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L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church
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Bender.B.Rodriguez
Cardinal
Inscrit le: 16 Sep 2008
Messages: 2763
Localisation: Bourges
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 Posté le: Mar Avr 28, 2009 1:29 am Sujet du message: |
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[La Messe]
(En Bleu la traduction pour nos amis néerlandais
In blue the translation for our netherland's friends.)
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Le crédo aristotélicien venait de résonner à l'unisson dans la grande nef centrale de la basilique, donnant des frissons et hérissant tous les poils du Gross Hospittler. Ce qui venait de se passer donnait un sens absolu au message du prophète Aristote, tous, ensemble, les frères et soeurs de l'église avait chanté le symbole de leur foi et de leur dévotion à la Sainte Eglise.
The Aristotelician credo has just resounded in the central nave of the basilica, giving shivers and bristling all the hairs of Gross Hospittler. This last moment gave an absolut sense to the message of the prophet Aristote, all, together, brothers and sisters had sung the symbol of their faith and their worship to the Holy Church.
Ainsi, Bender regarda toutes et tous, en laissant un instant de solennité et déclara d'une voix portante :
So, Bender looked at all, by leaving a moment of solemnity and declared with a loud voice:
Mes chers amis ! Chers frères, chères soeurs.
Aujourd'hui, nous sommes réunis autour de la Relique du Saint Crâne d'Aristote, qui nous rappelle à tous, le message que Dieu a transmis à l'humanité par l'entremise de Son Prophète.
My dear friends, brothers, sisters.
Today, we are here together facing the Relic of Aristote's Holy Skull, which reminds us all, the message that God has transmitted to the humanity by the intervention of His Prophet.
Le prêtre attrapa le livre des vertus qui trônait sur l'autel central, entre deux cierges illuminés. Il l'ouvrit à une page marquée et débuta sa lecture :
The priest grabbed the book of Virtues which was on the central altar, between two illuminated candles. He opend it to a marked page and began his lecture :
| Livre des Vertus, Livre II, La Vita d'Aristote, Chapitre VIII, l'unité de Dieu. a écrit: | Aristote, qui se sentait en âge de maturité philosophique, et émancipé de la tutelle de son maître, décida qu’il était temps pour lui de fonder sa propre école. Il savait qu’Hermias, son ami de longue date et seigneur d’Atharnée, avait réuni un petit cénacle d’anciens élèves de l’académie d’Athènes à Axos, sur la côte de la Troade. Aristote décida donc de diriger cet enseignement, et fonda ainsi sa première école.
L’académie d’Aristote avait grand succès. Des élèves de toute la Grèce affluaient pour recevoir les lumières du maître. Par un beau jour de printemps, un disciple prometteur vint trouver Aristote.
Le disciple : "Maître, j’ai bien pensé, jusqu’à n’en point dormir, et il est toujours une question qui taraude mon esprit juvénile."
Aristote : "Je t’écoute. Dis moi ce qui te tracasse."
Le disciple : "Et bien maître, vous nous enseignez que l’univers est dynamique, vous nous enseignez que si l’essence est statique, la forme, elle, est mouvante comme une onde sur la surface de l’eau."
Aristote : "Oui, c’est vrai."
Le disciple : "Mais maître, selon ce principe, à tout acte correspond une puissance, comme vous le dites vous même, et ainsi donc, à tout effet correspond une cause."
Aristote : "Certes."
Le disciple : "Alors, maître, si je remonte dans l’ordre des effets et des causes, je ne devrais aboutir qu’à une seule cause pour tous les effets. Or, sauf votre respect, il est notoire que les dieux sont plusieurs. Ainsi, selon votre théorème, le monde ne devrait être que chaos, car dès l’origine, les causes sont multiples et ne se concertent pas en volonté. A moins de postuler que tous les dieux ne sont les effets que d’un seul, puissant par-dessus tout. Pouvez-vous m’éclairer ?"
Aristote : "Mais, cher disciple, la solution se trouve dans l’énoncé du problème. Raisonne un peu, mon ami. Tiens t-en aux principes de la dialectique et du syllogisme. Il y a, dans ton exposé, un élément exogène, et parasitaire, à savoir ce que tu qualifies de savoir public. Je te l’ai déjà dit, nous sommes des philosophes, et l’on ne peut atteindre la vérité que par l’action de notre esprit qui qualifie la substance, non en prenant quelques postulats pour argent comptant."
