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[RP] Souviens-toi… Souviens-toi, souviens-toi du 29 mai 1453

 
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Alexis Beogora



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MessagePosté le: Jeu Mai 28, 2009 10:27 pm    Sujet du message: [RP] Souviens-toi… Souviens-toi, souviens-toi du 29 mai 1453 Répondre en citant

« Souviens-toi… Souviens-toi, souviens-toi du 29 mai 1453 ! De la chute de Constantinople ! Souviens t’en ! Car l’oublier, jamais je ne pourrais me résoudre. Voilà quatre ans maintenant que la ville est tombée aux mains des Infidèles… », compléta Alexis sur le parchemin qu’il griffonnait depuis le début de la traversée ; il ne rajouta pas le « sans susciter une quelconque réaction dans les Royaumes occidentaux… ni même d’Orient. ». En posant sa plume et le vélin, il soupira et se leva pour observer de sa cabine l’horizon des plaines azurées, mais aucune silhouette hostile ne se profilait au loin, il en était déçu, une bien monotone traversée. Comme si les rais s’étaient donné le mot, un Beogora parcourt l’onde bleue, sauve qui peut. Une pensée bien vaniteuse, et il en rit, amusé de sa bêtise. Puis il regarda la pile de parchemins recouverts désormais de vélin pour les protéger, puis réfléchit un peu sur sa condition. Son parcours fut long et pénible, capturé il passa trois ans de sa vie enchainé à une galère sarrasine. Alexis reprit sa plume, l’air sombre et rajouta « Combien d’amis, de compagnons d’armes, de parents ai-je pu perdre durant mes cinq années au service de mon maitre le Basileus ? » … si ce n’était lui, la mission. Il était un peu mort là-bas. Pourtant il avait trouvé sa renaissance dans la Provence Libre. Mais il fallait être réaliste, elle vivait dans un immobilisme maladif et déprimant. Un peu comme cette nef marseillaise qui se faisait bercer paresseusement par les flots calmes de la Mer intérieure.

Pourquoi deux Rome ? La première semblait morte avec la chute de l’Empire romain qui avait décidé de pérenniser dans l’autre Rome. Au final, toutes deux étaient destinées à vivre, mourir, puis renaitre. Constantinople a ce droit en tant que seconde Rome, l’Empire doit renaitre, avec sa fonction première, un pont entre l’Occident et l’Orient, une route privilégiée vers Jérusalem, cette Terre Sainte qui rêvait d’être le Royaume des Cieux. Les pensées d’Alexis étaient confuses, idéalistes et naïves. Il était déjà venu en cette ville éternelle, en ambassade auprès de Nicolas V, alors souverain pontife. Mais ce dernier souhaitait une totale soumission spirituelle de l’Orient. Une crise religieux opposait Rome à Constantinople depuis des siècles, pour le commun des mortels cela n’était que futilités théologiques. Et même si la capitale de l’Empire était le dernier îlot d’aristotélisme en Orient, et un rempart branlant et chancelant devant la marée humaine des Infidèles, le pape restait intransigeant sur ses positions. Pour Alexis, cela dépassait l’entendement. De par son rang, il avait toujours été au-dessus des simples querelles de pouvoir, désormais que le temps de sa patrie était compté, tout semblait lui échapper, le frapper violemment, il était impuissant. Maintenant il voyait cela autrement, avec une maturité qu’il n’avait pas il y a huit ans. La ville avait quelque peu changé, mais la campagne qui le séparait d’Ostie où il avait débarqué, et Rome, n’avait rien perdu de son charme…

Une cité aux mille clochers, des murs datant de l’antique Empire Romain, une place d’Aristote à l’extérieur de ces murs pour y accueillir tous les émissaires des lointaines provinces aristotéliciennes et les fidèles qui se pressaient devant le Saint-Siège pour diverses doléances, Rome ne vivait-elle pas grâce à ces journaliers ? Les auberges et les tavernes de la ville étaient bondées de marchands et de voyageurs, mille et une langues se parlaient entre ses murs, mais une confession… La place quant à elle était suffisamment large, et ressemblait à un agora ou à un forum où les fidèles venaient plus parler entre eux, que d’amener de réelles doléances. Ils observaient même, ils étaient des habitués des lieux. Le cheval qu’Alexis avait loué à Ostie pour la route venait de faire claquer son sabot sur le pavé, il décida de continuer le reste du chemin à pied, abandonnant sa monture à ces écuries publiques qui peuplaient la ville. D’un pas décidé il se dirigea vers les édifices importants de la place, mais celui qui l’intéressait restait la Curie romaine dont le palais se dressait orgueilleusement. Arrivé devant un officier de la garde pontificale de garde, il s’inclina malgré son rang par courtoisie autant que par respect au soldat. Nous étions le 28 au soir, le jour commençait déjà à tomber, il ne dormirait dans une auberge, il avait un rituel a faire. Mais tandis que l’homme le ramenait à la réalité en toussotant, Alexis perdu dans ses pensées émergea et lui tendit un vélin, avec comme consigne de le transmettre rapidement aux Cardinaux romains.

