L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Aristokolès]

[Jenah]

Le regard de la brune tomba sur cet affichage, le parcourant rapidement, les émeraudes ralentirent. Jenah était surprise de trouver un écrit de SE Aristokoles, mais rapidement la surprise laissa place à d'autres sentiments. Ainsi avait-il était malade, gravement, avait-il souffert en silence retiré elle ne savait où, avant de décéder. L'archidiaconesse resta donc là un moment, soufflée, à regarder l'annonce.
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Six pieds sous terre

[Olivier1er]

Le baron a Rome pour le proces en rehabilitation de la Duchesse Angelyque et profitant d'une pause pipi durant ledit proces, cherchait un peu d'ombre pour se rafraichir un peu. C'est alors qu'il vit une dame quelque peu toute chose devant un panneau d'affichage.

Intrigué il s'approcha et lut.

L'oeil petillant de plaisir dissimulé il dit plus a lui meme qu'a la dame en questin

- les voix du tres haut sont impenetrable et les heures d'ouverture du tribunal divin imprevisible.

Quelle triste nouvelle pour l'Eglise De Rome, elle perd là l'un de ses plus fervent fanatique. Un jour extra ordinaire pour la foi Aristotelicienne.

C,est toujours plus dur pour ceux qui restent, son Eminence etait bien l'exception qui confirme la regle.
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[Jenah]

Alors qu'elle essayait d'enregistrer en sa mémoire les informations de l'affiche, afin de pouvoir expliquer un peu plus la situation aux fidèles bisontins, une personne apparu. La brune reconnaissait là le toisonné d'or Bourguignon, enfin l'était-il encore, elle n'en avait aucune idée, lui qui avait présidé cet ordre honorifique ne brillait pas d'honneur à cet instant.

Ce n'est pas le respect qui vous étouffe, je vous ai connu sous de plus beaux jours.
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Six pieds sous terre

[Olivier1er]

Sourit

Pardon ? Oh, nous avions des positions quelque peu....divergentes... sur bien des points.

Croyez moi, tout se que j'ai marmonné est une preuve de respect pour les positions qu'il défendait avec entêtement et fanatisme. Il avait la conviction de sa foi.... Nous n'étions pas tout a fait en phase sur la façon de l'exercer dans le respect du bien commun..

Mais là... c'est une longue, Longue histoire..

Sourit en pensant aux débats houleux du Conseil Ducal de Bourgogne et du moment ou il l'avait eu au bout de sa lame prêt a l'embrocher.

Un soupir... après Monseigneur Jeremy, son Eminence Aegon et maintenant son Eminence Aristokoles, Monseigneur Tully...
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[Téo]

C'est une Rose sans épine qui encaissait la nouvelle. Terrible. Encore toute nouvelle résidente de Bourgogne, il avait été de ceux qui l'avait accueillie au sein d'un parti controversé, et encore, le terme était si faible...
Le Cardinal n'avait jamais été avare de conseils et il avait toujours été fort en gueule, en acte... Et ce sont ces gens là, que l'ébène appréciait. Ceux qui se battent pour des convictions, des idéaux.
Un mentor, inconsciemment ? Assurément.

L'émotion là, rendant sa gorge tremblante. Aristokoles n'était plus.

Un sentiment de culpabilité ressurgit. Forcément, leur dernière entrevue fut catastrophique. La Rose Dijonnaise lui avait parlé de cette excommunication qu'on lui prêtait pour avoir accepté au bout d'un temps raisonnable, d'être Vassale d'Antonio.
La discussion fut virulente, le Cardinal au discours sûr face à l'ébène dans le flou complet.

Et alors qu'elle essayait de chasser ces tristes moments, elle entendit le Baron Athos proférer des paroles honteuses en ces sombres circonstances.
Bien sûr, à ses oreilles, c'était normal, elle n'en connaissait que cette facette du Baron. Ceux qui s'affirmaient contre ses propres idéaux n'étaient que "bons à pendre".

Vous êtes odieux Baron. C'est lamentable de votre part... Ainsi vous n'avez plus matière à vous en prendre aux vivants, vous crachez désormais sur nos aimés défunts ?

Vous tenez à ce point d'être l'élite du pathétique ? du parjure ? De l'irrespect des Hommes qui ont toujours défendus leurs convictions ?
Pourquoi ne pas aller vous enfermer dans votre Baronnie afin de réfléchir à vos limites d'humanisme ?

Partez avant de vous attirer la colère du Très Haut. Je ne vous laisserais pas salir la mémoire du Cardinal. Croyez-moi.
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[Alessandro III giarru]

[Olivier1er]

Se sentant agressé par une hysterique en manque des paroles hallucinogene de feu le cardinal Aristokoles... Feu, c'est claire que cela lui va comme un gant a cet empourpré du sang de bourguignons...

Tiens, Vicomtesse, c'est vous qui decochez les insultes maintenant... N'aviez vous point declaré un peu partout, du conseil ducal aux latrines des armées etrangeres qui venait tuer du Bourguignon que vous ne vous livriez jamais au jeu des insultes et que vous etiez une victime permanente d'icelles ?

Encore un mensonge ?

Vous faites bien a Rome de montrer votre vrai nature, nous sommes censé icelieu etre plus proche du tres haut.

Quand au Cardinal Aristokoles nous avions des relations tres particulieres qui ne vous concernent en rien.

Et tournant le dos a Rouvres pour retourner au proces en rehabilitation de la Duchesse du Charolais, il quitta la place.

Puis se retourne

- ah ! et trouvez un prêtre pour vous confesser entre insulter les passants et écouter en catimini les conversations des gens, je pense qu'il y a matière a se que vous fassiez Rome Paris sur les genoux en robe de bure pour expier ces pêchers.

Et zou..retour au barrage des teutons et a sa place pret du Duc Crezus.
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