L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Clodeweck]

Parlant très mal le françois quand ça l'arrangeait, le Breton entra sans rien dire de plus.
Meditant sur l'amitié.
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Clodeweck de Montfort, pèlerin, prêcheur, homme de foy contre l'adversité.
Quand on a plus rien à prouver, rien à perdre, rien à gagner on peut parler vrai. (Cloclo 1°)

[frère roger]

Roger salua d'une belle courbette désuette le nouveau duc du Berry Thomas de Clérel et lui demanda à voix basse s'il avait reçus son courrier d'allégeance berrichonne comme seigneur de Vierzon en tant qu'abbé de Noirlac.
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EVEQUE IN PARTIBUS D'HELIOPOLIS

[Frédéric Von Frayner]

L'élève garde Frédéric*Guillaume Von Frayner se présenta à la basilique.
Sur le parvis, il vérifia sa tenue d'apparat attendant éventuellement d'autres gardes.
Il se devait de représenter la Garde Episcopale et si possible en nombre, le Primat et l'un des Vice Primats faisant partie des Hauts Dignitaires de la Garde. Un monde fou arrivait. Clers et Prélats mais aussi quelques grands de ce monde au vu des armes sur leur carosse.

Il remarqua ses collègues de la garde Pontificale de service ce jour là. Ils filtraient les entrées avec beaucoup de discrétion mais d'efficacité.
Frédéric espérait que Choupinette viendrait. Il en avait parlé à la cantonnade à l'école des Gardes.

La cérémonie n'allait pas tarder. Il allait devoir entrer.

[Tarthan]

Le Caporal avait délivré quelques ordres rigoureux. Au sein de la basilique, l'organisation s'était tout d'abord avérée être un réel casse tête. Une place pour chacun, chacun à sa place. Le système rôdé, l'officier remonta la nef en direction du second cordon de sécurité. Informé par l'un de ses hommes que le ton montait non loin du parvis, il pressa la pas en vue de rejoindre "haleine putride", ainsi surnommait il Andreï, qui jouissait d'une solide réputation. Ce dernier faisait fuir les hérétiques et excommuniés de son souffle délicat. Mais comme collègue, fallait le supporter...

Le cliquetis de son armure était couvert par l'incessant brouhaha des fidèles en mouvement. Un second garde s'en vint le trouver et lui livra de plus amples informations sur les évènements ayant lieu à l'entrée. Sans ralentir la cadence, le Caporal analysa la situation, opina d'un léger hochement de tête puis congédia le soldat.

Apercevant le Hochmeister Monseigneur Aurore aux côtés du Haut Justicier Templier, il s'employa à les rejoindre. Il s'inclina respectueusement puis invita les deux femmes à le suivre non loin de la. Il expliqua alors :

Dame Haeven, au regard des dispositions prises par "Da Capo", interdisant l'accès à la basilique Romaine ainsi qu'a la Crypte aux Chevaliers D'Isenduils relevés, je ne puis vous laisser pénétrer en cette basilique.

Il n'avait pas pris ce ton autoritaire dont il usait de manière coutumière. Il ne doutait qu'il avait fallu du courage au Haut Justicier pour se présenter à Rome. Les dispositions Curiales ne devaient être bravées pour autant, pour le bien des relations entre le Temple et l'Eglise, dans l'intérêt des discussions et des travaux entrepris actuellement, qui ne le concernaient nullement et dont il ne savait que bien peu de choses.

D'un geste de la main, il invita le Haut Justicier à lui emboiter le pas, désireux de le guider vers l'une des portes latérales pour une sortie discrète. Il songeait déjà aux coups de fouet qu'il faudrait administrer au postérieur d'Andreï, espérant que l'arrière train du militaire ne relâchait pas ces mêmes odeurs pestilentielles qui émanaient de son bec. Engagez vous qu'y disaient.
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Caporal du Bataillon de Sûreté

[Cunégonde la Gironde]

La très désagréable infirmière Cunégonde était de service. Elle se tenait en retrait, assise au côté de son paquetage bourré d'onguents, fioles et herbes variées. Elle assisterait bien évidemment à la cérémonie d'intronisation de son Préfet en tant que Primat. Toutefois, une autre raison, non moins importante, la rendait toute émoustillée.

Cette raison se matérialisa lorsque son beau Camerlingue traversa la nef. Son front plissé se détendit. Le bord de son tarin, remonté, laissant apparaitre jusqu'alors quelques poils de nez vagabonds, s'abaissa doucement. Son rictus perpétuel se transforma en un sourire charmant. L'on eut même pu voir, avec un peu d'imagination, le noir intense qui régnait aux confins de ses yeux s'adoucir par la venue d'éclats dorés.

Son souffle s'accéléra. Ses joues s'empourprèrent. Son Eminence Aaron était vêtu comme un Prince.