A l’intérieur du parchemin, une phrase énigmatique à leur attention « Souviens-toi… Souviens-toi, souviens-toi du 29 mai 1453 ! De la chute de Constantinople ! Souviens t’en ! Car l’oublier, jamais je ne pourrais me résoudre. »
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Alexis Beogora



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MessagePosté le: Ven Mai 29, 2009 10:25 am    Sujet du message: Répondre en citant

[28 mai au soir…]

Alexis se laissa aller tranquillement pour retourner au milieu de la foule, au centre de l’esplanade bientôt déserté par son bon peuple avec l’heure bien avancée. Il attendrait le lendemain qu’une personne de la Curie daigne s’adresser à lui, et connaitre les desseins qui accompagnent ce pli… demain, un jour, un autre jour. Il s’agenouilla discrètement sur les pavés froids, il passerait la nuit à se recueillir pour le salut des âmes qui ont péri au Siège pour défendre l’Aristotélisme et ses valeurs contre l’Averroïsme sanglant. Il pensa à tous ses amis disparu, à ceux à venir. Une guerre de trop. Il en aurait presque eu des larmes… de sang, perler aux coins des yeux. Rome comprendra-t-elle son intérêt dans l’affaire, ou fermera-t-elle les yeux quant à la vérité et au chemin de la vertu.

[29 mai au matin]

Le soleil venait de pointer, ses rayons inondèrent la place de lumière aveuglante. Alexis restait là à demi-assoupi, dans une sorte de méditation profonde faisant abstraction de son environnement… Tout ce qu’il attendait, c’étaient le claquement des bottes d’un officier et le cliquetis de son armure venant le chercher ou non, le pas léger de chaussons accompagné par le déplacement léger d’une robe cléricale. Cependant il ramena devant lui son écritoire de voyage que lui avait offert un jour son amie Belissende de Biel, sans se douter qu’il lui servirait autant. Il profita du jour qu’il n’avait pas hier pour commencer à écrire un peu, mais cette fois-ci, il s’agissait d’un acte administratif, il souhaitait lier deux amis à lui par un pacte vassalique. Et au moins il passerait le temps avant de susciter l’intérêt…
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vitruvio d'agneau



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MessagePosté le: Dim Mai 31, 2009 12:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[28 mai au soir…]

Le soir venu, lorsque les derniers lambeaux du jour s'enroulent aux sommets de la ville de Rome en traînées de grisaille incandescente et qu'au dela des sept collines l'astre solaire s'enfonce tel un disque dors fondu , il arrive qu'un Vénitien puisse aimer rester a contempler la beauté de la ville éternel , mais c'est le coeur serrer que Vitruvio pénétra dans Rome . Il ne pouvait se faire au souvenir de son épouse . La blessure se réouvré toujours a Rome , son coeur débordé de chagrin , tel un fleuve d'amertume et de douleur charriant sans cesse les même regrets d'une épouse morte entre ses mains . Niccolo da Uzzano un ami d'enfance de Vitruvio amena sa monture a coté de celle du Vénitien et lui serra l'épaule fortement , sachant se qui troublé son ami . Vitruvio se retourna en esquissant un pale sourire et serra la main de son ami . Se qui se passait la , seul les deux hommes pouvaient le savoir . Autour deux la suite des deux hommes attendez avec respect , jetant des regards furtif a la foule de romains qui sortaient de chez eux pour profiter de la fraîcheur de la nuit tombée . Ils restèrent tous en silence , qu'attendait il dans la ville qui petit a petit plongeais dans la noirceur de la nuit . Vitruvio sourit et fit signe au reste de le suivre .

Ah , Niccolo quel bonheur de te retrouver . Mène moi a ta demeure qu'on y boivent le vin des retrouvailles . " il sourit" Même si nous sommes a Rome .

Niccolo rit de bon coeur , savourant tout comme son ami cette heureuse venue d'un Vénitien Provençal en terre Romaine .


Vitruvio , vitruvio " il secouât la tête " On croirait entendre ton père . Mais Rome , reste belle même avec la crasse , la souffrance et le malheurs . Une histoire glorieuse , des rêves par millier . "il soupira " Qu'est ce qui t'amène a Rome , j'ai reçus ton message me disant que tu avais une affaire a régler ici .

