L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Adelene]

Citation:

CONSÉCRATION DE L'ABBAYE GRÉGORIENNE DE SECLIN 23 FÉVRIER 1473 ___ ___ L'heure était venue : celle de redonner à l'Ordre Grégorien une abbaye-mère. Ce projet prenait enfin forme et consistance à l'Abbaye de Seclin. Ce dimanche 23 février 2023, après de longs mois de travaux acharnés, le bâtiment allait recevoir le Saint Graal : la reconnaissance officielle de la Congrégation de la Diffusion de la Foi. Pour l'occasion, tous les membres de l'Ordre, ainsi que les futurs membres, étaient appelés à se présenter et à formuler explicitement leur serment d'intégration à l'Ordre. Au petit matin de ce dimanche 23 février, les cloches de l'église abbatiale sonneraient pour la première fois.

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Son Éminence Adelène de Kermabon - Cardinal de Saint Nicomaque de l'Esquilin - Archevêque de Bordeaux

[Cetelle]

Invitations avaient été envoyées à tous les membres et futurs membres de l'Ordre.
Au petit matin, Cételle sortit de sa cellule pour rejoindre l'abbatiale. Elle voulait être parmi les premiers à fouler le sol de l'église qui serait bientôt consacrée. Alors que la brume hivernale recouvrait encore les bâtiments de l'abbaye, la jeune doyenne traversa le cloître, emmitouflée dans un mantel de laine, la tête couverte d'un capuchon que ne laissait entrevoir que le bout de son nez rougi par le gel matinal.
Enfin elle gagna l'abbatiale et s'y réfugia pour se préserver du froid piquant. Alors, assise sur un banc du fond de la nef, elle patienta, attendant, missel sur les genoux et toute à ses prières, que les autres membres arrivent.

[Adelene]

Ce sont les bruits légers des pas de Cételle sur le pavé du couloir qui donnèrent l'alerte au Recteur. Il ajusta son aumusse brune et sortit de sa cellule pour emboîter, tout aussi discrètement que Cételle, les pas de cette dernière pour se rendre à son tour dans l'abbatiale. Le frois étant cinglant, mais au moins dans l'église l'humidité était moindre.

Le frère Escabèche était déjà à l'oeuvre, pour péniblement allumer toutes les chandelles de l'église, dont certaines nécessitaient qu'il utilise un petit escabeau de bois, chancelant. À ce spectacle de tous les dangers, le Recteur retenait son souffle, lorsqu'il prit place près de Cételle, salua cette dernière en silence.
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Son Éminence Adelène de Kermabon - Cardinal de Saint Nicomaque de l'Esquilin - Archevêque de Bordeaux

[p27kw]

lyonis avait reçu l'invitation de l'ordre, il était heureux de cette nouvelle, cette renaissance de l'ordre était très importante a ses yeux.

Arrivé devant l'église, il y entra il vit sa sœur cetelle et Eminence Adelene, il les salua et s'assit près d'eux.
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Monseigneur Lyonis D'Apperault,
Archevêque Metropolitan de Narbonne,
Eveque In Partibus de Cannope.

[Louis_saint_prigent]

Les routes menant aux Flandres étaient froides et boueuses en ce mois de février, mais ni l’âpreté du voyage ni la fatigue accumulée ne parvinrent à ébranler la détermination du Père Louis de Saint Prigent. Après plusieurs jours de trajet, l’Abbaye de Seclin se dressa enfin devant lui, émergeant de la brume matinale tel un sanctuaire intemporel. Ses murailles de pierre, marquées par les siècles, portaient en elles l’empreinte d’un passé austère et la promesse d’une renaissance spirituelle.

L’invitation de Monseigneur Cételle Montgargan résonnait encore en lui. Ce jour n’était pas qu’une simple cérémonie : c’était la consécration d’un renouveau, l’engagement solennel de ceux qui feraient vivre l’Ordre Grégorien. Plus qu’un événement ecclésiastique, c’était une opportunité, un appel. Ici, se conjuguaient l’étude, la transmission du savoir et la contemplation, ces valeurs qui lui étaient chères et prenaient désormais une forme tangible.

Les lourdes portes s’ouvrirent après quelques instants d’attente, dans un grincement sourd. Frère Escabèche, le portier au pas hésitant, s’affaira à les manœuvrer avec la lenteur que les ans lui imposaient. Il accueillit le voyageur d’un simple hochement de tête avant de refermer derrière lui les battants massifs, isolant l’abbaye du tumulte du monde extérieur. L’enceinte du monastère imposait aussitôt le silence et la réflexion.