Le disciple : "Que voulez-vous dire, maître ?"
Aristote : "Je veux dire que si tu remontes l’ordre des causes et des effets, tu trouveras la cause finale, l’intelligibilité pure, comme tu l’as dit. Ainsi, s’il est notoire que les dieux sont plusieurs, ça n’en est pas moins faux, car telle affirmation ne résiste pas à l’examen logique de la proposition."
Le disciple : "Euh, pouvez vous être plus clair, maître ?"
Aristote : "Certes, je le peux, par ce syllogisme enfantin : une cause finale est une intelligence pure, une divinité. Si on remonte l’ordre des causes et des effets, on ne trouve qu’une seule cause finale. Donc Dieu est unique."
Le disciple : "Ah bah ça alors !"
Aristote : "Je ne te le fais pas dire, cher disciple. De Dieu il n’y en a qu’un, ce moteur immobile du monde, cette volonté parfaite qui est la source de toute substance, de tout mouvement. Dieu est la finalité cosmique de l’univers."
Et le disciple de s’en retourner à ses pénates, satisfait de la réponse de son maître…
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| Book of virtues, Second book, Life of Aristote, Chapter VIII, The unity of God. a écrit: | Aristotle, who was at the age of his philosophical maturity and emancipated from the supervision of his teacher, decided that it was time for him to found his own school. He knew that Hermias, his longtime friend and lord of Atarneus, had reunited a small coterie of academy alumni from Athens to Axos, on the coast of Troad. Thus, Aristotle decided to direct their teaching and founded his first school.
Aristotle's academy was a great success. Students from all of Greece flowed there to be enlightened by the teacher. However, one beautiful day in spring, a promising disciple came to find Aristotle.
The disciple: "Teacher, I thought so much, to the point of not sleeping, but this question has always tapped my youthful spirit."
Aristotle: "I'm listening. Tell me what worries you."
The disciple: "Well, teacher, you taught us that the universe is dynamic--you taught us that if the essence is static, the form is moving like a wave on the water's surface."
Aristotle: "Yes, that's true."
The disciple: "But teacher, according to this principle, every act corresponds to a power, as you say it yourself, and therefore, every effect corresponds to a cause."
Aristotle: "Certainly."
The disciple: "Then, teacher, if I reexamine the order of effects and causes, I shouldn't find one cause for every effect. Alternatively, with all due respect, it is widely known that there are multiple gods. Thus, according to your theorem, the world should be only chaos because right from the start, the cause are multiple and do not work together by will. Unless you are postulating that all the gods are only the effects of one, powerful over all. Can you enlighten me?
Aristotle: "But, dear disciple, the solution is found in the statement of the problem. Reason a little, my friend. Stick to the principles of the dialectic and the syllogism. In your statement, there is an exogenous element, a parasite, namely that which you assert as a knowing public. I have always told you, we are the philosophers, and one can only reach the truth through the work of our minds that describes the substance, not by treating some postulates as cash."
The disciple: "What are you trying to say, teacher?"
Aristotle: "I want to say that if you examine the order of causes and effects, you will find the final cause, pure intelligence, as you say. Therefore, if it is well known that there are several gods, it is no less false, because such an affirmation does not withstand the logical examination of the proposition.
The disciple: "Erm, could you be more clear, teacher?"
Aristotle: "Certainly I can, with this childish syllogism: a final cause is pure intelligence, a divinity. If on examines the order of causes and effects, one only finds a single final cause. Therefore, God is singular."
The disciple: "Oh, bah, that then!"
Aristotle: "I won't make you say it, dear disciple. There is only one God, the motionless mover of the world [this is usually translated as "prime mover unmoved"], the perfect will which is the source of any substance, of all movement. God is the cosmic finality of the universe."
And the disciple returned to his home, satisfied with his teacher's response... |
Le Gross hospittler referma le livre dans un claquement sourd, il leva les yeux vers l'assistance en laissant à chacun le temps de s'abreuver de ces paroles. Il invectiva alors l'assemblée de fidèles et de clercs de tous bords et déclara :
Gross Hospittler closed the book in a deaf banging, he rised his eyes to the audience, leaving everyone a little time to understand these words. He railed then the assembly of believers and clerks from every congregations and declared :
Si j'ai choisi ce passage, ce n'est pas anodin. Chacun d'entre vous l'a déjà lu et le connait probablement bien. Dieu est unique ? Tout le monde sait ça me direz-vous ! Et vous aurez raison !