Vitruvio ne répondit pas sur le moment , il observer son fils intriguer , les yeux remplit d'éclat observant une ville dont la taille et la grandeur dépassé tous se qu'il avait vue . Il rêvait souvent de retrouver la candeur d'un enfant . Lui qui sur son visage pouvait faire lecture des soucis , de l'épuisement et d'une certaine mélancolie . Rêver d'un coin de paix ou contemplé l'oeuvre de Dieu .

Je ne peux pas t'en parler Niccolo , je t'avoues que je suis fort fatigué par le voyage depuis Venise .

Niccolo compris le message et le reste du trajet se déroula dans le silence feutré de conversations discrètes ou un Vénitien préoccupé rêver d'un projet en silence .
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Eliora



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MessagePosté le: Lun Juin 01, 2009 3:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

28 mai 1456 - L'eau


Depuis son arrivée à l'Ordre des Chevaliers Hospitaliers de l'Esterel, la jeune fille allait de découvertes en découvertes. Les gens surtout, intéressants, animés par leur idéaux, enthousiastes et selon toute vraisemblance, sincères. Elle n'avait jamais ressenti une telle cohésion dans un groupe, sans jalousie, sans frustration larvée, sans hypocrisie. Parmi ces personnes, elle arrivait enfin à ne plus rester sur la défensive. L'amorce de son ouverture aux autres en définitive.

Puis très vite, il eut ce vaste projet du Grand Maître. De partout affluèrent des sympathisants, convaincus ou curieux, uniformément emballés en trois secondes par l'expédition. Elle ne pouvait rester insensible à cet engouement.
Les bases de l'organisation furent posées et la motivation collective, fixée sur du concret, crût chaque jour. Signe du destin ou heureux hasard, la date commémorative de la prise de Constantinople approchait à grand pas.
Lorsque les choses s'enchainent de la sorte, quasi naturellement, il faut suivre le courant et la décision d'entreprendre le voyage jusqu'à Rome fut unanimement prise.

Alexis Beogora naviguerait de Marseille, par la mer intérieure, d'autres compagnons préféraient conserver leurs montures et rejoindre par la terre.
La traversée était réputée paisible et courte. Cela avait décidé la jeune femme à opter pour ce mode de voyage, inconnu pour elle. Pourtant, elle ne se sentait bien que depuis une dizaine de minutes, les premiers instants de la croisière furent pour le moins délicats. Non pas que le navire fut confronté à une mer déchaînée, mais surtout parce qu'Eliora est cavalière avant tout. Son élément, c'est la terre. La jeune dame souffrait donc d'une inadaptation complète au rythme marin dont les symptômes étaient une profonde envie de vomir.
Réticents à la présence d'une fille sur le bateau, les hommes d'équipage trouvèrent son état amusant. De mauvais présage, elle avait accédé au statut d'attraction divertissante de la traversée. Consciente de son infériorité numérique et physique temporaire – parce qu'avec tous ses moyens, elle leur aurait fait ravaler leurs railleries à coup de masse – Eliora les laissait dire, parfois répondant par un sourire amical. Bonne attitude puisqu'au bout d'une heure de souffrance, l'un d'eux vint lui donner un efficace remède. Remise sur pieds, elle se joint à l'équipage, profitant de sa récente aura de célébrité embarquée, détendit l'atmosphère en racontant quelques blagues salaces apprises lors de ses entraînements à l'arc ou à l'épée en compagnie masculine, et glana ainsi de nombreuses informations et astuces au sujet des épopées marines.
Finalement, excellente introduction cette faiblesse passagère. Si le futur la conduit sur une embarcation, les précieux conseils de ces hommes l'aideront à s'en sortir.
En tout cas, l'épreuve 1, survivre au mal de mer, c'est fait.



28 mai 1456 - La terre


Rome. La ville n'avait rien perdu du prestige de son glorieux passé. Comme beaucoup de grandes cités, les quartiers populaires se trouvaient à l'écart du cœur administratif et international de la ville, terrain des nobles, notables et autres dignitaires reconnus. En l'occurrence, des religieux gravitant autour du siège de l'Eglise Aristotélicienne. Eliora n'avait qu'une envie : rejoindre les faubourgs, les pauvres gens, les oubliés, les débrouillards de toute sorte, voleurs, escrocs, tenanciers de lieux de débauche bref tous ces individus qu'on évite du regard mais qui existent pourtant et dénotent à côté de la grandeur épurée des fleurons de la ville. Elle pourra cependant dormir là-bas, si elle le souhaite. Carte blanche pour le logement, à condition d'être présente aux lieux de rendez-vous donnés par Alexis. Evidemment, carte blanche avec sous-entendu : ne pas se faire remarquer non plus. Eliora se dit que pour éviter tout débordement consécutif à une trop grande communion alcoolique avec les habitants, elle ferait peut-être mieux de prendre une chambre dans la même auberge que les époux Béogora.