Dans le cloître, les chants des novices s’élevaient sous les hautes voûtes, purs et vibrants, portés par l’écho des pierres centenaires. À travers les galeries, des silhouettes s’activaient dans un ballet mesuré : certains disposaient les bancs dans la nef, d’autres achevaient les derniers préparatifs pour la consécration imminente. L’abbaye tout entière semblait frémir sous le poids solennel du moment.

Sous les arcades, Monseigneur Cételle Montgargan avançait lentement, enveloppée dans un mantel de laine. Son capuchon rabattu ne laissait entrevoir que le bout de son nez rougi par le givre. Fidèle à son engagement, elle fut parmi les premières à pénétrer dans l’abbatiale.

Louis suivit son exemple, pénétrant à son tour dans l’église silencieuse où quelques chandelles vacillantes projetaient une lueur dansante sur les murs de pierre. Son Éminence Adelène de Kermabon, Recteur de l’Ordre, observait Frère Escabèche, qui, perché sur un escabeau brinquebalant, s’efforçait d’allumer les derniers cierges. La scène semblait figée dans un équilibre précaire, et chacun retenait son souffle en redoutant le moment où le vieil homme vacillerait.

S’avançant dans la nef, le Père Louis s’agenouilla près du chœur, posant un instant ses mains jointes sur le bois d’un prie-dieu. En ce lieu où se mêlaient passé et avenir, il sentit plus que jamais le poids du choix qu’il s’apprêtait à faire.

Les premiers échos de pas résonnèrent sous les hautes voûtes, annonçant l’arrivée progressive des autres membres. Les voix feutrées, les froissements de vêtements et le craquement discret du bois accompagnaient la montée en solennité de l’instant.

Aujourd’hui, il ne serait plus un simple spectateur.
Aujourd’hui, il prêterait serment.

L’Ordre Grégorien ouvrait ses portes, et il était prêt à en franchir le seuil.

S’avançant d’un pas mesuré vers les membres déjà présents, il les salua respectueusement avant de déclarer d’une voix claire et posée

Que la paix et la lumière du Très-Haut vous accompagnent. Je suis le Père Louis de Saint Prigent, demeurant à Aix. C’est un honneur d’être parmi vous en ce jour mémorable. Il m’était impensable de manquer un tel événement.

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[uriel]

Uriel voyageait dans le nord du pays, là où le froid, bien plus mordant que le climat doux du sud, imprégnait chaque pierre et chaque souffle d'air. Il s’était arrêté un moment à l'Abbaye, où il avait eu une conversation des plus intéressantes avec le Recteur de l'Ordre. À l'invitation de ce dernier, il avait prolongé son séjour, en attendant l'inauguration et, surtout, la consécration.

L'abbaye, bien que simple et austère comme le sont souvent les bâtiments religieux "privés", ne portait aucun signe ostentatoire de richesse. Les énormes pierres, si elles isolaient du monde extérieur, retenaient également le froid et l'humidité, rendant la vie au sein de ces murs des plus exigeantes. La vie des moines et des moniales y était rude. Pourtant, le voyageur s’était bien accommodé de la chambre qui lui avait été assignée, non seulement parce qu'il connaissait bien l’environnement monacal — à Noirlac, lorsqu’il était Doyen du Séminaire et, naturellement, frère de l'Ordre Cistercien — mais aussi parce qu'il avait passé de longs mois au monastère himalayen de Se-ra, nom qui, au pays de Bod, signifiait « L’Enclos des Roses ».

Ainsi, de bon matin, après avoir enfilé une tenue sobre et pratique, il se promena dans les couloirs avant de rejoindre l'abbatiale. À son arrivée, il salua les personnes déjà présentes : un sourire pour la Soeur qu'il ne connaissait pas, un signe amical au Cardinal-Recteur, un salut respectueux à Lyonis, qu'il avait côtoyé des années plus tôt, et également à Louis, avec qui il collaborait parfois à l'Université de Provence.

N’étant pas Grégorien, il serait donc "invité", et, dans une humilité profonde, il se plaça au dernier rang, se sentant honoré d'être ici, en ces lieux empreints de solennité, pour un événement aussi rare.

[Péris]

Rejoindre l'Ordre était pour lui une suite logique à sa formation sur la voie de l'Eglise, il avait avancé bien rapidement ces derniers temps mais sans négliger son apprentissage personnel.
D'un pas assuré mais respectant une certaine lenteur pour ne pas se montrer précipité il entra doucement dans l'Eglise qui était déjà occupé par quelque personne de sa connaissance. Péris les salua d'une inclinaison partiel avant d'aller embrasser la bague de son Eminence puis de prendre place.
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[astreos]

Astreos avait reçu missive pour le grand moment attendu par nombre de membre de l ' ordre Grégorien , la consécration de l ' Abbaye de Seclin .

Voyageant non loin , il ne lui fallut guère de temps pour se rendre sur les lieux malgrés des routes encore chargées de neige .

