de sa sœur, se comportant avec cette dernière comme si elle craignait de la réveiller. Elle était restée postée devant l'une des croisées ouvertes, songeuse.
Deux heures s'étaient écoulées et des coups sourds frappés à la porte l'avait extirpée de ses pensées. Elle était allée ouvrir, soudain anxieuse. Le vantail tiré avait livré passage à une courte silhouette enveloppée dans des voiles de cotonnade claire. Il y avait eu de nouvelles palabres, de nouvelles promesses de bourses pleines de ducats et le petit homme aux ascendances nubiennes, ce descendant des Sages du Royaume de Koush, gardien des secrets des embaumeurs de l'Egypte Antique, avait levé un regard étonné mais amusé sur ce prélat qui lui demandait de conserver le corps d'une aristotélicienne selon des rituels païens immémoriaux. L'accord avait été conclu et l'opération menée avec diligence.
Et c'est ainsi qu'elle avait gardé sa sœur auprès d'elle et s'était complue pendant des semaines dans l'illusion qu'elle était encore là.
Elle n'en avait jamais parlé à quiconque, elle n'imaginait pas que quelqu'un pourait comprendre puisque rien ou à peine n'avait altéré les traits purs de Mymy. Peut-être le confesserait-elle un jour même si elle ne pensait pas avoir mal agi.

Elle avait finalement donné son accord pour les obsèques et acquiescé vaguement quand une date avait été proposée. La dépouille de sa sœur avait remise à des clercs, sans un mot, sans une explication.
Et depuis la restitution du corps, elle avait vécu dans un état d'agitation permanente. Elle avait déserté le Palazzo di Diana, logeant dans les salons privés de ses appartements Place d'Aristote, dormant à peine, ne sortant que très peu, refusant bien souvent les contacts.
L'annonce des funérailles avait été placardée un peu partout dans Rome, elle n'avait pu l'ignorer et l'échéance se faisant de plus en plus menaçante, elle avait quitté la cité pontificale pour se terrer à Ostie. Elle avait passé ces quelques jours à erre sur la plage, ses pieds nus enfoncés dans le sable, le visage fouetté par le vent aux relents iodés.



Debout dans le narthex de la Basilique Saint Titus, se tenait une femme seule. Elle avait laissé son escorte derrière elle et un clerc s'était précipité pour prendre sa mante. Elle avait machinalement ôté le lourd vêtement découvrant ainsi une simple robe de soie noire. Pas de bague aux doigts, pas de broderie précieuse, pas de fourrure soyeuse; le seul ornement de l'impétueuse Princesse étaient en ce jour ses longs cheveux sombres épandus dans son dos et ses yeux couleur d'angélique.
Elle regardait devant elle, fixement.
Là-bas, au loin, devant l'autel, gisait Mymy. Sa Mymy si pleine de vie, si enthousiaste, si joyeuse. La vie avait fait place à la mort, l'enthousiasme au silence et la joie à l'absence. Et l'idée de la savoir enfermée dans cette caisse de bois ouvragé lui était insupportable.
Et elle connaissait les responsables de ce malheur irréversible. Un pli amer tordit sa bouche tandis que ses yeux froids s'embrasaient de colère. Mymy lui avait tout relaté, elle avait jeté ses dernières forces dans le récit de son attaque. Ingeburge en avait frémi, sentant soudre en elle la vengeance.

Pour le moment, elle ne l'avait pas assouvie. Pour le moment. Elle luttait encore, sa conscience, sa morale, sa foi se révoltant contre ce besoin de faire payer ceux qui lui avaient arraché Mymy. Elle luttait encore mais pour combien de temps?

Car le sang appelait le sang et la pensée qu'un jour elle tremperait ses doigts dans celui des Infidèles ayant attenté à la vie de sa sœur adorée la maintenait étrangement dans un état proche de la lucidité. En apparence, elle demeurait calme et indifférente, elle paraissait relativement équilibrée mais elle était en fait en train de sombrer dans un puit sans fond.

Elle n'esquissa pas le moindre mouvement pour prendre place parmi l'assistance.
Elle ne reprit pas le Credo avec les fidèles assemblés.
Elle ne répéta pas les prières adressées au Très-Haut.

