L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[UterPendragon]

Dans les bras de Grégoire, enserré,
Saint Lescure le grand se laisse porter.

Non non, cela ne signifie pas qu'Aymé, alors qu'il faisait route vers Rome, depuis Rouen, serrait en ses bras la délicieuse Seriella ! Les mules grégoriennes et lescuriennes avançaient d'un pas vif, leurs sabots soignés claquant sur la route, lorsqu'elle était dallée. Les villes se succédaient les unes aux autres, les places entendaient les prêches quant à l'Amitié et la Charité. Quelques abbayes avaient la bonté d'accueillir l'illustre compagnie, leur laissant des petites cellules et un accès aux bibliothèques. Ils ne devaient pas avoir l'habitude d'être nombreux lors de leurs offices, au vu de leurs expressions lorsque débarqua, pour les vêpres, des dizaines de moines ayant faim de Foi.

Finalement, les jours passèrent, mais c'est sans crainte que le cortège avançait. Saint Lescure guidait leurs pas, et ils savaient tous que leur arrivée se ferait à point nommé. Ainsi, alors que la date approchait, les tours romaines furent en vue. Les chants des moines redoublèrent d'intensité, laissant les passants médusés face à tant de verve. Jetant de temps à autres un regard complice à Seriella et à ses frères et sœurs grégoriens, Aymé se sentait tel un poisson dans l'eau. Lorsqu'enfin ils approchèrent de la basilique, ce fut une expression de joie.

Les Lescuriens avaient apporté ce qui était nécessaire pour le culte de Saint Lescure, tandis que les Grégoriens s'étaient chargé du pain et du vin... ç'allait être un véritable festin, sans aucun doute.

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Mort des cardinaux d'Azayes et von Frayner

[Seriella]

Au pas de sûr mais tranquille d'Ulysse, Seriella avait fait la route depuis Rouen. C'est que Rome, ça fait une longue trotte, mais heureusement, ils avaient été prévoyants en se préparant bien à l'avance.

Le soleil de mai avait éclairé leur route, les prairies étaient verdoyantes, les bourgeons fleurissaient, les oiseaux chantaient... bref c'était le printemps, et Seriella aimait le printemps.

La compagnie d'Aymé était on ne peut plus agréable, et tout au long du trajet ils avaient cheminé tel un vieux petit couple, le vieux grégorien lui racontant des histoires de temps où elle n'était même pas née.
Derrière eux cheminaient frères lescuriens qui bavassaient, et frères grégoriens qui chantaient, parce que c'est bien connu, les grégoriens chantent tout le temps.

C'est donc harassée, crottée, mais heureuse que Seriella et tout la troupe arrivèrent sur le parvis de la basilique Saint Titus.

En femme qui se respecte, Seriella fit halte devant une auberge. Hors de question de pénétrer Saint Titus et d'officier dans une pareille tenue, elle avait besoin d'un bon bain. Elle fit remarquer à ses frères qu'ils feraient bien d'en faire autant, vu l'odeur qui se dégageait du cortège.
Elle prit donc une chambre, et se fit amener un baquet d'eau chaude.
Quelques heures et quelques ablutions plus tard, elle ressortit, portant une robe blanche, ceinturée de violet, et portant un pallium violet également. Le violet était la couleur de leur ordre, qu'ils associaient à Saint Lescure. Point de mitre ni de crosse , ce n'était pas en tant qu'archevêque qu'elle était là aujourd'hui.
Rejoignant ses frères qui attendaient, au bas mot, depuis au moins 2 heures, elle leur dit

Bon, on y va ? C'est qu'on a une fête de la Saint Lescure à fêter quand même !

Et sans attendre leur réponse elle se dirigea vers la basilique et grimpa les marches.
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SE Aaron lui même l'a dit : "C’est à regretter de n’être Lescurien de naissance" alors rejoignez nous.

[vanwolk]

Vanwolk quitta sa douce paroisse de Montauban pour prendre la direction de Rome. Capitale de notre Sainte Eglise Aristotélicienne, c'était un reve pour Vanwolk !
Il traversa donc le languedoc et la provence au gallop de son cheval. Il avait emener avec lui quelques bouteille vide pour les remplirs de liqueur locale.