Elle remet sa décision à plus tard, l'heure est venue de déposer le message annonçant leur requête pour une entrevue auprès des autorités ecclésiastiques romaines. Légèrement armée, elle escorte le Grand Maître jusqu'au Palais de la Curie.
Mission accomplie sans encombres.
Reste à savoir quand ils seront entendus. La ville s'offre à eux pour patienter. D'humeur festive, elle souhaite inviter Alexis à faire le tour des tavernes locales mais sa mine l'arrête net. Soucieux, perdu dans des pensées personnelles, il lui fait part de son désir de rester seul place d'Aristote. Les alentours diminuent en activité au fur et à mesure que la nuit tombe. Les gardes épiscopaux veillent. L'analyse des lieux conclut à un danger insignifiant. Rompu au combat, l'homme sait se défendre. Elle signale néanmoins au Vicomte qu'elle sera proche et passera occasionnellement vérifier qu'il n'a pas besoin d'elle.
Sur la promesse de rester sage, elle s'éloigne.
Demain sera un autre jour.
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vitruvio d'agneau



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MessagePosté le: Mer Juin 03, 2009 11:07 am    Sujet du message: Répondre en citant

[29 mai au matin]


C'est à la lueur des rayons d'un pâle soleil de matin , que Vitruvio et Niccolo, dans la cour du palais de ce dernier, se tenaient face a face riant à des souvenirs d'enfance le long des canaux puants de la Sérénissime Venise . Dans l'ombre de la cour, des valets attendaient qu'ils finissent de manger pour récupérer les restes sur de lourds plateaux de d'argents. Sur un geste du Romain, les deux hommes passèrent dans la demeure. Ils marchèrent un moment se plongeant dans les détails de marchands, de contrats ratés et de dettes impayées.

Vitruvio, me diras-tu aujourd'hui se qui t'amène à Rome " il sourit à son ami " Quelle affaire peut avoir suffisamment d'importance pour que tu remettes les pieds dans le fief Borgia.

Vitruvio contemplé un tableau a l'effigie des Uzzano, quand il lui répondu sur un ton calme et claire.

Ah, mon ami tu ne démordras pas sur la question. " il lui colla une bourrade dans le dos " Tu finiras forcément par l'apprendre un jour ou l'autre.

Niccolo grogna et reprit son cheminement dans les couloirs .

Bene, puisque tu ne veux pas me le dire de ton plein grès " il poussa une lourde porte donnant dans une grande salle, aux lumineuses baies vitrées, sur un râtelier des armes étaient installées."[b] Je te propose un duel au premier sang , si tu gagnes je te jure sur la tête de ma douce fille que je ne te parlerai plus de ça, mais si tu perds Vitruvio tu t'engages à me dire la vérité.
[/b]
Vitruvio sourit a son ami et l'observa . Niccolo était plus grand avec une meilleur allonge, mais avec la richesse qu'il avait un embonpoint c'était développer. Il rit.

Bene Niccolo, je suis ton homme.

Vitruvio pénétra dans la pièce mais fut arrêter par un geste du bras de son ami, qui le retint dans l'embrasure.

Toute la vérité, Vitruvio . dit il d'un ton mi sérieux mi amusé .

Vitruvio rit et pénétra dans la pièce laissant en suspends la question de son ami .

Après plusieurs minutes d'échauffement , Akime apporta a Vitruvio un étui de velours rouge serrée par un cordon de soie blanche . Il défit le cordon , laissant le velours glisser le long de la lame , qui chut au sol dans un bruit feutré . Il referma sa main sur la poignée de cuir noir rehaussé de soie rouge . Une épée qui était dans sa famille depuis la bataille de Mons en Pévèle . Il se mire en place . Akime donna le signal de départ .
La première botte de Niccolo visa la tête et pris Vitruvio au dépourvu . Il eu du mal a parer a la seul force du poignet et dû y mettre le bras , tant il y avait de l'énergie derrière la lame . Il réussit en se dégageant en faisant deux pas vers la gauche , impossible de contre attaquer . Le coup suivant était prévisible , école vénitienne qu'ils avaient pratiqué ensemble . Niccolo avait visé la cuisse mais sans grand succès . Il lança une nouvelle pointe au visage , Vitruvio recula et para . Il repoussa sur la gauche la lame de Niccolo, baissa le poignet et lança une attaque vers le ventre de son adversaire , un puissant coup d'estoc porté avec le poignet . Niccolo para avec difficulté . Le duel dura une vingtaine de minute , quand Niccolo frappa de taille a hauteur du coup . "perdu" pensa Vitruvio en déviant le coup sans difficulté . Vitruvio se fendit alors portant un coup d'estoc , qu'il arrêta net quand la pointe déchira la chemise de lin de son ami . Ils étaient tous les deux essoufflés et transpirant, appuyés sur leur rapière pour reprendre leur souffle .