Se présentant devant l ' église abbatiale aprés s ' être lavé et habillé d ' une tenue noire et pourpre pour la circonstance , il entendit les premiers tintements des cloches et pénétra en l ' édifice tout en se signant .

Il salua d ' un geste de la tête discret les personnes présentes et se plaça sur un banc regardant les flammes des chandelles qui semblaient danser au rythme des chants mélodieux des novices .
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[Alianor]

La jeune soeur du Recteur, désormais orpheline, et ne pouvant compter que sur la protection de son frère, à défaut d'époux, disposait d'une chambre à sa disposition au sein de l'abbaye. S'il ne s'agissait pas d'une cellule, la chambre n'était pas pour autant d'un confort remarquable. Mais au moins elle disposait d'un renfoncement qui servait de petit cabinet de lecture, et d'un endroit également pour la toilette.

C'est dans cette pièce que la jeune femme passait la presque totalité de son temps, qu'elle occupait à la lecture et à l'apprentissage. Mais pour l'occasion, elle était descendue et s'était jointe au reste des membres de l'Ordre, discrète, comme une silhouette sans corps. Elle s'installa, tout aussi silencieuse, le visage voilé.

[Marilyse]

Sur tout le trajet qui l'avait menée à l'Abbaye, Marilyse avait été pensive et recueillie. En effet, ce jour voyait la concordance de deux événements : la célébration d'une vie et l'accompagnement d'une âme dans son repos éternel d'une part, et la consécration d'une renaissance d'autre part. Comment ne pas être amenée à réfléchir à la force spirituelle de la situation ?

Et finalement, à la suite des présents, la jeune Grégorienne arriva à son tour. L'émotion était grande pour elle qui avait connu la destruction précédente, et voyait ce retour à la vie se concrétiser finalement. Elle salua chacune et chacun avec amitié et discrétion, et attendit la suite.


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[Chenessie]

Une missive d'une importance capitale parvint à Chenessie, l'invitant à la cérémonie de consécration de l'abbaye de Seclin, vénérable mère de l'Ordre Grégorien. Son âme, vibrante d'une ferveur ardente, s'illumina à la lecture de ces mots précieux. Elle laissa sa petite famille vaquer à ses occupations, son cœur empli d'une anticipation exaltante. Ce jour, elle devait être présente, car la cérémonie était un événement qu'elle chérissait plus que tout.

Laissant derrière elle le confort de son foyer, Chenessie s'engagea sur les chemins sinueux qui menaient à l'abbaye. Chaque pas résonnait avec une détermination tranquille, son esprit s'emplissant d'un désir profond de ne point arriver en retard. Le froid mordant de l'hiver la tenaillait, et elle s'enveloppa de multiples couches de vêtements chauds, soigneusement choisis pour la prémunir des assauts du climat. Un manteau de laine épaisse, d'un rouge flamboyant, conférait à son allure une modestie élégante, tandis qu'une cape en feutre aux bords délicatement ourlés la protégeait des vents glacés. Une seconde cape, encore plus épaisse, lui offrait une protection supplémentaire contre les morsures du froid. À chaque souffle glacial, Chenessie frémissait, se remémorant les rigueurs de la saison et son besoin pressant d'être réchauffée par la chaleur de la foi.

Alors qu'elle cheminait, ses pensées s'élevaient vers les jours radieux à venir et vers la cérémonie tant espérée, promesse d'un renouveau spirituel capable d'apaiser son âme en quête de lumière.

Enfin, elle atteignit les portes nouvellement érigées de l'église, un sanctuaire baigné d'une lumière dorée. L'atmosphère festive se mêlait à une sérénité palpable, et Chenessie salua avec une humilité empreinte de grâce ceux qui étaient rassemblés. Son visage s'illumina d'un sourire sincère, éclatant de gratitude. Puis, avec une démarche empreinte de respect et de dignité, elle s'avança vers un banc en bois fraîchement poli, resplendissant de sa récente élaboration. Elle s'y installa avec une délicatesse infinie, se penchant doucement en prière, le cœur apaisé et l'âme ouverte, prête à accueillir la bénédiction naissante de ce moment exquis, où le divin et l'humain s'unissent dans une harmonie sublime, pleine de promesses et d'espérances infinies.

[Abigael...]

Ayant quitté le Béarn afin de pouvoir poursuivre ses études elle avait reçu en chemin un missive de son amie Cetelle l'invitant à se rendre à la cérémonie de consécration de l'abbaye de Seclin, abbaye mère de l'Ordre Grégorien.

Elle se devait d'être présente. Heureusement ses pas l'avaient mené proche de l'abbaye. Encore un peu de marche et elle serait arrivée. Point de retard pour cette cérémonie ...Elle apercevait l'abbaye au fond du vallon. Elle accéléra le pas ...