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UterPendragon



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Messages: 11630

MessagePosté le: Ven Déc 12, 2008 7:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Un grand instant de silence avait suivi l'entrée d'Ingeburge, uniquement rompu par quelques lamentations qu'on entendait, au loin. Ceci dura peut-être seulement quelques secondes, mais celles-ci étaient longues et pesantes. Le regard d'Aymé était posé sur celle qu'il avait longtemps considéré comme son amie, désormais, il ne savait plus. Désirant briser ce silence, il se décala et dit :

Je laisse la place à Sœur Eavan...
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Eavan



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MessagePosté le: Ven Déc 12, 2008 8:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Eavan se leva, sentant sur elle des regards, elle regretta un instant de ne pas avoir prit le temps de se changer pour être plus convenable qu'en tenue de voyage. Certes elle aurait pu venir en carosse, d'ailleurs il faudrait qu'elle s'y haboitue un jour, mais elle n'avait pas eu le temps. Voyager au galop de relais en relais était de façon certaine la seule manière d'arriver à temps. Peu importait finalement sa tenue, elle le savait. L'important n'était pas le paraitre mais la volonté de rendre hommage à quelqu'un qu'elle estimait.
Elle fit un pas et se retrouva sur la nef, assise en bout de banc cela était plutot une bonne chose. Elle inspira un grand coup, tout en fixant Uter dans les yeux.

Tandis qu'elle remontait la nef vers l'évèque et le cercueil dans lequel reposait Cybermymy, elle se demanda où était Ingeburge, il était difficile d'assister à l'enterrement d'un être cher, mais cela était important, et de toute façon elle ne voyait pas quelqu'un comme l'ex Archevèque Métropolitaine d'Aix ne pas venir. Elle parvint à hauteur du cercueil et s'accorda un regard sur la défunte. Un faible sourire naquit sur ses lèvres, elle n'avait pas tant changée, c'était la même que lorsqu'elle l'avait mariée ... Cela faisait si longtemps.
Son regard retourna à Aymé. Elle lui donna une accolade amicale, voulant lui murmurer quelquechose mais sentant que les mots n'étaient pas utiles, pas vraiment.

Elle se tourna vers le Livre des Vertus qui attendait sagement qu'elle vienne en lire les lignes. En relevant les yeux elle distingua une silhouette vétue de noir légèrement par delà l'entrée de la Basilique.
Ingeburge.
Eavan qui sentait se dissoudre sa voix tandis que son émotion avait grandit tout le long de la nef, décida qu'elle n'avait pas le droit de mal lire le texte qu'il lui avait été donné de transmettre aux gens rassemblés là en ce jour. Elle reporta son regard sur le Livre. Un marque page, elle prit la page marquée.
Une inspiration et elle commenca la lecture.


Lescure a écrit:
Chapitre quatrième: dialogue sur l'âme. Deuxième partie.

Le soir tombait sur le ville de Pélas. On entendait que les murmures des femmes qui, près des temples paiens, invoquaient les faux dieux pour la santé du roi. Ce dernier en effet, était mourant. Nicomaque, le père d'Aristote, était à son chevet pour tenter de retarder, et d'alléger le poid de l'échéance fatale.
Aristote, agé maintenant de 14 ans, marchait au hasard dans les rues de la ville, sans voir ni entendre ce qui se passait autour de lui. Qu'adviendrait il de son père si le roi venait à mourir? Bien sur, il ne saurait être tenu pour responsable, mais qui sait ce que des courtisans mal intentionnés pouvaient imaginer, et quelles vengeances pouvaient s'exercer dans ces moments d'interrêgne?
Il s'arrêtta près du temple de Proserpine. Il ne croyait certes pas à la puissance de ces dieux, qui ne lui semblait que des pantins morts, mais il y avait comme une majesté secrête dans cette évocation de la déesse des morts en un instant pareil.
Il sentit une main se poser sur son épaule. C'était Epimanos.


Eavan après avoir lue ceci, qui placait le contexte du prochain dialigue entre Epimanos et Aristote, reprit un peu plus bas. Le texte était écrit de sorte que chaque ligne délivre un message, mais il était long, aussi décida-t-elle de sélectionner les passages les plus attachés à la situation présente.

Lescure a écrit:
Aristote: Qu'y a t'il après la vie Epimanos? Cette âme unique que l'homme possède et qui nous différencie des animaux, survie t'elle à cette vie?

Epimanos: Je ne sais Aristote. Ma science porte sur la vie et non sur la mort. Je peux te dire comment bien vivre, comment être heureux et connaitre les êtres au quotidien, mais pas ce qu'il y a après la mort.

Aristote: Tu peux me dire comment bien vivre? Voyons cela. N'est tu pas d'accord que pour faire un acte intelligent il faut en prévoir les conséquences?