Le clerc pris le temps de respirer et continua
Mais, si j'ai choisi ce texte, ce n'est pas pour vous démontrer l'unité du Très-Haut, mais pour nous rassembler.
Désignant la relique de la main droite, il ajouta :
Tous ici présents, sommes des enfants du Tout Puissant. Que nous soyons fidèles, clercs, quelque soient nos provinces, nos paroisses, nos ordres, nous œuvrons tous pour dispenser son message !
Comme le dit Aristote, à tout acte correspond une puissance, à tout effet une cause. Ainsi, nos actes sont inspirés du Très Haut et de Son message, et notre cause est la foi, pour laquelle nous usons du verbe auprès des fidèles et des croyants, ce qui en est l'effet !
L'ordenskaplan s'arrêta et posa ses mains sur l'autel pour prendre appui, et continua :
Aujourd'hui, nous sommes unis, devant la Sainte Relique, pour commémorer Aristote, mais avant tout, ce qu'il représente pour nous, et non pas, sa personne. Car, ce qui l'a rendu extraordinaire est son message et ses paroles. Rien ne sert de s'attacher à la personne, même si il était probablement très sympathique au demeurant.
Ainsi, ce que je souhaite vous dire à travers ce texte est que comme notre Dieu, nous, clercs et membres des différents ordres religieux, sommes unis ! L'église est universelle car il n'existe qu'un Dieu pour toute l'humanité, elles est une car nous sommes tous unis par le message divin et il n'existe qu'une seule Eglise ! Enfin, elle est indivisible justement parce qu'elle est unifiée.
Le prêtre retira ses mains de l'autel, laissa quelques instants à chacun de comprendre qu'ils n'étaient qu'un et enchaina :
Alors, je veux que tous ici, nous prenions conscience que nous ne faisons qu'un tout homogène dans lequel nous sommes plus que frères et soeurs. Nous sommes solidaires, fraternels mais surtout, nous partageons le même but, la même foi : relayer la parole divine.
Que je regarde à droite, que je regarde à gauche, je ne vois qu'hommes et femmes, rassemblés sous la bannière de l'amour envers le Très haut, unis dans un même objectif : faire ressentir amour à tous ceux qui ne sont pas éclairés !
Même si nous sommes tous singulier, même si nous appartenons à différents ordres ou différentes provinces, même si nous venons de différents royaumes, finalement, n'avons-nous pas mis de côté cette différence pour nous unir tous et dispenser une parole divine unique ?
N'avons-nous pas tous autant que nous sommes, la même ferveur à défendre ces valeurs ? Ces principes ? Et, au final, ce Dogme et ce Droit Canon ?
Bender se sentait plein de ferveur et semblait avoir une assurance certaine, il repris :
Ainsi, chers frères et soeurs, rappelez-vous cela ! Nous parlons d'une seule et même voix ! Nous protégeons une seule et même Foi ! Que les enseignements d'Aristote soient loués et que tous ici, se remémorent ses paroles !
Le Gross Hospittler se recula puis se tourna vers l'ordenskaplan UterPendragon et lui proposa de prendre place pour lire et parler à son tour...
The clerk has taken time to breathe and follows
If i choose this passage, it's not insignificant. Each of you has probably read it and knows it probably well. God is unique ? Everyone knows that you'll told me and you'll be right !
Indicating the relic with his right hand, he sayd :
All those who are here, are children of God. that we are faithfull, clerks, wherever are our provinces, our parishes, whatever are our orders, we all work to dispense His Message !
As says Aristote, in any act corresponds a power, in any cause corresponds an effect. So, our acts are inspired by God and by His message. Our cause is the faith, for which we use words with faithfull and believers, and this is the effect!
The ordenskaplan stopped and put his hands on the altar to take support, and continued :
Today, we are united, in front of the Holy Relic, To commemorate Aristote, but before the human beeing, we commemorate all that he represents for us. This is His message and his words who make him extraordinary. We don’t need to love the man, even if he probably was very kind.
What I wanted to say, troughout this lecture, is that as our God, us, clerks and members from different orders, are united. The church is universal because there’s only one God for all mankind, Church is one cause we’re all united by the same message from God and so, there’s one unique Church. It’s indivisible precisely cause it’s united.