Bon sang cela n'est lus de mon âge Vitruvio je me fais bien trop vieux . "dit il un large sourire aux lèvres . Vitruvio lui sourit"

Tu fais trop bonne chaire et trop souvent mon ami voila se qui ta fait perdre , tu respire comme un soufflet de forge .

Niccolo secouât la tête . Je ne saurais donc jamais ton secret .

Vitruvio sourit en quittant la salle avec son ami .

Si je vais te le dire . Niccolo se rapprocha de son ami et marcha au même rythme que lui .

Il y a de ça plusieurs mois , j'étais encore en Provence . Je fus nommer Ambassadeur a Venise au nom de la Provence . " son ami acquiesça d'un signe de la tête " Puis avec mes vagues connaissances en Germain je fus nommer comme traducteur pour l'ambassadeur en Suisse. A l'époque c'était le seigneur de Vitrolles , aujourd'hui le Vicomte de Marignane. Bientôt je serais son vassal.

Niccolo s'arrêta net dans le couloir attrapant par le bas Vitruvio .

Toi prêter serment de vassalité, par tous les Saints Vitruvio, cet homme doit être un homme de bien pour que tu fasses cela. " Vitruvio sourit a son ami " Ah Vitruvio si on m'avais dit que tu serais le vassal de quelqu'un j'aurais pu aisément parier cinquante ducats le contraire.

Vitruvio éclata de rire , serrant contre lui son ami.

Mais cela ne me dis pas se que tu viens faire ici ? il repris son sérieux

Vitruvio repris le cheminement passant de salle en salle ou les vitres ouverte sur la rue laissant entendre le bruit d'un ville en ébullition. Il sourit.

Je vais le rejoindre au Palais papale, car nous avons un requête pour un projet. Pour la grandeur de la foi aristotélicienne .

Niccolo et Vitruvio discutèrent un long moment dans un salon . Vitruvio lui parla en détail du projet , de ses craintes et de ses espoirs . Niccolo lui confirma que si il pouvaient les aider se serait pour un honneur de servir un projet comme le leur . Il accompagna ensuite Vitruvio dans la cour où Akime deja en selle attendait son maistre , la bride de sa jument andalouse a la main . Vitruvio monta en selle et sourit a son ami , qui pris la parole .

Que Dieu te garde Vitruvio , que vostre quête soit couronné de succès .

Vitruvio le saluât et tourna bride dans la rue . Ils traversa Rome sans encombre , malgré le nombre de mendiant dans les rue interpellant les gens pour une pièce , où les marchands ambulants poussant des chariot et criant a qui veut l'entendre que leurs marchandises sont les moins chères de Rome . Vitruvio se laissa bercer par le bourdonnement de la ville , plongeait dans ses pensées , le trajet jusqu'à la place fut rapide . Il s'avança , les sabots claquant sur les pavées pensant a feu son Oncle Esusnir d'Agneau qui avait était évêque et qui l'avait amener plus jeune a Rome , pour faire son éducation religieuse .
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ascram



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MessagePosté le: Ven Juin 05, 2009 12:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

28 mai 1457

Héloïse, juchée en amazone sur la belle Surya, avait suivi son époux jusqu’à Rome. Elle s’y était déjà rendue, il y a quelque temps, mais ne s’était guère attardée. Une visite éclair pour un étrange baptême. Alexis avait une raison toute particulière d’y venir, et elle le laissa à ses occupations, tandis qu’elle alla flâner dans les rues, après avoir laissé sa jument aux écuries. Emerveillée de l’animation qui y régnait, elle redevenait une toute jeune fille, s’imprégnant des sons et de la luminosité de la ville, de ses senteurs aussi . Elle y ressentait un fourmillement intellectuel et se sentait presque sotte, ou plutôt… neuve, prête à laisser s’imprimer en elle des notions qu’elle ne maîtrisait encore pas et d’autres, dont elle n’avait jamais entendu parler.