Après plusieur jour de cheval il appercoit au loin une masse colossale et oui c'était Rome, le voyage touchait a sa fin et Vanwolk allait revoir ces amis lescurien et en communion avec les grégorien ils allaient rendre grace à Dieu par l'intermédiaire de Saint Lescure

[Kaioh]

Kaioh était parti avec le cortège depuis Rouen, il jonglait en effet entre le Mont Saint Michel, Beauvais et le couvent lescurien. Alors un voyage de plus ou de moins, ce n'est pas cela qui allait le déranger et même cela lui faisait plaisir.

Mais le voyage sur son baudet fut long et ennuyeux, bien qu'amical. En effet, ils n'avaient rencontré aucun brigand et le gros Kaioh n'avait alors point pu s'amuser à leur casser la figure. Oui il était devenu évêque, mais ô combien c'était plaisant de foutre des roustes à ces malandrins!

Et ils arrivèrent aux portes majestueuses de la ville Aristotélicienne : Rome. La Grandiose, la Majestueuse, la Magnifique, la Puissante... Les adjectifs mélioratifs se bousculaient en sa tête pour s'arrêter finalement sur... rien!

Ils entrèrent donc dans la ville, et prirent le chemin de la basilique Saint Titus, mais Seriella en tant que femme, respectable certes, mais femme tout d'même, décida que nous devrions faire un brin de toilette, vu l'odeur que nous dégagions tous dans l'ensemble.
Heureusement d'ailleurs que ce n'était qu'un brin de toilette, car tous attendaient, y compris Kaioh, le retour de Seriella. 'fin ça restait une femme et ça se vérifiait, coquète à en être lassante. Tous s'embêtaient, tous voulaient commençaient la cérémonie, mais tous attendaient la rectrice de l'Ordre Lescurien, car aujourd'hui, c'était Lescure que nous allions fêter.

Et elle arriva enfin, l'attente fut longue, très longue, trop longue et d'ailleurs Kaioh en avait perdu la notion du temps, mais le calvaire était fini et ils allaient bientôt pouvoir festoyer tous ensemble. Sa bonne bedaine commençait déjà à en faire des siennes et les gargouillis devenaient de plus en plus incessants, il toussotait donc pour cacher les bruits tant qu'il pût, mais cela en devenait difficile.
Il monta alors les marches après tout le monde, afin de s'assoir au fond de la basilique, histoire d'être le moins entendu possible...
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Amicalement Kaioh

[Aranwae]

Le prouvaire Aranwaë Dunedain avoit gardé précieux plaisemant d'iceste instant pieu en la Basilique Sainct Titus.
En la grâce de la Vicomtesse d'apperault, qui pourvoyait largement à son train de vie en Rome. Aussy, estoit il vêtu d'une soutane noire à la mode Romaine, lisse en son bas, et corseté en son buste.

Le prouvaire s'estoit bien préparé à accueillir ses frères lescuriens en la ville saincte. Sériella, Kaïoh et Vanwolk arrivèrent et se fut avec une profonde joï ance qu'ils leur fit l'accolade lescurienne sy appréciée au couvent rouennais.

Mère Seriella, mes frères, vostre reze fut il sans encombre? Je suy fort aise de vous voir céans car j'eus crainte qu'il ne vous arrivoit malheur avec tant de marauds rodant aux portes de Rome.
Je suy là de puy une nuitée et j'avoue avoir impatience d'iceste pieuse cérémonie.
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Le Dogme

[AuroreDuverger]

Aurore avait rejoint le cortège alors qu'il traversait la vallée du Rhône. Très exactement lors de la traversée de cette bonne ville de Vienne où elle officiait comme curé.

Elle avait salué le père Aymé qu'elle connaissait bien, en bonne grégorienne qu'elle était. Celui-ci lui avait présenté monseigneur Seriella, l'archevêque lescurien de Rouen.

La route ensuite avait été ... habituelle. C'est à dire poussiéreuse, semée d'auberges plus ou moins bien tenues et ... d'un manque de bons bains chauds.

C'est avec plaisir qu'Aurore vit Rome puis la basilique approcher. Tout comme monseigneur Seriella elle alla se laver et se changer. Sa dernière visite dans la basilique Saint Titus lui avait montré qu'à Rome moulte prélats assistaient aux offices et qu'ils disposaient d'une maison sur place que leur permettait de se préparer pour briller en public.

Enfin prête, Aurore pénétra dans la basilique, à la suite des dignitaires des deux ordres.
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Aurore Duverger - Abbesse de Vienne en Dauphinois.

[Seriella]

Une fois tout le monde entré, Seriella fit signe à un jeune moine de Saint Titus qu'il pouvait aller sonner les cloches, afin d'ameuter le bon peuple Romain.