The priest withdrew his hands from the altar, he left to each one a moment to understand they were one and goes on :
So, I want that everyone in here, we take conscience that we are a unique homogeneous piece within where we are brothers and sisters. We are united and fraternal but, amongst that, we share the same goal, the same faith : to dispend the divine word.
That I look to the right, that I look to the left, I only see men and women, gathered under the banner of love for the All Mighty. We’re united in the same purpose : to make people feel this love.
Even if we all are one and unique person, even if we are members from different orders or different provinces, even if we came from different kingdoms, at last, did we not have put aside these differences to unite us all and teach the unique divine message.
Did not we have, all that we are, the same faith to defend these values ? These principles ? And, at last the dogme and the canon law ?
Bender feels he was fathly strong and seems to be secure, he goes on :
So, dear brothers and sisters, remember that ! We spoke with a same one voice ! We protect a same one faith ! That the education of Aristote will be praised. That each one here, remembers these words !
Gross Hospittler stood back and turn in the direction of ordenskaplan UterPendragon, he offered him to step up and to begin to read and speech…
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syerry
Inscrit le: 31 Aoû 2007
Messages: 26
Localisation: Murten, CH
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| Posté le: Mar Avr 28, 2009 5:06 am Sujet du message: |
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[A l’extérieur – avant le début de la cérémonie.]
La foule était dense et la guerrière, n’étant point des plus massifs soldats de foy, aura réussi à frayer chemin de sa petitesse afin de parvenir au parvis de la Basilique. Avant d’avancer davantage, elle aura laissé son ouïe s’attendrir au chant Teutonique.
Sa fine doigtée de chaque côté de son corps, Syerry gravit les quelques marches pour venir à l’encontre d’un de ceux qui semblaient prendre noms des invités. L’azur se pose sur cette stature imposante alors que ses épaules basculent légèrement vers l’arrière ainsi prenant plus courtoise prestance. La présentation en suit d’une douce intonation, le menton un tantinet levé afin de bien assurer l’échange de regards.
Pax vobiscum. Chevalier Franc Syerry deVentoux, fidèlement fiancée à l’Erster Botschafter Teutonique Jackson de Nivellus.
De ses paroles, qui auront été accompagnées de l’invitation formelle, la femme à la crinière d’ambre fut guidée en l’enceinte du lieu Saint. Les pieds l’un devant l’autre, essayant de ne point ‘s’enfarger en les fleurs du tapis’, la Franche aura suivit d’un pas hâtif. Le début ne tarderait pas.
[À l’intérieur de la Basilique – la cérémonie.]
Un genou fléchi, la main qui signe en quatre puis Syerry trouvera vite place sur le banc de bois. Aussitôt fait, que sa mer bleu restera en suspend sur cette fière tête aux cheveux sombres. Rougeurs légères s’emparent de sa peau de pêche alors qu’elle se permet un court instant de rêveries à leur union prochain. La voix du Gross Hospittler Teutonique la sortira de sa douce torpeur, la cérémonie voyait son début.
N’ayant pas été dotée du don d’une voix mélodieuse, la jeune dame deJentes aura chantonné bien bas mais tout de même avec ardente ferveur.
Je crois en Dieu,le Très-Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la terre,
Des enfants et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote,son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du paradis.
C'est ainsi qu'après avoir sous souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine,
Une et indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la vie Eternelle.
AMEN
L’oreille de Syerry se dresse alors que les mots verseront de la bouche du Gross Hospittler qui aura fait lecture du Livre des Vertus. Tintement certain se fit présent. ... Nous parlons d'une seule et même voix ! Nous protégeons une seule et même Foi ! Que les enseignements d'Aristote soient loués et que tous ici, se remémorent ses paroles !... La tête un tantinet baissée, son bleu reposé sur le bois du banc devant, le petit bout d’entrain se laissera emporter par une prière qui reflète le passage venant d’être entendu.
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Tristan Vanqueour
Inscrit le: 09 Mar 2009
Messages: 35
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| Posté le: Mar Avr 28, 2009 7:34 am Sujet du message: |
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Tristan listen to his colleague and nodded in appreciation. So he felt as well, connected to all in the bonds of the Artistotelan friendship. Even in these times of war in Holland, even when some of the Ordenskreiss were fighting for their lives as we speak.