Elle manqua de flancher. Il serait malvenu que l'infirmière s'écroule la première. Elle farfouilla dans son matériel à la recherche de soins qu'elle pourrait se prodiguer, tomba sur du gingembre qui n'avait rien à faire la, je vous épargnerai la suite, du moins pour l'instant...

Engagez vous qu'y disaient.
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Infirmière Cunégonde la Gironde !
Ca s'la ferme ou j'gronde !

[Hobb]

Le Bruder Teutonique Hobb Wärter der Heiligen Reliquien suivait de près la Hochmeisterin Arakiriman et l'Ordensmarschall Ramon. Depuis ses nouvelles fonctions, il avait appris à mieux connaitre Rome. Enfin, vraiment un peu.

Il s'avança en essayant de saluer au mieux ceux qu'ils connaissaient. Ses Soeurs et Frères des Sanctes Armées et aussi ceux qui lui avaient permis de devenir ce qu'il est, comme les Cisterciens ses professeurs et d'autres encore.

Puis, il chercha un endroit placé pour faire oeuvre de ferveur Aristotélicienne et de biens suivre la cérémonie.
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Curé de Genève Maire de Genève (5 jours) - Dit "48%" ! Prince de Lausanne, Baron de Saltara

[UterPendragon]

Son Eminence l'ayant très lâchement abandonné à son triste sort pour aller rejoindre son (ancien) élève, Aymé se retrouva donc seul, avec pas grand monde autour de lui qui lui paraisse d'un quelconque intérêt, et ça faisait sérieusement tâche de n'avoir personne avec qui parler durant l'office, avant et après aussi... Bref, il se mit en chasse, et tombe sur le Bruder Hobb, ainsi qu'une troupe teutonique, alors il se plaça et attendit que cela commence, après un sourire aux concernés.
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Mort des cardinaux d'Azayes et von Frayner

[Kad]

Retiré dans ses quartiers, enfoncé dans son siège, les deux pieds croisés sur le bois de son bureau, le vieux comte relisait les derniers travaux sur lesquels il planchait, entouré de son équipe. La liste des chantiers était longue et décourageante mais il gardait bon espoir. Il s'emporta dans un profond soupir. Il avait hâte que les cloches de la basilique s'en viennent bercer la cité Romaine de leur chant métallique, annonçant ainsi qu'enfin, la cérémonie allait débuter. Car il n'était guère simple de penser à autre chose en de telles circonstances. Se relevant, sa jambe droite vint maladroitement chasser l'encrier qui déversa son contenu sur son habit. Une soutane flambant neuve qui coutait les poils du menton, spécialement achetée pour l'occasion.

L'archevêque aurait apprécié avoir les lèvres cousues, lui évitant ainsi de proférer quelques jurons qu'il lui faudrait confesser. Le temps le séparant de la cérémonie, qui lui semblait jusqu'alors si long, devient soudainement terriblement restreint. Coiffé de sa mitre, crosse épiscopale empoignée fermement, il quitta son bureau sans même se donner la peine de le fermer à clé. Après tout, son sceau n'était plus à protéger... Le falsificateur réalisait bien des copies plus vraies que nature.

Faire les boutiques, réaliser qu'il était vain d'espérer trouver un tisserand possédant un habit convenant pour l'occasion, regretter d'avoir laissé ses vêtements liturgiques de rechange dans la forteresse Motarde d'Ascalon, s'emporter dans d'interminables grognements... Puis recevoir l'illumination. Il fit appeller quelques gardes Pontificaux, et, sous bonne escorte, s'en fut en direction des appartements de Son Eminence Lorgol. Bien évidement, l'homme au masque de fer n'était présent. Cela aurait été si simple. D'une œillade sans équivoque, il intima aux hommes d'enfoncer la porte qui céda dans un gémissement.

Kad s'engouffra dans les couloirs, espérant que l'intégriste ait conservé quelques draperies en dehors de Touzon ou il coulait des jours heureux à fomenter ses plans destructeurs. Et... La, dans la penderie, il tomba finalement sur l'objet tant espéré. Sauter dans la soutane, faire demi tour, laisser une petit billet sur la porte "Les Cathares vous remercient pour l'hospitalité" en souvenir du Languedoc, repartir en direction de la basilique...

... En laquelle il mis pied en retard, comme à l'accoutumée. Le Primat remonta la nef d'un pas lent, s'accordant le temps de reprendre son souffle. Il se présenta alors au Cardinal Camerlingue qui patientait dans le coeur.
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[Makcimus.]

La bouche ouverte, les yeux sortants de ses orbites... il ne pouvait détacher son regard de l'édifice. Jamais il n'avait vu si grand... Jamais il n'avait vu si beau. La grande carcasse faillit oublier de se signer tant il était ému. À l'habitude, quant il entra en la maison du Très-Haut une grande ferveur s'empara de lui. Incapable de prononcer le moindre mot, admirant sculptures et vitraux.