Alexis lui avait longuement conté sa vie, celle d’avant qu’il ne devienne provençal, et elle comprenait tout à fait le déchirement que ce devait être pour lui que d’imaginer la terre qui l’avait engendré, pour laquelle tant de ses proches avaient perdu la vie, aux mains de cette peuplade d’hérétiques. Mais au plus profond d’elle-même, elle s’interrogeait sur les différences qui pouvaient exister entre ces deux visions du monde et aurait aimé en savoir plus.

Mais il se faisait tard. Elle se dirigea rapidement vers l’auberge ou il leur avait réservé une chambre et s’y assoupit sans l’attendre. Elle savait qu’il ne dormirait pas cette nuit.


*****************
29 mai 1457

Héloïse fut éveillée par un rayon de soleil qui pointait. Elle se leva et se prépara rapidement pour repartir vers la Place d’Aristote, où elle trouverait sans aucun doute Alexis. Tout en cheminant, elle souriait en se disant qu’ils étaient vraiment fous, des rêveurs pour, l’instant d’après, froncer les sourcils en songeant qu’aujourd’hui, cela faisait quatre ans.
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Eliora



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MessagePosté le: Mar Juin 09, 2009 6:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

29 mai 1456 – L'air


Le jour se lève sous un ciel bleu dégagé. De bon augure. Ou plus pragmatiquement, cela évite de tergiverser sur la tenue appropriée pour sortir. Cinq minutes de gagnées le matin, ce n'est pas négligeable. Bien loin de ces considérations, Eliora se réveille dans sa chambre choisie dans une auberge proche de la Place d'Aristote.
La nuit fut courte. Pas qu'elle s'inquiétait pour Alexis Beogora. Aucun bruit suspect ne provenait de la place, désertée d'ailleurs au profit des rues animées de la ville. Elle n'avait pas oublié sa surveillance mais aucun réel signe de danger ne lui était apparu.
Non, ses déambulations au hasard dans le cœur de la cité nocturne lui firent découvrir des activités bien plus intéressantes que les psaumes et prêches assommants des pontes de l'Eglise. Bien échu qu’ils ne fréquentent pas ces endroits. C'est l'évidence même : le rejet total et le dédain envers les choses amusantes de la vie ne peuvent être que confinées dans un endroit restreint. Sinon, quel ennui !
Elle se gardera évidemment de faire part de ce genre de réflexion en public, surtout lorsqu'ils seront reçus au sein du nid des illuminés. Cependant, la découverte de la vraie Rome à ses yeux lui avait bien plu. Entre des cortèges de fêtards, auxquels elle s'était jointe avec plaisir, les tavernes à l'atmosphère endiablée où le vin coule à flot et les jeunes célibataires - ou pas - à la recherche de frivolité, elle n'eut pas le temps de se morfondre. Après quatre heures de parties de dés acharnées, trois heures de concours d'endurance à l'absorption de boissons alcoolisées et deux heures de batifolage avec les damoiseaux en manque d'affection, sans leur donner plus qu'un espoir parce que faut pas abuser, elle décida de rentrer à l'auberge l’esprit détendu. Même mieux, elle ne pensait plus à cette proposition folle du Grand Maître de l'Ordre des Chevaliers de l'Esterel. Une cr … non, non, il a bien précisé de ne pas prononcer ce mot, ni d’y penser avant que l’Eglise soit informée et rende son avis.
Bientôt.

La tête remplie de ces souvenirs plaisants, elle finit de s’habiller et se rend au point de rendez-vous.
Le groupe s'était déjà formé, sans qu'elle sache s'ils attendaient encore d'autres compagnons.
Elle se dirige vers Alexis :
« Bonjour, Vicomte. Vous avez passé une bonne nuit ? Je vois que votre épouse nous a rejoint. » Salue amicalement Héloïse.
Remarque ensuite un inconnu manifestement membre de leur groupe.

« Ah un chevalier nous accompagne. Je n'ai pas encore eu l'honneur de le rencontrer. Vous permettez, Messeigneurs ? »
Va à la rencontre de l'homme et lui dit : « Bonjour, je suis Eliora, membre de l'Ordre des Chevaliers de l'Esterel. Vous avez aussi été séduit, ou ensorcelé, *rit* " par les paroles insensées de notre Grand Maître ? Pour ma part, plus ça paraît inconcevable, plus ça m'attire. Je ne sais si cet aspect de ma personnalité est une qualité. "
*Sourit*
"En tout cas, je me réjouis d'entendre l'Eglise au sujet de notre quête.»