For them and for their enemies, Tristan did pray, for rescue and insight, that they would find their peace. And for the sight of that Holy relic, that he touched in his l'épreuve de l'Ordalie par le Feu.
And he looked around to see the faces of many french brothers and sisters and felt happy to be of the same fabric to breath all the air of God.
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Tristan écouter sa collègue et un signe de tête dans l'appréciation. Ainsi, il a estimé que bien relié à toutes dans les liens de l'amitié Artistotelan. Même en ces temps de la guerre en Hollande, même si certains des Ordenskreiss luttent pour leur vie que nous parlons.
Pour eux et pour leurs ennemis, Tristan fait prier, de sauvetage et de perspicacité, qu'ils retrouvent la paix. Et pour la vue de cette relique sacrée, qu'il a abordé dans son l'Ordalie de l'épreuve par le feu.
Et il regardait autour de lui pour voir les visages de nombreux frères et soeurs français et a estimé heureux d'être d'un même tissu de respirer l'air de Dieu.
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MORT |
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Lemoine de Bourbon
Inscrit le: 21 Juil 2008
Messages: 374
Localisation: province de Narbonne, france
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| Posté le: Mar Avr 28, 2009 8:29 am Sujet du message: |
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Lemoine retourna à son siége,puis écouta la cérmonie
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jewak13
Inscrit le: 14 Avr 2009
Messages: 174
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| Posté le: Mar Avr 28, 2009 4:55 pm Sujet du message: |
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Toujours à l'extérieur de la basilique à surveiller les environs en attendant ses futurs ordres à exécuter, Jewak mêla sa voix aux autres et récita le crédo...
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
AMEN |
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gustavev
Inscrit le: 16 Sep 2008
Messages: 250
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| Posté le: Mar Avr 28, 2009 7:18 pm Sujet du message: |
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Le Wärter Gustavev écouta attentivement son Frère de sang le Gross Hospittler Bender ,le texte était bien choisi et collait très bien a cette cérémonie.
La cérémonie était magnifique et réserverait certainement encore de nombreuse surprise
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Ambassadeur apostolique de Franche-Comté
Diacre Sacristain de VESOUL
Archiviste de l'Archidiocèse métropolitain de Besançon
Procureur ecclésiastique l'Archidiocèse métropolitain de Besançon |
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Mammylou
Inscrit le: 23 Juil 2008
Messages: 68
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| Posté le: Mar Avr 28, 2009 10:37 pm Sujet du message: |
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Malou avait récité le crédo avec ferveur comme chaque fois. Cependant aujourd'hui en écoutant le sermon du Groos Hopittler il prenait encore plus tout son sens. Une phrase surtout la marqua plus que toute les autres.
| Citation: | | Ainsi, chers frères et soeurs, rappelez-vous cela ! Nous parlons d'une seule et même voix ! Nous protégeons une seule et même Foi ! Que les enseignements d'Aristote soient loués et que tous ici, se remémorent ses paroles ! |
Elle regarda ses frères et soeurs qui se recueillaient près d'elle, puis un peu plus loin quelque membre appartenant à d'autre Ordres, des religieux comme des gens simple de la communauté tous étaient unis dans la prière et la Foy. Elle se sentait de plus en plus privilégiée d'être là en ce jour.
Elle attendait avec joie la suite de la cérémonie quoiqu'elle ne sache point trop ce qui allait se passer...
_________________
Forteresse entrez ici
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UterPendragon
Inscrit le: 12 Fév 2007
Messages: 11630
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| Posté le: Mer Avr 29, 2009 10:51 pm Sujet du message: |
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Prier... Ecouter... Difficile, dans ce brouhaha digne de Rome. Décidément, le vieil homme préférait de loin les offices en les paroisses ou abbayes qu'il fréquentait, tout était calme et prêtait au recueillement. Peu importait, de toutes façons, le premier qui osait parler pendant son sermon allait se voir gratifier d'un regard noir digne de n'importe quel cardinal enragé. Ainsi, il s'approcha du livre des vertus... Et là, grand moment : quel passage choisir? Là était toute la question... Allez, au pif... Zou.