C'est donc la tête en l'air que le Neuling Makcimus faisait ses premiers pas en la basilique Saint Titus....Alors qu'il avançait de sa lourde démarche, le violent coup de coude que lui asséna l'un de ses frères lui fit reprendre ses esprits.

Il s'installa avec la délégation Teutonique, joignant les mains sans même s'en rendre compte. Que de changement en sa vie, une chaleur en son coeur en son âme il était heureux et fier d'être parmi les siens à Rome. Il ne remercierait jamais assez les frères Roger et Bardieu qui en l'abbaye de NoirLac l'avait guidé et montré le chemin.

C'est qu'il y en avait du monde...L'événement était d'importance... L'intronisation du Primat et Vices Primats de France ce n'était pas rien tout de même. Il se redressa quelque peu afin de ne rien rater de la cérémonie, c'est qu'il voulait absolument apercevoir le Gross Hospittler MrGroar.
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[sabotin]

Le Grand Maistre des francs avait longuement profité des chauds rayons de soleil qui inondaient le parvis de Saint Titus. Lorsqu’il vit enfin arriver Mgr Kad, il ajusta le col de sa chemise et présenta son invitation au garde ....

Profitant de l’entrée du Primat, il remonta la nef dans son sillage et eut plaisir à saluer le Duc du Berry ainsi que le Primat Breton Mgr Clodeweg qui soignait toujours autant sa bonne mine sur les côtes bretonnes.

Il s’installa comme à l’accoutumée près de ses homologues dignitaires pour assister au l’ouverture de la cérémonie.
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Sabotin de la Marche di Césarini
Chevalier de l'Ordre militaire d'Aristote
Grand Maistre de l'Ordre des Chevaliers francs

[Chevreux]

De par son poste de Héraur d'Armes de l'Ordre, le bruder Chevreux était arrivé le plus rapidement possible à la Basilique avec en main l'étendard de l'Ordre. Il avait revêtu sa cape blanche, cape qu'il n'utilisait qu'en des moments importants.

Il devençait de très peu les membres de l'Ordenkreis de l'Ordre qu'il représentait.

La basilique était remplie de membres de la Saint Église aristotélicienne, certains très connus, d'autres moins, de simples prêtres à des cartinaux et autre titres plus ou moins importants.

Il s'était dons avancé jusqu'à quelques bans qui leur avaient été réservés et s'arrêta devant ces derniers. Puis, il s'était retourné et avait laissé s'installé les membres du Kreis et les autres membres qui accompagnaient la délégation Teutonique.

Une fois fait, il était retourné un peu plus vers l'arrière, toujours son gafanon à la main et s'y installa. De cette façon, personne ne serait dérangé par une vue voilée.

La cérémonie était importante, et une telle nuisance de la vue de la sorte n'aurait fait qu'apporter frustration pour certains. Le bruder ne voulait pas se le permettre.

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Ne sous-estimez pas plus faible que vous !

[choupinette73]

Choupinette arriva en courant et se glissa à coté de Frederic au moment ou il annonçait qu'il faisait parti de la Garde Épiscopale .

Moi aussi ,je suis l'élève garde Choupinette et je viens aussi représenter la Garde .

Elle sourit à Frederic et ajusta son uniforme d'apparat.

Pouvons nous entrer ?


Elle était heureuse d'être là avec lui pour rendre hommage à leurs Hauts dignitaires .

[Arakiriman]

Lorsqu'elle entendit le garde, elle vit rouge.

Puisqu'il est ainsi je pars également puisque ma parole de Chevalier d'Isenduil ne vaut rien du tout. Mais je ne partirai pas par une petite porte.

Elle prit le bras d'Heaven pour pas qu'elle doute et se dirigea vers l'entrée principale. Se tournant vers la délégation teutonique, et ses amis Grands Maitres.

Désolé les amis, je dois partir, on me met à la porte, amusez vous bien.
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l'Ordre Teutonique Recrute
Chevalier Légat d'Isenduil

[Louis1er]

Louis ne savait que faire face à la réaction d'Aurore, il resta là planter a droite de l'entrée de Sainte Titus, devait il la suivre... il regardait le foule se placer et la honte de la scène monta en lui, il ne su plus ou se mettre, rougissant comme une tomate, il préféra sortir prendre l'air. Il ne comprenait pas trop ce qu'il venait de se passer sous ses yeux... Il respira un grand coup attendant un signe d'Aurore.
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[img]Duc de Bielle

[Arakiriman]

Son petit cousin était là comme toujours, près d'elle et surtout cherchant à toujours lui faire plaisir. Il était vraiment temps qu'elle officialise son rang d'écuyer. Elle se le promit encore une fois et lui dit.

Ne vas pas gacher la cérémonie de notre cousin, et de notre ami, retourne à l'intérieur. Mais n'oublie jamais cette scène, elle est assez symbolique.
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l'Ordre Teutonique Recrute
Chevalier Légat d'Isenduil