Epimanos: Si bien sur, cela évite de faire des erreurs, de mal agir ou de mal juger des situations. C'est important de prévoir.


La jeune femme reprit un peu plus loin passant simplement la comparaison au mariage qui n'était pas vraiment de circonstance. Elle avait vécu beaucoup de pertes quand elle était jeune, et la jeune Baronne décida d'aller un peu plus loin.

Lescure a écrit:
Aristote: Je suis content que nous soyons d'accord. Donc pour bien vivre il faut savoir ce qu'il y a après la mort.

Epimanos: Ah!? Là je ne te suis plus. Que veux tu dire?

Aristote: C'est bien simple: tout comme le mariage la mort est un évènement définitif. Il faut s'y préparer donc soigneusement. Si il y a une vie après la mort, alors la vie que nous menons avant la mort doit être consacré à préparer cette vie après la mort. (...)

Epimanos: Je vois où tu veux en venir. Pour toi la mort n'est qu'un passage qui mène à une autre vie?

Aristote: Oui.


Ces mots là étaient importants de même que les suivants mais plus encore une phrase retint l'attention d'Eavan qui gardait pourtant un rythme de lecture égal, ponctué de léger temps de silence, le temps de prendre une respiration et que chacun puisse intégrer les paroles entendues.
La jeune femme se surprenait elle même, sa voix était claire et résonnait justement dans la Basilique. Elle ne criait pas ni ne chuchotait, et malgré son émotions, ce picotement qui lui brouillait les yeux. Elle affichait au fur et à mesure du texte une détermination. Les mots qu'elle lisait trouvait un écho en elle. Elle espérait qu'elle lirait bien de sorte que cet écho soit ressentit par l'assemblée.


Lescure a écrit:
Aristote: Mais comment l'homme fait il pour chercher du nouveau, pour creer même en lui et autour de lui ce nouveau?

Epimanos: Et bien si je pars de ma propre expérience, je dirais que j'ai des idées qui me viennent, et qui ne semblent venir de personne d'autre que de moi même, et que je réflechie sur ces idées.

Aristote: J'en suis arrivé à la même conclusion. Ce qui m'a frappé c'est que cela ne venait pas de ce qui m'entoure, mais de moi même, de mon intérieur. Cela semblait...

Epimanos: Immatériel non?

Aristote: Oui, immatériel. Ce n'était pas la conséquence d'une impression sensible mais d'une impression immatérielle, spirituelle.

Epimanos: Je comprend. Mais quelles conclusions en tirer? Il est évident que ces impressions viennent de notre âme.

Aristote: Oui, mais cela veut dire que notre âme est immatérielle, car l'immatériel ne peux pas venir du matériel. Personne ne peut donner ce qu'il n'a pas. N'est tu pas d'accord?

Epimanos: Oui, dit comme cela c'est compréhensible. Mais où veux tu en venir?

Aristote: Mon père est médecin Epimanos, et il m'a souvent décrit la mort: la matière se putréfie, se désintègre sous l'effet du temps. Et regarde autour de toi: la mort est toujours marquée par la destruction de la matière.

Epimanos: Oui, tout passe en ce monde, et ce que les anciens on construit est déja presque disparu.

Aristote: Mais si tu prends quelque chose qui n'est pas composé de matière, cela disparaitra t'il?

Epimanos: Il ne me semble pas: si ce n'est pas composé de matière alors cela ne peut pas se désintégrer. Cela ne mourra pas. Ainsi la pensée d'un homme comme Pythagore sera éternelle et vivra encore dans plus de mille ans.

Aristote: Donc tu penses que ce qui est immatériel ne meurt pas?

Epimanos: Avec tout ce que nous avons dit jusqu'ici, je crois que c'est une chose établie.

Aristote: Alors notre âme, qui est immatérielle, doit elle aussi, ne pas mourir. Quand nous mourons notre corps disparait, mais notre âme, elle demeure. Et c'est cette vie de l'âme qui est la vie future.


Voilà elle s'arrêterait là. Elle releva la tête, cette fois sans replonger dedans. Elle avait mit beaucoup d'application à ne pas rester le regard plongé dans le livre, car sa lecture ne s'adressait pas à lui mais à l'assemblée.
Elle espérait qu'Ingeburge ait entendue.
Un deuil n'est jamais chose aisée à vivre et la jeune femme espérait humblement que sa lecture avait pu peut être réconforter un peu.


Eavan se tourna vers Uter. Le regard brouillé elle lui sourit et se décala pour lui laisser la place tout en ignorant si elle devait regagner sa place.

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