Livre des Vertus, Vita de Christos, Chapitre II - La fuite vers Chypre
| Citation: | Mistral IV, apprenant par ses gardes que les parents avaient fui le pays, devint furieux, et dit : " Gardes, ce Giosep et cette Maria sont des provocateurs ! ils m’ont roulé et se sont rendus coupables de trahison en refusant un édit royal! Qu’on les éradique immédiatement ! Quant à ce fils de... de... il ne doit pas percer. Allez et trouvez tous les enfants de moins de deux ans, et éradiquez-les, à la fronde s’il le faut. "
Alors, les fameuses armées de Mistral, celles qu’il était capable de lever en masse en quelques heures seulement, se mirent en marche et sillonnèrent tout le pays. Ils arpentèrent chaque halle, chaque gargote, laissant des messages sur lesquels ils demandaient à la population de présenter aux autorités tous les enfants de moins de deux ans, pour les recenser, soi-disant.
Et les gens du peuple, innocemment, présentèrent leurs enfants ou leurs filleuls aux autorités sans se rendre compte du drame qui se jouait.
Et l’on entendit des pleurs, des cris, et l’on vit du sang, de la sueur et des larmes. Ces gardes, qui étaient affreux, sales et méchants égorgeaient ces jeunes âmes innocentes devant les yeux de leur parents. |
Un instant de silence... Non, il n'y avait pas de mouches à Rome ! Juste le bourdonnement incessant d'insectes et de parasites qui voletaient autour des prélats dans des couinements et gloussements qu'on aurait facilement pu qualifier d'hypocrites. Mais il restait encore de l'espoir, quelques figures qui relevaient la dignité de l'Eglise, et c'est pour ceux-ci qu'Aymé prit la parole.
Frères, Sœurs... Certains d'entre nous savent bien ce qu'est qu'avoir des Enfants, non seulement au terme physique que spirituel. Je dirai que l'idée même qu'on puisse toucher à, ne serait-ce qu'un seul de mes paroissiens, mes "Enfants", me répugne. Et certains hommes, afin de satisfaire leur haine personnelle, se sentir utiles, ont eu tendance et auraient tendance à commettre des horreurs, comme le roi Mistral IV. Et si nous sommes là, et si Aristote est passé par là pour nous donner tout un tas de préceptes et d'idéaux, ce n'est pas pour que nous restions bras croisés à attendre qu'ils s'appliquent seuls !
Nous...
Désigne d'un vaste geste l'assemblée ainsi que la basilique dans son intégralité, comme si les murs n'étaient plus une limite.
Sommes l'Eglise ! Et notre devoir est de défendre et de protéger les préceptes qui sont transmis et représentés par ce crâne que nous célébrons ce jour. Les clercs, présents en nombre, sont présents afin de propager l'enseignement, mener l'Humanité vers le paradis, tandis que les milites, tel l'Ordre Teutonique, sont présents non seulement pour protéger ceux qui ont compris le sens de la Vie, mais aussi pour remettre dans le rang ceux qui se seraient déviés du rang. Si nous avions été à l'époque de Mistral, je suis persuadé qu'une escadrille de Brudern et Schwestern se serait précipité, aurait cherché à sauver autant d'enfants qu'ils le pouvaient, car c'est ainsi que nous voyons désormais la mission est est nôtre.
Chacun ici se doit de prendre des responsabilités, et se rendre compte qu'il est du devoir de chacun d'agir lorsqu'il voit quoi que ce soit qui soit contraire à nos préceptes. Ne laissons pas l'Humanité se perdre !
Sur ces mots, il revint à sa place, après s'être imaginé brandir le poing. Non, ce n'était vraiment pas le moment de se faire "révolutionnaire", ni quoi que ce soit d'autre de politiquement incorrect. Pas la peine d'entacher l'office.
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Mort des cardinaux d'Azayes et von Frayner |
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bitterly
Inscrit le: 20 Avr 2009
Messages: 3
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| Posté le: Jeu Avr 30, 2009 10:12 am Sujet du message: |
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Alors qu'elle priait avec les autres, là dans la foule n'etait-ce pas ? Oh comment, son nom... Lemoine !!!
Les yeux ronds comme des soucoupes elle se detacha un instant de la ceremonie pour mieux observer l'homme. Nul doute c'était bien lui !
Elle se demanda ce qu'il devenait, il etait parti un jour et nul n'avait vraiment eu de nouvelles... Elle se promit d'aller lui parler par la suite.