[Fleur.de.journu]

Après discussion et avoir pris connaissance de l'ordre qu'Adelene désirait faire revivre, Fleur arrivait pour la consécration de l'Abbaye Grégorienne de Séclin mais pas seule. En effet, elle entrainait dans son sillage père et fille ! C'est donc en petit convoi que les trois silhouettes se dirigent dans les corridors. Une chance que le Cardinal leur avait fourni le plan car le dédale de corridors et cloitres valait un labyrinthe.

Le matin froid mord les joues et le vent fripon soulève robe et capes. Tous trois enroulés dans leurs vêtements encapuchonnés, se présentent à l'entrée. Ils se mettent aussitôt à l'abri à l'intérieur de la bâtisse, Fleur retenant par la main l'ardeur de sa fille plus habituée aux ponts des navires qu'au silence des églises.

Après avoir ôté la capuche, calmement la Louve salue les présents d'une inclinaison de tête polie accentuée d'un sourire. Au passage, elle donne un léger coup de coude à Patricia, pour qu'elle l'imite. Un discret signe de la main est adressé au Cardinal avant de prendre place sur un banc patientant le début de la cérémonie.

La jeune femme avait expliqué simplement à la petite l'objet de leur implication, surtout la partie spirituelle qui lui permettra d'élever son esprit. Enfin, Fleur le souhaitait... Patricia dicte aussi Tischa ou Tich avait compris le message et l'enjeu et c'est de bon cœur autant que par curiosité qu'elle avait accepté et de fait était présente.
       
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[Georges_de_journu]

Une longue discussion au coin du feu avec ma fille Fleur qui m'a "vanté" l'Ordre Grégorien de Séclin. Le chien aux pieds, un verre de bon Cognac en main quoi rêver de mieux? si une femme, Ma femme ma Mie Valeryane.

Mais pour l'instant c'est Fleur qui m'a convaincu après étude des préceptes. Et elle m'emmène à l'abbaye de Séclin pour la consécration de celle-ci et prêter officiellement serment. Acte on ne peut plus sérieux et réfléchi. Quoique question réflexion, nous voici flanqués de ma petite fille remuante et bavarde comme pas deux!

Donc fermant la marche dans les couloirs j'avance sans ma moitié. Une fois arrivés nous entrons dans l'abbaye heureusement le vent nous gelait. Visiblement Fleur connait du monde, salut poli pour les présents, un oeil sur la gamine remuante et je m'installe à côté d'elles sans bruit. J'attends.

[Sidie]

L'un des avantages indéniables d'avoir une abbaye située sur les terres comtales dont elle avait la responsabilité était la proximité des lieux de culte. Sidonie, en route depuis Tournai où des affaires séculaires l'avaient retenue quelques jours, se dirigeait vers l'abbaye qu'elle avait eu le plaisir de visiter récemment. Le trajet, bordé de paysages champêtres et de villages paisibles, lui offrait un moment de répit bienvenu.

En pénétrant dans l'église, elle fut frappée par la solennité des lieux au travers de leur style simple. Au premier coup d’œil, elle reconnut la silhouette droite et imposante du Cardinal, debout près de l'autel. Non loin de lui se tenait le Père Bochon, son confesseur, dont la présence discrète mais rassurante lui était familière.

Sidonie s'approcha du Cardinal, un sourire sincère illuminant son visage. Elle le salua avec la déférence due à son rang, inclinant légèrement la tête en signe de respect et baisa l'anneau épiscopal. Puis, se tournant vers le Père Bochon, elle s'avança vers lui, essayant de faire en sorte que ses pas ne résonnent pas dans le silence de l'église.


"Mon Père, c'est une joie de vous voir aujourd'hui. Me permettez-vous de prendre place à vos côtés ?" murmura-t-elle, sa voix à peine audible dans le recueillement ambiant.


Alors qu'elle s'installait, son regard fut attiré par une petite silhouette inattendue. Se penchant légèrement, elle aperçut la frimousse de Tischa, une enfant qu'elle n'aurait jamais imaginé croiser en ces lieux. Intriguée et ravie, Sidonie s'excusa auprès du Père Bochon et se dirigea vers la fillette.

Après avoir salué Tischa et s'être brièvement présentée à sa mère, Sidonie les invita à poursuivre leur conversation après la cérémonie car elle souhaitait pouvoir s'enquérir des aventures que la petite avait à raconter depuis leur rencontre. Elle revint ensuite s'asseoir auprès du Père Bochon, savourant la tranquillité du moment. L'église, avec ses murmures de prières et ses lueurs vacillantes, offrait un refuge propice à la méditation et à la paix intérieure.

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