Elle s'installa ensuite sur le bord de la fontaine, dans une position propice à la prise maximale de soleil. Rechargeons nos forces avant le combat se dit-elle. La caresse des rayons du soleil l'apaisait et empêchait ses démons intérieurs de prendre le dessus. En effet, la patience n'est pas sa principale qualité et elle a hâte d'entrer dans le vif du sujet.
Le feu de l'action lui manque atrocement.
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Brylastar



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MessagePosté le: Ven Juin 19, 2009 7:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La matinée est à peine entamée pour le moment; quelques rayons de soleil percent, inaugurant de charmante façon une nouvelle journée printanière qu'Aristote lui permet de voir.

Un chevalier, le visage recouvert de peinture bleue, les yeux fermés, et souriant, se laissant bercer par le trot apaisant de sa monture, s'approche des enceintes de la ville. Il sait à peu près où il doit aller. Mais... pas vraiment en fait. Aller à Rome, vers la place... diantre, comment s'appelait-elle déjà? Aristote? Oui, cela devait être, sans doute.

Aperçevant un soldat, il se découvre, et lui demande, l'air aimable, où cette place se trouve. Après quelques baragouinements, celui-là lui indique une direction; une pièce d'or vole et atterrit dans les mains du soldat, et le soldat s'éloigne tranquillement vers la place.

Arrivé, il descend de sa monture, et va l'harnacher; en même temps, il observe d'un oeil attentif, longtemps exercé par le travail au Guet de sa ville, la place, cherchant une silhouette au moins un minimum connue, qui pourrait le raccrocher à une réalité moins irréelle. Il n'en revenait toujours pas d'être à Rome, la Ville, parmi les villes.

Croyant aperçevoir une ou deux personnes qu'il avait déjà rapidement rencontrées au Château, il se rapproche, espérant n'être ni en retard ni de trop. Assez proche du groupe, il tousse, hésitant; puis, tente d'une voix qui se veut moins timide et éhontée qu'il ne le ressent:


Hum... bien le bonjour Sires et Dames; je me... est-ce bien le groupe sous la direction de Sire Prouvencao? Ou me suis-je totalement trompé!
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vitruvio d'agneau



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MessagePosté le: Jeu Juin 25, 2009 5:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Vitruvio avez laissez ça monture a Akime qui était rentré avec . Le vent jouez négligemment avec la cape de l'Italien , le soleil baigné la place , réchauffant la peau blanche taché de rousseur de Vitruvio . Ce simple bonheur décrocha un léger sourire a l'homme silencieux qui rester debout près de son suzerain attendant patiemment la venue d'un clerc . Une jeune femme , viens a la rencontre du Vicomte , enjoué et légère . Elle se tourna vers Vitruvio en souriant , se présenta , fit sourire l'Italien qui se présenta a son tour .

Je suis son Excellence Vitruvio Antonio d'Agneau seigneur de Saint Victoret , frère médecin de l'ordre de Saint Lazare . J'ai comme vous succombé a l'appel de mon suzerain . Ne faut il pas un homme de science pour soulager les maux du corps ? Je tacherais en tout cas d'être cette homme là .

Il lui sourit posément , la regardant ensuite s'installer au bord de la fontaine . Peut de temps apres un homme arriva et se présenta .Vitruvio lui sourit et montrant Alexis de la main .

Oui , le vicomte est la .
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Alexis Beogora



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MessagePosté le: Ven Juin 26, 2009 9:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Alexis était toujours agenouillé, accoudé sur son épée plantée au sol, à se recueillir. Mais il en avait marre, la matinée avançait bien, tout le monde était déjà là, et visiblement les gardes s'étaient moqués de lui, en ne remettant certainement pas le pli aux membres de la Curie... à moins que ce soit ces derniers qui s'en contrefichaient ! Mais si son état d'esprit très diplomate de Byzantin était toujours à lui dicter ses faits et gestes, son sang Beogora bouillonnait. Il se redressa vivement, remis au fourneau son épée.

Enchanté sieur Brylastar, heureux de vous rencontrer enfin... Lui dit-il en souriant, lui tendant une amicale main à serrer.

Rien n'avancera, le soleil va bientôt être à son zénith... Ajouta-t-il en dégainant son épée. Puis affichant un large sourire.

Aujourd'hui nous allons sceller devant le plus transcendant des témoins qu'est le Très-Haut un serment, comme quoi nous ne baisserons les armes que lorsque le drapeau byzantin flottera sur Constantinople et Gallipoli !

Il tendit alors son épée au centre du groupe, attendant que ses compagnons en fassent de même...