Seule dans son coin elle se remit à prier silencieusement. Il fallait qu'elle trouve quelqu'un pour se faire baptiser.... |
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Chevreux
Inscrit le: 10 Mar 2008
Messages: 2048
Localisation: Dole (Franche-Comté)
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| Posté le: Jeu Avr 30, 2009 6:47 pm Sujet du message: |
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L'Ordensmarschall écoutait les paroles de l'Évêque.
Ses parole le firent réfléchir tant parce qu'elles provenaient de saints écrits, mais aussi parce qu'il savait ce qu'étaient les drames qu'une épée pouvait faire.
Faire couler le sang d'un Enfant du Très-Haut était une orible chose.
Mais il savait aussi que la bête sans nom ne s'en souciait guerre et lui, l'Ordensmarschall, avait déjà dû combattre les "enfants de la bête sans nom" avec son épée.
D'un geste instinctif, il mit la mais sur le fourreau de l'épée qu'il portait, l'épée d'Isenduil, qu'il avait juré de ne sortir de son fourreau qu'a la dernière minute, pour défendre le Saint Père et son Église.
Il affirma en lui-même les dires de l'Évêque, comme quoi s'il avait été à l'époque de Mistral, il aurait, lui, l'Ordensmarschall de l'Ordre Teutonique, tout fait en son pouvoir pour assembler les Brüder et ls Schwestern de l'Ordre pour empêcher ces homme de répendre la mort ainsi.
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Ne sous-estimez pas plus faible que vous !
Dernière édition par Chevreux le Mar Mai 05, 2009 2:55 am; édité 1 fois |
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gwanelle
Inscrit le: 26 Jan 2009
Messages: 5
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| Posté le: Ven Mai 01, 2009 5:55 pm Sujet du message: |
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Gwanelle suivit les conseils d'Eavan et dit à la vieille dame, dans sa langue maternelle, de rester calme qu'elle allait lui soigner sa jambe très vite...
A elles deux, la Bretonne et la Provençale, aidèrent la dame à se relever et parvinrent enfin au banc que le Capitaine Eavan avait aperçu au loin...elle tata la cheville qui comme elle le pensait semblait foulée, elle chuchotât quelques mots à l'oreille de la dame, celle hocha la tête et déchira le bas de son jupon pour en faire un bandage que Gwanelle enroula autour de la cheville meurtrie comme elle l'avait appris au Triskell, un an plus tôt,...Le brouhaha s’était interrompu et elle vit la vieille dame, tout comme elle, écouter le chant qui s’élevait jusqu’au Ciel…le visage du Capitaine indiquait un recueillement intérieur et ses lèvres remuaient… visiblement elle semblait entrain de prier…quand soudain sa voix résonna brisant le silence religieux..
Capitaine, auriez vous un ennui avec un cheval ?
Elle reconnu le Capitaine Fréderic Van Frayer, son supérieur lors de son stage à la Herse, elle se demanda, en souriant si elle alla devoir demander une seconde partie du jupon de l’ancienne pour soigner celui-ci….Le capitaine Fréderic répondit au Capitaine Eavan :
En effet, capitaine... Un cheval m'a bousculé alors que je tentais d'aider une petite fille.
Le muscle a été choqué, peut être écrasé mais ca ira.....
Le visage crispé de douleur de Fréderic lui faisait peine à voir et la couleur violacé du mollet indiquait combien la douleur devait être réelle mais il resta stoïquement assis sur son cheval …
L'assistant-major aurait voulu interroger Eavan mais celle-ci semblait plongée dans le Crédo alors elle se joignit à elle et récita avec ferveur le Crédo se disant qu’ensuite il serait encore temps de demander au Capitaine s’il souhaitait être soigné…
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
_________________
  
capitaine épiscopal instructrice |
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Bender.B.Rodriguez
Cardinal
Inscrit le: 16 Sep 2008
Messages: 2763
Localisation: Bourges
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| Posté le: Dim Mai 03, 2009 1:47 am Sujet du message: |
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Le Gross Hospittler Bender, jeune et dynamique curé de campagne bourguignon avait écouté et apprécié les paroles du sage et expérimenté ordenskaplan Uterpendragon, de plusieurs décennies son ainé. Il est vrai que répendre le sang sur les fils et filles du Très Haut est digne de la plus totale abomination, mais, parfois, la sauvegarde de tous l'exige, et mieux vaut découper un enfant, égaré tellement loin dans les méandres des susurrement venimeux de la créature sans nom, qui ne peut plus être sauvé.