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SE Aaron lui même l'a dit : "C’est à regretter de n’être Lescurien de naissance" alors rejoignez nous.

[Childebert de Bearn]

Encore une fois les cloches sonnaient lorsque le vieux moine Grégorien sortit de Tastevin pour rejoindre ses terres entra dans Saint Titus.

Quelle drôle de coïncidence se dit il. Mais bon tant que c'est pas le glas...

Le vieux Childy salua les personnes qu'il connaissait, il vit sa filleule AuroreDuverger, puis s'installa à sa place en attente de prendre la parole pour la lecture de la prière universelle
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[vanwolk]

L'ensemble des clercs se préparait dans la sacristie de la basilique Saint Titus . Chacun enfillaient aube et chasuble ou étole ainsi que les symboles de leur ordres.


Ils traversaient la nef par le coté pour se positionner au fond de la basilique. Quand tout un coup l'orgue se mit a raisonner et la procéssion d'entrée débuta . Elle etait rythmée par les cliquetis des encensoirs tenu par les servants de la Basilique.


Arrivé devant l'autel, les Archeveques, Eveques, pretres, diacres et soeurs et freres des ordres présent s'inclinèrent devant le colossal Maitre autel. Avant de Rejoindre sa place.




Vanwolk alla pret du fauteuil de la présidence de la Basilique et prit la parole:



Frères et Soeurs Bienvenue

Bienvenue en cette Basilique de Rome, lieu d'Unité de Notre Sainte Eglise. On ne pouvait se rassembler autre part pour rendre Grace à Dieu en priant Saint Lescure et dans l'unité entre l'Ordre Lescurien et l'Ordre Grégorien. Oui cette célébration est symbole d'Unité et d'entente ! Nous allons rendre Hommage a cet Homme devenu Saint qui a oeuvré pour le rayonnement et la grandeur de l'Eglise.

Nous sommes rassemblé Au Nom du Père, d'Aristote et de Christos

AMEN

Comme va nous le rapeller Soeur Auroreduverger Dieu est plein de Miséricordre alors demandons lui pardon

[AuroreDuverger]

Soeur Aurore s'avança et comme toujours dans cette grande basilique elle était tout d'abord intimidé.

Elle regarda l'auditoire et pris son souffle.

Mes frères, mes soeurs, chers amis, comme vient de nous le rappeler notre frère, le Très Haut est miséricordieux.

Christos a dit au centurion:

[vanwolk]

Vanwolk qui se tenait en retrait dans le choeur dit :

Citation:

Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères que j'ai péché en pensée, en parole, par action et par omission; oui, j'ai vraiment péché. C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos, les archanges et tous les Saints, et vous aussi mes frères, de prier pour moi le Créateur Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde, qu'il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle dans le paradis solaire. Amen.

[Childebert de Bearn]

Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j'ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission;
oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Childebert,
les archanges et tous les Saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
qu'il nous pardonne nos péchés
et nous conduise à la vie éternelle
dans le paradis solaire.
Amen.
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[aurelien87]

Mgr Aurélien était venu avec les frères et soeurs de son ordre pour assister à la messe commune avec les Lescuriens. Il prit place à coté de ses amis et menthors Uter et Childebert. Il était content de voir le monde qui venait dans la basilique pour assister à cet office. Il reconnu quelques personnes présentes et leur fit un petit signe discret. Il récita son acte de contrition à la suite de la soeur Aurore.

Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j'ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission;
oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Childebert,
les archanges et tous les Saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
qu'il nous pardonne nos péchés
et nous conduise à la vie éternelle
dans le paradis solaire.
Amen.

[Kaioh]

L'évêque de Beauvais s'était bel et bien assis au fond de la basilique. Et la cérémonie commençait, il récita alors avec les autres la prière.

Je confesse à Dieu tout-puissant,
Je reconnais devant mes frères
Que j'ai péché en pensée, en parole,
Par action et par omission;
Oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
Les archanges et tous les Saints,
Et vous aussi mes frères,
De prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
Qu'il nous pardonne nos péchés
Et nous conduise à la vie éternelle
Dans le Paradis solaire.

Amen.
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Amicalement Kaioh

[Quasi]

Quasi avait fait route avec ses frères et soeurs. Ils étaient enfin arrivés et purent se joindre aux autres.

c'est avec ferveur, qui elle aussi était du voyage, qu'elle récita