Après, nous prendrons les choses en main pour nous faire entendre.
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Uno avulso non deficit alter
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Eliora



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MessagePosté le: Lun Juin 29, 2009 4:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Unité temporelle relative - Le feu


Le temps passe, rien ne bouge. S’allonger au soleil, rafraichie par les éclaboussures de l’eau de la fontaine, c’est relaxant mais Eliora n’est pas venue pour le farniente.
Un compagnon vient de les rejoindre. Un courageux de plus.

« Bienvenue ! » lui dit-elle avec un large sourire, se gardant d’ajouter « parmi les fous ».

« J’espère que vous êtes patient. Nous savions que notre initiative serait accueillie frileusement mais une telle indifférence … »

*Soupire*

« Il est admissible de ne pas être suivi dans ses idées mais ne pas être entendu, cela m’est intolérable. Que … »
La demoiselle est interrompue par l’intervention décidée d’Alexis Beogora, lui aussi à bout de nerfs et bien décidé à forcer le destin.
A son injonction, elle retire rapidement la lame de son fourreau puis la joint à celle de son chef de file.

*Sourire en coin *


« Oui ! Nous n'allons continuer à nous comporter comme des moutons, assis bien sagement jusqu’à ce qu’ils daignent nous accorder une parcelle de leur attention. »

Elle explique au groupe rassemblé : « Les faits sont simples. Ils nous ignorent. Ils nous prennent pour des moins que rien. Malgré l’envoi de pigeons et la requête d’audience du Vicomte déposée depuis hier *, personne n’est venu aux nouvelles. Ne fût-ce que pour indiquer un délai, ni même remettre un simple accusé de réception. Evidemment, une explosion de violence ne résoudra rien, bien que l’envie ne me manque pas.
Toutefois, je vois un autre moyen, un peu périlleux, exigeant physiquement mais moins conflictuel. Enfin … Une confrontation se fera sans doute. Cependant, nous serons à l’intérieur."
*Clin d’oeil*

"Voici l’idée : cette nuit, j’ai pas mal arpenté la ville. Il se fait qu’un accès au bâtiment de la Curie par le mur est peut se faire. Les fenêtres ne sont certes pas à hauteur d’hommes.
Par contre, avec un grappin, aucun souci pour grimper. Il n’y a pas de barreaux, mais une ronde de trois gardes. Il faudra passer dans l’intervalle, les retarder ou s’en débarrasser. Au choix.
Moui, le dernier est sans doute trop agressif. »


Rit puis observe ses compagnons.

« Vous m’avez tous l’air musclés et en bonne santé. Que dites-vous d’une escalade improvisée ? Euh, je ne suis pas sure que ça va leur plaire aux pontes d’en face. Par contre, ça nous fera du sport. »


*(temps RP)
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Eliora



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MessagePosté le: Sam Juil 25, 2009 10:26 am    Sujet du message: Répondre en citant

Tout vient à point à qui sait attendre


La proposition d'Eliora avait provoqué une réaction d'apaisement dans le groupe. Eux aussi s'impatientaient mais face à l'impulsivité de la demoiselle, ils choisirent de calmer le jeu. Pour la satisfaire, ils l'accompagnèrent à l'endroit qu'elle avait décrit, feignant d'espionner les tours de garde. Ce stratagème porta ses fruits car la cascadeuse était intensément concentrée sur son plan d'effraction, ce qui eut pour effet de détacher son attention du temps qui passe.

Restait une inconnue : quand seraient-ils reçus ? Car immanquablement, Eliora achèvera l'élaboration de sa stratégie et à ce moment, pour l'arrêter ...
Ils se dirent que la solution du coup sur la tête sera leur unique choix. Encore faudra-t-il trouver un volontaire candidat au suicide, si pas de suite, au réveil de la brunette.

Aristote ne put rester insensible à cette probable issue fatale, d'autant que ces gens sont là en son nom quand même !
Son intervention se fit à travers un message de la Curie invitant les personnes représentant ce projet de croisade à entrer.
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vitruvio d'agneau



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MessagePosté le: Ven Juil 31, 2009 1:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Vitruvio était patient de nature , il avait reçut une éducation religieuse ou la patience était une vertu . Il sourit , relevant le nez des parchemins de comptes et relever de stock qu'il avait amener avec lui . Il soupira longuement pensif , puis négligemment roula les parchemin et les glissa dans un giberne de cuir vert . Alexis se leva , tira son épée et leur parla . Vitruvio se releva a son tour tirant a son tour une élégante rapière pour la poser sur la point de celle de son suzerain . Des discours furent prononcé , Vitruvio était un homme de paix , un homme de science et de respect de la vie . Il était claire dans son esprit que si cela tourné à la rixe il ne lèverait pas d'arme contre des représentants du tout puissant sur terre . Il suivit le groupe sans faire de commentaire attendant une évolution .
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