Sur cette pensée inquiétante mais néanmoins réaliste, le prêtre se releva et décida de reprendre la parole, afin d'être entendu de tous dans ce brouhaha terrible, il frappa du plat de la main sur l'autel et d'une voix tonitruantes déclara :
Chers frères, chères Soeurs ! Que ces paroles s'ancrent en nous, qu'elles guident nos pas et que notre foi conduise notre destin !
Jetant un regard sombre à tous, il enchaina :
Il n'y a pas de crime plus abominable que le meurtre d'un enfant de Dieu mais, lorsqu'il s'agit de sauver l'humanité en éliminant ceux qui la conduise droit à la destruction, même si cela peut inspirer l'horreur, il faut sacrifier certains de nos préceptes.
Le prêtre se tourna alors vers l'hospittler Lyonis et lui proposa de le rejoindre pour célébrer le partage du pain et du vin :
Hospittler Lyonis, voulez-vous nous faire partager le pain et le vin, dans l'amitié et la fraternité ?
Le Gross Hospittler se retira afin de laisser place à Lyonis.
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p27kw
Inscrit le: 11 Avr 2008
Messages: 2658
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| Posté le: Dim Mai 03, 2009 9:30 am Sujet du message: |
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Le Père Lyonis était resté silencieux, mais dès que le Gross Hospittler l'eut indiqué, il savait que c'était à lui, par un acquiessement de la tête le Père Lyonis se leva puis dis alors à l'assemblée.
Mes frères, pour finir nous allons communier ensemble.
Prions tous ensemble pour que ce pain et ce vin nous montre la voie du partage, de l'amitié et de la fraternité.
HRP:par contre pour l'enchaînement je sais pas comment le prochain souhaite ^^ /HRP |
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Torniel
Inscrit le: 01 Mai 2009
Messages: 7
Localisation: Epinal
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| Posté le: Dim Mai 03, 2009 11:13 am Sujet du message: |
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Torniel était entré à son tour avec les autres Neulings dont il faisait désormais parti.
Il était très impressionné par le faste de la cérémonie, par tous ces étendards, ses trompettes, ces uniformes rutilant.
Il n'en avait pas vu grand chose car au milieu des autres Neulings, de plus il était un peu dans un état second...
Il s'était contenté de suivre les ordres lorsqu'ils arrivaient.
Il avait prié avec ses frères et sœurs, avait écouté les prêches.
Bien sûr qu'il fallait respecter la vie, mais pas forcément à tous prix !
Il repensait à l'enseignement de Saint François de Gènes et à ses paroles qui résonnaient dans sa tête :
| Citation: | | Il s'agit d'éviter que la peste hérétique nous contamine, ainsi il est préférable de sacrifier quelques âmes hérétiques pour sauver toutes les autres, et lorsqu'il s'agit de sauver des âmes, les corps n'ont plus d'importance, le spirituel étant infiniment supérieur au temporel, il ne faut guère hésiter à devoir ôter la vie aux méchants lorsqu'il s'agit de sauver des âmes des Enfers !!! |
Un peu perdu dans ses pensées, Il allait communier avec ses frères et sœurs...
Oui, il se sentait vraiment dans sa famille auprès d'eux.
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Mathis
Inscrit le: 15 Avr 2009
Messages: 19
Localisation: En Artois, à Cambrai
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| Posté le: Dim Mai 03, 2009 12:07 pm Sujet du message: |
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Aucun ordre ne lui avait été donné pour le moment, mais bon, la mission était simple, surveiller et protéger. Mathis, constatant que plusieurs gardes s'occupaient déjà du filtrage des entrées, décida de pénétrer cette fois dans la Basilique. Là, il fut stoppé net. Beaucoup d'amour émanait de tous ces fidèles réunis, et son coeur, s'accélérant un petit peu, profita de cette énergie pour se ressourcer. Malheureusement il était arrivé au milieu de l'allocution d'UterPendragon (donc n'avait pas entendu le passage du Livre des Vertus), mais les derniers propos entendus sonnaient justes. Mathis inclina la teste puis s'aventura au plus profond de la foule. La Communion allait avoir lieu, partager le pain et le vin serait le moyen de se rapprocher de Christos.
Que le Très-Haut voit Ses Enfants, et que Ses doutes puissent être évincés, car l'amour porté à Celui-ci étant grande, il pourrait faire fuir les ténèbres d'un simple soupire.
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